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Méfie toi de qui tu bois le sang... Pourquoi on ne me l'a jamais dit ? Enfin, si, mais pourquoi on ne m'a jamais dit de quoi ça avait l'air les poisons sur pattes ? ~ Ganaël & Willy

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Méfie toi de qui tu bois le sang... Pourquoi on ne me l'a jamais dit ? Enfin, si, mais pourquoi on ne m'a jamais dit de quoi ça avait l'air les poisons sur pattes ? ~ Ganaël & Willy EmptyMer 20 Jan - 13:42
Ganaël & Willy




"Faim, on a très faim ! On voudrait bien manger !"


Comme à chaque fois que ça se réveillait, c’était en pleine nuit. Depuis qu’il tentait de se contrôler, de persuader son corps et sa nature profonde, sa nature sauvage, ça se manifestait toujours quand il tentait de dormir ou de se poser tout simplement. De quoi ? Sa soif. Sa soif de sang, d’hémoglobine, de cellules sanguines, du liquide rouge du palpitant. Petit Stryge essayait tant bien que mal de contrôler le monstre potentiel qui sommeillait en lui, mais il fallait bien avouer que c’était plutôt pitoyable. On ne lui avait jamais appris quoi que ce soit sur son espèce, du moins, encore moins que le minimum syndical, sa connaissance de lui-même étant minime, il devait bien apprendre par lui-même, non ? Faire des tests, voir jusqu'où il pouvait aller, exactement comme les enfants. En même temps, Willy était un enfant. Dans un sens. Ou même dans plusieurs, mais bref, ce n'est pas la question. La gorge en feu, les mains autour de cette dite gorge, roulé en boule sur son lit, les cheveux sur le visage, il grognait de douleur, mais d'angoisse aussi. Cela faisait pile deux semaines qu'il ne s'était pas alimenter. Si alimenter était le mot qui convenait. Comment il avait tenu jusque là alors qu'il fréquentait en permanence des humains, il n'en savait strictement rien, mais il l'avait fait. Et il le regrettait. Sévèrement.

Se traînant comme il le pût hors de son lit, le Stryge parvint à enfiler ses chaussures et une veste, et sortit de son appartement. Il fallait qu'il boive du sang. Il ne savait pas trop si s'était possible ou non, mais si son corps n'intégrer pas rapidement sa boisson nécessaire à son bon fonctionnement, il allait mourir. Si un Stryge pouvait mourir de soif. Normalement, quand il était en chasse, il observait très attentivement ses victimes potentielles, il les suivait, il les sentait, mais cette fois-ci, Willy ne se contrôlait plus. Il n'était effectivement plus que le monstre dont parlait les Faës et tout ceux qui connaissaient son espèce, avide de sang. Traînant les pieds, il parvint quand même à se glisser dans les petites rues sombres, bien qu'il ne sache pas exactement où il allait. Ni qui il allait attaquait. Tout ce dont il avait besoin, c'était que quelqu'un arrive vers lui. Oui, l'Amérindien s'était planté dans un coin et attendait. Bien qu'il ne tienne presque plus sur ses pieds, et qu'il soit obligé de s'appuyer contre le mur de l'impasse dans laquelle il se cachait pour ne pas s'affaler par terre. Avec le froid et l'heure tardive, les gens ne traînaient pas vraiment dehors, ce qui n'arrangeait pas du tout Willy. Vite, quelqu'un ! N'importe qui !

Grognant, le Stryge s'avança de quelques pas, dans l'impasse, jusqu'à la bordure du mur. La prochaine personne qui passerait, si une personne passait, il lui sauterait dessus. Peu importe sa force, son état physique, en espérant qu'il ne tombe pas sur un SDF bourré, il irait jusqu'à la limite. Peut-être la mort. Enfin, vu son état mental, entièrement lié à sa soif de sang, il ne serait probablement pas capable de s'arrêter. L'Amérindien n'aurait sût dire combien de temps il était resté planté là, sa gorge s'irritant de plus en plus, quand il entendit des bruits de pas. Sans plus réfléchir, de toute façon, il n'en était pas capable, dès que la personne entra dans son champ de vision, il lui sauta dessus et l'entraîna vers le fond de l'impasse, ayant déjà planté ses crocs dans le cou de sa victime. Le sang avait à peine franchit sa gorge qu'il se rendit compte qu'il y avait quelque chose de pas clair. Ça n'avait pas le même goût que d'habitude. Pourtant, Willy tenta une seconde gorgée, histoire d'être sûr... mais ce fut encore pire. La mort dans l'âme, sans mauvais jeu de mot, il relâcha le jeune homme dans ses bras, parce qu'il avait reconnu vaguement un jeune homme et se laissa tomber par terre. Sa tête bourdonnait, son corps n'était que douleur, enfin, comme des milliers d'aiguilles qui le perçaient à la vitesse de la lumière.

- Bordel... qu'est-ce qui se passe...? parvint-il à murmurer en se roulant sur les pavés cradingues.

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Méfie toi de qui tu bois le sang... Pourquoi on ne me l'a jamais dit ? Enfin, si, mais pourquoi on ne m'a jamais dit de quoi ça avait l'air les poisons sur pattes ? ~ Ganaël & Willy EmptyJeu 28 Jan - 19:18
Willy & Ganaël




"Bois mon sang et tu endureras les tourments de l'Enfer !"


Il faisait nuit noire et pourtant j'étais encore dehors. La morsure du froid hivernal n'avait plus d'emprise sur moi depuis bien longtemps. Ce vent glacial était presque devenu un ami, un compagnon dans la solitude. A cette heure-ci, on ne trouvait plus beaucoup de gens honnêtes dans la rue. De tous temps, la nuit était le domaine de ceux qui souhaitaient profiter de l'obscurité pour commettre des actes qu'ils ne feraient jamais de jour. Ces personnes qui avaient des choses à cacher, où justes les petits voyous ou caïds infestaient la nuit tels des rats, tous des nuisibles, des insectes à écraser. Il arrivait que je rende parfois la justice dans ces ruelles sombres. Nul n'était plus à l'aise que moi dans les ténèbres. Je m'y sentais prédateur, à l’affût des erreurs de la nature pour leur administrer un châtiment qui allait de la petite frayeur jusqu'à la mort. La sanction dépendait du crime que je voulais punir. Les Banshee aimaient protéger les faibles et les innocents, pour ma part je préférais les venger. Parce que j'avais succombé à la haine qui habitait en moi, j'étais devenu autre chose, une Ombre aux pouvoirs plus sombres et terrifiants. J'avais conscience que mon être était corrompu par le Mal, mais ce n'était pas de ma faute. Des êtres néfastes avaient fait de moi ce que je suis aujourd'hui, la Mort en me faisait naître à nouveau n'a fait que réveiller mon potentiel. A présent, je me disais que pour combattre le Mal, il fallait embrasser sa cause, ne pas avoir peur de plonger dedans.

Sous ma forme humaine, je pouvais admirer la misère et la dépravation des vivants dans toute sa magnificence. Ces ruelles sales qui puaient la pisse était le meilleur endroit pour dénicher de nouveaux clients, de nouveaux amis à hanter. Je marchai normalement, sans forcément vouloir être discret. Après tout, j'avais beau être en humain à cet instant, je demeurais impossible à tuer. Je me sentais invulnérable, invincible. Secrètement, j’espérais servir d’appât. Un jeune homme seul au visage d'ange pouvait paraître si vulnérable pour les crapules. Ici, on pouvait vouloir m’agresser, me violer ou bien même m'assassiner que sais-je ? Qu'ils viennent, ils verront ce qu'il en coûte de s'en prendre à moi...
Je passai au croisement d'une impasse lorsqu'une masse fondit sur moi pour m'attraper. Je fus littéralement pris de court, mes réflexes étaient aiguisés mais mon agresseur avait été plus rapide. Avant même que je puisse réagir j'étais pris dans son étreinte. De toutes mes forces je tentai de me dégager mais sa poigne était trop forte. Mais c'est qui ce mec ? Je fus emmené au fond de l'impasse, et un léger sentiment de panique m'envahit. Mon assaillant n'était pas une personne ordinaire pour m'avoir capturé si facilement. Cette sortie ne m'amusait plus du tout, ça m'apprendra à me sentit tout-puissant. Je maudis intérieurement ma forme humaine si faible mais dans le même temps je n'avais pas envie de dévoiler tout de suite mon secret en prenant ma forme de Sidh. Je me surpris à crier lorsque je sentis la morsure de crocs dans mon cou. C'était un cri de surprise surtout, jamais en 985 ans d'existence j'avais eu droit à un tel traitement. Il y avait aussi une douleur qui me traversa momentanément l'échine, mon agresseur était de toute évidence une créature surnaturelle. Mais merde j'étais un Sidh je ne devrais pas pouvoir servir de repas... A moins que je me trompe ?

Tout à coup, je sentis que l'on me relâchait. Instinctivement je fis quelques pas pour me dégager complètement tout en mettant ma main au cou. Puis la ramenant sous les yeux je la vis recouverte de sang, mon propre sang. Aussi étonnant que cela puisse paraître je ne le voyais que rarement depuis que j'étais mort, je me blessai moins souvent que lorsque j'étais vivant, et ma guérison était presque instantanée. Je pris quelques secondes pour le contempler, il ressemblait à celui des vivants pourtant quelque chose faisait qu'il était différent. Avec la faible luminosité, il paraissait être d'un noir d'encre. « C'est pas vrai ce connard m'a sucé le sang ! » Mon regard se reporta ensuite vers celui qui fut mon agresseur. Il avait maintenant l'air d'une loque, allongé à même le sol. Visiblement d'origine amérindienne, il paraissait souffrir le martyr. Je savais que mon sang avait certaines propriétés, mais je ne les avait jamais vu à l'oeuvre chez un dévoreur d'hémoglobine. C'était plutôt excitant à vrai dire. « Ce n'est pas très aimable de s'attaquer ainsi à une personne apparemment sans défense...  » Je marchai vers lui puis me baissa pour mieux le distinguer. Attrapant violemment et sans ménagement sa longue chevelure je le forçais à tourner la tête dans ma direction. « Regarde moi quand je te parle ! »  Je pouvais voir sa souffrance comme marquée au fer rouge sur les traits de son visage, ses lèvres étaient encore recouvertes de mon sang. « Je suis vraiment désolé mais je crois ne plus être comestible. » Sur mon visage un sourire cruel se dessina. « Et ce depuis bien longtemps... » Je savais que j'avais le pouvoir sur cette créature et cela me remplissait d'une joie malsaine. Je n'avais pas encore décidé de ce que j'allais faire de ce déchet. Peut-être que je pouvais m'amuser un peu avec lui ? Cette nuit prenait définitivement une tournure intéressante...

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Méfie toi de qui tu bois le sang... Pourquoi on ne me l'a jamais dit ? Enfin, si, mais pourquoi on ne m'a jamais dit de quoi ça avait l'air les poisons sur pattes ? ~ Ganaël & Willy EmptyVen 29 Jan - 14:54
Ganaël & Willy




"Faim, on a très faim ! On voudrait bien manger !"


En rassemblant le peu de conscience qui lui restait, Willy comprit bien vite qu'il ne s'était pas attaqué à la bonne personne. Un mort. Il avait fallut qu'il tombe sur un mort. Un Sidh. On lui avait pourtant dit et répété qu'il ne fallait pas boire le sang d'un mort, mais comment est-ce qu'il pouvait les reconnaître ? Enfin, même s'il savait, il état fort probable que dans cet état, il n'y parvienne pas, sa soif était bien trop importante. Enfin, là, en cet instant, le Stryge ne savait plus vraiment si c'était la douleur ou la soif qui lui faisait le plus mal. A quelques reprises, il avait tenté de se redresser mais ses forces l'avaient totalement abandonné. Et quand une voix commença à résonner à ses oreilles, pour continuer dans son crâne, il sentit comme un froid l'envahir. Il avait avalé du poison. Un putain de poison qui le rongeait, qui le bouffait. A nouveau, il tenta de se redresser, mais le jeune homme qu'il avait attaqué approchait, et lui parlait, pourtant, les mots ne parvenaient pas à avoir de sens. Jusqu'à ce qu'il se retrouve obligé de redresser la tête, parce que le type lui tirait les cheveux à vrai dire et grogna légèrement. Willy aurait bien aimé s'essuyer les lèvres et le menton qui étaient encore recouvert de cette substance toxique, mais ses bras ne voulaient toujours pas lui obéir. Sans compter qu'il ne voulait pas non plus fermer les lèvres, au risque d'en avaler encore. Ses prunelles noisettes se fixèrent aussitôt sur le visage du jeune homme au-dessus de lui. Un visage pourtant doux, en apparence. Mais son expression était tout simplement terrifiante. Le pire était probablement de ne pas comprendre ce qu'il lui disait. Une chose était sûre, il n'était pas amicale.

- Stop... c'est horrible... Arrête ça... marmonna l'Amérindien, incapable de lutter contre les violents tremblements de son corps.

Il était réellement au comble du désespoir pour le supplier de quelque chose qu'il ne contrôlait absolument pas, mais il fallait bien qu'il tente quelque chose. Comme pour essayer d'échapper à la poigne du Sidh, Willy tenta de tendre le bras pour dégager sa main de ses cheveux, quitte à heurter violemment la rue sale avec l'arrière de son crâne. Ce qu'il parvint à faire d'ailleurs, sans trop savoir comment, et la douleur passa totalement inaperçu tant le sang contaminé lui faisait bien plus de mal. De nouveau, il se roula en boule sur le sol, recouvrant sa veste de saletés et de tout ce qui traînait sur les pavés, essayant de s'éloigner de cette façon du mort et de ce qu'il pourrait profiter de lui faire en son état actuel d'extrême faiblesse. Se glissant sur le ventre, le Stryge parvint à retrouver un minimum de force pour ramper dans le sens opposé, c'est-à-dire vers les rues, loin de l'impasse. Il n'était pas question qu'il meurt ici. Hors de question. L'Amérindien n'avait pas bu assez le sang du mort pour en mourir, mais comme justement il l'avait évoqué, il pourrait en profiter pour lui faire du mal. Peut-être, malgré l'hémoglobine sur ses lèvres et sur son menton, il trouverait peut-être bien trouver des personnes qui pourraient l'aider ? L'aider... comment est-ce qu'on pourrait lui venir en aide ? Est-ce qu'on pouvait seulement l'aider dans son état ? Qu'est-ce qu'il pouvait faire pour évacuer le poison ? Combien de temps est-ce que ça allait durer ? Il n'en savait absolument rien. Pourquoi est-ce que son éducation de Stryge était si nulle, si inexistante ?

De panique, Willy jeta un rapide coup d’œil en arrière, du moins, aussi rapidement que lui permettait son état, pour évaluer la situation, mais il se rendit bien compte qu'il avait fait à peine quelques centimètres en rampant pour s'éloigner du mort. Il devait vraiment, vraiment, se dépêcher, faire le plus vite possible, s'éloigner. Si seulement la douleur voulait bien cesser ! Sauf que quelques secondes après, la douleur ne fut plus uniquement sa préoccupation, comme sa soif qui le tiraillait toujours, bien qui était plus en mode "mute". Car tout son corps fut la proie de violents tremblements qui lui furent impossible de contrôler. De plus, il fut pris de haut-le-cœur, comme si son estomac voulait qu'il vomisse, qu'il éjecte ce qu'il avait ingurgité, mais rien ne voulait sortir. Reposant sa joue à même le sol, le Stryge gémit de douleur en portant sa main à sa gorge, c'était là qu'était le pic. C'était de là que tout partait. Enfin, non, c'était de sa stupidité que venait l'erreur. Il aurait dût se nourrir comme il le faisait d'habitude. S'il avait fait comme d'habitude, il ne se trouverait pas dans cette situation très critique. Serrant ses doigts autour de sa gorge, il déglutit plusieurs fois, cherchant désespérément une solution. Du sang frais. Voilà ce qu'il lui fallait. Du sang frais. Humain, animal, peu importe, mais il lui fallait qu'il nettoie ce poison.

Pris d'un courage sur-humain, ou plutôt sur-Stryge, l'Amérindien tenta de reprendre sa progression vers la rue. Peut-être qu'un chien ou qu'un chat traîné dans les parages. Il pourrait alors planté ses crocs dans sa chair et le vider. Dans l'hypothèse ou bien sûr, le Sidh le laisserait faire.

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