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Un homme sans une femme c'est comme si un chauve trouvait un peigne dans la rue. - Ft Athenaïs

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Maxence DesChênes
Distributeur de baffes
Maxence DesChênes
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Messages : 149 Je suis arrivé(e) le : 12/03/2016 Sous les traits de : Matthew Daddario Je me dédouble : Avalon la psychopathe enceinte & Saf la dépressive - agressive Pseudo : Pims Crédits : Tumblr - Xelette - Angel Dust Points : 3900 Un homme sans une femme c'est comme si un chauve trouvait un peigne dans la rue. - Ft Athenaïs HGDtP9W

J'ai : 36 ans Age d'apparence : 26 ans, petit jeunot. Je travaille comme : Agent de sécurité et d'accueil à l'Opéra Lyra Actuellement, je suis : Adinophile qui ne s'assume pas du tout ! Par contre tu l'approche je te pète les rotules. Espèce : Leprechaun Niveau social : Aisé Un homme sans une femme c'est comme si un chauve trouvait un peigne dans la rue. - Ft Athenaïs LoK47AW

- Si vous aimez, ce n’est pas cet amour qui fait partie de votre destinée ; c’est la conscience de vous-même que vous aurez trouvée au fond de cet amour qui modifiera votre vie. -

Un homme sans une femme c'est comme si un chauve trouvait un peigne dans la rue. - Ft Athenaïs Tumblr_n12jb5evLS1tt3ubdo1_500

- Le Roi galope
Repoussant les Ombres
Faisant cliqueter son Armure
Faisant voler les Os
Avalant la Chair
Grinçant des Dents
Écrasant les Cœurs
Il va Seul
Vers le lointain Horizon.
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Un homme sans une femme c'est comme si un chauve trouvait un peigne dans la rue. - Ft Athenaïs EmptyMer 16 Mar - 18:06
Max ▲ AthénaïsJe t'éclate ta tête parce que je tiens à toi.Le soleil descendait sur la ville, il faisait encore froid. Maxence, le front collé à la vitre, son souffle créant de la buée dessus, regardait les gens s'agiter en bas de la rue. Depuis le quatrième étage il voyait les gens en petit, c'était assez marrant de s'imaginer en géant et eux comme des fourmis. Son portable vibra dans la poche arrière de son jean et il émit un sifflement entre ses dents serrées quand il découvrit le message d'Athenaïs. Cette chieuse en puissance savait comment lui lancer des piques pour le faire grimper au rideau. Il répondit rapidement, sur le même ton puis jeta négligemment son téléphone sur le canapé à côté.

Il cogna son front contre la vitre, non mais vraiment pourquoi est – ce qu'il s'emmerdait à continuer de la voir, de la chercher ? C'est vrai qu'elle est marrante, qu'elle comprends son besoin de vengeance constant, qu'elle est mignonne. Mignonne ? Hein pardon ? Surement pas non, c'est juste une gamine pouilleuse qui s'accroche à ses basques et qu'il protège parce qu'elle ne sait pas le faire toute seule et que c'est un véritable aimant à problème. Maxence s'ébroue et se rends dans sa salle de bains, grimpant les marches deux par deux.

Il abandonne son tee shirt du jour sur son lit et passe rapidement un coup d'eau fraîche sur son visage et sur ses bras. Il met un coup de parfum rapidement et se saisit d'un tee short propre quelconque dans sa panière propre. Pendant une seconde il regarde son reflet, son torse sculpté par les arts martiaux, les nombreux tatouages qui parsèment sa peau. Ça lui rappelle trop son père. Son téléphone émet une sonnerie d'en bas et de nouveau il siffle entre ses dents.

« Mais bordel lâche moi pouilleuse ! »

Il se téléporte jusqu'à son salon, oui c'est un feignant et alors ? Franchement quand on à un don comme ça on remercie ses parents d'être des leprechauns et on en profite à fond. Puis c'est super drôle pour faire des blagues aux autres quand même. Athenaïs le somme de venir. Non mais qu'est ce qu'elle à été se frotter a un stryge elle aussi ? Il à un frisson en l'imaginant gravement blessé, ça lui ouvre une plaie sur le cœur et il s'empresse de secouer la tête. Eh bien qu'elle crève ! N'empêche qu'il va la cuisiner pour savoir qui s'en est pris à elle et aller lui fourrer une flèche entre les deux yeux.

Et le pire c'est qu'elle réclame à manger, non mais elle l'a pris pour un drive – in ou quoi ? Il soupire et pousse un râle avant de se diriger vers sa cuisine, il extirpe une bouteille de vin blanc de sous le bar. Qu'elle aille se faire voir avec son vin rouge. Il ricane et sort aussi une barquette de lasagnes de son frigo, elle aura qu'a se contenter de ça cette peste. Il se saisit de son arc et de son carquois dans un coin de la pièce et l'ajuste sur son épaule, il se déplace très rarement sans son attirail. Puis Maxence va se planter au milieu de son salon, il relit rapidement leur discussion avant de ranger son téléphone dans sa poche. Il se concentre quelques secondes sur sa téléportation et juste au moment fatidique une image flashe sous ses paupières. Il imagine Athenaïs sous la douche, bon dieu pourquoi elle à fait cette référence. Un long frisson le parcourt alors que la téléportation s'engage, direction le logement de la chieuse première du nom.

« Bordel de bon dieu de merde ! C'est quoi c'délire ? »

Bien joué gros couillon, t'as atterrit dans sa douche.
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Un homme sans une femme c'est comme si un chauve trouvait un peigne dans la rue. - Ft Athenaïs EmptyMer 16 Mar - 19:49

   

   
❝Sous le ciel
   la grandeur de tes yeux❞
   Toi & Moi
Assise sur mon lit, je grimace légèrement en posant la compresse d'eau oxygénée sur l'une de mes nombreuses blessures. J'avais fais une mauvaise rencontre, du coup, j'avais réussis à m'échapper de justesse après avoir gentiment envoyer l'un de mes couteaux dans l'oeil du stryge en question. Enfin, je n'en étais pas sortie toute neuve, loin de la et la blessure la plus moche se trouvait dans mon dos. Je pouvais la sentir brûler ma peau, devant être assez profonde vu que je pouvais également sentir le sang couler de ma plaie. J'allais devoir trouver un moyen d'arranger ça, de nettoyer la blessure avant qu'elle ne s'infecte. Hors, je n'étais pas extensible. Finissant de nettoyer la plaie de mon bras, j'entendis mon portable vibrer à nouveau. Levant les yeux au ciel, sachant déjà que Maxence devait me lancer une pique amère suite à mon ancien message, je déverrouille le gsm laissant tomber la compresse sur le sol et prend la peine de lui donner de quoi s'énerver. Ce mec méritait des claques, d'ailleurs, il avait littéralement la tête conçue pour. Dommage, les beaux gosses ne possédaient que si peux de neurones. Enfin...c'est ce que j'aimais me dire quand il s'agissait de mon semblable. Jetant mon portable sur le lit, je me lève en gémissant légèrement, me dirigeant vers la salle de bain en boitant. Une douche semblait obligatoire, histoire de me débarbouiller. J'allume l'eau de la douche et me déshabille, prenant bien soin de ne pas traîner sous l'eau plus que nécessaire. Je détestais l'eau, d'ailleurs, c'était un trait de caractère que je partageais avec les leprechauns.  Mes blessures se mirent à brûler d'avantage et je serre les dents, respirant un grand coup, pouvant admirer le sang se faire emporter par le liquide transparent.

Une fois terminé, quelques minutes plus tard, je sortis et enfilais une serviette autour de moi. Ayant prit soin de prendre des sous-vêtements propres avec moi, j'enfile ceux-ci et l'attache de mon soutient gorge noir me fit un mal de chien. Heureusement, Maxence ne devrait plus trop tarder, il allait se rendre utile pour une fois. J'allais sortir de la salle de bain quand un bruit sourd résonna dans ma salle de bain et que la voix du leprechaun s'éleva dans ma douche. Ma douche ?  J'ouvre brutalement le rideau et je peux que pousser un petit cri farouche et complètement désemparé.

« Ma douche ! Bordel, ma douche ! T'es en train de foutre tes chaussures puantes dans ma douche ! »

Je n'avais jamais été très pudique comme fille, d'ailleurs, j'avais carrément oublié que je me trouvais en petite tenue. Comment avait-il atterri là lui ! Généralement, il savait se téléporter plus ou moins convenablement. Je réalise enfin dans qu'elle tenue je me trouve et referme brutalement le rideau, geste qui m'arrache par la même occasion une grimace de douleur face à une épaule froissée. Mais attend...Il avait pas une bouteille de vin avec lui ? J'ouvre de nouveau le rideau de douche et avec rapidité j'attrape la bouteille en question, la lui arrachant des mains. Pointant mon doigt vers lui je lui fait les gros yeux.

« Sors de ma douche, de ma salle de bain et accessoirement de ma vie ! Une lasagne ? Sérieux ! Et merde, tu sers à rien Maxence. »

Sur ses belles paroles je referme le rideau de douche et sors de la salle de bain, me dirigeant de nouveau dans la chambre à couché ou plusieurs compresses ensanglantées gisaient sur le sol. Ce mec était...j'avais envie de le...rha, je n'arrivais même pas à trouver les mots. Et pourtant, malheureusement pour moi, j'avais beau le nier, me foutre des baffes quand j'y songeais et me traiter de tout les noms, Max avait prit une place assez importante dans ma vie. En tout cas assez pour pas que je lui pète son nez à tout bout de champ. Je dépose la bouteille sur mon lit et m’assois péniblement, essayant d'enfiler un pantalon...Peine perdue, j'avais bien trop mal pour lever mes petites jambes. Je gémis de plus belle, gueulant comme une enragée.

« Et quoi t'attend la chute des feuilles pour m'aider ! »

Moi et ma gentillesse même. Au fond, j'avais adopté ce comportement pour cacher énormément de choses. J’attrape mon peignoir en satin noir et l'enfile difficilement sur moi avant qu'il ne rapplique. Merde, c'est pas un de mes strings qui gît sur mon lit là ? Je choppe celui-ci et le fourre dans ma poche. Bon, le mec venait de me voir en petite tenue, mais quand même...

   
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J'ai : 36 ans Age d'apparence : 26 ans, petit jeunot. Je travaille comme : Agent de sécurité et d'accueil à l'Opéra Lyra Actuellement, je suis : Adinophile qui ne s'assume pas du tout ! Par contre tu l'approche je te pète les rotules. Espèce : Leprechaun Niveau social : Aisé Un homme sans une femme c'est comme si un chauve trouvait un peigne dans la rue. - Ft Athenaïs LoK47AW

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Un homme sans une femme c'est comme si un chauve trouvait un peigne dans la rue. - Ft Athenaïs EmptyMer 16 Mar - 22:07
Max ▲ AthénaïsJe t'éclate ta tête parce que je tiens à toi.
Maxence n'était pas un leprechaun de folie hein, il maîtrise mal l'art de l'illusion, sait à peine prendre la forme véritable de son espèce mais normalement la téléportation il maîtrise à la perfection sauf que avec cette chieuse qui occupe ses pensées, les parasite il a du mal à se concentrer. Du coup voilà qu'il se retrouve comme un blaireau, les pieds dans l'eau à patauger dans cet infâme liquide, dans la douche de cette foutue emmerdeuse ! Non mais vraiment comment il va se sortir de cette situation sans passer pour un con ? Parce que c'est sur qu'elle l'a entendu il est rare qu'une téléportation soit discrète surtout dans un endroit aussi étroit. Il ouvre la bouche pour la devancer quand le rideau s'ouvre sauf qu'elle pousse un cri et que lui il reste figé.

« Oh bordel à queue ! »

D'accord, respire Max, respiiiiiiire. Non pas d'hyperventilation non plus couillon. Mais bordel pourquoi elle est aussi peu habillée hein ? Et pourquoi elle est aussi bien foutue ? Et pourquoi ses yeux ne veulent pas s'arrêter de regarder chaque centimètres carrés de peau offert à sa vision ? Non mais ça va pas ! Elle lui gueule dessus ce qui permet à Maxence de se réveiller mais elle referme le rideau dans la foulée. Il reçoit soudain une goutte dans la nuque ce qui le fait directement criser.

« Pourquoi tu prends une douche le seul jour où ma téléportation merde ?! »

Elle rouvre le rideau et merde il bug encore sur son corps, mais elle peux pas se couvrir ?! Aux dernières nouvelles il ne s'est pas fait moine et avoir un minimum de pudeur ce serait quand même pas trop mal sérieux ! Et en plus cette pouilleuse à le culot de lui piquer sa bouteille et de lui faire la morale. Non mais c'est la meilleure ! Elle referme encore le rideau sur lui, putain le sketch quoi. Déjà il se bouge pour elle alors qu'elle vienne pas lui casser les couilles sinon elle va encore chouiner parce qu'il est insupportable. Il se tourne et cogne son arc contre les parois de la douche.

« Mais bordel déjà couvre toi j'ai pas envie de cauchemarder toute la nuit au secours ! »

Mensonge ! Ta gueule cerveau met la en veille et va faire du tricot. Il serait peut être temps qu'il sorte de la douche quand même. Priant pour qu'elle se soit enfin vêtue il l'entends beugler depuis sa chambre. Non mais elle va en prendre plein sa tronche y'a pas moyen, qu'elle aille se pendre. Tout pris à son énervement il oublie de lever le pied pour passer par dessus le petit rebord de la douche. Putain Maxence et sa maladresse, il trébuche et s'accroche à la seule chose qui passe : le rideau de douche. Il l'arrache, évidemment, et se rattrape de justesse sur le lavabo. Heureusement Athenaïs est tout à son enfilage de pantalon. Il balance le rideau de douche, tant pis elle aura qu'a se démerder avec, elle avait qu'a pas lui prendre la tête.

Maxence se secoue et rejoins sa semblable dans sa chambre, elle est allongée sur son lit le pantalon à moitié enfiler et la bouteille abandonnée à côté.

« On dirait une vieille pochtronne en perdition. Il remarque les compresses tachées de sang et fronce les sourcils. Montre moi ta blessure. »

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Un homme sans une femme c'est comme si un chauve trouvait un peigne dans la rue. - Ft Athenaïs EmptyJeu 17 Mar - 16:03

   

   
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Nous voilà en bien vilaine situation. Au moins, Maxence pourrait se vanter d’avoir maté une belle fille, ça ne devait pas lui arriver tous les jours. Enfin, en-même temps, ce mec était tellement con que les filles monstrueusement stupides devaient se jeter à ses pieds. Mouai…Je n’avais jamais vu le Leprechaun avec une fille ou une quelconque autre créature. Je m’imaginais mal le voir accompagner, en tout cas, pas avec une fille. Un mec ? Non, Maxence était fait pour finir seule et mal aimé dans son coin, genre un vieux fripés avec une tonne de chats. Ouai, c’est exactement ça ! La scène était plutôt cocasse, il fallait bien l’avouer. On aurait pu faire une interprétation dans un spectacle plus que comique. Non, comique pour les autres, moi je trouvais ça franchement chiant ! Ce mec venait de me voir en sous-vêtement ! En sous-vêtement ! Non de dieu ! Si jamais sa venait aux oreilles des autres, j’allais me faire un plaisir de lui enfoncer une flèche dans le cul, mais genre bien profondément…En attendant, j’espérais qu’il soit assez malin pour se la fermer, pour une fois ! Non mais sérieusement ? Quoi, je n’avais plus le droit de prendre une douche maintenant ! Merde, c’est chez moi quand même, il a cas penser à autre chose que ma douche. Parce que ouai, pour atterrir ici c’est qu’il y a forcément pensé. Rha, le petit cochon, j’allais le faire chier avec ça, mais pas de suite, j’allais attendre qu’il me soigne avant de m’attirer ses foudres. Enfin, si je résiste ce qui est franchement mal barré avec mon tempérament. J’attrape donc la bouteille de vin avant de filer, histoire qu’il ne puisse pas me la reprendre. A présent, c’est ma propriété, lui il a cas crever de soif ou encore mieux, boire de l’eau…

« Mais ferme-là Maxence, tu fais chier à jouer ton puceau…d’ailleurs, non, t’es toujours puceau enfaîte. Puis, merde, si t’es pas content va jouer avec tes crottes de nez et fiche moi la paix ! Crevard ! »

J’entends un bruit de chute et je peux aisément deviner qu’il vient d’arracher mon rideau. Je fais de gros yeux en serrant les dents. Non mais sérieusement, ce mec est une foutue calamité, j’ai envie de lui en coller une, de l’étriper…même si mon petit sourire laisse deviner autre chose. Parce que ouai, j’aurais bien aimé le voir se planter et se débattre avec mon rideau de douche. Qui a gagné ? Sûrement lui, en-même temps devant un adversaire tel qu’un objet sans vie ce n’était absolument pas difficile. Imbécile heureux.

« Putain, casse pas ma baraque, j’te promet que tu vas repayer les dégâts sinon je demande la facture à ta mère ! »

Ben quoi, j’aimais bien sa mère, elle était sympas et m’invitait souvent à manger chez eux. D’ailleurs, quand elle nous voyait nous lancer des piques ainsi, elle disait rapidement qu’un jour ou l’autre nous finirions ensemble. La bonne blague ! Moi avec lui ? Que neni ! Jamais de la vie, je ne pourrais pas le supporter au quotidien, voir sa gueule dès le matin me foutrais de mauvaise humeur ! J’étais de retour dans ma chambre. Les jambes en l’air, le pantalon à moitié enfilé, le peignoir sur le dos pour éviter qu’il ne puisse me mater de plus belle. Très sexy, franchement ! J’entends des bruits de pas venir vers ma pièce de prédilection, j’adore dormir, puis sa voix s’élever de nouveau dans les airs. Bon, il me demande de m’habiller et maintenant de lui monter ma blessure. Il sait ce qu’il veut celui-là ! Je tourne un visage grognon vers lui et enlève mon pantalon avec fureur, enfin, pas vraiment mais surtout avec de l’agacement.

« Tu m’dis de me rhabiller puis de me déshabiller pour voir la blessure. Putain, tu ne sais pas ce que tu veux toi, t’es pas un mec pour rien ! »

Sur ses belles paroles j’envoie valser mon pantalon dans sa tronche. Bordel, j’suis trop forte et je vise tellement bien. Je me lève le visage renfermé et je lui tourne le dos, faisant glisser mon peignoir jusqu’au-dessus de mes fesses dévoilant ainsi cette vilaine blessure qui parcourrait mon dos. Je tourne le visage sur le côté, essayant de voir le début de la griffure sans pour autant la voir.

« C’est laid ? Va falloir recoudre ? Gendre, t’arrête de mater et tu te mets au boulot Deschênes ! Tu veux peut-être un appareil photo pour avoir un souvenir ? Mon dieu les mecs, dès que vous voyez une fille en petite tenue, c’est fini, vos hormones sont en ébullitions ! »

Oui, je n’arrêtais pas de parler surtout pour dire des conneries, mais j’adorais ça, surtout quand il s’agissait de Maxence. Au fond, je l’adorais ce mec et ne pas le voir durant deux-trois jours et bien ça ne m’était pas agréable.

   
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Un homme sans une femme c'est comme si un chauve trouvait un peigne dans la rue. - Ft Athenaïs EmptyJeu 17 Mar - 20:59
Max ▲ AthénaïsJe t'éclate ta tête parce que je tiens à toi.
Non mais comment est ce qu'il allait trouver une solution, comment est ce qu'il allait bien pouvoir se dépatouiller de cette situation ? Putain si elle n'avait pas été leprechaun ça aurait été tellement simple, il aurait fait croire que les téléportations étaient capricieuses par moment et qu'elles dépendaient genre du temps qu'il faisait à l'extérieur, il aurait trouver une connerie à dire pour expliquer son arrivée dans la douche. Mais là Athenaïs savait parfaitement comment ça fonctionnait il ne pouvait donc pas l'embobiner et ça c'était foutrement chiant. Puceau ? Oh mais c'est qu'elle le cherche clairement. Il n'est peut être pas le mec le plus dragueur du monde mais il n'est pas question qu'il se laisse traiter ainsi, surtout que ce n'est pas vrai ! Eh oui mini Maxence à déjà vu le loup hein qu'on se le dise bon dieu.

« Tu va voir ce que le puceau va te faire faudra pas venir te plaindre si je te fais crier après ! »

Maxence ferme ta gueule putain, c'est tellement tendancieux ce que tu viens de dire ! Mais est ce qu'il pouvait pas tourner sept fois sa langue dans sa bouche ou faire fonctionner ce foutu filtre cerveau – bouche ? Apparemment en présence d'Athenaïs il avait du mal. Encore une preuve qu'il fallait qu'ils arrêtent de se voir elle le foutait toujours dans un état de rogne pas croyable, comme si elle avait été faite pour le faire chier jusqu'à ce que mort s'en suive. Celle de cette pouilleuse hein pas la sienne. Et puis ce foutu rideau de douche ! En plus il est moche, elle à vraiment des goûts de chiottes. Il tire la langue de dégoût et dégage cette saloperie de sa vue.

« Mêle pas ma mère à ça grognasse, en plus il est moche, t'as vraiment autant de goûts qu'une pelle a tarte ! »

Non mais de quoi elle s'occupe de sa mère hein. Oh puis il entends déjà sa chère génitrice lui dire d'être plus aimable, que c'est une jolie fille, une leprechaun qui plus est, qu'il feront de superbes bébés faës ensemble. Non mais au secours, qu'on lui donne une corde et un tabouret et qu'on arrête de lui dire ça. Il la suit dans sa chambre, là où elle passe les trois quart de son temps cette feignasse. Il attrape son pantalon au vol quand elle lui lance mais n'empêche qu'une jambe du pantalon tape dans son visage. Maxence voit rouge le jette dans la douche, visant à merveille puisqu'il va s'écraser dans la flaque au fond.

« Et t'avise pas de gueuler pour ton foutu futal sinon c'est toi que je fou sous cette putain de douche!Plus jamais tu refais ça ! »

Elle laisse glisser son peignoir jusqu'à la limite de son fessier, bordel mais il est con ou quoi ? Puis pourquoi sa blessure se situe justement là hein ? La blessure n'est pas belle mais superficielle, elle n'aura pas besoin de point. Il balance entre la colère qu'un stryge ait osé lui faire du mal, le fait qu'elle est encore à demie nue devant lui et le fait qu'elle est vraiment trop conne pour s'être opposée à un stryge. Il penche finalement pour la dernière solution quand elle le pique sur ses hormones.

« T'inquiète avec toi mes hormones sont aussi glaciales que la banquise. Et si tu veux pas que je regarde comment tu veux que je te soigne abrutie va ? Y'as pas besoin de recoudre faut juste désinfecter et mettre un pansement. »

Bon maintenant l'opération la plus délicate ça va être de la soigner sans qu'elle bouge, qu'elle se plaigne ou qu'elle l'emmerde et ça c'était quand même pas gagné.

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Un homme sans une femme c'est comme si un chauve trouvait un peigne dans la rue. - Ft Athenaïs EmptyJeu 17 Mar - 21:33

   

   
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Pardon ? J'avais bien tendu ou ? Je me fout un doigt dans l'oreille droite et secoue celui-ci, histoire de voir si je n'avais pas un problème d’audition. Il venait bien de dire ce qu'il venait de dire ? Oh mais le cochon, le pervers, le cinglé ! Déjà, pour me faire crier il faut y aller, puis, franchement, comme si un mec comme lui pouvait me faire prendre mon pied. Mes fesses. Il serait même pas capable de me procurer assez de sensation avec son pti lutin pour m'arracher un gémissement. Puis, savait-il seulement s'y prendre avec une fille ? J'suis sur qu'il faisait genre alors qu'il avait jamais trempé popole dans le biscuit. C'est vraiment typiquement masculin ça. Nous les femmes on a pas ce soucis là, quand on est passé à la casserole on le dit, sinon, ben on dit qu'on est vierge. Voilà, point ! Moi, je ne l'étais plus depuis deux ans, depuis ma rencontre avec Cyril, le seul mec qui m'avait touché. Quel honneur, puis faut dire ce qu'il en est, il était plus âgé que moi et faisait royalement bien l'amour. Hors, sûr et certaine que ce minus lui arrivait pas à la cheville, atteignant à peine les 10 cm. Ouai ouai, sa mauvaise humeur venait sûrement de là, il compensait le manque de longueur par un caractère exécrable. Du chmoule va (typiquement belge comme expression).

« Ben ouai, t'y crois toi. Avec ton pti bazart tu crois pouvoir me faire grand chose ! J'aimerais bien voir tient ! Sérieux, si t'arrive à m'faire crier j'toffre six milles euros et j'serais à ton service durant deux ans. »

Comme quoi, j'étais vraiment sur de moi pour faire une offre pareil. Pardon ? J'avais vraiment dit un truc comme sa ? Je me tape le front avec la paume de ma main. Non mais je devais cinglé, je tentais le diable là. En même temps, je n'étais pas du genre très prudente, du coup, ça ne m'étonnais cas moitié, faut bien l'avouer. Puis, je voyais mal Maxence me sauter dessus, m'arracher le peux de vêtements que j'avais sur le dos et coucher avec moi. Quoi que, généralement quand je lui lançais un défis il était le premier à se lancer dans l'aventure. Mais là, c'était quand même gros ! Encore une fois, il allait peut-être compenser...Ok, je devais arrêter de penser à son engin là, ça devenait franchement trodu. Je fais un doigt d'honneur dans le vide via ses paroles sur mes goûts. Si il était pas content il avait cas rentrer chez lui, avec son appartement super moche qui pue le mec à plein nez ! Je lui lance donc mon froc à la tronche mais il l'attrape. Et merde, j'aurais bien voulu qu'il le bouffe tient ! Mais bon, petite récompense, l'une des jambes vient lui frapper le visage de plein fouet. ET BAM DANS TA FACE. Mon...mon patalon ! Il avait osé !

« NON DE DIEU ! C'est un nouveau pantalon espèce de crotte de Pixie ! Genre, celui qui coute la peau du cul. »

Note à moi-même, lui bousiller un de ses vêtements le plus rapidement possible, dès que l'occasion se présentera et ça avec un couteau bien sur ou un ciseau...ou de la bouffe, genre mayonnaise, œuf, vin, ketchup. Un truc qui tache bien. Ouai, ouai, comme si j'allais croire que je le laissais glaciale, je sais ce que je vaux. Bon, là je me la pète un peux voir beaucoup, mais désolé si mes chevilles gonflent comme des ballons. Je pousse un soupire et posant mon regard sur lui, une fois de plus je lui lance un regard meurtrier.

« La ferme et viens nettoyer ça avant que ça ne s'infecte. A moi que tu souhaite tenter de me faire crier avant pour compenser ton manque de virilité. »

ET RE BAM. Un petit sourire moqueur s'affiche sur mon visage et je finis par m'asseoir sur le bord de mon lit, ayant sacrément mal aux jambes. Je tape du pied sur le tapis, jetant des compresses propres sur la couverture ainsi que la bouteille d'eau oxygénée bien entamée. J'attrape également la bouteille de vin et...ouf, heureusement c'est pas un bouchon super dur à enlever, ils ont eu la bonne idée de faire un en plastique. Comme quoi, la qualité il connaît pas ce puant.

« J'avais dis du rouge...DU ROUGE. Tu vois comme la couleur du liquide qui va couler de ton pif si t'accélère pas le mouvement. Oh, navré, ça par contre tu dois connaître la rapidité...c'est pour ça que t'as pas de copine, tu vas trop vite pour elles et t'arrive pas à les combler ? Pauvre petit. »

Non mais j'allais arrêter avec ça ! Je regarde devant moi, lui tournant le dos, toujours assise sur mon lit. Je me pince les lèvres, me maudissant intérieurement alors que j'imaginais facilement Maxence à poile. Ben voyons! J'ai jamais dis que j'étais une none non plus...Puis, il a beau être un crétin fini au pipi de chat c'est pas pour autant qu'il est laid. Comme quoi, j'en reviens à mes pensées de tout à l'heure, les beaux mecs ont souvent un manque de neurones évidents.

   
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Maxence DesChênes
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Maxence DesChênes
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Messages : 149 Je suis arrivé(e) le : 12/03/2016 Sous les traits de : Matthew Daddario Je me dédouble : Avalon la psychopathe enceinte & Saf la dépressive - agressive Pseudo : Pims Crédits : Tumblr - Xelette - Angel Dust Points : 3900 Un homme sans une femme c'est comme si un chauve trouvait un peigne dans la rue. - Ft Athenaïs HGDtP9W

J'ai : 36 ans Age d'apparence : 26 ans, petit jeunot. Je travaille comme : Agent de sécurité et d'accueil à l'Opéra Lyra Actuellement, je suis : Adinophile qui ne s'assume pas du tout ! Par contre tu l'approche je te pète les rotules. Espèce : Leprechaun Niveau social : Aisé Un homme sans une femme c'est comme si un chauve trouvait un peigne dans la rue. - Ft Athenaïs LoK47AW

- Si vous aimez, ce n’est pas cet amour qui fait partie de votre destinée ; c’est la conscience de vous-même que vous aurez trouvée au fond de cet amour qui modifiera votre vie. -

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- Le Roi galope
Repoussant les Ombres
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Grinçant des Dents
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Un homme sans une femme c'est comme si un chauve trouvait un peigne dans la rue. - Ft Athenaïs EmptyVen 18 Mar - 17:20
Max ▲ AthénaïsJe t'éclate ta tête parce que je tiens à toi.
Non mais elle se fou de sa gueule ou quoi ? Ils sont vraiment entrain de disserter sur la taille de son engin à travers un mur ? Non parce que là c'est de l'inédit quand même. Et c'est sacrément gonflant et il a bien envie de lui foutre sous le nez pour lui prouver qu'elle se met le doigt dans l’œil jusqu’au coude. C'est quand même pas une très bonne idée de le provoquer et même de le défier. Parce que s'il y a bien une chose qu'il faut savoir sur Maxence c'est qu'il ne laisse jamais passer un défi et qu'il ne les perds jamais. Puis franchement avoir cette chieuse à son service pendant deux années entières ce serait quand même le méga pied, il pourrait lui faire payer toutes les horreurs qu'elle lui dit. Avoir une esclave personnelle c'est quand même le grand luxe.

Bon il sort de la salle d'eau, son cerveau tournant à plein régime parce que c'était quand même un sacré dilemme qu'elle lui imposait avec ce défi. Parce que quand même il avait du mal à s'imaginer … Non mais berk quoi ! Il frissonne de tout son corps sans vraiment savoir si c'est du dégoût ou autre chose de bien plus .. Chaud. Heureusement dans toute sa grande gentillesse Athenaïs le fait revenir sur terre en lui balançant son pantalon à la figure, il s'empresse donc de le jeter dans l'eau avec un sourire ironique.

« ça t'apprendra à me lancer des trucs tu peux t'en prendre qu'a toi même vérole ! »

Bon note à lui même : la prochaine fois qu'elle débarque chez lui il à intérêt à verrouiller ses placards à double tour sinon il risque de se retrouver avec une de ses fringues en vrac. Non parce qu'il la connais cette pouilleuse aime se venger, œil pour œil dent pour dent et vu comme elle mate son tee shirt il sait tout de suite ce qu'elle à en tête. Il commence à la connaître un peu trop bien. Et putain Athenaïs fermes là si tu ne veux pas le regretter ! Voilà qu'elle le provoquai de nouveau. Non mais là elle cherche clairement à le repousser dans ses derniers retranchement. Il est très dangereux de mettre en doute la virilité d'un mec. Surtout un mec comme Maxence.

Maxence continue de la fixer sans rien dire alors qu'elle gueule parce qu'elle n'a pas de vin rouge. Non mais elle veux pas non plus des coupes de champagnes, le violon et les serveurs en tenues de pingouins ? Elle s'est prise pour la reine des Faës elle ou quoi ? Alors là c'est clairement décider elle va en prendre pour sa pomme, sa petite cervelle qui tourne à plein régime viens de lui trouver une idée diabolique. Elle lui jette encore une pique et là il doit vraiment se contenir pour ne pas répliquer. Il veux qu'elle sente qu'il à une idée derrière la tête, qu'elle se pose des questions. Elle se tourne et Maxence sait que c'est sa chance.

Il saute sur le lit et ne laisse pas le temps à la leprechaun de comprendre il la pousse en avant, la plaque sur le matelas et lui tire les jambes pour qu'elle soit complètement allongée sur le ventre. Il s’assoit sur ses fesses. Oh bien agréable son fessier dit donc ! Stooooop Maxence ne t'arrête pas sur ce détail sinon tu va tout faire foirer avec tes hormones ! D'une main il lui maintient la nuque contre le matelas. Il souffle par le nez et se penche près de l'oreille d'Athenaïs et il ricane.

« Tu sais très bien qu'il ne faut pas me provoquer, t'es vraiment nouille quand tu veux. Maintenant faut pas te plaindre si après ça t'as plus de voix. »

De sa main libre il bidouille il sait qu'elle ne peux pas voir et il s'amuse même à faire tinter un de ses ongles sur la ceinture qui tiens son jean. Et puis au moment où elle s'y attends le moins il pose une compresses imbibée d'une grande dose d'eau oxygénée sur la blessure d'Athenaïs.

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Un homme sans une femme c'est comme si un chauve trouvait un peigne dans la rue. - Ft Athenaïs EmptyVen 18 Mar - 18:34

   

   
❝Sous le ciel
   la grandeur de tes yeux❞
   Toi & Moi
Franchement, deux gamins tirés d'une série pourrie qui vient à peine de sortir et que personne ne regarde parce que les acteurs principaux sont trop nuls. Voilà ce que nous étions. Un peux à la place des jeunes qui se tournent autour tout en s'en balançant plein la tronche, à qui tirera le plus dans les pattes de l'autre ! Bien sûr, c'était moi qui allait gagner, après tout, j'étais née pour faire chier mon monde. Il n'était pas mal dans son genre non plus, c'était une évidence. En-même temps, nous n'étions pas des Leprechauns pour rien. Généralement, notre espèce est assez douée, surtout au niveau familiale. Nous deux, et bien, c'était carrément la guerre constante. Parfois, on arrivais à ne pas se prendre la tête, mais effectivement, c'était vraiment rarissime. Puis, vous direz ce que vous voudrez mais il a une tête de con. Toujours coiffé à la mort moi le cul, son attirail de torture à porté de dos, à croire qu'il prenait son pied avec son arc. Voilà une bien drôle d'idée... Peut-être que c'est pour ça qu'il adore garder son truc avec lui. Dès qu'il était en manque. Hop, il avait ce qu'il voulait. Ok, là, mes idées deviennent glauque. Mais bon, faut pas m'en vouloir, Maxence posait rarement ses yeux sur une fille ou alors seulement pour la critiquer, lui trouvant tous les défauts du monde. Jamais une fille n'était assez bien pour lui. Un vrai...moi.

« La vérole elle t'emmerde Ducon. »

Des insultes, toujours des insultes, à croire que notre petit monde tournait autour de sa. Franchement, je plaignais sa mère d'avoir du éduquer un abruti pareil ! Elle n'est pas en cause, malheureusement il est génétiquement imparfait, inachevé. Je m'en-tête donc à le provoquer, les mots sortent de ma bouche sans que je ne puisse les retenir. Apparemment, mon cerveau avait décidé de faire des siennes, de m'envoyer royalement chier et de pousser Maxence dans ses retranchements. Le ferait-il ? Pas sûr, il est trop con et trop coincé du cul pour oser me toucher autrement que pour m'emmerder ou m'arracher une grimace. Je n'entends pas le leprechaun foncer sur moi et je me retrouve rapidement plaqué sur mon matelas. Oh le con. MAIS LE CON ! Je grimace de douleur, parce que ouai, si lui avait oublié que je sortais d'une bataille, moi pas.

« Oh mon cul c'est pas une chaise ! »

Sa main dans ma nuque me procura une drôle de sensation, laissant quelques frissons s'emparer de moi de part et d'autre. Priant pour qu'il ne le remarque pas, je le sens se pencher en avant, venant ricaner à mon oreille. Je serre les dents et essaye de relever ma nuque. Il était plus fort que moi, je l'avais toujours su, sauf que contrairement à lui j'étais plus rapide, plus malléable dirons-nous.

« Va-y j'attends de voir ça, t'auras pas les couilles. »

Dis-je un ton mauvais dans la voix. Même en mauvaise posture j'arrivais à me foutre de sa gueule. Un jour, ce comportement allait me péter au visage. Je l'entends chipoter à sa ceinture et jouer avec je ne sais quoi sur le côté. Pas de chance pour lui, les compresses sont emballées, du coup, je devine rapidement qu'il en déballe une. Je me décrispe, de toute façon, je n'avais pas vraiment d'autres choix. Je sens alors la compresse se poser sur ma blessure et je sers les dents. Non, ne pas crier, ne surtout pas crier ! Je respire rapidement et de ma main gauche j'agrippe la cuisse de Maxence et y enfonce aisément mes ongles. Ben quoi, il avait cas souffrir avec moi cet sadique. Je ne crie pas, pas de chance pour lui ! Une fois la douleur tolérable, je ricane méchamment.

« C'est tout ce que tu as dans le ventre ? »

Un regard malicieux qu'il ne pouvait pas voir se dessina sur mon visage. D'un coup je donne un coup de rein et le balance sur le côté, rapidement, je me retrouve cette fois-ci sur lui. Attrapant ses deux bras, je plaque ceux-ci au dessus de sa tête, ce qui eu pour effet que je sois pratiquement couché sur lui. Qu'importe, ne pas penser à cette extrémité. Je plonge mon regard dans le sien. Au passage j'avais perdu mon peignoir, mais bon, au point ou nous en étions.

« Sérieux ? C'est comme ça que tu fais crier les filles Maxence ? Je suis tellement déçue et...peux surprise également. »

Je fonctionnais dans la provocation, puis, ça avait l'air de fonctionner vu comment il avait réagit et plus il réagissait, plus je provoquais, jusqu'à ce que les choses tournent définitivement mal.

   
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