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Seras tu mon superman ? | Vlad & Ellyn FLASHBACK.

 :: Archives des rps

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Seras tu mon superman ? | Vlad & Ellyn FLASHBACK.  EmptySam 9 Avr - 22:18


Fairy tales


« Fairy tales are more than true: not because they tell us that dragons exist, but because they tell us that dragons can be beaten. »

Soupire. Ton reflet t'exaspère. Ton teint est si pâle que l'on te prendrait facilement pour une poupée de porcelaine. Tes pommettes haussent ton regard bleuté et à chaque sourire, deux fossettes se creusent. Tes lèvres sont assez fines mais tout de même pulpeuses. Tes longs cheveux noirs bouclent légèrement et tu peines à les dompter si tôt dans la journée. Nouveau soupire. Que vas tu faire ? Te doucher ? Te brosser les dents ? Te coiffer ? Te maquiller ? T'habiller ? C'est une bonne idée. Tu règle la température de l'eau et laisse le liquide cristallin glisser le long de ton corps. Tu pose ton dos contre la paroi glacé de la douche, ferme tes yeux et t'impose une respiration lente et profonde. Depuis ton arrivée à Ottawa, tu n'avais encore pas laisser une seule fois ta magie succomber à tes émotions. Elian, ton frère jumeau avait finis par appeler ce genre d’explosion émotionnel des Crises. Dans un sens, il n'avait pas tout à fait tors et cela caractérisait bien le manifeste. Avec l'âge, tu avais appris tout un tas de technique dans l'unique but de controler tes sentiments. La colère était sans doute celle que tu redoutait le plus. De nature impulsive, tu étais la première à sentir ton sang bouillonner. Dans ce genre de moment, tu avais deux solutions. L'une était de laisser ton aîné gérer la situation, l'autre de t'enfermer dans une sorte de bulle et d'oublier ce qui se passait autour de toi. Notamment la source de cette colère nouvelle. Une fois l'élément perturbateur neutralisé, tu arrives difficilement à reprendre le dessus. Ce genre d’événement te fatigue beaucoup plus que de pratiquer l'Alchimie en soit et évidemment, contenir le flux émotionnel afin de le séparer et de le contraindre à ne pas influencer ton don te demande une très grande concentration continue. Du matin, jusqu'au soir. Pas une minute de répis.

Tu coupe l'eau. Quelques filaments courent encore sur ton dos. Ta chevelure se colle à celui ci, picotent et te chatouille jusqu'à sa moitié. Tu t'enroule dans une serviette de bain et te rapproche du chauffage quelques instants. Tes yeux se ferment mais cette fois, seulement pour profiter de la chaleur de l'appareil électronique. Les minutes passent jusqu'à ce que tu te décide à bouger. Tu nettoie rapidement ton visage avant de te glisser dans un slim noir et un petit chemisier de flanelle rouge. Tu sèches longuement tes longs cheveux bruns jusqu'à ce qu'il soit totalement sec, puis, tu les coiffes un peu plus rapidement. Enfin, tu te maquille ; un trait d'eye - liner, une couche de mascara et une touche de rouge à lèvre. Pourquoi en faire des caisses pour ne plaire qu'à toi même ? Il ne t'en avais jamais fallu plus. Deux pressions de parfum, tu enfiles une paire du bas ainsi que tes escarpins aussi rouge que ton chemisier.

Fin prête, tu t'extirpa de la salle de bain pour te préparer un café. Tu attendais avec impatience que la journée commence. Pour ce faire, tu devais patienter jusqu'à neuf heure et demi du matin. Les enfants n'arriveraient pas avant. Oui, les enfants. Pas les tiens, évidemment. Dans la vie, tu es Assistante Maternelle. Mais dans le milieu, on t'appelle Nounou. C'est toujours plus facile pour des enfants de te prénommer ainsi que par ton véritable prénom. Quand bien même tu t'en occupe quasiment tout les jours de la semaine, tu penses que le titre de "maman" est belle est bien réserver à leur génitrice. Nounou semble être un bon choix, pour toi comme pour eux.
Finalement, l'heure vient à arriver. Les parents sont toujours très ponctuel le matin. Leurs journées de travail commence et ils ne doivent surtout pas être en retard. Tu ouvres la porte au premier papa qui s'y présente. Il te salue brièvement, t'informe que son fils à bien dormis mais n'a pas eux le temps de déjeuner ce matin. Son fils, un tout jeune blondinet de tout juste cinq ans vint sauter dans tes bras. Ses yeux marrons sont a demi clos et sa crinière encore mal coiffé. Sa tete se pose contre ton épaule, suçant son pouce, tandis que tu continue de tergiverser avec son père. Tu avais prévue d'emmener les enfants au parc pour la journée et tu te devais donc de lui en informer. Cela ne posait pas de problème, au contraire, il semblait enchanter que tu organises ce genre de sortie. Lorsqu'il s'en alla enfin, tu déposa ton pensionnaire sur le canapé, le couvrit avec une couverture et approcha la table basse. " - Tu veux un chocolat Noah, ou un jus ? ". Sa petite voix plaintive te réclamait un jus d'orange tandis que tu t'éloignais vers la cuisine. Tu pressa quelques fruits et vint le lui apporter. A ce même instant, la sonnerie retentit une seconde fois. La petite dernière devait être arriver. Tu te précipita pour ouvrir. Sarah était une petite brunette de deux ans et demi, bien en avance sur les enfants de son âge. Sa maman ne s'attarda pas et t'abandonna rapidement. Alors, enfin seul avec tes petits bous d'amours, tu commença à préparer le pique nique et les affaires nécessaires à la journée qui se présentait. Les enfants étaient tout excité à l'idée de ne pas rester enfermer toute une journée à la maison, et honnêtement, toi aussi.

De ton appartement, le voyage n'était qu'a une petit heure de route. Tu marchais derrière la poussette de Sarah, rabattant la petite ombrelle au dessus de son crane. Il ne faudrait pas qu'elle tombe malade à cause de la chaleur. Quant à Noah, il sautillait près de toi. Ayant trop chaud, il avait finis par te demander de porter sa veste. Tu l'avais donc ranger dans le bac tout en dessous de la poussette et continuait notre route. Les sentiers étaient bordé d'arbre et l'ambiance printanière  influançait l'humeur de chaque passants. Tous se saluaient, tous discutaient de choses et d'autres. Travail, amis, familles. N'importe quel sujet faisait bien l'affaire. Noah te racontait son week end. Il avait jouer à la guerre avec son frère et s'était même égratigner le genoux en tombant. Sa fameue blessure de guerre dont il était si fier. Il avait même remonter son jeans pour te la montrer. Un jolie pansement couvrait celle ci. Tu l'avais de moitié sermonné. Jouer était un fait mais se faire mal en était un autre. En vérité, tu avais peur à chaque fois que ce petit garçon pouvait se blesser. Il était un véritable casse - coup. Il ne pouvait faire cinq pas sans tomber, ou se cogner. Tête en l'air, il ne regardait jamais devant lui. Mais pour s'occuper de Sarah, il avait la fier allure d'un grand frère. Il la portait consciencieusement, la rattrapait quand elle  perdait l'équilibre, jouait avec elle à la poupée rien que pour lui arracher un semblant d'intérêt. Il te rappelait ton jumeau.

Tu abandonna le sentier pour rejoindre l'herbe épaisse. Elle était si grasse et si verdoyante qu'elle pourrait bien être confortable. Tu étendit une grande couverture au sol, sortit un ballon de foot que tu fis rouler à Noah. Impatient, il commença à y jouer. En plus de s’accommoder de commentaire sportif, il mimait les réactions du public. Tu pris Sarah dans tes bras, la serra tout contre toi tout en surveillant le garçon. " - Regarde le Sarah! Nous avons le futur Zidane. " plaisantes tu avant de baiser son front. Tu vint t’asseoir sur la couverture, posant la petite toute près de toi. Elle s'assit et commença à jouer avec ses poupées. Tu déposa sur le haut de son crane un petit bob et appela Noah pour lui donner sa casquette. Il ronchonna à la porter mais repartis aussitot s'amuser. Finalement, il shoota un peu trop fort et son ballon rejoignis les pieds d'un homme un peu plus loin. Noah s'approcha sans même réfléchir. " - Pardon monsieur, je peux récupérer mon ballon s'il vous plait ?" demande t - il poliment. Tu l'avais rejoins, Sarah à nouveau dans tes bras, tu posa une main sur la chevelure de ton protégé. " - J'espère qu'il n'a rien casser. Tout va bien ? " engages tu doucement.
- Adrenalean 2016 pour Bazzart

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Seras tu mon superman ? | Vlad & Ellyn FLASHBACK.  EmptyDim 10 Avr - 1:24


   
   Ellyn & Vladislav
   ''Seras-tu mon Superman?''

E
t si on tournait la page... si on oubliait un instant cette nature profonde, liée à notre fâcheuse tendance d'aimer se conforter dans l'illusion quand rien ne va plus. Vous me direz que non, on ne peut pas, car la nature humaine aime trop se bercer d'onirisme. Je reconnais cette difficulté, l'apprécie méthodiquement même. Notre esprit vagabonde dans les analepses de notre vie, comme pour y ajouter de la couleur. Il anéantit le réalisme pour rendre nos souvenirs plus beau ou plus laid. La fatalité est qu'il n'y ai rien à y perdre. J'aime à croire cela. J'aime à croire en l'éphémère, en l'immuable et l’indicible. C'est ainsi qu'une plume virevolte sur le papier, pour y apposer délicatement sa marque, singulière et éternelle... C'est à mon tour de déposer mon stylo. Les vacances ne me valaient que ces monotones réflexions philosophiques à croire. A défaut de m'occuper des victimes inanimées de tout ces fou furieux de criminel, j'écrivais.

Fallait-il donc croire à un ennuis profond ou simplement à un exutoire, telle en était la question. Je me dirige mécaniquement ver le frigo et y prend une bière. La beauté du geste quand on perd totalement la notion du temps et qu'on se décide à boire une bière à 9 heure 30 du matin. Je crois que le plus difficile fut de m'adapter au bruit ambiant, perturbé par la capsule de ma bière qui saute. J'esquisse un sourire bref. Tout me pèse dans cette maison vide de vie. Même les meubles semblent dépourvus de serait-ce qu'une once de vitalité, mais plus d'une sacrée couche de poussière. Morbide. Il fallait que je prenne l'air, mais avant que je nettoie. J'avais vraiment mis le cœur à l'ouvrage pour que ce soit le bordel, mais pas se bordel qui montre qu'un être vivant vit là depuis longtemps. Ce bordel mort, celui de l'absence. Je débarrasse la poussière assez rapidement, ainsi que mes détritus. Une fois ma tâche complètement accomplie je m'arrête en plein milieu du salon pour observer cette fatalement ennuyeuse maison. Elle me dépite.

Je soupire et vais dans la salle de bain pour y prendre une douche. L'eau tiède m'apaise, mais cette irrépressible envie de prendre l'air reprend le dessus sur tout. Je ne m'attarde pas devant le miroir, ne choisis pas vraiment avec application mes vêtements. Juste un simple jean et un t-shirt Led Zepp'. C'est sur que pour le peu qui me connaisse, ils se seraient sans doute demandés où était donc passé mon éternel costume/cravate. Sa m'arrache un sourire amusé. J'ébouriffe ma tignasse et respire enfin. L'air est doux et agréable. Le soleil a passé son zénith, et la chaleur est accueillante. Je décide d'aller faire un tour à l'Algonquin Provincial Park, un endroit sympathique pour les amoureux de la nature. Enfin, je ne dirais pas que j'y allais pour le chant des oiseaux et son côté verdoyant, mais plutôt pour son taux peu élevé de fréquentation, et son calme olympien.

Arrivé sur les sentiers de cet endroit peu être un peu trop idyllique, je me perds dans mes pensées, ou plutôt dans un certain néant réconfortant. C'était si apaisant de ne plus penser à rien. Si bon d'être comme libre de tout ennuis, tout parasite causant du stress dans mon cerveau... Si bien que vraiment perdu dans les méandres du vide, je n'avais même pas aperçu cette drôle de petite équipe, là, sur un couverture, comme une tâche coloré dans l'herbe. Mon cerveau décide d'effacer l'information jusqu'à ce que le petit garçon m’envoie un boulet de canon dans le genoux. Pas que j'eus mal, loin de là, mais s'eut le mérite de me tirer de ma léthargie. Je regarde le garçonnet avant d'être interpellé par une jeune femme... En escarpin sur du gazon ? En effet je n'avais pas rêvé, la belle se baladait en talon sur une pelouse où ses chevilles auraient eut vite fait de se briser. J'esquisse un léger sourire à sa demande. C'était sûrement pas moi qui risquait le plus à ce moment précis. Le garçonnet s'excuse et se réfugie derrière la jeune femme. Je souris un peu gêné, vite rattrapé par mon côté sociopathe.

J'avais de un, pas l'habitude d'être l'objet de jeu d'un enfant, et encore moins d'être interpellé par une créature toute droit sortie de ces films à la Bridget Jones. Je répond néanmoins aimablement, ce qui semble rassurer les enfants qui lâche ce qui semble être leur nourrice. Je tourne les talons pour reprendre mon chemin, quelque peu troublé par cette rencontre fortuite... Cette jeune femme avait un de ces côtés attractif, en mode aimant, le genre de personne sur lequel on ne peut s'empêcher de se retourner dans un endroit quelconque. Je secoue légèrement la tête comme pour finalement la chasser de mon esprit. Cependant ce n'est que de courte durée, car même pas quelque instant plus tard un petit son mat, et un petit cris me pousse à me retourner vers la joyeuse petite équipe qu'elle formait avec les deux enfants.

"Oh mon Dieu...." - esquissais-je avec un faciès mi amusé, mi grave
WILDBIRD
 


Dernière édition par Vladislav R. Dostoïevski le Jeu 28 Avr - 13:43, édité 1 fois
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Seras tu mon superman ? | Vlad & Ellyn FLASHBACK.  EmptyVen 22 Avr - 16:42


Fairy tales


« Fairy tales are more than true: not because they tell us that dragons exist, but because they tell us that dragons can be beaten. »

Tu avais du mal à respirer. Tes yeux n'enregistraient plus toutes les informations qu'ils croisaient et ton cerveau avait bien du mal à les interpreter. C'était un de ces moments où  l'adrénaline suspens ton esprit de ton corps. Ces moments où ton organisme tout entier agit comme une entité bien distinct. Ces moments où l'instinct de survie est plus puissant que toutes réflexions logiques. C'était un de ces genre de moments. Le paysage défilait sous tes pieds. Tu courrais, plus vite que tu n'aurais jamais pensé le faire un jour. Pour quel raison ? Un regard en arrière te conforta dans l'idée de fuir. Ils te pourchassaient. Tu avais eux le malheur de penser que tu pourrais vivre un instant de bonheur en toute humanité. Tu étais sortie en douce de ta chambre, entrainant ton frère jumeau avec toi. Tu voulais lui faire découvrir cette même joie. Dans ton sac se trouvait un ballon de foot. Tout neuf. Tu avais réunis toutes tes petites économies pour pouvoir t'en offrir un. Tu avais de nombreuses fois des humains y jouer, et tu t'étais dis qu'Elian allait adorer le concept. Alors, pour lui arracher un de ces splendides sourires, tu t'étais diriger vers le terrain vague à quelques kilomètres de l'école, un seul de ta maison. Prenant deux grands arbres pour délimiter les buts, tu lui avais demander de tirer. Elian n'était jamais très expressif. Il se contentait de ce qu'il savait faire, aimait faire, sans vouloir découvrir quoi que ce soit. Il fallait bien que tu t'en charges pour lui! Après quelques tirs mal cadré, ton jumeau se mit à apprécier la fameux jeu.  Les heures passaient, jusqu'à ce que l'astre solaire disparaissent complètement de votre vue. Bientôt, seul la lune vous éclairait. Bientot, il te faudrait courir pour sauver ta peau.

Sortant de tes souvenirs, tu caressa la chevelure blonde et bouclé de ton protégé. Il s'était réfugié derrière toi dans l'espoir de ne plus ressentir le gêne qu'occasionnait sa bêtise. Pourtant, il n'avait rien fais de mal. L'inconnu le rassura poliment, et lui redonna sa balle. Il ne s'était pas étalé. Pas un mot de trop. Pas une fioriture. Rien qui ne l'engage dans une conversation sans pour autant le laisser paraître asociale. Pourtant, il semblait tellement plus que ça. Tu avais toujours trouver le petit détail qui t'indiquait quel genre de personne se dressait devant toi. Tu avais toujours eux trop d'empathie. Tant et si bien, que quelques fois, l'aide que tu apportais à ton entourage se révélait à sens unique. Pour autant, tu n'attendais jamais rien en retour. Mais il était difficile de ne pas se demander qui serait un jour là pour toi. Elian, c'était certain. Il était le seul. Tes parents t'avaient il y a plusieurs années laissés le choix. La dispute qui avait éclaté entre vous avait déchirer la famille Collins, certainement pour très longtemps. Elian t'avait suivit. A vrai dire, il était l'acteur principal de toute cette histoire. Encore une fois, tu avais défendu tes idéaux et les siens devant le patriarche. Encore une fois, tu avais pris les devants, encaissant les conséquences. Et pour couronner ce fiasco, deux ans et demi plus tard, ruinant le seul couple que tu n'eux jamais accepter, ton père t'avait annoncé tes fiançailles. Comment expliquez ta réaction ? Tu vais littéralement sauter dans la voiture et les avais rejoins sur le champ. La suite ? Tu avais fais de la demeure familial, un véritable iceberg. Et tu ne préfère plus penser au dommages causés à ses occupants.

Enfin, toujours est - il que le ballon était rendu à son propriétaire et c'était à peu près tout ce qui comptait. Tu aurais voulu savoir quel genre de personne était cet homme, par simple curiosité, mais il te fallait rester professionnel. Tu poussa un leger soupire, détournant à ton tour les tallons de sorte à rejoindre le grande couverture installé quelques metres plus loin. Tu t'agenouilla afin de déposer Sarah tout près de toi, de sorte qu'elle puisse se reposer. De ce que sa mère t'avait dit, il était fréquent qu'elle ne dorme pas très bien la nuit et au fil des mois à la quotoyer, tu en avais pris l'habitude. Il lui suffisait d'une sieste d'une heure grand maximum pour se remettre d'aplomb. Toujours à la même heure. Regler, comme du papier à musique. Et a vrai dire, regarder Sarah dormir était un exercice que tu adorais pratiquer. La plupart du temps, tu la surveillais simplement de peur qu'il ne s'étouffe en dormant. Mais du reste, c'était apaisant, attendrissant de la voir ainsi aussi calme et reposer. Alors qu'elle commençait rapidement à s'endormir, tu t'étais lever, restant tout de même proche d'elle afin de jouer avec Noah. Il t'avait gentiment lancer la balle, et aussi maladroite que tu es, l'inévitable se produisit. En voulant prendre de l'élan pour tirer à ton tour, tu glissa. Ta cheville se tordit, et tes jambes cédèrent sous la douleur. Tu n'avais pas remarqué que tu avais poussé un petit cri aigue. Noah était tordu de rire tandis que tu t'étais étalé sur l'herbe. Bien vite, tu éclata de rire à ton tour. Jetant un oeil à Sarah, tu conclus que tout ce bruit ne l'avait pas réveillé. Heureusement!

Ton éclat de rire s'était peu à peu dissiper. Tu essuya les larmes qui perlaient au coin de tes yeux, reprenant ton calme. Noah s'était allongé à coté de toi, rigolant plus fort encore. Tu caressais ses cheveux, un sourire amusé aux lèvres. Alors que tu voulais te redresser, t'appuyant donc sur ta fameuse cheville précédemment tordu, elle t'arracha une grimace de douleur. L'espace d'une seconde, tu eux peur de t'être réellement blessé. Noah capta immédiatement ta détresse et perdit son sourire. " - Nanou, ça va pas? Tu as un bobo? " te demande t -il de sa voix plaintive. Un petit sourire illumina ton visage tandis que tu baisais son front. " - Mais non mon chéri, ce n'est rien du tout. Retourne jouer, mais fais attention de ne pas tomber comme moi! " préviens tu en tapotant le haut de son crane avant qu'il ne retourne jouer. Déglutissant, tu te força à bouger doucement ton pied. La douleur t'arracha un soupire d'agacement. Quand apprendras tu que toutes actions portent une conséquence plus ou moins grave ? Pas tout de suite on dirait bien !
- Adrenalean 2016 pour Bazzart

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Seras tu mon superman ? | Vlad & Ellyn FLASHBACK.  EmptyJeu 28 Avr - 13:41


   
   Ellyn & Vladislav
   ''Seras-tu mon Superman?''

C
'est assez drôle de voir que le vie n'a de cesse de nous réserver des surprises. A vrai dire cela ne m'étonne même plus, enfin presque. Je crois que j'ai fini par me perdre dans ma rationalité exaspérante, au point de ne plus apprécier ses cadeaux. Vous allez me demander ce qu'il s'est donc passé pour que je sois aussi terre à terre, que j'abhorre les plaisirs de la vie à ce point, oui, pourquoi ? Moi même je n'avais absolument aucune réponse à vous donner, car il y avait longtemps que j'avais moi même abandonné les réflexions à ce sujet... Si bien que j'apparaissais comme un être froid, limite glacial, et surtout distant de vos état d'âme. Vous ne pouvez pas m'en vouloir d'être qui je suis. Pour être tout à fait honnête je n'attend même pas à être aimé de l'un d'entre vous. Là aussi vous me demanderez pourquoi ? Et pour cette question, la réponse me semble presque évidente. J'avais toujours fuit toute relation, qu'elle soit amicale ou amoureuse, pas par peur, mais par besoin. Je me suis jamais senti prêt à être aimé, être désiré...

Étrange vous me direz, et je vous répond alors, pas tant que ça. Mon enfance, certes aisée, n'a pas forcément connue tant de démonstration d'amour que ça, j'étais plus choyé matériellement que aimé. Et je n'ai donc jamais appris ce qu'est de l'être. Je me souviens de cette fille à présent, une petite blonde, quand j'étais à la fac. Un bien beau jours de printemps elle m'avait déclaré qu'elle m'aimait... Je me souviens lui avoir ris au nez avant de lui tourner le dos. Sa vengeance avait été de raconter à tous que j'étais un goujat, mais en fait, elle m'avait aidé, enfin selon moi, car au moins plus personne ne m'approchait, j'étais bien avec ma solitude. Si bien, et comme je l'avais toujours été, que je répugnais toute compagnie trop amicale. Pourtant comme je le disais au début, la vie nous réserve des surprises autant incongrues qu’inattendues. En effet si l'être solitaire que je suis faisait fuir avant, ce n'était plus vraiment le cas, et surtout depuis que je m'étais installé à Ottawa.

J'avais fini par accepter cette situation des plus perturbante, et laissé quelques personnes rentrer dans ma vie. Vous allez alors vous demander d'où pouvait bien provenir ce revirement de ''caractère''. La réponse encore, est aussi simple que de dire 'bonjour'. Mon petit frère, celui avec lequel je n'ai pas grandis, ce charmant jeune homme pétillant à l'heure actuelle, le seul en ce monde qui ai réussis à me rendre un peu plus humain. Caleb avait eu cette influence peut être bénéfique sur mon comportement, si bien que peu de temps après nos retrouvailles, j'avais fini par aussi me lier d'amitié avec une collègue d'enquête, un presque vieillard, mais bien trop jeune pour être dans ce corps et quelques autres personnes. Pas grand monde, mais un bon début vers un sociabilisation imminente. Pourquoi donc vous expliquez tout ce charabia ? Et bien afin que vous compreniez la suite des événements. Je me dois donc de reprendre avec cette phrase mi choquée mi amusée, dite suite à la chute de cette bien charmante nourrice, qui avait sûrement eu la mauvaise idée de mettre des talons aiguilles pour aller au parc.

"Oh mon Dieu...."

Je reste figé quelques instant, comme si la scène s'était déroulée au ralentis. Puis je fais un premier pas vers le joyeux petit groupe, quelque peu mal assuré, avant de m'élancer vers. Lorsque j'arrive, la jeune femme semble désappointée par la douleur. Je me met face à elle pour signaler ma présence, et me baisse à son niveau tout en lui demandant si tout allait bien. Son visage m'indiqua que la douleur était bien présente. Je retire sa chaussure pour observer déjà l'apparence de sa cheville. En temps que médecin légiste je connaissais le moindre détails d'une anatomie, et pouvais ainsi voir aisément si quelque chose n'allait pas. Au premier regard, une légère ecchymose commençait à se former, ce qui n'était pas forcément bon signe. Je touche légèrement le bleu en formation pour voir l'intensité de la douleur, qui se manifesta rapidement par un plissement de nez de la jeune femme.

J'entrepris alors de bouger légèrement le pieds. La brunette esquissa un petit gémissement. Le verdict tombe alors, car elle ne s'était pas ratée. Entorse. Je prend une mine assez désolée et lui annonce la couleur. Il fallait qu'elle aille à l’hôpital afin de faire quelques radio pour voir la gravité de l'entorse. Elle me regarde assez embarrasser. Je comprend aisément ce qui l'inquiète en voyant s'amuser les deux jeunes enfants. Mon cerveau réfléchis assez rapidement pour trouver une solution, et je devais dire que la solution m’embarrassais pas mal étant donné mon asociabilité. Ceci dit, je ne pouvais pas non plus partir tel un malpropre et la laisser dans cet état se débrouiller toute seule avec ces deux enfants en bas age. Je décide de m'asseoir sur la couverture afin de lui tenir compagnie et l'aider au cas où, tout en lassant un conversation... Je m'étonnais de jours en jours.

''Je vais rester avec vous le temps de pouvoir ramener ces petites bouilles d'ange chez elles, et pouvoir vous emmener à l’hôpital, car vous n'irez franchement pas bien loin avec une cheville dans cet état. J'espère en tout cas que ma compagnie ne vous dérange en aucun cas. Je me présente, Vladislav, et vous, vous êtes ?''
WILDBIRD
 
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