C'est cette vieille peau Mona Lisa ?

Kiet & Ellyn

Il faisait noir. Tout noir autour de toi. Non pas comme si il manquait de lumière. Plutot comme si une épaisse fumée t’étreignait et t’empêchait d'apprécier le paysage environnant. Tu avais l'impression de savoir ce qu'il te cachait.  De le ressentir au plus profond de toi. Qu'ici, tu n'étais pas en danger. Malgré l'épaisseur du mur de fumée, tu ne ressentais aucune peur. Tu marchais calmement, tentant à maintes reprises de traverser cette chimère. Tu n'avais pas l'intention de t'arreter. Pourtant, tu sentais la fatigue courir ton corps. Ta tête te tournait, de plus en plus jusqu'à ce que tu fermes tes yeux. Plusieurs secondes. Plusieurs minutes. Peut - etre une heure, ou tout du moins, c'était l'impression que tu en avais. Que le temps se prolongeaient et ne semblait pas vouloir te laisser t'échappatoire. Pourtant, lorsque tu ouvris de nouveau les yeux, le lieu dans lequel tu pensais être était bien différant. C'était une chambre. Ta chambre, plus précisément. Les draps blancs étaient encore tiède. La pièce était en désordre. Un éparpillement que tu trouvais pourtant agréable, sans savoir pourquoi. Tout te semblait familier. L'emplacement, la situation, les ressentiments.  Comme si tu avais déjà tout vue et tout vécu. Tandis que tu tentais de te rappeler de ce souvenir, tu tourna la tête vers ta droite. Le lit dans lequel tu étais couché portait en son creux une seconde personne. Il était de dos. Un morceau de son épaule dépassait de la couette. Ses cheveux à peine coiffé de la veille dégageait une douce odeur de shampoing. Il t'était familié.  Et contre toute attente, tu te vis alors bougé. Comme si ton corps et ton esprit était deux entité complètement distinct et qu'ainsi, il agissait de son propre chef. Tu te vis glisser ton corps nu contre le sien, enrouler ton bras autour de son ventre, et baiser doucement cette même épaule que tu avais remarqué plus tot. Tu sentais ton rythme cardiaque s’accélérer. Et brusquement, plus rien.

Tu sursautais, sautant carrément sur tes pieds, or de ton propre lit. Ton souffle était court, rapide, difficile. Ta main posé sur ton front, tu commençais à retrouver tes esprits. A retrouver un semblant de logique. Un semblant d'unité de corps et d'esprit. Ce souvenir, tu n'en avais pas eux peur. Ce n'est pas ça qui t'avait ainsi effrayé. Mais plutot le fait de te savoir impuissante sur ta personne. Exactement de la même façon que lorsque ta magie se laisse controlé par tes excès violent d'émotions. De la même façon que par la suite, la maîtrise de ton pouvoir t'échappe, se suffisant à lui même. Il aurait pus arriver n'importe quoi à cet homme cette nuit là. Tu as été folle, complètement folle, de le laisser entrer dans ta vie. C'est tout toi ça! Tu ne penses qu'à ton petit bonheur, sans penser une seule seconde aux conséquences d'une telle relation. Oh oui, parce que tu as toujours su, tu le savais, et tu le sais encore, que ce n'était pas qu'un flirt. Que tout aurait pus s'arranger si tu n'étais pas si têtue, si renfermé. Aujourd'hui, c'est du passé. Tout ça est bien loin derrière toi. Derrière vous.

Ton reflet te ramène alors à la raison. Ton subconscient avait guider chacun de tes gestes jusque là. En passant par la préparation de ton petit déjeuné jusqu'à la prise de ta douche, à ton habillage et à ton maquillage. Tu venais à peine d'appliquer une fine couche de gloss sur tes lèvres que tu sortis de tes pensées. Il était quasiment neuf heures et demi. Noah n'allait pas tardé à arriver. Noah ? Qui était Noah ? Cet petit monstre à l’auréole si brillante ? Cette petite touffe de cheveux blonds aux sourires étourdis ? Ce petit Alchimiste à peine plus haut que trois pommes ? Cela faisait neuf bon mois que tu en avais la garde. Ou plutot, que ses parents te le laissaient chaque jour de la semaine à la même heure pour venir le reprendre le soir, toujours aussi ponctuellement. C'était ça, ton métier. Tu gardais, occupais, prenais soin de cet enfant cinq jours par semaines. Pour tout dire, c'était un réel bonheur de partager une telle joie. Tu te savais déjà prête à assumer la charge de ton propre enfant à seulement vingt ans, si toutefois cet évènement devait un jour à se produire. Cela dit, tu ne pensais pas judicieux d’accueillir un bébé à cet âge. Il te fallait plus le maturité que ta petite existence ne pouvait t'en procurer pour l'instant, et un revenu complémentaire. Tu n'oublierais pas quelques choses Ellyn ? Si bien sur, un homme aussi.
Soupire. Aujourd'hui, Sarah, la deuxième petite fille dont tu as la charge est malade et ne viendra donc pas. Tu avais prévue de sortir en compagnie de ton protégé. Personne n'aime à etre enfermé toute une journée, d'autant plus dans un appartement, même spacieux. Tu connaissais la nature de Noah, il était rêveur au possible. Il ne pouvait marcher sans tourner la tête à droite ou a gauche de sorte à mieux apprécier le paysage. Comme si il ne pouvait s'empecher de le dévorer des yeux. Que pouvait  il bien voir de si absorbant pour en oublier de vérifier où il mettait les pieds ? Tu l'ignorais. Ou plutot, tu ne cherchais pas à le questionner. Ses parents ne le faisaient que trop bien, et tu comprenais le gêne qu'il ressentait. Viendrait un jour ou ce petit bout de bonheur viendrait à se refermer sur lui même après tant de réflexion. Tu gardais donc tes questions pour toi, le confortant dans les beautés du monde.

C'est donc pour cette raison que tu avais fais toute cette route jusqu'au musée. Tu pensais bénéfique l'effet de l'art sur les enfants en bas âges, et du haut de ses presque cinq ans, Noah était le sujet idéal à cette théorie. Ta main glissé dans la sienne, il sautillait tout à coté de toi, bavardant sur les mystères que pouvaient bien renfermer cette immense bâtisse. Evidemment, comme tu t'y attendais, il s'imaginait bien des choses, toute plus folles les unes que les autres, mais si innocente qu'elles n'en étaient que plus attendrissante. La jeune femme te vendit les billets et t'invita par la suite à entrer, ainsi qu'à suivre le parcours du musée. Noah te suivait de près, apeuré par l'endroit gigantesque. Bientot, les premiers tableaux qui étaient mis à votre disposition attirèrent son attention. Il n'avait d'yeux que pour les couleurs et formes de Picasso, les paysages ensorcelant de Monet ou l'exotisme de Rousseau. Tu le regardais d'un oeil attendris. Il allait devenir un charment jeune homme, fort, et cultivé qui n'aurait rien à envier aux brutes épaisses qui ne jurent que par leurs poings. Dieu sait combien tu les exècres.
Absorbée par tant de magnificence, Noah lacha même son ours en peluche pour s'approcher un peu plus près. Lui qui d'ordinaire ne le quittait pas, s'en était séparer plus qu'allègrement. Un sourire amusée, tu te pencha pour ramasser l'abandonné. Ta main en rencontra une autre. Alors que tu pensais voir en face de ton visage, le regard bleutés de ton protégé, ce fut le faciès d'un jeune homme que tu rencontra. Il semblait avoir remarquer la peluche et s'était sans doute empressé de la ramasser afin de la rendre. Cependant, il n'avait rien d'un inconnu. Il n'était pas ce genre de personne dont on croise le sourire pour l'oublier quelques jours plus tard. Non, puisque tu le connaissais. Il était l'homme de ton rêve, l'homme de ton souvenir. Celui dont tu embrassais l'épaule. Un prestataire de ton passé pour le moins, peu glorieux. " - Kiet.. Mais.. Qu'est ce que tu fais là? " peines tu à dire. Et que dire d'autre ! C'était sortie comme un poisson sortirais d'une poêle à frire! Echapper, tout simplement echapper. Tu ne l'avais pas revue depuis votre rupture. Tu n'avais plus entendu parler de lui non plus. Il avait tout simplement disparue de ton existence, grand bien lui en face. Peut - etre cherchait - il à t'éviter. Peut - etre. Qui sait ? " - Excuse moi.. Je te présente Noah. Noah, Kiet, c'est un ami. Et voilà mon chéri, je le garde à la maison, tu sais.. Je t'avais parlé de ma reconversion professionnel, non ? Enfin, voilà! C'est fait! Il partage ma vie maintenant! " essais tu de rattraper, maladroitement, ton éternelle sourire gravé sur tes lèvres.

C'est cette vieille peau Mona Lisa ?

Kiet & Ellyn

" Bin, j'étais venu regarder les peintures... "
Des peintures ? Quels peintures ? Pourquoi te parle t - il de peintures ? Ha oui! Mais bien sur! L'espace d'un instant, ton regard plongé et perdu dans le sien, tu avais oublié l'endroit dans lequel tu te trouvais. Le musée de la ville. Des centaines d'oeuvres d'arts y étaient entreposé, mis en valeur, et garder aussi surement que la couronne de la reine d'Angleterre. Après tout, ces tableaux faisaient partie intégrante de l'histoire de cette commune. Certains grands hommes étaient né ici, ou proche de ce lieu, et rajoutait un peu de leur ampleur sur l'authenticité de la chose. Le tourisme affluait en partie grâce au musée et à ses occupants. C'était un divertissement comme un autre, qui touchait généralement petits et grands sans discrimination d'origines. La technologie avait rendu possible un grand nombre de chose. Notamment un disque pré - enregistré dans différentes langues dans le but de mettre à l'aise ses allocutaires avec l'Histoire de chaque oeuvre. C'était un moyen intelligent d'appliquer ce genre de procédé. Pourtant, tu en voyais tout de même un inconvénient. Pour ce type de divertissement souvent familial, les casques audio ciblent principalement des personnes seuls ou du moins, assez mature pour gérer ce dispositif. Or, un adolescent, ou un enfant, ne saurait que s'ennuyer et préférerait vagabonder plutôt que d'écouter la voix pré - enregistré d'un guide virtuel. Noah aurait été bien plus intéressé de pouvoir s'adresser de lui même à un véritable accompagnateur en chair et en os et certainement plus à l'aise aussi. A son âge, tout en connaissant son caractère de rêveur invétéré, la diversification d'un échange verbalement humain aurait été d'autant plus bénéfique à facilité son écoute. Malgré tout, il n'aurait certainement pas eux la patience d'attendre que le reste du groupe assimile les informations qu'il aurait déjà traité et acheminé. Avide de savoir, curieux assoiffé de connaissances artistes, le petit homme n'aurait eut de cesse de poser milles et une question. Toutes plus pertinentes les unes que les autres, malgré son jeune âge. Il savait s'interesser davantage au ressenti de l'artiste plutot qu'à la technique utilisé lors de la réalisation du tableau. Mais il était ainsi, et il valait cent fois mieux que la plupart des enfants pourris gâté que tu avais eux l'occasion de rencontrer.
Lorsque Kiet te demanda si tu étais baby - sitter, tu n'eux qu'un simple sourire accompagné d'un hochement de tête à lui offrir. Il n'y avait pas a s'éternisé sur le sujet. Tu avais du trouvé une voie qui te correspondait, abandonnant tes cahiers et ton bureau, tu avais préféré quelque chose d'un peu plus humain. Ton coté maternelle avait surement beaucoup influencé ton choix étant donné qu'à l'époque, et encore maintenant, tu rêve toujours d'enfanter. Ton ex petit - copain s'abaissa à la hauteur de ton protégé afin de lui rendre son ours en peluche. Il le questionna ensuite sur ses gouts. Noah, incroyablement timide, enroulait ses bras autour de ta cuisse, cachant son visage contre celle ci. Sa réaction, plus qu'attendrissante à ton gout, te fis doucement rire. Tu glissa ta main dans sa tignasse clair, jouant avec ses bouclettes. " - Allez trésor, si tu continuais la visite ? Mais tu ne t'éloignes pas, je veux te voir, c'est d'accord ?" prononces tu tendrement. Noah leva son nez vers toi et hocha rapidement la tête avant de prendre la poudre d’escampette. Tes yeux le suivirent automatiquement, ayant du mal à t'en séparé. Tu n'aimais pas le savoir à moins de cinq mètre de toi, et encore moins seul. A posteriori, le musée n'était pas bondé, quasiment désert même. Les couloirs ne comportaient qu'une dizaine de personnes à peine, et il t'était facilement de retrouver sa silhouette si minuscule à coté de tant d'adulte. Après un soupire, tu reporta ton attention sur Kiet.

Lui semblait avoir changé. Ou bien était ce simplement une impression. Il t'avait toujours dépasser de plusieurs tête, mais aujourd'hui, tu le trouvais beaucoup plus imposant. Contrastant cet effet de molosse, tu retrouvais dans la finesse de ses traits et par la même occasion, la douceur de son amour. Tu avais toujours vue en lui plus que la plupart des idiotes pourrait. Tu voulais le connaitre, et l'apprécier pour lui même et non pour le genre qu'il se donnait d'être avec une tierce personne. C'était sans doute pour cette raison que vous vous étiez arrivé, pour cette raison qu'il avait finis par t'aimer, et toi par avoir des sentiments pour lui. Lorsque tu l'avais présenté à ton frère jumeau, il lui avait parut bien trop âgé pour toi. Ellian et la voix de la sagesse, tu aura tout vue! C'était seulement sa premiere impression. Ils s'étaient tout de suite très bien entendu quand bien même il n'était pas intime. Ton frère n'avait jamais tenu à sympathisé avec tes petits amis. Disons que tu n'avais eux que Kiet dans ta vie, mis à part un ou deux amoureux en cm2, tu n'avais jamais eux de relation aussi sérieuse que celle là. Vous ne pourrez pas dire que la routine vous avez bouffé, puisque que c'est même tout le contraire. Tu appréciais ces moments de pleine sécurité, tu n'avais plus à te poser milles et une question sur le pourquoi du comment, il était là et n'avait décidément pas l'intention de partir. Pourtant, l'impensable arriva. Ton monde s'était pour le moins effondré en même temps qu'eut lieu votre rupture. Tu ne comptes plus tes nuits à pleurer, le coeur brisé. Non pas parce qu'il t'avait blessé, mais parce que tu l'avais aimé comme jamais tu n'avais aimé personne. C'était certainement dur à avouer, mais il fallait bien que ça te tombe dessus un jour au l'autre. Tu n'avais gardé aucune rancune envers lui, c'était autant de ta faute que de la sienne.
Tu repousses une de tes mèches de cheveux, un léger sourire aux lèvres, presque intimidé par sa prestance. " - Bien! Je vais bien! Et toi comment vas tu depuis tout ce temps ? " réponds tu doucement, lui apportant un réel intérêt. Tu avais toujours eux cette fibre avec lui. Il avait été, et resterait surement, une personne incroyablement importante pour toi.

C'est cette vieille peau Mona Lisa ?

Kiet & Ellyn

Il n'avait pas changé. Ou du moins, il t'avait semblé toujours égal à lui même. L'homme dont tu étais tombé irrésistiblement amoureuse. Tu avais eux peur pourtant, au début, lorsque vous vous étiez connu. Tu n'avais pas tout de suite compris qu'il allait faire partie intégrante de toi. Tu n'avais pas imaginer ce genre de dénouement. Malgré tout, c'est bien ce qui était arrivé. Plus jeune, tu n'avais pas voulu laisser un autre homme que ton frère faire partie de ta vie. Tu trouvais cette idée absurde puisque tu n'avais jamais eux besoin que de lui. Il t'était indispensable, et pourtant, Kiet l'avait été pour ainsi dire, bien plus durant quelques mois. Tout était confus, quand tu eux compris les sentiments que tu avais à son égard. Le rythme cardiaque qui s’accélère. Le souffle qui se coupe. Les pensées qui partent en vrille. Tout coïncidait sans que tu ne te l'avoue. Tu n'avais jamais ressentis ce genre d'affection pour personne jusqu'à ce jour. Alors, quand votre couple pris enfin forme, tu n'arrivais tout simplement pas à y croire. Tu pensais sans cesse qu'il te jeterait à la moindre erreur, à la minuscule petite bétises. Cela dit, tu avais beau les enchaîner, il ne disait jamais rien. Quelque fois, il riait de toi et te pardonnait aussitôt, comme si de rien n'était. Comme si ce n'était pas la peine de s'en préoccuper. Cette tolérance t'avais permis de prendre confiance en toi, et plus important ; de t'épanouir. Grace à ça, tu étais devenu une véritable femme. Grace à lui.

Il te sourit, te félicitant pour ta nouvelle profession. Effectivement, c'était ta voie, et elle te correspondait bien. Tu étais mère sans l'être. Quant à lui, tu appris qu'il pratiquait toujours le même métier. Barman. Tu te souviens qu'à l'époque, tu avais eux peur pour lui, de nombreuses nuits. Il lui arrivait de rentrer plus que tard, tant et si bien que divers scénario se formaient dans ta tête. Tu te souviens l'avoir imaginer le crane éclaté par une bouteille de rhum après qu'une bagarre est éclaté. Ou battue à mort par des clients pas content. Pire encore! Mais tu avais vite laisser ces chimères à tes propres songes. Si tu devais te faire du mauvais sang, tu en avais conclu qu'il serait préférable que cela reste de l'ordre de cauchemars. Au final, c'était bien mieux comme ça. Tu profitais davantage des moments passé en sa compagnie. Mais tout ça remonte à si longtemps. Tellement longtemps que tu sentis un leger pincement se faire à ton coeur. Vous aviez tout deux fait en sorte que votre histoire s'arrête. Les mensonges, les excuses bidons, et le simple fait que tu ne sois pas aussi humaine que lui, avait tout changé. Tu n'avais pas eux envie de le confronter à ton monde en sachant pertinemment qu'au vue de tes activités familiales, il ne serait pas épargné. Sa sécurité t'importait plus que tout. Tu avais su dire au revoir pour qu'il reste loin de ce danger que tu représentais.
"Ca me fait plaisir de te voir. Ça te dit si on... On fait la visite tous les trois ? Enfin si tu veux heu ! Si tu veux pas, bin, tu veux pas quoi... "
Ton sourire s'élargit tandis que tes lèvres laissaient échappé un rire. Tu avais toujours trouvé étonnement craquant sa manière d'énoncer certain fait. Oui, effectivement, si tu ne veux pas, bin, tu ne veux pas. C'était logique. Mais si absurde que drole. Tu n'avais pas sentis tes joues rougir doucement lorsqu'il t'avait dit qu'il était heureux de te revoir. Plaisir partagé, qui plus ait. Tu n'avais pas eux le temps de justement, prendre du temps pour vous deux après votre rupture. Tu avais pensé cela important mais il avait disparu si vite que tu n'en avais pas eux l'occasion. " - Non, s'il te plait, restes! Ca sera plus... sympa. " avais tu répondu aussi simplement que ça, toujours ce même sourire greffé sur tes lèvres.
Tu commençais donc à avancer, surveillant du coin de l'oeil ton petit protégé. Il avait l'air complètement ébahi devant tant d'oeuvre, tant de couleur, tant de diversité. L'art était composé de multiples facettes. Il ne connaissait que la peinture pour l'heure et s'aventurait dangereusement vers les sculptures. Le reste de la visite serait plus instructive puisqu'elle était ajuster aux programmes scolaires des étudiants. Lorsqu'il serait plus grand, il aurait donc un point d'avance dans une matière, d'une manière ou d'une autre.  L'enfant revint vers toi, s'imiscant entre Kiet. Probablement avait - il sentis que quelque chose vous reliait l'un à l'autre. Peut - etre était il même jaloux. Qui sait ! Il te prit la main et tendit la seconde à Kiet. Cette initiative te fit doucement sourire.