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Lost in Tears ◇ Alan

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Lost in Tears ◇ Alan EmptyMar 15 Mar - 22:17
LOST IN TEARS


Outfits after work ◆ La pluie. Quelle belle invention de ce foutu dieu qui n'sert à rien mais en qui ils croient tous plus qu'aux créatures magiques. L'humain a parfois ce petit quelque chose qui donne envie au Balios de s'immiscer dans leur tête pour leur apprendre en qui croire. D'un point de vue personnel, il s'en fout, mais cette pluie est une excuse supplémentaire pour maudire son existence, sa dépendance à autrui de manière exponentielle, et aussi leurs croyances stupides et infondées... Mettez une vache en face d'un aveugle, il ne sentira que son odeur et demain aura oublié. Voilà leur effet sur les humains. Et il avait beau faire parti des spécimens le plus effroyables, cela ne changeait pas la donne: L'oubli et l'hallucination. N'empêche que cette foutu pluie ce n'était pas une hallucination. L'obscurité prenait sa place sur la lumière, une lumière déjà un peu absente depuis plusieurs jours, minant le moral de beaucoup. Dans les rues, on pouvait sentir jusque sur le pavé la dépression passagère de la moitié de ses pèlerins éphémères, et au milieu, cette silhouette sombre, à la peau blanche, clope aux lèvres, mains gantés de cuir, le regard absent qui avançait. Le parapluie large et solide, ne prenant pas le risque de finir en mode mermaid miniature et repoussante,  affalée sur la pavé. L'eau douce... il aurait voulu être waterproof, mais ça marche pas sur les Nucke. Comment se faisait-il que les alchimistes n'avaient toujours pas inventé un spray comme pour les godasses là, qui rend le cuir imperméable, mais spécial Nucke? Inadmissible. Alors faute d'être étanche, il se contente de ce maigre ustensile, qui menaçait de s'envoler sous n'importe quelle bourrasque.

Sorti d'une journée de boulot au Fenrhir's Antiquité un peu particulière, la tenue de ville avait été de rigueur, se jurant d'enfiler un jean déchiré et un bon vieux débardeur en rentrant au chaud. Approximativement 19h 15, sur une vieille à gousset, un héritage. La nuit s'annonçait glaciale et le ruissèlement de ce liquide glauque élançait sa sonorité douce dans les chaussées aux voitures devenues plus rares. Ouais. Seul sur le trottoir. Mieux que de croiser ce peuple bruyant qui ne savait plus réfléchir, plus vivre, juste plus être humain, à trop gueuler, trop exiger, trop se plaindre. Ce qu'ils pouvaient être fatiguants parfois à ne jamais rien écouter avec leur "moi je". Le regard du brun dépasse son col et son imposante écharpe, tapant sa clope dans le vide et il décide de couper à travers champ, dans un espace vert,  visiblement boudé de tous par temps de pluie. Presque pas d'éclairage ici... un lieu tellement idéal pour générer des cauchemars. Perdu dans ses pensées, il oublie qu'il pouvait ne pas être seul. Mais un bruit lui arrive. Léger. Vivant. Une présence. Il la sent. Où est-elle... Seule? Il observe autour de lui. Si ce sont des stryges, elles peuvent se foutre le doigt bien profond, il passera en mode intangible et finira invisible dans un coin à leur faire un fuck poétique. Qu'on lui foute la paix un peu. Bon ok, y'avait plus pacifique que lui, mais qu'y pouvait-il? Ce qu'il craignait le plus, c'est de recroiser ceux qui un jour lui avait sorti que maitriser mentalement un Nuckelavee de son envergure serait une arme de premier choix. Joker! Parle à ma main comme dirait l'autre débile dans son clip qui pique les yeux. JAMAIS personne ne le maitriserait. (c'est beau de se mentir) Ylian fait pourtant un pas de recul, cherchant la source qu'il a dépassé. Cette chose l'intrigue. Elle est là, il le sait. Un gosse perdu? Ou un animal peut-être. Il s'attend à tout et il n'a pas eu son quottât de curiosité aujourd'hui... Il tire une taffe de sa clope et s'avance par le coté, contournant un bosquet pour arriver dans un endroit isolé, couvert un peu par les arbres, découvrant.... bah merde alors... qu'est-ce qu'il fait là? Ses sourcils se haussent un peu, mais son visage retrouve vite toute sa neutralité... il s'avance, soufflant sa dernière toxine, jetant le mégot écrasé dans son gant au sol.  

Il pleure...? Ou bien il est sacrément enrhumé... Un regard de haut en bas sur sa silhouette détrempée et il s'attarde sur son état ... on dirait qu'il ne peut pas s'en empêcher. Il a déjà lu des choses là dessus... ces pleurs ne sont-ils donc pas humains...? Captivé, il s'approche calmement, retirant sa lourde écharpe de trois mètres de son cou. Peu importe la réaction du second, il prend sciemment son initiative. Son parapluie arrive au dessus de pleureur... "Tu vas attraper froid..." qu'il dit juste un ton posé et habituel. Sa voix n'est pas du genre à ricocher sur les murs. En général seul le concerné l'entend. Il baisse les yeux et lui pose d'une main adroite la laine chaude sur les épaules et entoure machinalement le reste avant de s'accroupir devant lui, tenant le parapluie plus haut  pour ne pas l'éborgner. Son regard sombre cherche le sien... Le temps semble s'être arrêter.  "Alan..." ça aurait pu être un piège, tant pis, ça aussi il assumerait. Il le connait. Le mec de la bibliothèque. Il s'est renseigné sur lui, juste par curiosité, et un de ses collègues lui a lâché son nom... mais jamais il n'aurait pensé qu'il ne soit pas humain... même s'il avait eu un petit quelque chose qui le laissait perplexe. A présent , il comprend mieux...  Il ne parle plus. Il se contente de regarder à travers ce regard débordant de larmes, submergé par les émotions violentes qu'il dégage. Ces yeux si clairs, qui cherchent à se vider de tout ça sans pourtant y arriver, et sa faim en face qui croit également devant cette profusion d'émotions... Il détaille chaque parcelle transformée... Aucun doute. Fascinant. C'est étonnant comme le hasard peut rendre une journée intéressante. Si la mort se part d'une pareille gravure, peut-être lui réserve-t-elle pire surprise pour la suite, mais il s'en moque. Qu'il soit créature vivante ou morte... ce n'est pas un faë c'est tout ce qu'il sait. Et même squelettique, il n'en reste pas moins d'une atypie tellement sensible qu'Ylian ne peut pas s'empêcher de rester là... "Je peux ... faire passer ça... " qu'il souffle simplement. ça? Cette tristesse immense qu'il ressent jusque dans ses tripes, comme un repas possible mais aussi un fardeau cruel pour Alan. Tellement forte que ses yeux s'embrument doucement de noir, absorbant ses iris puis les zones blanches, preuve que lui non plus n'est pas humain. Ses mains aussi noircissent, comme mille veines qui le contaminent, mais il ne le voit pas sous les gants. "Tu m'laisses faire....?"


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Lost in Tears ◇ Alan EmptyLun 21 Mar - 0:23
Ylian et Alan




I will be your deadman

Tétanie. Paralysie. Il a cessé de bouger, de respirer depuis des années, une décennie entière s'il s'écoutait. Il a arrêté comme ça, en claquant des doigts, en croyant que tout était à portée de mains, que facile était mot d'ordre sous ces nuages gris. Il a laissé ses jambes se planter dans le béton, faire de lui un arbre-ampoules qui grésille et a perdu de sa lueur. L'eau et l'étincelle, c'est pas le bon duo, c'est pas eux qui savent danser, ils tombent sans cesse, ils se ramassent dans la boue et se demandent encore pourquoi ils tentent une telle horreur. C'est dans ses tripes que ça prend place, dans son être que ça travaille et que ça lui ronge les os. C'est comme ce vieux chien qui accompagne l'odeur des poubelles, il vient taper dans ce qu'il peut, sans même demander l'avis à celui qui traîne son sac troué. Tout à l'intérieur ça brûle, ça pique, ça prend possession de ses doigts. Crispé, il est entre la lisière casse-gueule et la compréhension d'une éponge trop neuve. Il gonfle, il prend, il avale tout ce qu'il peut sans prendre conscience de tout ce que ça peut incomber. Alan le fait même pas exprès. C'est pire, pire à chaque fois depuis qu'il s'est à demi-réveillé dans ce creux de terre. La petite fille aux joues bombées qui a perdu son chat il y a tout juste deux jours. Cette vieille grand-mère assise sur son banc qui songe à ses enfants qui s'égratignaient dans ce parc d'antan. Cette femme qui va rendre visite à son frère hospitalisé. Ce type, qui tient entre ses doigts un bibelot dont les souvenirs tabassent les pensées d'une balle de plomb. Elle transperce la cage thoracique, s'écroule dans une flaque. Au moins, à déverser le flot d'émotions sous l'averse, c'est à confondre les deux. Plutôt amusant, s'il pouvait encore en rire. Si sourire n'était pas synonyme de craqueler la surface d'une peau fripée. Il reprend la pâleur du mort, de sa circonstance, il étouffe dans son propre cou et sa bouche sèche rejette toute goutte de cristal.  Révulsés, ses billes floues prennent une teinte rouge, ses veines éclatent de ce sang froid. Pitoyable spectre dont les soupirs s'éteignent au creux ses doigts.

Tout part sans qu'il puisse en donner la permission. Il le fait pas exprès, le fils Holmes. Il a pas demandé à l'univers de lui donner ce frisson sous la peau jusqu'aux nerfs. Il a pas le choix s'il veut pas exploser. Il est qu'une bombe humaine dont les fils se relient aux extrémités de passants qui songent, qui se font envahir d'une multitude de couleurs fades dont les saveurs perdurent dans le vent. Amer, acre, acide. Parfois consistant comme de la vase, souvent à peine perceptible semblable à de la brume. Il tousse, racle le fond de sa gorge et reprend une inspiration en entendant le plic-ploc du temps ricocher contre autre chose. C'est plastique, c'est faux. C'est l'homme-livres, le garçon qui traîne entre les buffets de romans. Il sait pas ce qu'il se passe, il assimile pas le reste, il se sent flotter, s'enfoncer dans un dédale. Il veut l'aider, qu'il dit. Il peut le faire. Sauf que ça couac, ça fait le contraire de ce qu'il veut. Tout au fond, ça fait battre son coeur d'une mélodie de purgatoire, il se raidit un peu plus, se transforme en statue. Mal, mal, encore plus mal. Des couteaux qui transpercent sa chair, ramollissent ses organes. Mal, mal, mal dans ses yeux noirs qui continuent de grossir. « Putain... putain... putain... » Ravale. Il y arrive pas, un grincement se fait la malle de sa parole, il le regarde, peut sentir sa propre peau se flétrir sous son boulet d'habitude. Il perd contrôle, arbore de cette forme qu'il aurait dû garder. Et sous sa trachée dissimulé se dévoile la plaie de son adieu. Joues creusées, il mord sa lèvre inférieure. « Bordel de merde. » Rien de plus. Il veut pas les sanglots, il veut les retenir, les faire disparaître au possible, ou au mieux résoudre les problèmes qui s'imposent. « CA FAIT MAL. » Il lui fait mal, celui devant lui. Tout est sujet à le foutre à terre. « Ylian, ça fait mal... ça fait mal.... » Même la logique n'en voudrait plus. Même le sens ne sait pourquoi. Il s'éparpille, s'éclate en particules, donne au ramasseur de larmes les lambeaux de ses mémoires.

© fiche par Ell, optimisée par Superno√A pour ASN


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Lost in Tears ◇ Alan EmptyMer 23 Mar - 22:32
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Outfits after work ◆ Une des particularités de notre cher Nuckelavee dégénerescent était que sous forme humaine, les barrières étaient levées. A savoir que sa noirceur nuck restait au fond. Avec le temps, il avait appris à contenir ses émotions violentes et mauvaises en profondeur, mais uniquement quand aucun détail de transformation même partielle n'apparaissait, sans quoi ces barrières étaient veines et ils finissaient par affecter les créatures autour de lui. Après une journée de travail assez forte et une faim naissante, il n'avait pu, en la présence de cette créature, empêcher toute transformation, et ses yeux ainsi que ses mains l'avaient trahi, libérant par ce biais sa vraie nature profonde, comme un raz de marée émotif dont il n'avait pas conscience. Cela expliquait pourquoi , à chaque fois qu'il avait croisé Alan avant n'avaient rien été de plus qu'un échange classique. Alan n'avait pu sentir en lui que les choses typiques aux humains et possiblement un semblant de nature torturée, mais rien à voir avec maintenant. Lui non plus ne s'attendait pas à lui faire un effet si désastreux et un cruel choix lui étira les tripes. Se nourrir de lui en prenant le risque de le voir vaciller dans ses bras sous la violence des émotions... ou alors partir maintenant, avec la culpabilité d'avoir lâche en le laissant ici livré à lui-même en proie à des émotions d'une violence sans nom qu'il venait de lui refiler sans le vouloir. Tu parles d'une merde! Dans tous les cas, Alan allait souffrir. Pourquoi n'avait-il simplement pas garder son chemin? Pourquoi avait-il encore une fois suivi cette putain d'curiosité qui lui avait si souvent porté la lame sous la gorge, et certaines choses ne changent visiblement pas avec le temps. Toute façon, l'heure n'était pas aux regrets, il devait assumer ce choix de l'avoir approcher et se démerder pour le sortir un minimum de cette torpeur hasardeuse qui les avaient mis tous les deux dans une situation fâcheuse. Quoi qu'une stryge ne se serait pas fait chier, en se disant que c'était bien fait pour sa gueule et qu'il a qu'à se démerder avec son empathie, qu'il aurait du rester chez lui s'il ne voulait pas être affecté par qui que ce soit. Cette phrase lui vint bien sûr à l'esprit, il n'avait pas une nature pure, loin de là, mais il se combattait lui-même, malgré un subconscient merdique qui le poussait vers l'ombre la plus lourde et la plus poisseuse.

Il ne traina pas. Sa main vint se placer sur les yeux de la Banshee, dont il ignorait la nature d'ailleurs et il approcha son visage du sien. Il maintint le parapluie au dessus d'eux, au vu du peu de stabilité de gestuelle d'Alan et ouvrit la bouche, à une dizaine de centimètres des lèvres d'une blond en pleine overdose. Il emploierait la manière la plus directe et la plus violente, mais il devait aspirer autant qu'il pouvait de cette torture provoquée. "Je sais... laisse moi l'temps..." Son visage, ses yeux, tout chez le blond le prenait aux tripes, lui qui n'était de sombres desseins.

Quelques secondes plus tard, Alan dut en sentir l'étrange sensation. Une volute noire et épais, comme une fumée de nicotine entachée de particule de charbon volatile, s'échappa d'entre les dents et les lèvres du jeune banshee... Une fumée qu'il avala abondamment, ses yeux noirs s'étant fermé sous la quantité qu'il ingurgitait. Il allait se rassasier pour au moins trois jours à ce rythme, nourri par sa propre maladie merdique, ses émotions nocives. Il sait que ça lui fait mal, mais techniquement, même si Alan absorbe encore certaines choses de lui (bien que c'est comme les lézards, ça repousse, et demain, elles seront de nouveau dans ses tripes), de son coté, il aspire lui aussi ses émotions si violentes et si denses, qu'il va s'en faire possiblement une indigestion, mais peu importe. Une fois ingérée, ses dernières ne sont pas reprenables, puisque de convertir en nourriture. Cette image d'auto nutrition par le biais d'un transfert semble pour le mois étrange, voire malsaine, mais elle a eu lieu sans leur propre consentement. Ils doivent bien y trouver une solution.

La fumée noire ne cesse d'entrer dans sa gorge, provoquant logiquement une sensation d’apaisement au blondinet... Allez Alan... dis lui que tu as moins mal... Sa main est toujours sur ses yeux, pour la simple hypothèse que son empathie passe par ces derniers, en le rendant aveugle, il en atténue les effets. Mais tout n'est qu'hypothèse. Les minutes sont longues, et quand enfin le filet noir se fait plus mince et que Ylian commence à en chopper la nausée, il se recule d'un coup, refermant la bouche, le visage caché sous la parapluie, et son revers de main venant compléter l'obstruction de ses lèvres... Il n'a jamais autant bouffer d'un coup, et le résultat n'est pas fameux. Plusieurs pas en arrière et il s'adosse à l'arbre, à une dizaine de mètres en face, s'accroupissant contre ce dernier. Non, tu n'es pas malade, non tu vas pas gerber de cette overdose... Ylian ne connait pas vraiment la créature qu'est Alan, mais il a découvert que pour une fois, une créature pouvait avoir raison de sa faim et plus encore foutre en vrac son gêne défectueux, le piégeant dans une dépendance à sa faim qu'il n'avait pas pensé possible. L'un est l'autre semblait être une menace mutuelle, mais indirectement, il en était fasciné. Masochiste à souhait, fallait pas s'étonner pour un Nuckelavee. Il relève un peu les yeux, dont la noirceur s'estompait lentement pour que plus une seule strie de noire de parsème son corps, même en non visible... "Désolé... j'pensais pas te faire encore plus de mal.. est-ce que..." Il avale sa salive, ses veines le maudissant de s'être gorgé comme un porc de cette offrande disproportionnée, et presque volée. "ça va un peu mieux...?"



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Angel & Dante

Félicitation à nos deux couillons élus membres du mois de d'Août pour leur rafale de RP et leur bonne humeur ! <3