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(Magyar) ➳ C'est quand le moustique se pose sur tes testicules que tu comprends que la violence ne résout rien dans la vie.

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Faës



Magyar de Brún

« Dans mon monde à moi, il n’y a que des poneys, ils mangent des arcs-en-ciel, et ils font des cacas papillons ! »



Nom : De Brún.
Prénom(s) : Magyar.
Âge : 47 ans, bébé Pixie !
Âge d'apparence : Peut être une petite 30ène, pas beaucoup plus.
Sous-espèce : Pixie, les butineurs de fleurs.
Date de naissance : 26 avril 1969 (lol).
Nationalité : Américaine (Texas) -Any wrong you do he's gonna see, when you're in Texas look behind you...- et Canadienne depuis quelques années.
Origine(s) : Écossaise, il porte excessivement bien le kilt et ne se prive pas de le faire (avec ou sans slip de guerre, on n'ira pas vérifier...)

Métier (études) : Gynécologue obstétricien (non non pas sage-femme ><) en cabinet privé.
Niveau social : Confortable (comme lui) grâce à son ancienne activité d’écrivain (livres pour adulte) sous le nom de Simon Pokorny (a)
Statut marital : Célibataire très endurcit (et non pas très dur bande de petits pervers !)
Orientation sexuelle : Hétérosexuel

Avatar: Jared (con **) Leto
Crédits: écrire ici
Personnage: Inventé - oui pour faire un machin pareil...

Petites curiosités

Famille et proches - La famille est pour Magyar, l’une des choses les plus précieuses au monde. Quelque chose qu’il faut chérir, un amour à faire prospérer et croître mais, pas nécessairement réservé aux liens du sang. Sa famille est maintenant réduite à deux individus : son frère Lorcàn, et Selen. Autrefois, il était très attaché à ses parents. Ils étaient proches, Magyar ayant été durant son enfance, aimé à l’excès et toujours mis en valeur par ces derniers. Avec le temps pourtant, et surtout après son installation à Ottawa, il s’éloigna d’eux, en raison de leur mépris pour Lorcàn…

Ce pourquoi désormais, il préfère les cercles très réduits et se concentre sur ceux qui pour lui ont une valeur inestimable. Son frère reste l’être qu’il chéri le plus au monde, malgré une absence des plus douloureuses. Fort heureusement, un certain Qilin semble toujours présent pour lui, et comble un peu le manque d’affection qui tourmente sans cesse le Pixie. Et après tout, Magyar a butiné sa fleur… littéralement !

Position sur le conflit - Le conflit ? Mais quel conflit… ? En réalité, Magyar s’exprimera sur le sujet en avouant que oui, il s’est tramé quelques broutilles (juste une guerre mais c’est pas grave …) entre les Stryges et les Faës. Mais que pour lui, c’est de l’histoire ancienne. Il n’accorde que très peu d’importance aux commérages, ou aux tensions pourtant grandissantes, puisqu’il semble perché sur une autre planète. Mais il n'en est pas moins une personne loin d’être idiote, conscient du passé tourmenté des deux espèces et qui craint cette rivalité… Surtout que le Pixie à tendance à avoir une trouille bleue de la guerre, des Stryges et de l’aspect carnassier de ces créatures. C’est pourquoi il se cache derrière un déni certain, et estime simplement qu’un tel conflit n’existe pas.

Attitude face aux humains - Sachant que Magyar s’investie pleinement dans son activité professionnelle, on ne peut pas dire qu’il soit exclus de cette société Humaine. Au contraire, il en fait partie, et évolue en parallèle. Très humblement, même s’il est beaucoup plus attaché à la communauté surnaturelle, essentiellement Faës. Mais les Humains sont majoritaires, ils dirigent à présent le monde et il ne peut que respecter ce fait. Mais puisque le Pixie a tendance à rester dans son petit univers, et affectionne particulièrement vivre sous sa forme de Faës, il n’est pas rare qu’il ignore un peu le monde des Humains ainsi que son évolution… Mais c’est aussi valable parfois, pour la Cour des Faës, puisqu’il se soucie peu en réalité, des problématiques raciales et des intrigues politiques ou sociales.

Points faibles - S’il a énormément de forces, Magyar a comme tout le monde, autant (voir beaucoup plus) de faiblesses. Sa plus grande, c’est sans aucun doute sa famille. Autrement dit, son Lolo, et son pétale joli. Il s’agit là de son cercle, sa source. De ceux qui lui permettent de se lever le matin, malgré les épreuves de la vie. S'il est très protecteur d'ordinaire, il l'est d'avantage avec sa famille et peu devenir très con et encore plus lourd quand il s'agit de veiller sur eux. - Sa sensibilité est également une de ses grandes faiblesses. Car s’il est très loin d’être influençable à l’excès (quoi que... il reste facile de pigeonner le Pixie), Magyar a bon cœur et se laisse très facilement attendrir, quitte à se retrouver dans des situations parfois très embarrassante. - Sa fragilité maintenant... est une terrible impotence. Depuis la mort de sa douce Baïa, il reste figé dans une existence très routinière, loin de vouloir se remettre en selle et incapable d’avancer en même temps que le monde. Malgré les 11 ans qui le séparent de cette tragédie, Magyar reste celui qui, incapable de surmonter ce traumatisme, s’enferme dans un imaginaire idyllique pour ne pas affronter son chagrin, la mort d’une personne si chère à son cœur, et l’absence de son frère, toujours aussi pensante. - Et, à moindre conséquence : sa gourmandise. Facile d’acheter Magyar le Pixie avec une bonne vieille pâtisserie !



Caractère





Magyar est pour beaucoup, un garçon simple, tendre et sympathique. Chez lui, le sentiment l'emporte sur tout le reste, et il est tout particulièrement intéressé par les autres. Il sait se montrer agréable, rieur et serviable pour tous et semble toujours prêt à s’investir avec bienveillance. Pourtant c’est une personnalité plus intravertie, il est souvent inquiet et nerveux. Son malaise peut se manifester par une sorte d'instabilité ou de mobilité incessante. Il est impressionnable et rêveur. C’est ainsi qu'en cas de blessure il se replie facilement sur lui-même et se réfugie dans son monde, plutôt que vivre les dures réalités de la vie ou de son passé. Il n’est d’ailleurs pas rare qu’il tente de les fuir en empruntant une attitude détachée, et en s’occupant alors des malheurs des autres, s’effaçant au profit d’eux. Cela en fait parfois un homme déconcertant et on ne sait pas toujours comment se comporter avec lui. Magyar est donc une personne à multiples facettes, tout à la fois extraverti et introverti, au caractère légèrement cyclothymique.

Mais il a besoin de se passionner. Et lorsque qu’il se passionne, le Pixie peut déployer une puissance de travail et une énergie considérable (la pâtisserie, le banjo, la cornemuse et la guimbarde (entre autre), le jardinage, son poulailler, le tricot et le scoutisme fond partis de ses grandes passions… voilà voilà ...). Par ailleurs, Magyar est un homme possessif. Il a tendance à s'approprier les êtres comme les choses, probablement parce qu'il a un fort besoin de se sécuriser. Il soigne ce défaut, il en a conscience –surtout avec son frère- mais souffre en réalité de ne pouvoir être entouré comme il le souhaite. Le Pixie tente d’être raisonnable, mais sans signes d’affection, sans sentiments, sans soutient, il a tendance à se réfugier sous sa carapace, migrant dans son petit monde au moindre choc affectif. Ce qu’il fait en réalité depuis trois ans, Lorcàn étant absent de sa vie depuis lors. Sous ses airs libéraux, il est en fait quelque peu conformiste. C'est un homme dynamique, curieux, pas toujours très discipliné ni facile à diriger (loin d’être indomptable, c’est surtout que son attention part dans tous les sens et qu’il est difficile à canaliser). Il est souvent attiré par beaucoup de choses différentes, ce qui lui donne un côté versatile. Et lorsqu’il est dans une phase extravertie, il devient alors presque insupportable de bonne humeur !

Généralement, il est extrêmement attentif, dévoué, affectif et s'investira beaucoup pour apporter équilibre, paix et harmonie (ce qu’il recherche aussi pour lui-même) à ses proches, au point parfois d'en faire trop. Magyar évitera toujours les conflits ainsi que tout risque de se blesser affectivement, ce qui demeure une excuse supplémentaire pour se réfugier dans son petit monde de rêveries. Car très émotif et sensible, il a souvent tendance à intérioriser ses sentiments et ses émotions les plus néfastes (contrairement aux positifs qui eux… s’expriment à la moindre occasion avec exagération), à les accumuler, et ne fera pas toujours part de ses griefs. Sa sensibilité pourra alors se traduire, une octave en dessous, par de la gentillesse et de la douceur, un esprit romantique et idéaliste, parfois une certaine timidité. Ou bien plus rarement par des crises, après lesquelles il ‘disparaîtra’. Mais il sera toujours à l'écoute des siens, sera l'épaule accueillante sur laquelle il fait si bon s'appuyer et s'épancher. Pourtant son apparence douce, un peu timide et burlesque se cache un tempérament enthousiaste et passionné très équilibré. Il cherche à se sortir de son monde, mais la crainte de la réalité se fait trop forte, surtout en l’absence de son frère… alors il ne fait que vivre, le plus simplement du monde, en attendant que le temps ne passe et lui rende un peu de la joie qu’il a perdu.



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Dernière édition par Magyar de Brún le Mer 9 Mar - 7:44, édité 1 fois
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Histoire

Ouais, alors là où je vois que je suis vraiment à cran, c'est que quand vous avez dit malédiction, j'ai fait une série de tout petits pets comme ça : pft pft pft pft pft pft.


(Magyar) ➳ C'est quand le moustique se pose sur tes testicules que tu comprends que la violence ne résout rien dans la vie. 455580qsdrftgyhj« Il était une fois, au fin fond d’un vieux ranch au Texas, un couple de Pixie qui rêvait d’avoir un second enfant. Ils n’étaient pas si malheureux que cela, puisqu’ils avaient Lorcàn. Cependant l’arrivée de leur second enfant éveilla en eux un enchantement si fort qu’ils en délaissèrent un peu le premier… Ainsi naquit un charmant petit Pixie du nom de Magyar. Il était frais, gentil, et aimé de tous, mais surtout de ses parents qui le choyaient avec tendresse et fierté. Mais il était un peu con, Magyar. Un peu naïf également, mais surtout con. Un Pixie comme on évite d’en faire, toujours à batifoler dans le foin et à s’enrouler dans la crinière des chevaux au point d’empester sans cesse le bestiaux. Il avait beau se montrer brillant dans ses études, il n'en demeurait pas moins stupide. La maladresse et la crétinerie étant ses meilleures amies, elles ne le quittaient jamais, si bien que son grand frère restait la seule créature au monde à l’aimer tel qu’il était. Sans jamais juger des actes ou ses réflexions. Le protéger, il le fit toujours. Jusqu’à ce que Magyar le Pixie s’en aille un jour vers des aventures sombres et tristes dans un lointain pays, laissant Lorcàn à une solitude teintée d’amertume. »

Pour être honnête, l’enfance de Magyar fut… très simple. Un peu comme lui en réalité ! Rien de bien original ou de brillant… sauf si vous vous trouvez être un simple humain, et que le fait d’être un Pixie élevé dans un ranch 100% Texan vous semble déjà être quelque chose de relativement étrange ! C’est le cas de Mag’, et de son frère Lorcàn né trois ans avant lui. La vie d’alors, semblait tellement douce au petit Pixie. Toujours chahuter par son frangin, aimé à la folie par ses deux parents qui passaient leur temps à valoriser le moindre de ses actes. Il était un petit prince, mais un petit prince qui en grandissant demeurait aveugle devant l’attitude de papa et maman. Ses très chers parents, qui négligeaient, humiliaient Lorcàn, tout en le surprotégeant lui… Triste sort que celui de ce grand frère si aimant, si attentif, que de recevoir tant de mépris de la part de ses géniteurs ! Et pourtant, on ne pouvait pas dire que Magyar ignorait son grand frère car au contraire, il n’avait alors d’yeux que pour ce dernier. D’aussi loin que se souvienne le plus jeune des de Brún, son frère eut toujours une importance particulière pour lui. Vitale même ! Lorcàn avait cette présence, ce charisme qu’il enviait. Il était beau, il était fort et intelligent… même si c’était Mag, le p’tit génie de la famille. Apprendre ses leçons, c’était facile. Mais Lorcàn lui avait cette maturité que le petit frère admirait toujours d’un regard crépitant (oui comme le feu en fait… je sais c’est étrange mais c’était bien son regard d’admiration quoi !) C’était son grand frère, son héros. Celui qui soignait ses bobo et laissait ses bras se refermer sur lui pour le protéger d’une chute, au dépens de sa propre sécurité. Il était toujours là… toujours.

Et rien ne changea malgré les années. Magyar restait toujours la prunelle des yeux de ses parents. Situation dont il était fier, mais sans voir qu’à côté, Lorcàn s’effaçait sous les reproches. Qu’il était naïf, le petit Pixie ! Naïf, et trop gentil… trop con, comme nous l’avons déjà souligné. Car il n’y avait en effet pas plus flagrant que le dédain de ses parents pour son grand frère. Mais c’est sans doute aussi grâce à cet aveuglement que Magyar se permit une enfance et une adolescence faite de douceur et d’éclats de rire, de conneries souvent aussi en suivant Lorcàn. Comme la fois où il s’incrusta dans la bande de Lorcàn, pour brûler du PQ et le lancer sur une mare aux canards… Se cramant la main par la même occasion. On peut encore citer la fois où, pour impressionner Lorcàn le couillon tenta un rodéo musclé et ressembla d’avantage à une poupée de chiffon hurlant comme une gamine de 6 ans qu’au cowboy viril qu’il souhaitait être… Où la très fameuse virée dans un parc d’attraction qui fit tant envie à Magyar (alors que le frangin était bien sur contre…) qu’il se jeta dans la soute à bagage du bus pour ne pas laisser la bande s’en aller sans lui… Il fut si malade (Sur Lolo bien sûr !) à l’arrivée qu’il ne vit pas l’ombre d’un manège ! Une période finalement bénite, où il n’eut aucun mal à s’épanouir et à prouver ses capacités aussi bien altruiste qu’en études, qu’il menait d’ailleurs brillamment. Il semblait alors comblé, plein de bonne volonté, n’hésitant pas à aider ses parents avec le ranch, évoluant aussi en parallèle dans un groupe soudé de Scouts, et choisissant la filière de la médecine pour y faire son trou.

Une vie bien remplie, qui le rendait heureux. Mais les années passaient, et même si l’âge adulte ne semblait pas encore lui apporter une véritable maturité, Magyar se rendait de plus en plus compte de l’agressivité insupportable des parents envers son grand frère. Si au départ, il refusa de le voir et se resta accroché à un déni très lâche, il lui fut impossible d’ignorer longtemps la situation de Lorcàn. Alors, avec la discrétion qui lui collait à la peau, il se mit à les haïr, eux qui depuis si longtemps le considéraient comme un être précieux… Digne d’amour et le noyant dans les compliments et l’attention, alors que celui qui le méritait plus encore, c’était son grand frère. C’était lui, le héros. Le géant qui avait toujours terrassé les craintes du petit Pixie… Qui avait toujours fait preuve d’une intégrité et d’une noblesse de cœur sans faille. Et Magyar avait alors conscience, que sa propre noblesse, il la puissant dans la force de son frère depuis toujours. Le voir amoindrit par les options infondées de leurs parents fut intolérable. Alors il décida de partir… avec lui, puisque Magyar savait que Lolo s’accrocherait au wagon sans difficulté ! Libéré de cette influence malsaine, Lorcàn n’avait plus qu’à s’épanouir… Tant qu’ils restaient ensemble, c’était l’essentiel.


(Magyar) ➳ C'est quand le moustique se pose sur tes testicules que tu comprends que la violence ne résout rien dans la vie. 96135229nc« Mais le malheur frappa un jour le petit Pixie, qui pourtant ne le méritait pas ! Non au contraire. Lui qui de manière si altruiste, avait destiné sa vie à l’humanitaire et une existence tournée vers les autres, égara son cœur dans les ruines d’un village décimé par la violence d’un assaut de guerre civile en Côte d’Ivoire. Sa bien-aimée, qu’il avait rencontrée depuis longtemps, était une belle humaine aux charmes certains. Une perle, une jeune femme si plaisante, et si douce qu’il en tomba éperdument amoureux dès le premier regard. Vivant leur idylle depuis bien des années, ils s’accordaient ensemble à croire qu’ils pourraient toujours rester de pair, et que leur amour survivrait à la difficulté de leurs missions au quotidien. Leur amour oui, mais elle non. Victime d’une balle perdue, son destin se scella. S’efforçant de la garder en vie après la tragique blessure qui ne guérirait pas, le petit Pixie perdit sa compagne après plusieurs heures d’agonies. Et incapable de s’en remettre, quitta son activité pour rentrer au Canada où son frère l’attendait. Mais il ne trouva à son tour que la solitude. »

Un pécore dans la ville… Bon d’accord, mettons. Deux pécores… bien, là ça commence à craindre un peu du gros boudin, mais essayons d’être objectif. Après… avec les pécores de Brún, on atteint une certaine limite. Attention, rien ne va plus ! L’acclimatation fut difficile pour Magyar, qui coupait un peu les ponts avec sa famille, son univers d’autrefois et semblait devoir grandir pour s’adapter à une toute nouvelle vie. Tout en continuant de briller dans ses études en obstétrique, et apprenant désormais à gérer un foyer et ses factures. Un grand pas vers l’âge adulte, les ennuies allant avec. Mais qui heureusement furent agréablement calfeutrés par Lorcàn qui comme toujours, préservait son frère de la réalité. Voilà ce qu’il faisait… Lorcàn le surprotégeait aussi. Parfois un peu trop… pour qu’il évite de se faire mal à tout point de vue. Il limitait toujours la casse, et sans le vouloir peut être, avait placé des œillères sur son frère qui de ce faites, ne voyait pas le monde tel qu’il était.

C’est sans doute pourquoi il n’hésita pas à s’engager une fois son diplôme en poche. Mais loin des hôpitaux … Il rejoignit plutôt les rangs de Médecins sans Frontières pour donner de lui-même, et soulager comme il le pouvait la souffrance des pauvres gens là où l’organisation voudrait bien l’envoyer. Il quitta donc Ottawa pour un temps, 6 petits mois au départ, ne désirant pas laisser son frère seul plus longtemps. Mais bientôt, il sembla à Magyar que sa voie était réellement celle de la charité et de l’humanitaire. Malgré l’éloignement que lui coutait chaque action, la difficulté de vivre sans Lorcàn, il s’élança un peu à corps perdu dans cette profession. Et contrairement à ce que l’on aurait pu croire de lui, Magyar n’eut pas de mal à voir la souffrance. Chaque jour, il fut face à la terrible réalité que vivaient des familles, des communautés entières ravagées par la guerre. Ses connaissances en médecine lui permettaient de soulager des maux, ses compétences en obstétrique, de gérer des situations parfois très périlleuses pour de futures mamans ou leurs nourrissons. Mais jamais rien, en un sens, ne fut jamais plus difficile que de s’assoupir, en demeurant si loin de son frère. Par ce que cette fois, c’était à lui de protéger, et que Lorcàn ne veillait pas sur lui. Personne n’était là pour le guider. C’était ça peut être, d’être adulte.

Pourtant, dans l’aigreur et la difficulté, le jeune Pixie fit une rencontre qui donna un nouveau sens à son existence. Qui lui permit de supporter la distance qui le séparait de son frère, et d’encaisser les malheurs de son monde dont il était quotidiennement témoin. Elle s’appelait Baïa. Elle avait beau n’avoir que quelques mois de plus que le Pixie, c’était une meneuse, une battante. Qui n’avait pas peur de se jeter dans le feu de l’action et de mener une ‘opération’ malgré les dangers, pour sauver plus de vie sans forcément penser à protéger la sienne. Contrairement à Magyar, elle semblait ne jamais avoir peur. Alors qu’elle était humaine, et semblait plus vulnérable que lui… Baïa était parfaite, à ses yeux à lui. Ils s’aimèrent vite, fort. Parce qu’ils n’avaient pas vraiment le temps de s’apprendre et de se découvrir, mais qu’évoluer dans ces conditions si difficiles les avait très vite mené à se connaitre par cœur, d’un simple regard. Elle fut par de très nombreuses occasions, celle qui ramena Magyar à l’humanitaire, qui effaçait ses terreurs et lui donnait du courage lorsqu’il en manquait. Mais aussi dépendante que lui, elle s’arrangea toujours pour que leurs actions se rejoignent, ainsi, ils étaient sans cesse ensemble, contre le malheur.

Mais après 7 années d’une existence à se donner aux autres, vivant son amour avec Baïa malgré l’horreur de ce qu’ils pouvaient traverser ensemble, tout s’arrêta. Il avait suffi d’une balle. Un simple sifflement dans l’air pour condamner un avenir qui s’annonçait pourtant radieux. Fini, les espoirs d’une vie prochaine plus calme… loin des guerres, des épidémies ou des famines. Les projets de retour à la vie civile, pour peut-être fonder une famille. Les rêves de maison à retaper, de petits-déjeunés au lit, de pique-nique le dimanche ou de fêtes passées en famille… tout cela s’évapora en quelques secondes. Un tir, un peu au hasard durant leur fuite avait fini par balayer un futur hypothétique et pourtant fermement espéré par les deux êtres si liés. Elle s’effondra sous l’impact, alors que l’on emportait Magyar vers un abri proche… d’où il l’observa ramper, perdre son sang en silence, au milieu des cris et des tirs. L’assaut dura à peine quelques minutes, les hommes étaient passés pour terrifier la population, s’amuser… et convaincre les habitants que l’aide des Occidentaux ne leur apporterait pas le salut… Bientôt, ils purent tous sortir de leurs cachettes, pleurer leurs morts ou soigner les blesser. Et prier pour que les secours viennent bientôt. Mais ils n’arrivèrent que le lendemain, et Baïa ne passa pas la nuit. Elle s’éteignit, pâle et sans plus aucunes forces à offrir avant le petit matin. Et Magyar lui, laissa un peu de son âme dans ce village. Il fut rapatrié à peine quelques jours plus tard.  

Après cela, il n’eut plus cette étincelle qui faisait de lui le Pixie d’autrefois. Non, sa flamme avait vacillé, et puis s’était éteinte. Elle était morte avec Baïa, et sa dernière ardeur étouffée par l’absence de son frère, qui avait quitté Ottawa à son tour, le laissant seul avec son deuil et sa solitude.


(Magyar) ➳ C'est quand le moustique se pose sur tes testicules que tu comprends que la violence ne résout rien dans la vie. 799899sdfghjvbb« Par une étrange ironie de l’existence, le Pixie-Brother n’était plus là lui non plus, et désertait la vie de notre chère Magyar qui aurait pourtant eut grand besoin de son ainé. Il était partis lui aussi, sur un autre front que celui d’où revenait Magyar et son deuil. Militaire à présent. Mais il était parti, et le petit Pixie était désormais seul. Aussi allât-il vers l’unique solution qu’il trouva alors : l’oubli et l’ignorance. Car en l’absence de son frère pour le guider, notre crétin favori demeurait incapable de se mouvoir dans sa propre existence. Evoluer ? Impossible. Alors, il attendit. Et attendit, et attendit encore, que Lorcàn revienne pour veiller sur lui. Il attendit tant que bientôt, il en oublia que le temps passait et que les années avec, lui volait sa jeunesse à vive-allure. Il ne vécut alors tout simplement pas, sans bonheur, et ne fit pas d’enfants… Mais par chance pour ce Pixie à qui la chance n’a pas encore sourit, l’histoire ne se termine pas ici. »

C’est donc le vide absolu qui attendait Magyar, de retour à Ottawa. Il n’avait aucun reproche à faire à son frère, lui-même semblait avoir trouvé sa voie, héroïque qui plus est. Lorcàn s’épanouissait à son tour, mais son jeune frère lui, dépérissait. Il ne faisait jamais de bruit, pas de vagues… Il ne réclamait rien, pas même l’attention dont il avait pourtant besoin, et restait la discrétion incarnée. Si Magyar bernait son monde avec des sourires et des plaisanteries, son caractère toujours doux, il était pourtant certain de ne jamais pouvoir faire son deuil. Du jour où il rentra à la maison, et pour un temps infini, le Pixie savait… Il savait que sa vie était désormais derrière lui et que maintenant, il n’avait plus qu’à attendre la fin en gardant ses souvenirs précieusement contre son cœur. Les seuls moments où il semblait reprendre un peu de couleurs, retrouver une joie véritable, c’était quand son frère revenait lui aussi. Magyar était alors à nouveau ‘quelqu’un’, comblé par la présence de Lorcàn. Il était lui-même et loin de la coquille vide qu’il redevenait une fois les courtes permissions terminées… Entre ces derniers, Mag’ attendait simplement que son grand frère revienne. C’était à cela maintenant, que sa vie se résumer. A attendre. Pour aller un peu mieux.
Malgré cela, et après un an à végéter lamentablement, Magyar essaya de reprendre le cours d’une existence moins avachie (comme lui héhé). Encouragé par son frangin, il retrouva du travail. Le Pixie se replongea finalement dans sa discipline, soulageant un peu sa peine en allant chaque jours faire naître des vies, voir un peu de bonheur, et s’en parer pour avancer sans avoir l’air d’un mort-vivant. Et les années passèrent, sans que rien ne notable n’arrive. Le Pixie avait peu d’ami, et ne faisait qu’attendre les retours trop rares de son Lolo.

Enfin, rien de notable, pas tant que cela ! Car il fit un jour un rencontre plutôt étonnante, qui ranima un peu d’espoir en son cœur de grand solitaire. La rencontre… d’une fleur. Qu’il alla tranquillement butiner sous sa forme de Pixie, et qui s’avéra être en réalité un Qilin sous forme végétal. C’est ainsi qu’il fit la rencontre de Selen, qui devint en bien peu de temps l’une des personnes les plus importantes de son existence. Le seul d’ailleurs, capable de soulager l’absence de Lolo. La vie semblait un peu moins rude, plus lumineuse grâce à Selen, même si ce dernier n’était pas non plus brillant (comme le Pixie ><), et qu’il se retrouva même en prison pour une sombre histoire de station d’épuration que Magyar ne comprit jamais réellement… Mais ils ne se quittèrent pas, se passionnèrent ensemble, vivaient une véritable idylle platonique et chaleureuse qui aida beaucoup Magyar. Petit à petit, il semblait se redresser un peu, et parvenir à se voir autrement que comme un mort en sursis.

Ainsi, 11 ans passèrent. Les années semblaient toutes se succéder rapidement, même si Magyar demeurait avec la ferme impression de stagner, car toujours retenu en arrière par le souvenir de Baïa. C’était presque un réflexe que de se réfugier dans son petit monde, loin de la réalité si difficile qui lui imposait l’absence d’un frère, et malgré le temps qui passait, le deuil encore très vif de son amour passé. Jusqu’à ce qu’enfin, il y ait Circé.  Mais pour une fois, c’était là pour Magyar, une nouvelle histoire à vivre, et non simplement à se souvenir !

Moralité :

«L’innocence malgré tous ses attraits,
Coûte souvent bien des regrets ; »

Autre moralité :

« Je sais pas pour vous, mais personnellement, pour faire tomber une fille en mettant du Axe, il faut que je vise les yeux. »


TON ALEX' alias Superno√A
ET BOOM BABY ! Vous me reconnaissez ? Mais oui c'est moi... Superconnard Superno√A ! Bref, vous me connaissez tous en tant que Willconne, Siamoche et Alcoogryd, me voici encore de retour pour vous jouer (non je n'irais pas jusqu'au bout) un mauvais (NOOOON) to... Bon MAGGLE ! Mais comme j'aime bien remplir toutes les parties (cette phrase n'a, à la base, rien de sale bande de petits PERVERS !) je vous offre une définition d'un mot qui me sied à ravir. LA CONNE : La Conne est un ruisseau français, affluent de la Dordogne, qui coule dans le département de la Dordogne. :maité:




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Tient tient, vous ici ? :3 ... Comme c'est tétonnant :perv:
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Pompom ou tétons ? :maité:
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Re-bienvenue toi ! :D
Avec ce personnage. <3
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Merciiiiiiiiiii future patiente :asn: (aa)
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PIXIE. LETO. BROS. :alan:
JE DIS OUI. Allez bienvenue à nouveau ma Wiloose, et bonne chance pour ta fiche ! :3 La caméra est déjà prête pour toi et l'autre pigeon des ténèbres. :hehe:
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(Magyar) ➳ C'est quand le moustique se pose sur tes testicules que tu comprends que la violence ne résout rien dans la vie. EmptyJeu 14 Jan - 11:51
Eh bah moi j'suis déjà passé sur la Conne, et toc :D
(Pour ceux que ça intéresse, on y fait pousser du vin de type Bergerac, très connu et très bon, voilà voilà)
Sinon, tu me fais penser aux Magyar à pointes d'Harry Potter, les méchants dragons. On dirait pas pourtant

Amuse toi bien avec ce perso :)
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Angel & Dante

Félicitation à nos deux couillons élus membres du mois de d'Août pour leur rafale de RP et leur bonne humeur ! <3