Max ▲ AthénaDis moi juste que tu es là.Courir sans tête. Il y tenait vraiment à sa poule sans cervelle hein. Mais bon, laissons le croire qu'il a raison, qu'il a seulement une chance de m'arracher la tête pour que mon corps puisse courir après. J'imaginais bien ma tronche appeler mes jambes « à droite...a gauche...non plus au milieu... » Ouai bon, non, finalement je n'imaginais pas ma fin de vie ainsi. J'avais encore pas mal d'années devant moi, surtout que les Leprechauns vivent plus longtemps, vieillissent moins vite. Heureusement, je garderais donc mon corps de rêve bien plus longtemps que les humains vieillissant, grisonnant et puant du cul. Nous voilà couchés sur le canapé, alors que Maxence me dévoilait quelques uns de ses sentiments envers moi. Pourtant, malgré ça, je restais complètement bloqué. Il était peut-être là le soucis. Il tenait à moi, certes, mais à quel point ? Comment ? L'air de rien j'avais toujours eu ce besoin continuel et irremplaçable d'être rassuré. Mon corps est contre le sien, alors que je peux sentir sa respiration sur ma peau. Sensation agréable et réconfortante, alors que ses paroles, elles, avaient eu le don de me foutre des doutes pleins la tête.
« Je te casserais les pieds jusqu'à ta mort...parce que c'est bien connu, les mecs crèvent avant les filles ! »
Il se relève et recommence à panser mes plaies, alors que pour une fois, je le laissais faire. Je repensais à ses paroles maladroites, des paroles que je ne comprenais cas moitié sûrement à cause de la fatigue. Ce manque évident de communication finira par avoir notre perte, parce que au final, j'allais finir par douter. Douter était une chose que je faisais facilement. Pourtant, c'était évident, Maxence réagissait à l'identique de moi, un parfait miroir. Je pose quelques secondes mon regard sur lui, alors qu'il s'attaquait à mon ventre, me faisant frissonner face au contact de ses doigts. Je me crispe légèrement alors que le désinfectant me fait assez mal, je serre les dents, évitant ainsi de passer pour une conne. Je finis par en avoir marre de ne pas bouger, étant très rarement inactive. Je finis donc par pousser Maxence pour le faire tomber, son gros cul atterrissant sur le sol alors que je me mis à rire douloureusement. Quand je me sens tiré dans sa trajectoire je pousse un cri peut élégant et tombe sur lui en grimaçant. Non de dieu ça fait foutrement mal !
« Ouai ben sérieux, je t'aurais cramé toi et puis j'aurais vendu tes affaires ! »
Je pose ma tête sur son épaule, alors que je tente de ne pas trop bouger. Son rire... J'aime l'entendre rire. C'est comme une mélodie réconfortante qui résonne dans la pièce. Je me sens soulevé et je pousse un nouveau couinement, entourant par réflexe mes bras autour de son cou, venant y cacher mon visage. Son odeur je ne m'en lasserais jamais, c'est fou quand même ce que les petites choses autrefois banales avaient pris une ampleur étonnante ! Il m'amène dans sa chambre et je le laisse faire, les yeux mi clos quand...je tombe sur le lit.
« Putain ta douceur est légendaire chieur ! »
Je me tiens légèrement le ventre. Prendre un bain ? Il est sérieux ou pas ?
« Putain t'en as d'autre des conneries pareils ! De un je vais baigner dans ma crasse très glamour. De deux, je sais pas si tu te souviens j'ai peur de l'eau, tu me feras jamais entrer dans un bain ! T'as laissé ton cerveau dans la forêt ? Ah non, il est resté dans le ventre de ta mère, juste, c'était en option ! »
Je lui fait un joli doigt très peux poli avant de me glisser sous les couvertures pour enfourner mon visage dans son coussin. Pas dans le coussin d'à coté, non, mais dans le sien, dans celui avec lequel il dormait, point ! Je tourne légèrement la tête vers lui alors que mes paupières sont lourdes, croisant son regard avec le mien.
Messages : 149 Je suis arrivé(e) le : 12/03/2016 Sous les traits de : Matthew Daddario Je me dédouble : Avalon la psychopathe enceinte & Saf la dépressive - agressive Pseudo : Pims Crédits : Tumblr - Xelette - Angel Dust Points : 3900
J'ai : 36 ans Age d'apparence : 26 ans, petit jeunot. Je travaille comme : Agent de sécurité et d'accueil à l'Opéra Lyra Actuellement, je suis : Adinophile qui ne s'assume pas du tout ! Par contre tu l'approche je te pète les rotules. Espèce : Leprechaun Niveau social : Aisé
- Si vous aimez, ce n’est pas cet amour qui fait partie de votre destinée ; c’est la conscience de vous-même que vous aurez trouvée au fond de cet amour qui modifiera votre vie. -
- Le Roi galope
Repoussant les Ombres
Faisant cliqueter son Armure
Faisant voler les Os
Avalant la Chair
Grinçant des Dents
Écrasant les Cœurs
Il va Seul
Vers le lointain Horizon. -
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Dim 17 Avr - 15:37
Max ▲ AthenaïsPromenons nous dans les bois ...
Cette histoire de poule allait rester un moment il le voyait dans son regard, elle n'allait pas le laisser tranquille avec ça tout de suite. Oh puis tant pis, c'était sa poule sans tête et basta fin du programme. Puis si elle était pas contente de sa comparaison c'était le même prix, il n'allait pas s'excuser, c'était ainsi entre eux et il n'avait pas envie que ça change. Donc pas d'excuses. Enfin est ce qu'il voulait vraiment que ça reste comme ça ? Qu'ils restent dans le flou de leur relation ? Est ce qu'il était capable de se contenter de juste ce qu'ils avaient et est ce que réellement il ne désirait pas plus ? Maxence était totalement perdu quand ça concernait Athénaïs et ses sentiments pour elle, il n'arrivait pas à mettre des mots dessus et ça lui foutait une trouille bleue. Plutôt affronter une armée de stryges armé de pistolet à eau.
Il ne relève pas sa taquinerie sur les hommes qui meurent avant les femmes. Il n'a pas envie de se battre, enfin pas tout de suite il veux juste profiter encore un peu du contact de son corps. Mais il prendra sa revanche plus tard, attends c'est qui le sexe fort ici hein ? Il ne va sûrement pas lui laisser la plus belle part, non il prends juste le temps pour placer une réplique bien macho plus tard. Elle le pousse cette saloperie sans nom ! Du coup pour se venger il l'attire avec elle, tant pis si elle à mal elle n'avait qu'a pas le chercher. Ouais il exploite ses faiblesses et il n'a absolument aucune honte à faire ça.
« Tu devrais me revendre moi plus tôt, je coûte plus cher. »
Il a un sourire arrogant et va mordre son cou pour se venger. Encore et toujours l'arrogance, la vengeance, les morsures et les coups pour se rappeler qu'elle est à lui, que leur relation est forte alors qu'en fait elle est bâtie sur un château de cartes. Ils n'arrivent pas à se comprendre alors qu'ils sont le reflets l'un de l'autre. C'est peut être ça qui freine Maxence autant que ça l'attire, c'est difficile de se dire que cette fille le comprends mieux que lui même parfois. Ça le laisse surtout sans défense et ça c'est très anxiogène pour le jeune homme. Athénaïs se serre contre lui quand il la soulève, il presse ses mains sur elle, son nez dans ses cheveux, profitant de ces quelques instants de délicatesse. Avant de la lâcher sur le lit comme on lâche un sac de farine.
Maxence ne peux s'empêcher de rire quand il lui propose un bain et qu'elle explose dans une tirade enflammée. Évidemment qu'il savait qu'elle allait dire non mais il avait clairement envie de l'emmerder. C'est tellement facile de la faire grimper au rideau en quelques secondes. Lui aussi il a une peur terrible de l'eau, il n'était même pas question qu'il lui fasse couler un bain de peur de glisser et de tomber dedans. Pas fou le leprechaun.
« Toi par contre t'as pas laisser ta langue dans l'cul d'un stryge c'est sur ! »
Elle lui fait un doigt d'honneur qui le fait rire de plus belle mais il déchante quand il la voit squatter son oreiller fétiche ! Non mais sans gène cette fille quoi ! Il grogne, ôte rapidement son tee shirt et son pantalon trempés, berk. Et se jette sur le lit, les ressorts déjà bien éprouvé grince et son poids combiné aux ressorts font un peu sauter Athénaïs et il ne peux s'empêcher de se fendre de rire une nouvelle fois. Il se glisse sous les draps avec la jeune femme en essuyant ses larmes. Bon dieu que c'est bon de la voir en vie à ses côtés.
Maxence la pousse vivement, récupère son oreiller et dans la foulée récupère la lérpychieuse pour la coller à son torse.
Max ▲ AthénaDis moi juste que tu es là.« Tu devrais me revendre moi plus tôt, je coûte plus cher. » Je lève les yeux au ciel face à sa réflexion arrogante. Le pire c'est que putain, ce connard avait totalement raison. Si je le foutait aux enchères, j'étais sûr qu'il vaudrait chère. D'ailleurs, je pense que je serais la première à dépenser toute ma fortune pour le garder... Ouai, c'est con mais c'est vrai. Et pourtant, que dieu m'en soit témoin, il me faisait chier plus que n'importe qui. Il balançait entre douceur et brutalité, entre peur et arrogance...ça me rendais folle. Mais j'étais pareil, c'était ça le pire. Je lui reprochais des choses que je faisais moi-même. Ça avait toujours ainsi, ça ne changera peut-être jamais... Je me surprend à regretter. Pas notre relation, non, pas l’évolution de celle-ci non plus. Mais bien le fait que ça n’avancera peut-être pas plus loin. Je me surprenais à m dire que peut-être, que sûrement, j'avais envie de plus sans pour autant me l'avouer. Enfin, faudrait peut-être que j'ouvre les yeux lui aussi, sinon, nous allions droit dans les emmerdes, droit dans un mur qui finira par nous détruire. Il vient de nouveau mordre mon cou et j'ai un petit mouvement d'amusement qui me fait sortir de mes pensées. Je me retrouve rapidement sur lui, alors que son corps gisait sur le sol. Quand il me soulève je me serre contre son corps, laissant mon visage prend appuie sur celui-ci. Je m'y sentais bien, en sécurité et j'aurais pu sans soucis m'endormir là de suite. Ses mains resserrent leur emprise et nous vivons une fois de plus un moment calme, doux. Enfin, ce fut bref mais ce fut néanmoins là. Moi qui n'étais pas fort douceur j'aimais pourtant ça.
Il me lâche de nouveau avec brutalité sur le lit et je m'emballer de plus belle. Non mais franchement, j'allais finir par lui en coller une nouvelle...Le pire c'est qu'il en rit et qu'il me demande si je veux prendre un bain. Il se fou de ma gueule en gros ? Genre, vraiment...Je vais le tuer. Non mais c'est clair, dans son sommeil je vais lui arracher la tête il aura rien pigé à la vie.
« Oh t'es dégueulasse Max... »
Je le vois enlever son pantalon et son tee-shirt. Cette vue avait toujours le don de me ravir, je ne pouvais pas décoller mon regard de lui. Ce corps. MAIS CE CORPS PUTAIN. Il a de la chance que je ne sois pas en état de faire quoi que ce soit, sinon, je me serais sans nuls doutes jeté sur lui. Quand il bondit sur le lit je pousse un nouveau cri peut élégant, envoyant ma main frapper son épaule avec une certaine violence. Putain, sérieux, ce leprechaun m'épuisant. Il m'arrache le coussin et je n'oppose aucune résistance, enfin, même si j'aurais voulu il fut plus rapide que moi. Mon corps fut ramener vers le sien pour que je vienne me caler contre lui.
Messages : 149 Je suis arrivé(e) le : 12/03/2016 Sous les traits de : Matthew Daddario Je me dédouble : Avalon la psychopathe enceinte & Saf la dépressive - agressive Pseudo : Pims Crédits : Tumblr - Xelette - Angel Dust Points : 3900
J'ai : 36 ans Age d'apparence : 26 ans, petit jeunot. Je travaille comme : Agent de sécurité et d'accueil à l'Opéra Lyra Actuellement, je suis : Adinophile qui ne s'assume pas du tout ! Par contre tu l'approche je te pète les rotules. Espèce : Leprechaun Niveau social : Aisé
- Si vous aimez, ce n’est pas cet amour qui fait partie de votre destinée ; c’est la conscience de vous-même que vous aurez trouvée au fond de cet amour qui modifiera votre vie. -
- Le Roi galope
Repoussant les Ombres
Faisant cliqueter son Armure
Faisant voler les Os
Avalant la Chair
Grinçant des Dents
Écrasant les Cœurs
Il va Seul
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Mar 19 Avr - 19:56
Max ▲ AthenaïsPromenons nous dans les bois ...
Maxence adore provoquer les gens, en général ça lui permet surtout de cacher ses émotions et c'est un bon moyen de détourner l'attention des autres. Et il adore surtout provoquer Athénaïs parce que c'est facile de la faire monter au rideau et de la rendre chèvre. A chaque fois elle marche dans son jeu, surtout quand il est arrogant. Puis il adore quand elle lève les yeux et qu'elle semble désemparer de son comportement. Et au moins elle oublie qu'il lui a fait une pseudo déclaration. Et surtout lui il oublie qu'elle ne lui a pas véritablement répondu non plus. Il paraît toujours dur et sur de lui mais quand il serre Athénaïs dans ses bras il ne peux s'empêcher de fondre pour elle, pour son parfum, sa fragilité, ses éclats de voix et sa connerie sans bornes.
Il voit dans ses yeux quand il la lâche sur le lit qu'elle à envie de lui arracher la tête mais ça le fait bien rire. Ils retrouvent leur légèreté après cet accrochage, la violence dont à été sujette Athénaïs et ça le soulage de voir que ça n'a pas changer. Enfin lui il à changer, ses sentiments aussi mais il n'en montre rien, il ne l'accepte pas lui même alors il n'est pas question qu'il l'avoue à la jeune fille ou qu'il change de comportement.
« C'est bon arrête de faire ta prude là. »
Il se déshabille, oh bordel que ça fait du bien d'enlever ces fringues mouillées. Pleine d'eau, berk franchement quelle idée de se foutre sur la gueule dans les bois quand il pleut. Elle pouvait pas faire ça quand il faisait bien beau ? Il ne loupe pas une seconde du regard de la leprechaun sur son corps, et ouais mademoiselle ça c'est du corps de dieu grec. Il fait même durer l'instant rien que pour le plaisir des yeux. Puis il se jette sur le lit comme une grosse masse, récupère son oreiller sans ménagement et serre Athénaïs contre lui. Sa peau est glacée et il frissonne à son contact.
« J'vais plutôt t'étouffer avec c'est une meilleure idée. »
Il sent qu'elle s'endort doucement, mais il sent aussi que son cœur continue de palpiter contre ses côtes. Elle pose sa main sur sa hanche et il enfoui son nez dans ses cheveux, parsemant ses cheveux de baisers. Cette situation lui fait du bien, il se sent tellement à l'aise avec elle. Il à l'impression qu'elle à sombrer dans le sommeil et il n'en est pas loin non plus. Il soupire et remonte la couette sur eux.
« J'aimerais qu'on reste pour toujours comme ça. »
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