Nom : Lundberg, et oui un nom allemand pour un phoenix ça choque hein? bha oui sa famille du côté de son père on la bougeotte. Prénom(s) : Freya Rae Âge : 150 ans Âge d'apparence : 35 ans Sous-espèce : Phoenix Date de naissance : 31 octobre 1866 Nationalité : Anglaise (de base) puis Américaine, et actuellement Canadienne Origine(s) :  anglaise et allemande Métier (études) : Propriétaire d'une boutique d'antiquité & ecrivain Niveau social : Aisée (très même) Statut marital : célibataire Orientation sexuelle : Hétéro Avatar: Keira Knightley Crédits: Tumblr Personnage:  Inventé Petites curiosités Famille et proches - De sa famille il ne lui reste que les souvenirs, qui parfois s’efface à cause du temps qui lentement passe et fait son office, elle vit peut être longtemps mais elle n’a pas un disque dur à la place de son cerveau. Sa mère étant morte dès suite à une maladie lors de son enfance, ce fut son père qui l’éleva, il était très proche d’elle, partageant avec elle son gout pour le voyage, le savoir et l’égalité ainsi que son ascendance de fae transmis à sa fille. Elle fit aussi la rencontre de deux personnes qui partage sa vie, un ami djinn qui enfant lui avait laissé un mauvais souvenir et avec qui elle a par la suite partagé plus de trente ans de sa vie entre voyage et amusement. Puis celui de son compagnon mort dans un accident, aujourd’hui encore elle porte les stigmates de cette perte, même si elle s’est lentement reconstruite surtout après son passage à la Nouvel Orléans. Position sur le conflit -Freya est assez partagé quand a sa position envers le conflit entre les Faes et les Styges, car elle sait bien qu’à la base ceux-ci faisaient partis des faes. Pourtant elle qui a vécu plus de cent an elle a bien ressentis la pression, et la fragile paix qui risque à tout moment de basculer d’un côté ou de l’autre. Elle sait bien qu’un jour tout recommencera et si elle n’as pourtant aucune rancune particulière contre eux, elle sait qu’elle choisira tout de même de se battre contre eux. Elle est donc bien heureuse de cette paix même éphémère et croit en une réconciliation des deux peuples avec beaucoup de temps et d’apprentissage. Attitude face aux humains - Elle ne peut pas détester les humains, pas après en avoir vécu tant de temps auprès d'eux, les observant avec attention. Encore aujourd’hui ces années reste les plus merveilleuses pour elle, les plus douces et les plus aimantes. Elle respecte autant qu’elle admire ces êtres qui n’ont pas conscience de ce qui les entourent et vive librement sans pensait qu’une guerre couve juste sous leurs nez. Ses relations avec la cour des faes et comme la plupart des autres, neutre, elle n’éprouve pas de rage ou de joie en particulier n’ayant connu que ce système depuis sa naissance. Néanmoins c'est sa curiosité qui l'as poussé à venir s'installer dans cette ville, surement à cause de l’afflux massive d'êtres surnaturelle. Points faibles - L’eau : Cette peur insidieuse et irréaliste qui coule dans ses veines, le phoenix en elle hurlerait à l’approche de grand étendu mais la petite fille qui était tombée dans la tamise encore plus. Une chose était sûr, les douches oui, une piscine passe encore mais les lacs, océans et mers HORS DE QUESTION. Sous peine de crise de panique, limite hystérique et perte de conscience. Et oui on ne plaisante pas avec l’eau. Sa curiosité : ce n’est ni un défaut ni une qualité mais cela pourrait être considéré comme un point faible, son besoin de savoir, d’apprendre vient de cette curiosité insatiable que son père lui a transmis mais cela lui joue des tours aussi. Comme la fois ou elle s’est retrouver dans une tribu africaine au mauvais endroit au mauvais moment.

 


 qualités
 Forte
 Déterminé
 Maternelle
 Honnête
 Intelligente
Intrépide
  défauts
 Bornée
 Vulgaire
 Impatiente
 Sarcastique
 

La première chose qu’on remarque chez Freya outre son physique c’est la facilité avec laquelle elle s’adapte à toute chose, ayant beaucoup voyagé dans sa vie le phœnix à rencontrer moult et moult situations, souvent causé par son intrépidité et sa curiosité, mais ou son intelligence et surtout une bonne dose de chance l’on sortit de ce tracas-là.
Ses voyages, une part importante de sa vie, donné en héritage par son père, tout comme sa soif inébranlable de savoir qui la toujours nourrit et aider lorsque les moments étaient trop durs. Ces surtout grâce à sa force et sa détermination qu’elle a évité de sombre après la perte de l’homme qu’elle aimait, néanmoins des traces de cette tragédie subsiste dans des notes de sarcasme qu’elle adore distiller partout se plaisant à dire des vérités parfois blessante ou des mots acerbes au gens qu’elle n’apprécie pas ou qu’elle n’arrive pas à cerner, comme un bouclier la protégeant.
Mais une fois que l’on connaît un peu plus la fae, on découvre une facette d’elle qui entre directement en contradiction avec un autre point de sa personnalité : elle est à la fois très protectrice et maternelle mais peut être une véritable charretière et impatiente, un habile mélange qui peuvent parfois provoquer des moments causasses.

Elle n’est pas née du feu, ni de la rencontre de la foudre et des eaux du Nil seulement de celle d’un phœnix et d’une anglaise. Son père d’origine allemande était professeur d’histoire ayant le besoin de quitter son pays natale pour de nouveau horizon. Etait-ce dans ses gênes de phœnix ? Surement, toujours est-il que de leurs rencontre naquis la petite Freya Rae Lundberg une enfant qui montra très tôt à son père son ascendance de fae. Suivi cette découverte, l’éveil de ses pouvoirs vers l’adolescence et des premières règles qui ont dû régir sa vie.

Les premières épreuves de la vie, comme la perte bien trop jeune de sa mère emporté par une maladie, les tensions politique de l’Europe, et celle plus profonde et mystérieuse que la bataille entre les faes et les stryges. Jamais à cette époque elle n’eut le loisir de rencontré ces être ailés, son père lui avait appris à ne pas juger cette guerre qu’il espérait n’éclate pas. Par contre une rencontre la perturba à tout jamais, celle d’un ifrit, un djinn du feu. Elle était jeune, il était envoutant, elle ne savait pas ce qu’il était, lui ne se contrôlait pas.

Oh il ne lui fit pas le moindre mal, mais les djinns sont connus pour être parfois des faes sur le fils du rasoir, ni méchant, ni bienveillant ils semblent jouir d’un statut particulier. Et l’attraction que Freya ressentis lorsqu’elle fit pour la première fois sa rencontre fut un mélange de curiosité et de peur. Elle céda, comment ? Elle ne s’en souvient plus, après tous,nombres d'années sont passé sous les ponts, mais seul le sentiment d’échec était resté dans son cœur. Elle lui avait montré sa flamme et il avait apprécié, un sentiment d’impuissance et de faiblesse avait achevé la jeune fae lorsqu’il lui avait montré un sourire satisfait.

Mais la pire expérience pour la jeune fille fut le jour ou elle tomba dans la tamise, si déjà l’eau n’était pas un élément qu’elle appréciait pour sa nature de phoenix, elle en fut encore pleinement convaincue lorsqu’elle sombra dans la panique ne voyant pas le fond de cette eau si trouble et forte. Elle fut sauvé par des passants, et c’est trempée qu’elle rentra chez son père ce promettant de ne plus jamais s’approcher d’une eau sans fonds. Evidemment son père fut inquiet pour elle, il la sermonna, la puni et pourtant il ne pouvait empêcher sa fille de grandir.

Les années passèrent, et une envie pressante et impérieuse de retourner à ses racines se fit sentir pour Freya. Malgré un nom venant des pays germanique et une origine anglaise de par sa mère, la fae ressentait le besoin de découvrir d’autre lieu, d’autre horizon comme son père jadis. Et c’est ce qu’elle fit, elle apprit beaucoup grâce à ses rencontres, ses gens et leurs histoires, leurs vies qui passionnaient la fae. Lui faisant découvrit une autre facette d’elle plus proche de son père : la soif de découverte, d’apprentissage et de voyage.

Elle dû stopper ses voyages lors des deux guerres mortels, et ne revient qu’après la seconde dans son Angleterre natale auprès de son père qui finissait ses dernières années. C’est là qu’elle fit à nouveau la rencontre de ce djinn, celui qui lui avait laissé un gout amère, et cette rancœur au fond d’elle. Pourtant elle ne l’avait pas attaqué, ni même couru après, c’était un concourt de circonstance si les deux faes c’étaient retrouver en cette journée d’été 1955. Freya était plus sûre d’elle et avait appris à se géré pour ne plus succomber comme la première fois, même si le charisme du djinn était palpable.

De cet évènement naquis une amitié étrange entre un djinn et un phœnix, se découvrant plusieurs points commun et aussi l’amour du voyage. Et pendant presque trente ans les deux amis voyagèrent ensemble à travers l’Europe et l’Afrique, ils se séparèrent voulant chacun voir de nouveau horizon sans pour autant coupé les ponts et gardant une correspondance malgré les décennies passantes. C’est lors d'un retour en Angleterre alors qu’elle lisait avec amusement la lettre de son ami qu’elle tomba sur un homme qui chavira son cœur.

Une rencontre banale, un homme assis à côté d’une jeune femme la complimentant. C’était simple, c’était amusant et la fae se laissa prendre au jeu. Ils se revirent, plusieurs fois, puis vient les moments plus intimes, plus proches, de l’amitié à l’amour, et inconsciemment elle espéra avoir une famille peut être avec lui. Après tout elle ne c’était encore jamais posé, adoptant plutôt la vie bohème de son ami djinn. Mais la vie réserve toujours des aléas, et elle n’épargna pas Freya, ce fut là où elle perdit pour la première fois la vie brutalement.

Un incendie, dans l’immeuble ou ils vivaient, un feu embrassant tout sur son passage, un feu bien plus dévorant et puissant que ce qu’elle avait connu jusqu’à présent, celui où elle avait perdu une personne chère à son cœur ainsi que ses souvenirs les plus proches. C’est meurtrie et blasé qu’elle sortit de cet histoire. Quittant tout ce qui pouvait lui rappelait l’Angleterre, elle partit dans une ville qu’elle avait toujours voulu visiter : La Nouvelle Orléans. Elle apprécia énormément l’ambiance et la convivialité de cette ville, foulant ces terres mystiques et chaleureuses.

Elle fut là pour aider à la reconstruction de la ville après les évènements de Katrina, elle fut encore la quand Isaac détruisit une nouvelle fois ce lieux magnifique, elle n’était jamais autant resté seule dans une ville, et pourtant progressivement elle sentait le besoin à nouveau de voyager. Traversant les Etats Unis, elle visita le nouveau monde, descendant en Amérique du sud avant de repartir au nord pour découvrir une terre qui était aussi lié à ses origines de fae.

Au canada la cour des fae s’étaient installé et même si Freya n’éprouvait pas une attirance particulière, elle était curieuse à l’idée de résidait dans la même ville que la reine et sa cour. De plus elle semblait intrigué par la paix instauré par la précédente reine et que la nouvelle semblait vouloir continuer. Les stryges et les faes dans une paix plutôt stable, et vivant dans un même lieu, il y avait de quoi titiller la curiosité de tous. De plus elle songeait souvent à son père qui lui avait parlé avec passion, respect et crainte de ces êtres ailés.

Elle s’installa alors dans cette ville avec une certaine frénésie, ouvrant une boutique d’antiquité grâce à l’argent amassé progressivement depuis ces dernières années et voyage. Écrivant des guides touriste comme passe-temps, elle commence doucement à se faire à cette nouvelle vie, espérant aussi retrouver son ami djinn.