Nom : Forrester Prénom(s) : Artemis Gaige Âge : 21 ans Date de naissance : 28 octobre 1994 Nationalité : Canadienne Origine(s) : Canadienne de mère et inconnue de son père Alter-Ego : Coyote Métier (études) : Étudiante en psychologie Niveau social : Très modeste Statut marital : Célibataire Orientation sexuelle : Bisexuelle affirmée Avatar: Kaya Scodelario ♥ Crédits: Tumblr & Hepburns Personnage: Inventé Petites curiosités Famille et proches - On ne va pas dire que j'ai une famille normale. Enfin c'est sûr, je n'ai pas grandi avec papa et maman avec moi. Je n'ai jamais connu mon père. Il paraît que je n'ai jamais eu le grand honneur de le côtoyer... ou ne serait-ce qu'avoir des informations sur sa personne. Captain Obvious m'a dit que c'était un berserker tout comme moi mais sinon que ça soit ma mère ou ma grand-mère, personne n'en a jamais parlé, c'était comme une sorte de tabou. Ma mère, cela fut.... compliqué. Elle est morte quand je n'avais que dix ans. J'ai grandi avec ma grand mère. C'est elle qui m'a tout apprit sur le surnaturel, les berserkers. Elle qui m'a aidé à me maîtriser. Je m'occupais d'elle en retour. Nous étions proches, elle était devenue ma mère. Bref, c'était le centre de mon univers. Oui, c'était. Elle est morte récemment, il y a un mois. Quand à mes proches, on va dire que je ne suis pas vraiment très sociable. Je n'ai pas vraiment de proches auquel je tiens comme à ma vie. J'ai toujours été du genre sauvage dirons-nous. Maîtrise du totem - Je pensais que ma maîtrise était acquise depuis des années. J'avoue que cela a été particulièrement dur pour moi. Mes premières manifestations ont montré leur bout de leur nez suite au décès de ma mère. J'étais en colère et rien ne pouvait me calmer. En colère contre ma mère, contre ma grand-mère, contre le monde mais surtout contre moi, ma propre faiblesse. Je ne vous cacher pas que j'ai eu pendant de longues années des accidents, des moment où j'étais obligée de me cacher pour déverser toute ma haine. J'ai fini par naturellement m'éloigner des humains, comme s'ils me faisaient peur. J'étais parmi eux, sans pour autant faire partie d'eux. Je ne me suis jamais vraiment attachée à cette masse informe. Je pensais maîtriser, je pensais ne faire qu'un avec mon coyote intérieur. Mais suite au décès de ma grand-mère, ma première fusion me prouva largement le contraire. La bête reprit rapidement le contrôle. Reprendre mes esprits s'est avéré compliqué. Depuis je m'interdis complètement l'exercice de la fusion avec mon totem. J'ai particulièrement peur de me noyer une nouvelle fois dans les instincts de la bête. C'était sans compter sur cette bête qui s'agite en moi pour recommencer. Bref, plus que jamais je suis victime de sautes d'humeurs. Sensibilité - J'ai connu de nombreuses phases de sensibilité extrême. A vrai dire, je ne compte plus le nombre de fois où j'ai été en état de furie malgré moi. Dans ce genre de situation, seule la douleur semblait me garder humaine. Malgré tout j'ai eu du mal à rester maîtresse de mes émotions. Un rien me faisait partir en vrille. Mais le coyote a toujours veillé à me tenir éloignée des humains. Mon combat pour la maîtrisé fut particulièrement compliqué. Quand à ma fusion, comme dit plus haut. Je l'évite comme la peste. Ne l'ayant réalisé qu'une seule fois, mon esprit s'est vite effacé au profit de l'instinct animal. Cependant, le peu dont je me souvienne était franchement grisant. Mais je ne retenterai pas cette transformation avant d’être encore instable sur le plan émotionnel. Autant dire que ça ne sera  pas demain la veille. Points faibles - Des points faibles ? J'en possède trois. Ma mère, ma grand-mère et mon père. Parlez-moi d'un des trois et c'est la porte ouverte pour que je passe en mode furie. Le suicide de ma mère, son alcoolisme, bref un tas de trucs, autant dire que je suis toujours très sensible sur le sujet. Ou le décès récent de ma grand-mère, celle qui faisait tourner tout mon univers. Nous étions toutes les deux des coyotes, notre famille était devenu comme une meute. En perdant le seul membre de la « meute », j'ai été profondément affectée, sans quand comptée qu'elle était le dernier membre de ma famille. Puis mon père. Bordel, mon père. Il n'y a de mots pour décrire la rancœur que j'ai contre lui. C'était simple pour moi de le détester. Il n'a jamais été là. C'est à cause de lui que ma vie est telle qu'elle est. Bref, je lui donne toute la responsabilité deux deux morts que j'ai cité précédemment. Ces trois raisons représente le top 3 de: comment me foutre en colère en moins de 5 secondes. Si vous venez à me parler, mettez en place la loi suivant: ne jamais parler de la famille.

 


 qualités
 Loyale
 Taquine
 Souriante
 Altruiste
 Fidèle
  défauts
 Lunatique
 Trop franche
 Vulgaire
 Mystérieuse
 Indélicate
 

Non sérieusement. Je suis obligée de passer par cet étape ? Non parce que je ne suis pas la personne la plus intéressante de cette ville hein ? … Bordel. Que vous dire de moi. J'ai des soucis de poils et de sautes d'humeur... et c'est plus qu'une fois par mois. J'ai toujours vécu dans cette ville et j'y ai la réputation d’être la rigolote du coin. Je suis toujours celle qui amuse la galerie qui fait des blagues. Globalement on pourrait dire que je l'entends avec tout le monde. Je suis ce genre de personne que tu verras toujours sourire. Alors forcément, les gens apprécient. On pourrait croire que je suis sociable, mais c'est loin d’être le cas. En vrai, je suis complètement incapable de créer des liens tangibles avec les autres. Je n'ai que des connaissances. Je n'ai jamais vraiment eu le courage d'aller plus loin, de faire confiance à quelqu'un d'autres qu'à ma propre personne, ou à certains.... "élus" dirons nous. Je n'irai pas spontanément parler de mes problèmes aux gens. Je ferai n'importe quoi, mais apprendre me connaitre vraiment... autant dire que c'est la croix et la bannière. Dès qu'une discussion commence à s'intéresser à moi, je fais tout pour le sujet change. Je raconte une blague. Je retourne sur mon interlocuteur. Bref, je fuis le sujet à ma manière quoi.

Ce qu'il faut aussi savoir sur moi c'est que je suis quelqu'un... D’entière. Je ne sais pas faire le choses à moitié. Je ne suis pas heureuse, non je suis la joie incarnée. Je ne ris pas, je m’esclaffe à m'en faire mal au ventre. Je ne suis pas énervée, je pourrais commettre un meurtre. Bref, jamais dans la demie-mesure et toujours dans l'excès. Ce qui fait que je suis incapable de mentir ou ne serait-ce que de cacher ce que je ressens. Je suis très expressive. Autant dire que mes mimiques peuvent être un vrai livre ouvert sur mes émotions. Je suis capable de passer du grand sourire au cri en moins de quelques minutes montre en main. J'ai toujours eu de mal à maitriser mes émotions. Autant j'avais appris à les contrôler, mais dernièrement c'est devenu compliqué. Depuis que j'ai repris ma forme humaine, j'ai du mal à tout gérer. Certains diront que je suis une vraie folle, d'autres que je suis hyper-sensible. Je n'ai pas encore réussi à savoir si j'étais l'un autre l'autre.... ou les deux.

Ensuite ce qu'il faut savoir sur moi, c'est que j'ai un don. Non, ne je pensais aux griffes, aux crocs et aux jambes velues. Non, mon super pouvoir à moi, c'est de mettre les pieds dans les plats avec élégance. Je suis particulièrement talentueuse pour faire des bourbes. Parler amour à fille qui vient de se faire larguer, évoquer le sujet qui fera polémique pendant plusieurs heures... bref je ne suis pas douée. Ou enfin si, douée pour attirer les situations awkward. Ajoutez à ça mon habitudes à lâcher des jurons et à manquer totalement de finesse... Oui ne comptez pas sur moi pour vous sortir un poème. Mais par contre une blague salace, PAS DE SOUCIS ! J'en ai un tas en réserve. Souvent, on me dit que je ne suis pas une "vraie fille". Oui, clairement avec mon attitude de roturière... on peut avoir des doutes.

Ajoutons enfin que je suis quelqu'un de particulièrement fidèle. J'ai toujours pensé que c'était ma partie de coyote en moi, quand je suis amoureuse, je suis complètement dévouée à la personne. Je n'envisage pas d'aller voir ailleurs ou de papillonner. Enfin, après, il faudrait que je sois amoureuse... oui et c'est rare pour moi. Le reste du temps, je suis plutôt du genre à cumuler les conquêtes d'un soir. Je n'aime pas m'attacher. Et le peu d'attaches que je peux avoir, je suis un modèle de loyauté avec ces personnes. Je suis quelqu'un de dévouée. Il faut croire que j'aime les problèmes des autres. C'est probablement pour ça que j'ai choisi les études en psychologie. Je préfère m'occuper de soucis des gens plutôt que des miens, c'est une manière comme une autre de fuir.

Artemis, 10 ans
Madame Forrester,
Je vous écrit cette lettre dans le but de vous communiquer les soucis récent que nous avons avec votre petite-fille, Artemis Forrester. Nous savons pour la perte de votre fille et nous vous transmettons nos plus sincères condoléances. Mais ce tragique évènement a de graves répercussions sur Artemis et sa relation avec les autres élèves de notre école. Nous avons toujours connu votre petite-fille comme une demoiselle réservée, calme, discrète. Nous pesions qu'elle souffrait d'une timidité extrême. Cependant depuis son retour, le fait est que son comportement c'est considérablement détérioré. Elle est devenue agressive. Elle rejette tout: ses amis, les professeurs, l'autorité en général. Artemis a fait souvent preuve de violence envers ses camarades de classe. Elle a même mordu un jeune garçon ! Il est devenu particulièrement difficile pour les enseignants de contenir Artemis. Il est apparu que votre petite-fille soit devenu un véritable problème pour notre école. Bien entendu, je comprend que tout ceci est du au choc émotionnel causé par la perte de sa mère. Mais puis-je vous conseiller de faire suivre Miss Forrester par un psychologue. Je pourrais vous communiquer des adresses de très bons spécialistes dans l'enfance. Mais pour le moment l'école reste sans solutions pour cette jeune demoiselle. Nous espérons que les choses s'arrangeront le plus possibles pour votre famille.

La Direction


Artemis, 17 ans
Je respirais doucement. Je sentais clairement mon coeur qui était en train de battre à tout rompre. Mais je devais me calmer. Inspire et expire Art'. Je devais faire le vide en moi, c'était ça la clé pour garder le contrôle. J'avais mes yeux clos, cela aidait à faire le vide en moi. L'enveloppe était juste devant moi. Mais j'avais été incapable de l'ouvrir. J'étais en pleine panique. Je savais que ce petit bout de papier, il y aurait un résultat particulièrement important pour moi. Alors autant dire que j'étais à deux doigts de basculer en furie. Mais justement, c'était le bon moment pour tester ma maitrise sur mon alter-égo. Même si je m'étais nettement améliorée depuis ses huit dernières années. Il persistait des petites.... « fuites » dirons nous. Quelques petits accidents de colère, mais il y avait bien longtemps que j'avais arrêté de me cacher dans les wc pour mes planter furieusement les griffes dans les paumes de ma main. Dans ce genre de situation, il était apparu que c'était l'unique chose qui me permettait de redevenir moi-même. La douleur. J'ouvris doucement les yeux, je regardai successivement l'enveloppe et ma grand-mère qui était juste devant moi. Elle avait sur moi ce regard sage qu'elle avait tout le temps. Elle avait toujours veillé sur moi. Elle sourit doucement pour m'encouragea à l'ouvrir. Après tout, je ne pouvais pas revenir en arrière, je ne pouvais aller que de l'avant. Combien de fois ma grand-mère me l'avait-elle dit ? Toujours aller de l'avant, toujours avancer. Quand on avait un mur derrière soi, la seule chose qu'on pouvait faire s'était avancé, toujours. J'allais le faire. J'allais avancer. Mes doigts déchirèrent avec précaution la bordure de l'enveloppe. J'allais enfin savoir si j'étais accepté en faculté de psychologie. C'était maintenant que la suite se décidait.


Artemis, 19 ans
Je rassemblais mes cheveux dans un chignon fouillis. J'avais mon crayon dans ma bouche et mon livre poser sur mon lit. Allé Art', c'était le moment ou jamais de se concentrer. J'étais en tenue de …. révision. Ouais autant dire que ce n'était pas franchement sexy. Je ne portais un leggins noir et tee-shirt large avec un coyote dessus. Oui, ça m'avait fait franchement rire que je l'avais acheté. J'étais maintenant une véritable petite étudiante. Ma grand-mère n'avait de cesse de me dire à quel point elle était fière de moi, de la manière dont je m'étais débrouillée. Qu'elle était fière de mon travail acharné... autant avec mon coyote qu'avec mes révisions. Cet appartement, bien que franchement modeste – et entre nous je m'en fichais pas mal – était ma récompense pour tout ça. Je souris en passant mes doigts sur le collier autour de mon cou. C'était une bague ou bout d'une chaine. Elle avait appartenu à ma grand-mère et par la suite à ma mère. Maintenant elle était à moi. « Souvenir des femmes coyotes de la famille » m'avait dit mamie. Bien que les liens parentaux n'avaient rien à voir avec notre alter-ego, mamie avait dit que les femmes de la famille avait plutôt tendance à être des coyotes. Sauf la tante Maya qui avait hérité d'un alter-égo d'ours brun. Je ne pus m'empêcher de lâcher un petit rire. Quand j'entendis des coups sur ma porte. Je redressai la tête et allait directement ouvrir. Je reconnu directement Flynn. Hey ! J'étais en train de … réviser. Tu m'avais envoyé un message ? Je fis entrer le jeune blondinet. Immédiatement je sentais comme apaisée. Ma  grand-mère m'avait dit que c'était l'effet qu'avaient les alchimistes sur nous les berserkers. Nous autres nous étions comme « soumis » en leur présence. Nous ayons pour instincts de leur obéir. Enfin avec Flynn j'avais surtout l'instinct d'être plus … détendue. Il fallait dire que le blondinet était beaucoup plus calme que moi. Mon regard se posa sur lui. Je détournai presque le regarde immédiatement, raaah. Je me sentais un peu con à cet instant. Alors tu es venu pour que je psychanalyse Flynn ? Je ne pus m'empêcher de rire légèrement. C'était plus fort que moi, il fallait que je fasse le pitre. Surtout que je voulais éviter de trop penser … surtout.



Artemis, 21 ans
Cher journal.

Je me sens totalement stupide d'écrire ça maintenant. J'ai 21 ans, et voilà que je commence à tenir à journal intime ! Incroyable mais vrai. Mais c'est une conseil de mes professeurs. Alors attend, je résume, parce que tu as loupé MASSE trucs ! Dans les épisodes précédents de « La vie d'un coyote sauvage »: la petite Artemis a vu sa grand-mère mourir et dévastée par le chagrin, elle se change en coyote. Mais emporté par la tristesse, la colère et beaucoup de ressenti, elle perd rapidement le contrôle et se laisse dominer par son instinct bestial. Après un mois de balade avec chasse, pêche, nature et tradition, le petit coyote rencontre une banshee aux cheveux couleur de feu. Grâce à elle, l'humaine ressurgit et Artemis se retrouve toute nue dans la forum.... Saloperie de naturistes ! Bref, après cette période dont je n'ai pas le moindre souvenir... ou enfin des images qui me reviennent de temps en temps... il avait fallu que j'explique à la fac pourquoi je m'étais absentée pendant presque un mois et ce sans prévenir personne. On m'avait avoué qu'il y avait eu un avis de recherche me concernant. Par chance, la tante Maya... ben tu sais la tata ours brun ? Bref Maya vivait en pleine foret à l'ouest du Canada. Pas de téléphone rien, la nature sauvage. J'avais expliqué m'y être exilé suite au décès de ma grand-mère pour me ressourcer et couper les ponts. Par chance, ceci avait été bien accepté. En revanche, il avait été mis en lumière que j'étais devenu très instable sur le plan moral et humeur. Les profs m'avaient conseillé de tenir ce journal... et ceci en sera le début. Bienvenue dans « La vie d'une coyote sauvage ». La suite au prochain épisode.


Artemis, 21 ans
Je laissais l'eau couler sur mon corps. Chaude, comme je l'aimais. Je fermais les yeux pour laisser la douce sensation de chaleur me caresser le corps. La journée avait été longue et je m'étais donné à fond avec l'équipe de hockey du campus. Par chance, mon avantage de berserker faisait que je ne souffrais pas de courbatures ou de douleur, je me soignais beaucoup trop vite pour finir clouée au lit. En revanche, je ne disais jamais non à une douche brulante. Puis il y avait des fois ou je souffrais du froid. Il fallait dire que j'avais pris l'habitude de porter une grosse fourrure sur le dos il n'y avait pas si longtemps que ça. La peau humaine était clairement moins efficace pour me réchauffer que l'épais pelage du coyote. Dans les cas ou j'avais froid, l'eau chaude était devenue ma meilleure alliée. Je poussais un long soupir, j'avais essayé tant bien que mal de me souvenir de cette période, mais il n'y avait plus rien. Je me souvenais d'un sentiment d'être libre. Comme si j'avais tout oubliée, comme si pendant un instant j'avais laissé ma vie de coté. Cela avait été tellement... grisant, jouissif. Sauf que c'était tout ce dont je me rappelais, des sensations, des flashs. Il y avait un mois complet de ma vie qui avait été effacé et je ne me l'expliquais pas. C'était perturbant. Je tournai la tête d'un coup. Entre le bruit de l'eau qui coulait, j'entendais nettement des bruits de pas. Quelqu'un se rapprochait. La poignée de la porte pivota. Je reconnu tout de suite la créature à la chevelure de feu qui apparu. Un sourire amusé naquit sur mon visage. Sourire qui grandit quand j'entendis le bruit de vêtements choir sur le sol. Le rideau de la douche s'ouvrit pour me laisser place à une vision particulièrement appréciable. Je pris le temps de regarder de bas en haut ma « sauveuse » qui portait le doux prénom de « Sonja ». Salut toi Sans attendre de réponse je lui attrapai le bras pour l'attirer sous la douche avec moi. Je me retrouvai juste après le dos collé contre le carrelage de la douche. Je plaquai mes lèvres contre les siennes. Mes mains se faufilèrent sur son dos. Mon cœur pulsai si fort. Cet instant, j'oubliais tout. Je ne pensais plus à rien... ou enfin si à la belle banshee qui était avec moi. J'en oubliais presque qu'à cet instant, je me m'étais pas maitrisée et que mes yeux luisaient d'une lueur bleu glacée. Mes griffes avaient déjà entamé le dos de la rouquine, mais ceci, c'était un petit détail.