Mon cul pas confortable ? Ben voyons, on aura tout entendu. Puis, il croit quoi lui, qu'il est plus confortable que moi ? Genre, avec ses tablettes de chocolat, son corps bien tracé, ses muscles...ok je m’égare. Je dois retrouver mes esprits avant qu'il ne soit trop tard. Respirer à fond, expirer. Pas périmer hein, lui il l'était, moi pas ! Genre, il date de l'empire romain ce mec. D'ailleurs, je le verrais bien en jupette rouge là, ils portaient des boxer à cette époque ? Des slips ? Ok, je m’égare de nouveau. Avec lui, c'était tout le temps comme ça, je divaguais facilement vers des sujets peux appropriés. Faut dire qu'il y a pas mal de filles qui courent après, sa a le don de m'énerver et de me foutre hors de moi. La dernière avait finie avec mon café renversé sur sa jolie petite tête de pétasse. J'avais usé un café pour rien, mais au moins j'avais eu la satisfaction de voir cette gonzesse hurler à la mort et partir en courant. Que c'était jouissif ! J'enfonce donc mes ongles dans sa cuisse, histoire de me venger comme je le pouvais sous la douleur qu'il m'infligeait. Le pire, c'est qu'il avait l'air d'y prendre du plaisir à me voir avoir mal ainsi. Serait-il sado ? Probablement, ça ne m'étonnerais pas. Il siffle entre ses dents et j'en suis bien heureuse, il avait cas pas jouer avec ma douleur. Il se penche vers mon oreille et me la mord assez fort pour que je ressente un petit pincement. Non mais oh ! Il veut pas me l'arracher tant qu'on y est.

« Déjà, tu arrêtes de me mordre sinon je vais me faire un plaisir d'enfoncer de nouveau mes ongles dans ta peau de débile. Ensuite, arrête de parler ça devient fatiguant ! »

J'arrive à le déstabiliser et à passer au dessus de lui, me retrouvant à califourchon sur Maxence. Ben voyons, si quelqu'un passait par là, là de suite, il aurait pu croire à bien des choses. Je suis super puissante, je suis la reine du lit je suis...dans la merde. Il reprend le dessus et se redresse, alors que moi, ben ouai, j'avais de nouveau les bras coincés et en plus il me tirait la tête en arrière. Mais c'est que ce jeu devenait tordu ! Quoi, il voulait pas prendre un fouet, des menottes et faire ça comme des animaux non ? Parce que franchement, il allait finir par s'en ramasser une à tenter de prendre le dessus sur moi.

« Trop d'assurance tue l'assurance Max. »

Je l'appelais rarement par son prénom ou même par un diminutif de celui-ci. Quand sa arrivait c'est que j'allais faire un sale coup, sinon, je me contentais de l'insulter de tous les noms en hurlant à la mort, lui bazardant divers objets ou vêtements, comme aujourd'hui. J'arrive à soulever mon genou assez haut pour atteindre ses côtes que je frappe avec une certaine force, pas assez pour lui faire réellement mal ou lui casser quelque chose, ce n'était pas mon but, mais assez pour qu'il me lâche. Je plante mon bras sous sa gorge et le refait tomber en arrière, exerçant une pression sur celle-ci sans pour autant l'étouffer.

« Avec les autres aussi tu parles beaucoup et tu n'agis pas ? Pas étonnant que tu sois célibataire, les filles ne sont que rarement patiente. »

J'exerce une pression un peux plus grande, laissant mon visage approcher du sien au point de n'être séparé de lui que de quelques centimètres. Mon regard se plonge dans le sien et au dernier moment je décale vers son oreille. Ben quoi, il croyait quand même pas que j'allais l'embrasser quand même ! Bon, j'avoue que l'idée m'avait traversé l'esprit. Mais attention, ne confondons pas son défis et le mien ! Moi, je n'en avais aucun, lui, il jouait les sado et faisait genre que j'allais hurler alors qu'il se contentait de ne pas faire grand chose. Voyons jusqu'où il allait tenir.... Mes lèvres frôlèrent son oreille, alors que mon bras trônait toujours sous sa gorge. Je n'étais pas très forte, je n'étais pas non plus faible, loin de là, j'avais énormément de ressources.

« Tu as peur c'est sa ? Pauvre petite chose qui n'a pas le courage de bouger le petit doigt...tu me donnes raison alors...tu abandonnes... »

Mais non de dieu, Athénaïs tu vas te la fermer oui ! Quoi, si il se passe quelque chose après je vais faire quoi moi ? Ben, au pire je le menace de lui couper son pti truc si jamais il dit quoi que ce soit à quelqu'un et croyez moi, je le ferais sans soucis ! Je laisse  mes lèvres frôler son cou et...je mord dedans ! Ben ouai, vengeance pour sa morsure à l'oreille ! Moi aussi je pouvais me servir de mes dents quand je le voulais, de ma bouche aussi mais soit. J'enlève mon bras de sa gorge et je m’assois sur lui, toujours à califourchon sur le bras de son ventre.

« Mon dieu, les hommes, tous de beaux parleurs, pas un pour rattraper l'autre, toi y'compris. »

En gros, je venais de donner autant d'importance aux autres mecs cas Maxence, chose que je savais le faisait généralement réagir au quart de tour. Je me redresse légèrement, prête à descendre, parce que ouai, cette position donne des idées.
   

Oui, il avait pas tore, j'étais également célibataire. Sauf que moi je l'étais par choix, genre, vraiment par choix. Déjà, je n'avais pas le temps pour une relation sérieuse, du coup, je batifolais à gauche et à droite sans jamais aller bien loin. Puis, franchement, vous avez vu les mecs de nos jours ? Ils sont cons, ils sont moches et quand ils sont beaux ben ils n'ont pas de cerveau, comme Maxence quoi. Du coup et bien, je n'avais pas vraiment eu de nombreuses relations. Bon d'accord, je n'en avais eu qu'une seule, Cyril. Ouai, c'est pas parce que je suis jolie et que l'on me courre après que je dois sauter sur tout ce qui bouge, j'ai un minimum de respect pour mon corps. Un minimum hein. Puis, ce qui se passait actuellement dans ma chambre ça ne se passait avec personne d'autre, le leprechaun il était différent, à part. Il me ressemblait tellement. Si il n'avait pas eu ce caractère de merde et bien, je suis sur qu'on se serait bien entendus, mais vu ce qu'il est et bien, qu'il crève dans son coin !

« Suis célibataire par choix crevard. »

Et notre petit manège continua de plus belle, me retrouvant toujours sur lui, son bras dans mon dos. D'ailleurs, pourquoi il le laissait ses paluches derrière moi, ça ne m'inspire absolument pas confiance. D'ailleurs, son sourire mauvais non plus, ses paroles encore moins. MON SOUTIF ! Je sens l'attache lâcher quand il enlève son bras d'un coup sec, quelque chose avait du se prendre dedans et m'arracher ce bazar. Mon soutif, bordel, il venait de me le foutre en l'air. Ben ouai, dès que monsieur est fâché contre moi il me fait un coup comme ça. Quoi, si il voulait me voir à poile il n'avait cas le demander au lieu de se la jouer innocent. Je lui donne un coup de poing violent dans l'épaule droite.

« Putain, tu sais combien il m'a coûté ce soutient-gorge ! Je te jure que tu vas m'en racheter un le puant ! »

Je me lève brusquement du lit et enlève le pauvre dommage collatéral, lui envoyant celui-ci sur le tronche. Oui, j'aimais bien lui avoyer des affaires à moi sur le visage, c'était assez drôle, surtout que je visais royalement bien. En gros, je me retrouvais en string et sans trop de timidité. Bon, je n'étais pas à l'aise mais disons qu'il l'avait bien cherché.

« Crétin. En plus de parler t'es même pas capable de déshabiller une fille convenablement ! »

Je me dirige vers mes garde robe et ouvre celle de droite qui possède une porte coulissante. Dedans, il y avait plusieurs ensemble de nuit ainsi que des sous-vêtements assez variés, j'adorais faire les magasins et possédais un dressing en plus de quatre grande gardes robes remplies. Oui, je ne suis pas une fille pour rien. Je choppe un soutif au hasard un rouge et noir et l'enfile sans trop me presser, je l'attache facilement et me retourne de nouveau vers lui, mes mains sur mes hanches. Je l'observe durant quelques secondes, il est toujours sur mon lit. Quoi, il veut un petit café, une biscotte, un petit repas ? C'est mon lit bordel ! Je m'avance alors vers ses jambes et attrape le bas de son pantalon, je tire brusquement dessus comme une enragée.

« Va y dégages de là petit parleur, même un chien aurait plus de cran que toi ! »

Ben oui, vas y Athénaïs, continue à le provoquer puisque sa te fait tant rigoler. Puis, de toute façon il n'allait apparemment pas relever le défis et donc je me dis que j'avais gagné.

« Ah oui, j'ai oublié de te dire Ducon...vu que c'est moi qui gagne, c'est toi qui est à mon service durant deux ans. »

Ouuuuuuh, pas sur que sa lui plaise cette idée, j'étais même plutôt certaine qu'il allait réagir qu'il n'allait pas supporter l'idée de me servir durant deux ans. Je tirais toujours sur son pantalon quand un « crack » se fit entendre. Oh, je m'étais tellement acharné dessus qu'une de ses coutures avait du lâcher. Je souris vachement fière de moi. C'était pas au programme mais c'était un sacré bon bonus. Je lâche donc le pauvre pantalon et croise les bras. Finalement, il était venu pour me soigner et au final il y avait que ça qu'il n'avait pas fait, enfin, si, il avait désinfecté mais franchement, là de suite je n'y pensais plus tellement.

« Allait homme, va me préparer un café ! »
   

Je cherchais la merde ? Moi ? Mais il c'était regardé dans un miroir ce connard. Toujours en train de me casser les pieds, pas une seule phrase gentille, pas un seul mot sympathique. Bon d'accord, moi non plus, mais j'étais ainsi faite puis, si je ne le faisait pas chier qui l'aurait fait ? Une autre ? Disons que à ce jeu avec Maxence je ne pouvais être égalé, j'étais la reine pour l'emmerder et lui, con comme il est et bien il tombait toujours dans le panneau. Bien sur qu'il allait me repayer mon soutient-gorge, il n'avait pas le choix.

« D'accord, j'enverrais la facture à ta mère, elle sera ravie d'apprendre que tu m'as arraché mon soutient-gorge... »

Mêler sa mère à ça ? Bien sur que j'allais oser, puis, la connaissant elle n'allait plus le lâcher avec sa. Du style lui poser pleins de questions, lui demander si il c'était protégé, si il avait été gentil, si nous sortions ensemble...si c'était sérieux. Tout ce qu'il ne supportait pas. J'aimais bien laisser sa mère à sa rêverie, la laissant espérer qu'un jour nous nous allions nous marier, que nous aurons pleins de bébés leprechauns, que son fils allait enfin pouvoir se caser. C'était tellement drôle de voir la tronche de se puant se décomposer quand il entendait ce genre de conversation, j'adorais ça. Puis, sa mère c'est vraiment une chouette femme. J'aurais bien aimé connaître son père...Il semblait être tellement sympathique, je n'avais entendu parlé de lui que en bien. Au moins, Max et moi partagions quelque chose, la perte d'un proche cruellement arraché par un stryge. Sauf que lui, et bien, il avait toujours sa mère, moi, je n'avais plus personne.

« N'empêche que je me suis déshabillée toute seule, à ta place je ne serais pas fière de toi gamin. »

J'ai envie de lui arracher les yeux, de l'étriper, de lui craquer tous ses vêtements histoire qu'il se retrouve aussi con que moi. Il tente de me faire lâcher son pantalon, m'envoyant un coup brusque dans l'épaule. Je grimace légèrement, néanmoins, cela ne suffit pas à me faire lâcher. J'allais encore avoir des bleus en plus, bof, je commençais à avoir l'habitude avec lui. Le pantalon lâche et je suis foutrement fière de moi. Une dose d'adrénaline s'empare de mon être devant les beuglements du leprechaun. Ramasse enflure, t'avais cas pas t'en prendre à mon soutif ! J'ouvre la bouche pour répondre mais je le vois se redresser avec rapidité. Merde, je n'ai pas le temps de réagir que je suis déjà contre la porte de ma garde robe. Mon dos heurte celle-ci avec une certaine force, j'en ai d'ailleurs le souffle coupé durant quelques secondes. C'est moi ou ses mains sont sur mes seins ? Ah ben c'est du joli. Gamine ? Un café ? Lui un homme ? Je fronce les sourcils et d'un coup avec mes deux coudes j'enlève ses mains de ma poitrine, ce que je trouvais dommage parce qu'elles semblaient faites pour ça...

« De un ici t'es chez moi DesChênes... »

Je plaque ma main brutalement sur son thorax le faisant ainsi reculer d'un pas, mes mains agrippèrent de nouveau son pantalon et cette fois-ci je fini de l'achever. Bingo, il se retrouvait en boxer. Jolie vue. Je me surprend à apprécier ce moment plus que je ne l'aurais du, faisant carrément un blocage. Bug, merci de remettre la machine en marche. Je cligne plusieurs fois des yeux et je le pousse de nouveau avec force pour l'étaler de plus belle sur le lit. Malheureusement, dans mon élan, je tombe sur lui par la même occasion et cette fois...j'explose de rire. Oui, je passais d'un extrême à un autre, puis, franchement, ça n'avait rien de méchant cette bagarre, ça faisait partie de notre quotidien.

« Merde, Ducon je me suis foulée la cheville toute seule. »

J'étais toujours sur lui, riant comme une conne, cachant ma tête dans son cou les mains posées sur son torse. J'étais foutrement bien mise, puis, sans son pantalon c'était encore plus confortable. Je deviens folle ou quoi ? Mais je devais absolument me relever ! Relèves-toi Athénaïs, t'attends quoi ! Mon corps ne veut plus réagir, après quelques secondes j'arrête de rire mais je reste couché sur lui. Cette connerie de guéguerre m'avait bouffé plus d'énergie que je ne l'aurais cru. Je fini par déposer ma tête sur son épaule, le visage vers son cou, pouvant admirer ma belle morsure de tout à l'heure.

« Te voilà marqué à vie mon cher... »

Je ne sais pas pourquoi mais je me sentais juste...conne, terriblement conne d'être d'un coup si paisible.
   

Respecter son travail ? Mais quel travail ! Bordel, je m'étais déshabillé – involontairement, cela va de soit – toute seule comme une grande et lui, il tentait de s'approprier tous le mérite. Ben voyons, c'est bien les mecs ça ! Tous des emmerdeurs professionnels, quoi que, Maxence était réellement le roi des cons quand il s'y mettait. Non, il n'avait même pas besoin de s'y mettre, il l'était tout naturellement. Il a bossé pour devenir aussi con ? Sûrement, c'est quand même pas de naissance...Je connaissais sa mère, elle était loin d'être conne, son père ne semblait pas avoir pu offrir ce gène de débilité à son fils. Alors, de qui tenait-il ça ? Puis, on ne naît pas con. Quoi que, apparemment, les mecs excellaient dans cet art, ça devait être masculin. Ses mains semblaient avoir élus domicile sur ma poitrine, comme si mes seins lui appartenaient. Non mais oh, mes seins c'est ma propriété, on y touche que si j'en donne l'autorisation ! C'est quoi ce petit pervers, je ne le connaissais pas ainsi. En même temps, je ne m'étais jamais retrouvé à moitié à poile devant lui et vice versa. Cette fois-ci nous faisions vraiment fort, voir plus encore, nous atteignions des sommets. Son pantalon prit un coup franc et celui-ci tomba sur le sol. Je laisse mon regard glisser sur lui quelques instants. Ben quoi, j'ai des yeux c'est pour voir. D'ailleurs, la bosse naissante ne passa pas inaperçue et ça m'amusa réellement. Tient, tient, pour une qui le dégoûtait et le laissait de glace, son corps disait totalement le contraire. J'allais m'en souvenir de celle-là et j'allais lui retaper en pleine tronche quand il me referait chier.

« Ouai ben les sous-vêtements pour femmes c'est pareil abruti ! Nous sommes quittes ! »

Je le pousse féroce, bien décidée à ne pas le laisser gagner, hors, j'étais loin d'imaginer me fouler la cheville au passage. Comment ai-je fait d'ailleurs. Bonne question, j'avais dû m'emmêler les pieds et me faire mal. La première réaction du leprechaun fut de tenter de m'empêcher de tomber en...agrippant mes fesses. Mais il à quoi aujourd'hui avec mon corps ! Bon, sur le coup je ne réagis pas forcément vu que je suis en plein vole et que je m'écrase lamentablement sur lui.

« Et toi t'as été fini au râteau mon pote, c'est pas mieux ! »

Nos rirent se mélangent comme deux enfants, alors que la seconde d'avant nous étions pratiquement en train de nous taper sur la tronche. C'était comme ça, nous étions légèrement bipolaires, puis, au final, ce n'était jamais bien méchant. Certes, quelques fois, il repartait furax mais soit je venais l'emmerder chez lui l'heure suivante, soit c'était lui qui revenait avec une excuse bidon. Ne lui dites surtout pas, mais passer deux jours sans le voir ça me paressais presque impossible, je m'ennuyais souvent de lui et comparais les autres garçons à ce crétin. Il avait toujours ses mains sur mes fesses et, étrangement, et bien, je ne relève pas le mot bien trop occupée à prendre possession de son corps avec le mien. Morsure pour morsure ? C'est mains remonte brusquement. Ah ben voilà, il avait enfin remarqué où elles étaient placées, il lui en a fallut tu temps. Je sens sa respiration dans mon cou avant de...sentir ses foutues dents s’enfoncer dans ma peau assez pour me marquer.

« Mais ! Aie ! T'es con ou quoi, après je vais être marqué et les gens vont se faire des idées ! »

Vengeance ! J’enfonce mes ongles dans ses cotes et je me redresse légèrement, assez pour que mon buste soit légèrement décollé de son torse. Dommage, je trouvais que celui-ci épousait parfaitement bien mes formes. Soit, je devais me venger et comme une conne je ne trouve qu'une seule chose à faire... J'approche mon visage du sien et dépose mes lèvres sur les siennes, néanmoins, en une fraction de seconde, je viens mordre celles-ci. Pas assez pour lui faire réellement mal, mais quand même assez pour qu'il ressente un pincement. Je recule rapidement, sentant les représailles arrivées...je tombe à terre dans un petit cri aigu les bras battant de l'air alors que je tentais de me rattraper à l'invisible. Outch, mon dos. Me voilà en bien piètre position...Je me redresse discrètement à quatre patte et saute sur le lit en plein sur le jeune homme, poussant un cri de guerre assez...lamentable.

« Les femmes au pouvoir ! Enfin...moi au pouvoir ! »

Raté...au lieu d'atterrir sur lui et bien, j’atterris de l'autre côté du lit à moitié sur le matelas les jambes sur Maxence et le buste à terre. Pourtant je savais me battre, oui oui, mais là disons que j'étais quelque peut déstabilisé. Lorsque j'avais senti ses lèvres sur les miennes, même si peux de temps, j'avais songé le prolonger sans le morde. MOI PENSE SA ! Il m'arrive quoi là ?