L'histoire
d'une vie d'ombre et de lumière...
dans un monde d'obscurité !
La naissance humaine
S'il devait y avoir un mot pour qualifier la naissance de Sonja, ce serait très certainement le mot déception. Et pour bien appuyer sa signification, en voici sa définition :
État ou sentiment d'une personne déçue, trompée dans son attente. Personne ou chose qui est la cause de ce sentiment. Être née humaine dans une famille de phœnix… Quel autre mot pourrait mieux qualifier cette situation ?
Alors que ses parents s'empressaient d'avoir un deuxième enfant, ils étaient pratiquement persuadés de donner la vie à un nouveau phœnix, tout comme sa grande-sœur avant elle. Et cette fois-ci, non. Le destin en avait décidé autrement pour la petite Sonja ! Elle serait humaine, comme son père biologique, point. Mais pourquoi un deuxième enfant ? Sans doute que ce désir était inspiré par le remord causé par l'absence de leur premier enfant… Se rendant compte qu'elle ne reviendrait pas, les parents se donnèrent une deuxième chance, qui au final, n'était pas du tout à la hauteur de leurs espoirs !
Sonja n'aurait jamais dû naitre. Mais elle était là et elle allait se battre pour la vie !
Dans l’ombre du feu !
Son enfance ne fut pas si facile que ça… Même si la petite rousse est née dans ‘'un petit monde, vivant dans un grand monde, où tout le monde se connait '' et se côtoie aisément, tout comme sa grande-sœur, elle avait été désirée. Elle grandit là où Sygie' même avait grandi, bref, la petite marchait dans les traces de sa sœur avec fierté ! Sauf que… Même si elle avait certains traits des phœnix, comme une chevelure flamboyante, elle n'en était pas moins humaine ! Plus chétive et moins impressionnante… Et pour ça, ses parents ne manquèrent jamais de le lui rappeler… ! Vivre dans l'ombre d'un phœnix, c'est souvent pénible ! Avec ce genre de vie, on finit par détester cette icône que l'on ne connait pas. Que l'on connait à travers les récits contés par les parents. Mais être comparé à un fantôme surpuissant, offrant à sa famille, une si grande fierté, s'en est lourd. Sonja fini par détester cette sœur qu'elle n'avait jamais vue. De plus, quand toute la famille arbore des pouvoirs surnaturels et qu'elle, pauvre petite humaine, elle n'a rien… La seule chose à laquelle elle pouvait se raccrocher, c'était l'art ! Qu'est-ce que l'art ? Pourquoi les humains y accordent-ils autant d'importance ? Une autre définition ?
L'art est une activité humaine, le produit de cette activité ou l'idée que l'on s'en fait s'adressant délibérément aux sens, aux émotions, aux intuitions et à l'intellect. On peut dire que l'art est le propre de l'Homme. C'est donc l'Homme qui, à travers l'art de son temps, sans savoir que c'était de l'art, a marqué son histoire en y laissant des traces. C'est tellement magnifique ! L'être humain, quand on s'y intéresse, est fascinant… Plus que les êtres surnaturels ? Non, peut-être pas, mais ils sont beaucoup moins prétentieux et violents. L'humanité à laquelle Sonja faisait partie, la fascinait, la passionnait. L'Homme à travers le temps l'a inspirée à s'évader régulièrement de ce monde de phœnix trop invasifs et trop sévères !
Une étincelle
Malgré le fait qu'elle n'ait jamais été acceptée en tant qu'humaine dans sa famille - Sonja l'ayant parfaitement ressenti - s'était retranchée dans les lectures, les savoirs, l'art. Son adolescence tournait autour de l'apprentissage de l'histoire. Elle n'était pas la meilleure élève de sa classe, ni la pire. Sonja était dans une moyenne presque parfaite ! Toujours constante, sans briller pour autant. Sauf en histoire ! Sa raison de vivre.
La jeune rousse eut beaucoup de mal à grandir sereinement, l'esprit tranquille, en sachant qu'à chaque fois qu'elle verrait ses parents, elle entendrait encore le nom de Sygrid résonner entre les murs. Mais Sonja n'était pas dupe ! Si la grande-sœur s'était barrée, c'est qu'il y avait bien une ou plusieurs bonnes raisons… Quand elle posait ce genre de question à ses parents, elle savait qu'elle aurait droit à une sacrée punition… Néanmoins, elle gardait en secret une photo volée du visage de sa sœur, lorsqu'elle était encore ici, au Læsø. Sonja commença presque à l'enviée d'être partie… Même si elle ne comprenait toujours pas le pourquoi de son départ, elle savait qu'au fond d'elle, sa sœur avait ses raisons et néanmoins, des bonnes !
Lorsqu'elle en eut l'âge, Sonja demanda à ses parents de lui payer des études à Copenhague, car, sur l'île, on ne peut pas vraiment dire qu'il y a tout ce qu'il faut... Elle devait travailler dur pour pouvoir subvenir à une partie de ses études. Elle sera détestée jusqu'au bout par ses parents et par sa famille ! Tu n'avais qu'à être un phœnix ! Elle enchaîna des petits boulots sur l'île, ainsi qu'à la capitale. Elle suait. Elle se donnait à fond ! Tout ce qu'elle voulait, c'était étudier à l'université de la capitale et elle y arriverait !
Émancipation
Enfin ! Elle pu clamer une victoire lorsqu'elle signa son papier d'inscription à l'université. La petite rouquine si discrète, allait enfin étudier quelque chose qu'elle aime ! Là-bas, elle intégra l'internat des étudiants. Elle y fit quelques heureuses rencontres, des malheureuses aussi. Elle fit son expérience d'adolescente humaine, en côtoyant les différentes drogues, les sorties, les défis, l'alcool, les fêtes, les soirées, les délires, les lendemains difficiles, les expériences sexuels, des déménagements de chambrées, des promesses tenues, des promesses trahies, des confidences, des bagarres, des trahisons, des sessions d'études, des soirées de travail, des amitiés brisée, des amitiés nouvelles, des petits city trip (quand l'argent le permettait),…
Manipulation
Ses années à l'université furent le reflet d'une vie nuancée d'ombres et de légers points lumineux… En effet, l'une de ses expériences les plus traumatisantes, c'était cette hystérie collective, qui avait le pouvoir de manipuler n'importe quel esprit faible, voulant faire partie d'une communauté populaire. Sonja fit partie de ces esprits faibles et elle s'est laissée totalement influencer et manipuler. Pour rejoindre un groupe de nanas en vogue, elle devait réaliser plusieurs défis : Voler la mascotte de l'équipe sportive, découper le drapeau de l'université, rayer la voiture du directeur, boire le mélange de toutes urines des filles, se rouler dans la boue, sniffer, se piquer, trouver un fournisseur pour ces filles, et coucher avec un professeur désigné, ramener l'argent de cinq clients sexuels… Dégradant n'est-ce pas ? Et ce n'est là que quelques exemples d'épreuves à réaliser pour pouvoir nourrir cet infime espoir d'intégrer leur bande… Mais ces pouffiasses droguées et prostituées ne faisaient que se servir de la rouquine pour se divertir et pour faire leur travail à leur place. Sonja qui considérait ses études comme une chance, elle fut très vite détrônée de son utopique d'avenir. Et si seulement il n'y avait que ça. Ces conneries lui ont laissé quelques séquelles assez marquantes et dérangeantes psychologiquement. Sonja eut une période assez noire où elle tomba dans la drogue, avec une nana qui devient sa compagne de prise. Héroïnomane, elles passèrent quelques journées ou quelques nuits à se piquer dans le noir, au lieu d'aller en cours… Douce et tendre pente vers l'obscurité, où personne ne pouvait intervenir dans ce monde de calme et de plénitude et où Sonja se sentait être la reine du monde, pendant au moins douze petites heures…
Avec cette nouvelle indépendance absolument dégradante, Sonja pu choisir d’étudier sa véritable passion : l’histoire de l’art ! Elle s’était engagée dans un doctorat en histoire de l’art et brilla, excella dans ses études, une fois la politique des filles populaires, abandonné et ce, malgré sa tendance à l’héroïne. Elle sortit diplômée avec distinction et les honneurs du jury pour sa thèse sur les origines de l’homme. Bon avec ça, il n’est pas étonnant que ses parents soient un tantinet vexés quant au thème défendu ! ... Mais elle s’en fichait. Ils n’étaient même pas là lors de sa remise de diplôme, ni même lors de la défense de sa thèse, alors, à quoi bon s’en soucier … ?
Le souffle de la mort…
Lors de sa sixième année d'étude, Sonja tomba éperdument amoureuse d'un garçon qui lui donna l'envie de s'améliorer, de se surpasser. Elle sortit de sa dépendance, non sans mal et laissa tomber sa copine, vulgairement, sachant parfaitement qu'elle n'en sortirait jamais. Elle ne voulait plus se laisser trainer vers le bas de cette façon et ce garçon allait sans doute être sa chance ! Et que dis-je ?! Ce garçon la remarqua enfin et ils se mirent ensemble au plus grand damne de la lesbienne-rebelle-droguée-dépressive.
Mais l'amour, ça peut être violent, mais c'est quand même de l'amour non ? Cet homme fut le prince charmant pour Sonja. Il était tout ce dont elle n'avait jamais pu espérer trouver chez un garçon ! Sincèrement, il avait toutes les qualités. Il lui permit de se reprendre en main, l'invita à loger dans son appartement pour éviter son ex-copine, et se concentrer pleinement sur son travail. Il incarna tout pour elle ! Ils vécurent de bons moments tous les deux.
Donc, une fois diplômée, ce garçon lui proposa de vivre avec lui. Elle accepta avec grande joie ! Elle trouva un boulot à l’université dans le département de Recherches en Histoire de l’Art. Sa thèse ayant beaucoup plu à ses professeurs, elle avait pu trouver un poste dans l’établissement en tant que chercheuse. Bon, ça ne payait pas super bien, mais c’était le minimum nécessaire !
Seulement, tout n’est pas aussi beau qu’on se l’imagine… Parce que si elle était une ancienne toxicomane totalement accomplie, lui, il était le mal incarné. Pour des raisons qui lui sont totalement inconnues, Sonja remarqua qu’il montrait son amour avec de plus en plus de force.
Je t’aime de plus en plus fort, mon amour ! Mais elle l’aimait et elle fermait les yeux. Une gifle, suivie d’un langoureux baiser. Elle l’aimait et elle fermait les yeux. L’engueuler sévèrement pour un plat un peu trop tiède et il la prenait pour lui écarter les cuisses sur le plan de travail. Elle l’aimait et elle fermait les yeux. S’acharner sur elle lorsqu’elle était un peu en retard, et la prendre sauvagement contre le mur sans même prendre le temps de retirer ses fringues. Elle l’aimait et elle fermait les yeux… Toutes les raisons étaient bonnes pour qu’il la frappe, qu’il la violente et pour qu’ensuite, ils baisent comme des bêtes ! Elle se disait qu’il l’aimait quand même, sinon, il ne lui ferait pas l’amour. Mais elle l’aimait et elle ne se rendait absolument pas compte qu’elle était victime de violence conjugale. Elle se disait que c’était sa façon de l’aimer.
Je t’aime de plus en plus fort, mon amour !Cela faisait maintenant deux ans que Sonja travaillait pour l’université. Un soir, alors qu’elle avait fait des heures supplémentaires, elle rentra chez elle en sachant très bien ce qu’il l’attendait. Elle arriva dans leur appart’ et vit qu’il était en train de brûler tous ses livres, tous ses travaux de recherches bref, tout son travail depuis qu’elle était à la capitale ! Tu ne partiras plus. Tu ne quitteras plus jamais l’appartement ! Lui avait-il crié. Effarée devant une telle atrocité, elle plongea ses mains dans le feu pour sauver ce qu’elle pouvait des flammes. Elle était en train de se brûler les mains, mais elle s’en fichait. Les larmes coulaient, lui brouillant la vue, mais il fallait faire quelque chose ! Son prince charmant, vint la tirer de là, pour la prendre dans ses bras et caresser ses cheveux flamboyant. Mais elle était hors d’elle ! Elle n’accepta pas qu’il bousille son travail. La haine, la colère la possédait et elle envoya son premier coup de poing dans la tronche de son compagnon. Il réagit alors en essayant de la baiser pour la calmer, mais l’acte ressembla plus à une bagarre qu’à autre chose ! Ils se battaient, réellement ! Elle résistait enfin à ses gestes odieux !Elle le frappait, il la frappait. Jusqu'au moment où il se servit de la paire de ciseau qui lui avait servi à découper ses pages de bouquins et ses travaux, pour la planter sans attendre dans le coup de sa ‘bien-aimée'. Une de ses mains abîmées vint prendre connaissance de l'arme qui était plantée dans son coup et l'autre chercha une aide quelconque dans l'air ambiant, le regard choqué et vide qui fusille son assassin. Il ne fit rien, choqué lui-même de ce qu'il venait de faire… Il était totalement témoin de la scène, mais il ne réalisait toujours pas. Sonja fit quelques pas en arrière, cherchant l'oxygène et elle tomba en arrière, sur le dos, dans le feu qui consumait toute sa vie, sa passion, son travail. Véritable symbole d'une vie humaine née dans une famille de phœnix. Elle est née dans le feu et elle périt dans le feu. La vie quitta son petit corps frêle et torturé au rythme du sang qui coulait hors de son corps et au rythme des flammes qui consumaient ce qu'il restait de son âme, sans un cri.
La naissance d’une Sidh.
Née au Læsø, morte à Copenhague et ressuscitée à Ottawa. Un autre continuant serait-il synonyme d’une seconde chance ? Sonja l’espère et elle en est intimement persuadée. Sa vie n’étant en rien un exemple, être une Banshee lui donne une chance de faire de son existence, une réelle bonne raison. Elle a raté sa vie, elle ne raterait pas sa mort !
Lorsque Sonja se réveilla, la première chose qu’elle regarda c’était ses mains et son coup. Rien. Pas de séquelle, totalement guérie. Se regardant dans un reflet, elle remarqua qu’elle était belle, mais terne…
La première personne qu'elle rencontra, c'était Mathis Ludovic Matthew. Un Sidh-Banshee également, ayant plus d'expérience qu'elle. Il assista à son réveil. Il lui apprit à se servir de ses nouveaux pouvoirs et même si elle s'était promise de ne plus foirer sur ses sentiments, elle ne put s'empêcher de tomber amoureuse de lui. Il était celui qui l'avait aidé, appris, redressé, conseillé,… Elle se dit qu'il était tout pour lui et que pour une fois, elle était persuadée d'être tombé sur quelqu'un qui avait un bon fond, quelqu'un de bien, qui ne risquait pas de lui faire du mal. Ils finirent par coucher ensemble, mais Math' avait une mission bien précise et il ne voulait pas la gâcher. Il voulait se concentrer sur son fils alors, il mit un terme à cette relation avant que ça n'aille plus loin. Sonja comprenait parfaitement son choix. D'ailleurs, cela l'inspira à contacter sa sœur. Elle voulut apprendre à connaitre celle à qui elle était sans cesse comparée avant, LA phœnix de la famille, la fierté de ses parents. Elle tenterait de trouver refuge en la seule personne de sa famille qui ne la connaisse pas encore. Sonja espérait intimement qu'elle accepte de la rencontrer, elle, Sidh, ancienne humaine.
Finalement, elles se retrouvèrent. Sygrid abandonnant son poste à quelqu'un de confiance et revint à Ottawa, faire la connaissance de sa petite sœur. Depuis trois ans, elles vivent ensemble à la cour des Faës. Elles se sont racontées leurs vies, leurs malheurs. Sonja connait presque tout de Sygrid et Sygrid connaitSygrid connait absolument tout de Sonja. La Sidh ne cacha aucun détail à sa sœur. Pourquoi lui cacher après tout ? D'ailleurs, la petite rouquine sent sa sœur partir dans un alcoolisme de rancœur… C'est dangereux, elle est sur une mauvaise pente et Sonja le sait, le sent. Rester près d'elle, lui porter chance en lui changeant les idées, voilà seulement ce qu'elle pouvait lui apporter.
Durant sa première année de Sidh-Banshee, Sonja fit sa première bonne action, ce qui la remplie de joie et de motivation pour la suite. Alors qu'elle se rendait au cimetière d'Ottawa pour visiter une connaissance de son ex-copain, elle rencontra sa première disciple : Artémis. Elle était coincée sous sa forme de coyote, possédée par la tristesse et la colère de la perte de sa grand-mère qu'elle venait justement visiter elle aussi. Sonja l'aida en lui apportant l'apaisement qu'il lui fallait ainsi qu'en faisant naître des sentiments positifs chez la jeune Berzerker. Sonja fut inspirée d'un tel sentiment, qu'elle se laissa aller à une relation fusionnelle et passionnée avec Artémis.
Elle croisa également Gabriel, l’ex-mari dont Sygie’ parle parfois, lorsqu’elle a bus. Certes leur rencontre fut digne d’un scénario de film d’épouvante, mais Sonja s’est mise en tête de poursuivre et de protéger Gabriel. Seulement, étant encore jeune et sans doute encore un peu novice, elle ne fait que lui porter malheur… Elle n’est pas tellement son ange idéal, mais elle se doit de faire quelque chose pour lui, pour sa sœur, pour eux. Affaire en cours…
Niveau professionnel, elle introduisit une demande à l'université d'Ottawa pour reprendre ses recherches au niveau de l'histoire de l'art... Mais cette fois-ci, notre rouquine devra travailler dans le département d'archéologie en tant que chercheuse et collaboratrice des chercheurs archéologues et scientifiques. Elle apportera sans aucun doute, un regard plus innocent et nouveau sur les théories actuelles !
Que la vie, ou la mort, continue dans cette nouvelle ville qui lui ouvre les bras ainsi que les yeux sur ce monde surnaturel dont elle n’en connaissait qu’une infime partie… ! Céline alias KSS ©● sexe : Féminin jusqu'à preuve du contraire
● région : BELGIIIIQUE !! ÉWÉ !! J'apporte des frites et de la bière mes amis !!!
● âge : 24 ans depuis le 12 janvier !
● ancienneté Rp : Heu.....
12 ou 13 ans je crois ... :bonheur: le premier qui me traite de vieille, je le mange !
● présence : LE PLUS POSSIBLE ! Oui bon, ce n'est pas très objectif, mais faisant des études un peu particulières, c'est très aléatoire !
NEANMOINS je peux promettre quelques connexions durant la semaine
● ce que je fais: La question qui fâche... Alors je fais un master en Design Industriel. KESAKO ? Si ça vous intéresse VRAIMENT, je répond en MP
● découverte du forum : Via facebook ! (Encore merci à Gaëlle pour sa spontanéité et sa rapidité de réaction d'ailleurs !
)
● ce que j'en pense : Bha.... Si j'y suis, c'est que bon, j'ai pas trouvé mieux ailleurs !