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Et si tu m'achevais maintenant, là tout de suite - Hildred

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Et si tu m'achevais maintenant, là tout de suite - Hildred - Page 2 EmptyMer 16 Mar - 12:30



Outch, ça fait mal.



Son corps répond à mes caresses, je le sens, je l'entends et c'est rassurant. Durant longtemps j'ai cru qu'elle ne m'aimerait sûrement plus, que j'éveillerais en elle du dégoût et bien pire encore. Hors, le corps ne ment jamais et même si elle souhaitait me haïr de tout son être, et bien, celui-ci n'était absolument pas du même avis. Je ne fais aucun commentaire face à ce frisson qui la percuta de plein fouet, laissant clairement sous entendre ce qu'elle ressent, ce dont elle a envie. Nos corps c'étaient retrouvés et je devais faire preuve d'énormément de sang froid pour ne pas lui sauter dessus. Je me souviens de nos nuits passés sous les couvertures, de ses baisers ardents échangés, de nos regards se plongeant l'un dans l'autre alors que nous nous abandonnions à des actes peux catholiques. Au début, lors de notre première fois, j'avais été aussi peureux qu'un gamin. J'avais eu peur de perdre le contrôle, de laisser mes instincts primitifs prendre le dessus. Elle m'avait rassuré, surtout quand, l'espace d'un moment, mon visage avait commencé à changer et je mes ailes étaient subitement apparues. Ses paroles, ses caresses m'avaient apaisés et j'avais retrouver le contrôle souhaité pour faire de cette nuit une nuit parfaite. Après cette fois là, j'avais appris à me mesurer, ayant bien plus de force qu'elle, j'avais appris à jonglé entre passion et puissance. Laissant place à l'amour, simplement. Je retrouvais toutes ses sensations via son simple contacte, sa simple odeur. Le fait de déposer un baiser dans son cou, de sentir son odeur, entendre son cœur battre la chamade dans sa poitrine. Je pouvais sentir que je n'étais pas le seul dans cette situation. Elle n'avait pas oublié, moi non plus, nous n'oublierons jamais, enfin, c'est ce que j'espérais secrètement.

Je lui demande de ne pas nous oublier, de ne pas aller avec un autre, que je ne le supporterais pas. Je l'aime, je le lui dit également, peut-être pas aussi crûment, mais le mot est bel et bien là. Elle me fixe comme complètement sous le choc, pourtant, ce n'était pas la première fois que je lui déclarais mes sentiments. Le première fois que ce mot était sorti de mes lèvres j'avais dû m'asseoir sur le divan, j'avais le teint pâle et je n'en revenais pas d'avoir dit ça. Elle c'était bien foutue de moi et j'avais également fini par rire, mais je l'avais répété, lui montrant ainsi que ses paroles étaient vraies, que je l'aimais. Dès lors, je n'avais jamais cessé de lui dire, comme si j'avais eu peur qu'elle l'oublie, qu'elle ne se sente pas assez aimé. Le matin en me levant, quand elle dormait, je lui murmurais à l'oreille. Le soir avant de m'endormir, je lui répétais encore. Durant la journée...et bien, dès que j'en avais l'occasion je lui disais ou alors, je le sous entendait fortement. Parce que oui, j'étais fou de cette fille et ça finira par me tuer. Comment de tels sentiments peuvent prendre une ampleur ainsi ? Faisant autant souffrir que déclenchant une avalanche de sensations diverses. C'est cruel, c'est magnifique. Elle fini par détourner les yeux, je sens que le vent tourne et je me crispe. Hildred passait rapidement d'un extrême à un autre, c'était son plus grand défaut, elle était imprévisible, sûrement à cause de sa nature de Berserkers...J'étais pareil, en plus cruel. « Jusqu'au jour où elle te menacera de nouveau. » Elle a dit ça avec froideur et amertume, laissant présager le pire. Je pousse un léger soupire. Elle avait raison de se méfier, pourtant, j'étais sincère et j'aurais tellement aimé qu'elle puisse me croire.

« Qu'est ce qui change cette fois-ci des autres ? Tu dis ça maintenant mais si elle revient, ce qui ne saurait tarder tu m'abandonneras de nouveau ! Tu l'as dis toi même, c'est soit ça soit me voir morte et tu as su faire ton choix la dernière fois. » Je baisse légèrement les yeux et pousse un nouveau soupire, le cœur serré, la gorge en feu. Oui, mais de toute façon si je partais elle était quand même morte, surtout si Angélique comprenait que j'avais toujours de réels sentiments pour elle. Je ne pouvais admettre cette éventualité, l'abandonner de nouveau me tuerait de plus belle, autant me suicider. Elle se libère de mon emprise et je la laisse faire, préférant ne pas jouer avec le feu quand elle est dans cet état là. Je redresse le regard et observe la larme perler de ses yeux, s'écrasant lourdement sur son bras. Je me sens foutrement coupable, je m'en veux et pourtant, elle ne semble pas comprendre. « Tu vas recommencer, encore une fois ! Tu vas me vendre du rêve, me prendre dans tes filets et le jour où je ne pourrai plus me passer de toi, tu vas m'abandonner comme on jette une chaussette trouée. Je ne pourrai pas le supporter, pas une seconde fois. » Elle me criait dessus et je pouvais comprendre, elle m'en voulait, il fallait que sa sorte. Je me redresse difficilement en me tenant à l'arbre, la douleur était moindre à présent, mais j'avais les muscles endoloris par la petite bataille qui avait eu lieu. Une fois redressé je suis devant elle en une fraction de seconde, usant de ma vitesse de stryge pour limiter l'espace entre nous. Il était hors de question qu'elle aille le dernier mot, pas cette fois, ce soir, elle allait m'écouter jusqu'au bout.

Je pose mes mains de part et d'autre de son visage, encadrant ainsi celui-ci. Mes ailes étaient à présent étendue, je la surplombais de ma grande taille et plus rien n'avait d'importance actuellement. « Maintenant, tu vas m'écouter. » J'avais dis celui calmement mais ma requête était explicite et je ne lui laissais pas le choix. Plongeant mon regard dans le sien, le cœur serré, je murmure doucement mais assez fort pour qu'elle puisse me comprendre. « Le jour où je suis parti, j'ai vu mon univers s'écrouler. J'ai souffert, encore et encore simplement parce que je pensais te protéger, préférant te savoir en sécurité, me disant que c'était le seul moyen. » Ma voix était dur mais pas cassante, elle puait la franchise à dix kilomètres. « J'ai fais la plus grande erreur de toute mon existence. Je ne voyais pas d'autres solution, mais maintenant, c'est fini. » Je laisse mon pouce caresser sa joue une fraction de seconde, laissant mon regard plongé dans le sien. Qu'importe si elle venait à me sauter à la gorge, qu'elle le fasse, d'elle je pouvais tout accepter. « Si Angélique rapplique, grand bien lui fasse, je lui arracherais la tête, les jambes, les bras et je la jetterais dans un feu que j'allumerais moi-même. Je ne flancherais plus devant ses menaces, devant ses exigences. Je suis là et je ne bouges pas Hildred. Tu n'es pas une chaussette, tu es loin d'être un objet ou que sais-je encore. Tu es la femme, la seule femme que j'ai aimé en plus de sept cent ans. Même humain je n'ai jamais aimé comme toi je t'aime. » Je ne pouvais pas faire mieux, je ne pouvais rien dire d'autres que ça, j'avais tout dit, vraiment tout. « Je t'aime Hildred Ó'Cinnéide, je t'aimerais sûrement toute ma vie et dieu sait si elle sera longue ! Que ça te plaise où pas, c'est comme ça. »
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Aodhan Caldwell
Il m`a conduit, mené dans les ténèbres, Et non dans la lumière.
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Messages : 67 Je suis arrivé(e) le : 03/01/2016 Sous les traits de : Travis HOT Fimmel Je me dédouble : En Une handicapée des sentiments, Lilwenn Millward Pseudo : SUNRISE Crédits : ETERNAL LOVE Points : 989 Et si tu m'achevais maintenant, là tout de suite - Hildred - Page 2 Tumblr_mkjvbzLJAf1qhjmm4o1_250

J'ai : 34 ans, qui me paraissent une éternité Je travaille comme : Membre de la garde rapprochée de la reine Actuellement, je suis : Veuf Niveau social : Bien plus qu'aisé, bosser pour la reine, ça paie !
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Et si tu m'achevais maintenant, là tout de suite - Hildred - Page 2 EmptyJeu 17 Mar - 14:26
Kill me now Mes vices me rattrapèrent bien plus rapidement que je ne le présageais. Moi qui avait toujours été d'une nature à tout remettre en question, je n'arrivai pas à croire que tout pouvait être si beau, si parfait à l'image de l’Apollon que j'avais en face de moi. Non, il devait bien y avoir un problème quelque part, une conditions que je n'avais pas bien compris, un ultimatum caché sous toutes ces belles apparences. Il baissa sa tête à son tours en soupirant et à cet instant je me disais que j'aurai mieux fait de fermer ma bouche, de profiter de cet instant jusqu'à ce qu'il me soit retiré. Je venais de tout gâcher, mais c'était plus fort que moi, j'avais un besoin viscérale d'être rassurée. Je déglutis avec peine tout en le fixant avec un regard hésitant, attendant le moment où il me donnerait raison, où il me dirait que rien n'était possible entre nous. Lorsqu'il relève les yeux à son tours pour me regarder, je sens un sentiment de culpabilité se refléter dans son regard, c'est bon je commençais même à divaguer ...

Lorsqu'il esquissa un moment pour se relever, je reculais instinctivement d'un pas. Il fallait que je m'en aille, que je parte d'ici avant de souffrir, il fallait que je me libère de son emprise, de son regard qui avait tant d'effet sur moi. Je savais pertinemment que s'il arrivait à me retenir, s'en était finit de ma volonté de me protéger. Je n'eus même pas le temps de reculer qu'il était déjà debout devant moi et me retint par le bras. Mon dieu. Il posa ses deux mains de part et d'autre de mon visage et planta son regard dans le mien, m'hypnotisant dans la foulée. Je ne pouvais plus bouger. Ses ailes, qui nous surplombaient de toute leurs longueurs nous protégeaient du monde extérieur. Le cœur au bord des lèvres, je fut happée par sa voix profonde. « Maintenant, tu vas m'écouter. » Une agréable chaleur se diffusa dans mon bas ventre, en réponse à sa voix autoritaire. Lorsqu'il me donnait des ordres je ne pouvais m'empêcher de l'imaginer en train de prendre le dessus sur moi et cette sensation me grisait complètement, alors qu'il y a seulement quelques secondes je voulais le fuir. Cet homme savait comment s'y prendre avec moi et ça me révoltait. «  Le jour où je suis parti, j'ai vu mon univers s'écrouler. J'ai souffert, encore et encore simplement parce que je pensais te protéger, préférant te savoir en sécurité, me disant que c'était le seul moyen.  » Chut, il ne fallait pas qu'il continue. Je devais m'enfuir, loin. Loin avant qu'il ne me retourne le cerveau. Malheureusement, mes jambes ne voulaient pas bouger, mon corps tout entier refusait de quitter le sien.  « J'ai fais la plus grande erreur de toute mon existence. Je ne voyais pas d'autres solution, mais maintenant, c'est fini.   » J'arrêtais de tenter de le repoussais et me figeais en réalisant ce qu'il venait de m'avouer tout bas. Aétios venait de m'avouer qu'il avait fauter mais qu'à présent il ne partirai plus. Il venait de m'avouer tout ce que j'avais toujours voulu. Je restai figée, à le fixer bêtement dans les yeux sans savoir quoi dire. Mais merde ! Pourquoi c'était à la fois si simple et pourtant si compliqué ? Je ne voulais pas que ce soit aussi facile, qu'il se contente d'excuses pour revenir dans ma vie, j'avais besoin de plus. A la fois pour ma fierté de Berserker et pour qu'il prouve sans volonté qu'on revienne ensemble.  Son pouce sur ma joue m’électrisa, bien que je tentais de ne rien laisser paraître.

« Si Angélique rapplique, grand bien lui fasse, je lui arracherais la tête, les jambes, les bras et je la jetterais dans un feu que j'allumerais moi-même. Je ne flancherais plus devant ses menaces, devant ses exigences. Je suis là et je ne bouges pas Hildred. Tu n'es pas une chaussette, tu es loin d'être un objet ou que sais-je encore. Tu es la femme, la seule femme que j'ai aimé en plus de sept cent ans. Même humain je n'ai jamais aimé comme toi je t'aime.   Je t'aime Hildred Ó'Cinnéide, je t'aimerais sûrement toute ma vie et dieu sait si elle sera longue ! Que ça te plaise où pas, c'est comme ça. » A cet instant, j'eus un orgasme mental. Il venait de réaliser le rêve de toutes les jeunes filles, entendre celui qu'on aime nous avouer que l'on est l'unique amour de sa vie. Mon coeur se gonfla de joie tandis que je sondais son regard afin d'y déceler une trace de mensonge. Mais rien. Il le pensait vraiment. J'inspirai un grand coup, à la fois pour reprendre mes esprits mais aussi pour gagner du temps, je ne savais pas quoi dire, il m'avait mouché sur place. « Je ... » GUEEEEEU. je n'étais même plus capable d'aligner deux mots correctement !  Je me mordis intérieurement la lèvre puis réussi à lui murmurer. « Prouve le alors. » Avec un regard de défis je redressais la tête afin de l'observer. A défaut d'être rassurée, j'avais besoin de preuves. De preuves sur le long terme. Qu'il me montre qu'il avait vraiment envie d'un nous pour toujours. Je reculais, cette fois pas pour le fuir mais afin de le toiser de toute sa hauteur. « Étonne moi, montre moi que c'est réellement ce que tu veux.  & si tu arrives à me convaincre que tu es sincère, alors je pourrai envisager un nous.» J'affichai un sourire en coin, fière de ne pas m'être mise à genoux en face de lui et de ne pas l'avoir supplié de me reprendre.


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Et si tu m'achevais maintenant, là tout de suite - Hildred - Page 2 EmptyJeu 17 Mar - 18:43



Outch, ça fait mal.



Je venais de déballer tout ce que j'avais sur le cœur, laissant la vérité éclater au grand jour au risque de m'en prendre plein la gueule par la suite, qu'elle se braque ou qu'elle me dise que je pouvais clairement aller me faire voir. Ce n'est pas ce que je souhaitais, loin de là, mais j'espérais au fond de moi que la vérité puisse la faire réagir affirmativement. Elle me regardait droit dans les yeux, écoutant sans me couper, ce qui pour une fois était à applaudir surtout dans l'état actuel des choses. Je finis enfin mon déballage de sentiments. Franchement, nous aurions été dans un drame romantique que ça aurait été foutrement pareil, la série se serait nommé ; les amours d'Aétios ou peut-être le casse cœur de Vougaris peut-être...Un des deux. Je finis donc de parler, gardant le silence, attendant une réaction de la part de la jeune femme devant moi. J'ai l'impression que mon cœur va exploser, qu'il a cessé de battre durant...et bien, une éternité. Je ne sais pas trop quoi faire, n'osant même plus bouger. Hildred semblait sur le cul, au moins, j'avais réussis à la faire réfléchir. « Je ... » Tu quoi ? Bordel, elle allait arrêter de me laisser dans le vent comme ça ? Savait-elle seulement que là, de suite, j'étais carrément en panique. Tout se jouait aujourd'hui, à l'abri entre les arbres avec...ce macabé décapité allongé sur le sol. Glamour. Mais bon, lui, je l'avais déjà oublié, il allait falloir que je m'en occupe d'ailleurs, histoire de ne pas le voir revenir avec le feu dans l’âme avide d'une vengeance terrible.

« Prouve le alors. » Je sens mes yeux s'écarquiller légèrement comme un gosse. Comment voulait-elle que je prouve une chose pareil ? Bon, à part rester à ses côtés, ne pas partir et l'aimer encore et encore, je ne voyais pas trop ce que j'allais pouvoir faire. Mon ben j'étais bon pour le reconquérir, lui faire de nouveau la cour et la surprendre de nombreuses façons. Je l'avais mérité et je pouvais aisément comprendre sa requête. Elle lève son regard vers moi et me lance un air de défis. Ah mais en plus ça avait carrément l'air de l'amuser, ben voyons, les femmes toutes les mêmes pour ça ! Elle se recule pour me toiser de toute ma hauteur, alors qu'un léger sourire en coin essaye de se faufiler sur mes lèvres. Mais c'est qu'elle prend en assurance ma petite louve. « Étonne moi, montre moi que c'est réellement ce que tu veux.  & si tu arrives à me convaincre que tu es sincère, alors je pourrai envisager un nous.» Je croise les bras. Etions-nous en pleine négociation ? Non, bien sur que non, mais j'avais envie de la voir sourire sincèrement. Je prend un petit air sérieux, un mini sourire sur les lèvres. « Alors, déjà je propose un mini nous. Du style on garde le no et on laisse le us pour plus tard. C'est équitable non ? Ensuite. » Je pointe un doigt vers elle tout en gardant mes bras croisés alors que mes ailes se repliaient dans mon dos, traînant sur le sol de par leur longueur étonnante. « Arrête de sourire fièrement comme si t'avais gagné la bataille de Rome je me sens complètement stupide. Et... »

Je décroise les bras et je fais un pas en avant, réduisant la distance qu'elle m'avait imposé quelques instants auparavant pour me toiser. Posant un regard doux sur elle, venant déposer mes mains de part et d'autre de son cou, je souris doucement et viens déposer un baiser sur le coin de ses lèvres, histoire de me venger de cette demande futile. Oui, si je lui avais dit que je restais avec elle c'est que je restais, je n'étais pas un homme à mensonges, d'ailleurs, je ne lui avais jamais menti. « Tu m'as manqué. » Dis-je dans un murmure à son oreille avant de m'éloigner de nouveau d'un pas. Je tourne la tête vers le cadavre en soupirant, sortant un briquet de ma poche. « Il est temps que je m'occupe de son cas, après...on avisera. » Je m'éloigne de la jeune femme et allume l'objet pour le lancer sur le stryge qui prend rapidement feu. Alors que j'allais reculer, une chose explosa dans sa poche, sûrement un objet comportant de l'air, qui vient heurter mon tee-shirt au niveau du bras et qui s'enflamma également. « Non de dieu !!! » Me voilà en train de secouer mon bras comme un débile mentale, tapant dessus pour éteindre la petite partie qui avait commencé à flamber. Tient, manquerait plus que ça que je crève sur place à cause d'un simple accident de parcoure. D'un sketch romantique dramatique, nous passions assurément à une comédie tout court ! Une fois que les petites flammes eurent disparues, je me tourne vers Hildred et lui lance d'un air à moitié sérieux. « Si jamais tu ris, je te promet que je t'attrape et que je décolle dans les airs pour te donner la peur de ta vie... »

Bien sur je n'étais pas vraiment sérieux, quoi que, j'aurais été totalement capable de le faire c'était mon genre. Quand nous étions ensemble, j'adorais lui faire de petites blagues. Cacher ses chaussettes, allumer l'eau chaude quand elle était sous la douche pour lui faire prendre une douche froide...L'enfermer dans les toilettes aussi. Toutes ses petites blagues qui éveillaient en moi ce petit air taquin, changeant de l'air sérieux que j'avais régulièrement.
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Et si tu m'achevais maintenant, là tout de suite - Hildred - Page 2 EmptyMar 22 Mar - 15:03
Kill me now Je retins de justesse un rire lorsque ses yeux s’écarquillèrent sous ma proposition, s'il croyait s'en sortir comme ça, c'était raté.  Seulement, un face de moi, je n'avais pas n'importe qui. Aétios faisait partie de ceux qui ne se laissaient jamais abattre et qui renversaient n'importe qu'elle situation à son avantage. J'attendais juste le moment où ce serait moi qui serait en position de faiblesse et profitais donc de ces quelques minutes où il fut abasourdi. Un sourire se dessina sur ses lèvres et je compris alors qu'il avait quelque chose derrière la tête, le vilain. « Alors, déjà je propose un mini nous. Du style on garde le no et on laisse le us pour plus tard. C'est équitable non ? Ensuite. » Je haussai un sourcil tout en le fixant, ne sachant trop s'il avait complètement débloqué ou si c'était moi qui ne comprenais pas un traitre mot de ce qu'il pouvait bien me dire. Je restai quelques instants, à retourner ses paroles dans ma tête pour conclure que finalement, c'était lui qui avait déraillé complet. Et puis, ça signifiait quoi exactement pas un véritable nous ? Il voulait juste un plan cul ? S'il osait juste y penser ... Il pointa alors un doigt vers moi tout en me balançant.  « Arrête de sourire fièrement comme si t'avais gagné la bataille de Rome je me sens complètement stupide. Et... » Il avait le don de me mettre hors de moi en moins de temps qu'il ne fallait pour le dire. J'étais certaine que si c'était possible, mes pupilles se seraient colorées en rouge sous l'impertinence de ses paroles. Je déchantais instantanément tout en croisant à mon tours mes bras, certes je n'allais pas lui sauter à la gorge, mais ça me démangeais trèèèèèèèèèèès fortement.

Il s'avança subitement vers moi et m'emprisonna de ses mains à la fois tendres et fermes. Son contact me coupa le souffle et je fus une nouvelle fois happée par son regard, incapable d'esquisser le moindre mouvement, oubliant totalement toute la colère qui m'habitait le seconde d'avant. Je devenais bipolaire, je le sentais au plus profond de moi. Je ne voyais que ça qui pouvait justifier ces changements brutaux d'émotions. Son visage s'approcha du mien et je redoutais soudainement ce qu'il allait faire, si ses lèvres se posaient sur les miennes, s'en était finit de moi, finit de ma volonté, finit de ma fierté à vouloir le tenir à l'écart. Le doux contact de sa bouche au creux de mes lèvres déclencha un doux frisson dans toute mon échine. Bordel.  « Tu m'as manqué. »  Son murmure faillit m'achever, mais pourquoi étais-je si sensible à sa voix ? Pourquoi chaque mot sortant de son exquise bouche avait le don de me rendre aussi fébrile ? J'étais perdue en plein dans mes réflexions lorsque sa voix me ramena sur le moment présent. «  Il est temps que je m'occupe de son cas, après...on avisera. » Ah oui effectivement, avec toutes ses émotions, je l'avais oublié celui-là ... Je tournais la tête au moment il Aétios sortit son briquet et le jeta sur le cadavre. Les flammes enveloppèrent rapidement le corps démembré du stryge quand soudain un objet explosa, envoyant des gerbes de feu sur quelques mètres. Je reculais d'un pas tandis que mon compagnon se mis subitement à se trémousser dans tous les sens, comme s'il avait vu une souris. Après l'avoir observé, je remarquais qu'il s'acharnait à éteindre une petite flamme qui avais pris sur la manche de son avant bras. Abasourdie par la situation, je ne sus, dans un premier temps, comment réagir. Quelle ironie que de prendre feu ! La situation était si inattendue ! « Non de dieu !!! » Il se retourna alors vers moi, l'air tout à coup sérieux. « Si jamais tu ris, je te promet que je t'attrape et que je décolle dans les airs pour te donner la peur de ta vie... » Je clignais des yeux, évaluant sa réaction. Alors que ses paroles auraient dues me couper toute envie de rire, elle accentua l'hilarité de la situation. J'éclatais d'un rire qu'on ne pouvait retenir, vous savez, celui qui nous fait mal au ventre tellement on contracte les muscles abdominaux. Les larmes me vinrent aux yeux et je due m'essuyer les joues avant de pouvoir le regarder de nouveau. Pensait-il vraiment que sa phrase allait me dissuader de rire comme je venais de le faire ? J'espérais pour lui que non, car dans le cas contraire, il me connaissais vraiment mal.

Je redressai rapidement la tête et lui lançais un petit sourire en coin tout en croisant les bras sur ma poitrine. « Ah ? Alors ça y est, déjà finis les " Tu m'as tant manqué " et tout le tralala, ça y est tu en as déjà assez ? » Afin de ne pas rire de nouveau, je me mordis l'intérieur de la joue. Mon dieu, qu'est ce que j'avais envie de le pousser à bout comme il l'avait fait à peine quelques minutes plus tôt. Je réfléchis quelques instants à ce que je pouvais dire et en profitai pour le détailler.  « Bon, ce n'est pas que tu m'ennuies mais ... J'ai des choses à faire. » En réalité, rien ne m'attendais. Il devait être plus de minuit et en temps normal, à cette heure-ci, je dormais depuis déjà un bon bout de temps. Oui oui, la mémé que j'étais se couchait tôt. J'allais me tourner pour partir quand une idée me vint, je ne pouvais tout de même pas le planter comme ça sans faire une sortie originale. Quand même. Je haussai un sourcil et commençais à enlever mes chaussures. N'importe qui se demanderait ce que pouvais bien foutre une nana à enlever ses chaussures alors qu'elle se trouvait en plein milieu des bois mais Aétios lui le savait. Il le savait pour m'avoir côtoyé. Ce fus au tours de ma veste de tomber par terre et alors que j'aurai du continuer, je m'arrêtais tout en le fixant de mon regard perçant.  « Je crois que je vais m'arrêter là, nous ne sommes pas encore assez intimes pour le reste. Bonne nuit Aétios. »  Je lui fit un petit clin d’œil tout en le fixant à la lueur des flammes. En réalité, j'avais été plus intime avec lui qu'avec n'importe qui d'autre. Je me retournai pour être de dos à lui et fit appel à la bête qui se trouvait en moi, impatiente de se dégourdir les pattes. En quelques secondes, mon enveloppe humaine laissa place à celle plus bestiale de mon alter égo. Je m'ébrouais rapidement, faisant tomber les quelques vestiges de mes vêtements qui se trouvaient à présent en lambeaux sur le sol et m'élançais, sans me retourner, plus profondément dans la forêt.


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Félicitation à nos deux couillons élus membres du mois de d'Août pour leur rafale de RP et leur bonne humeur ! <3