Nom : Orsini Prénom(s) : Aladdin, mais je ne l'utilise presque jamais. Depuis la sortie du film de Disney, voilà, je ne vous ferait pas de commentaire. Mon second prénom Altaïr me vient directement de mon grand père paternel. Âge : 64 ans. Je suis un vieux pour le humaine et un bébé pour les autres faës. Âge d'apparence : Environ 25 ans. Le bel age quoi ! Sous-espèce :Djinn de feu, c'est à dire iphrine. Tout feu tout flamme ! Date de naissance : 1 janvier 1952 Nationalité : Italien Origine(s) : Italiennes et algériennes de mon père, françaises et canadiennes de ma mère Métier (études) : Contrebassiste à l'Opéra Lyra Niveau social : Relativement aisé Statut marital : Célibataire, et ça ne lui déplait pas en fait. Orientation sexuelle : Homosexuel, il a déjà essayé avec les filles, ce n'est pas définitivement pas son truc Avatar: Jack Falahee Crédits: Shiya & tumblr Personnage: Inventé Petites curiosités Famille et proches - De la famille ? C'est légèrement compliqué sur ce point-là. J'ai.... quatre parents. Ouais je vous l'avais dit que ça allait être compliqué. En premier lieu il y a mes parents, les Orsini. Mes parents biologiques. Tous deux étaient des djinns, iphrines particulièrement fiers de leur nature. J'ai grandi avec eux, je les ai toujours aimé forcément, c'était mes parents. Étant un enfant unique, j'ai toujours été incroyablement gâté avec eux. Mais ceci ne dura pas, vu qu'à mes 13 ans, une stryge a décidé que mes parents allaient être son petit quatre heures. Suite à cela, j'ai été pris sous une aile d'une autre famille. Les Archer. Eux avaient la particularité d'être.... humains. Cela fut dur pour pour moi au départ, j'ai tout fait pour leur cacher ma vraie nature. Je ne voulais pas être disséqué, comme mes parents me l'avaient raconté. Cette petite mascarade dura plusieurs années. Pendant tout ce temps j'avais du mal à faire confiance aux Archer, malgré tout ce qu'ils pouvaient m'offrir. Ils m'ont tout appris. Mais avec le temps, ils me firent bien comprendre qu'ils savaient que j'étais différent. Cela ne les avait jamais dérangé et ils ne voulaient pas en savoir plus. La seule chose qu'ils savaient, c'était que j'étais comme leur fils pour eux. Il m'en fallu pas plus. Bien évidement, ils sont morts maintenant, mais je garde les Archer dans mon cœur au même niveau que mes parents biologiques. Niveau relations intime... c'est compliqué. On m'a toujours dit de ne pas trop m'attacher aux gens. C'était un des enseignements communs de mes quatre parents. Je m'y suis toujours appliqué. Mais le fait est que je suis très affectueux... et je ne l'assume pas du tout. J'aurais tendance à me prendre d'affection trop rapidement et à créer des attaches aisément. Et dès que je me rends compte de la chose, je nie les faits en bloc. Non non, de toute façon, je ne suis pas du genre à avoir des liens. Denial, total. Position sur le conflit - Les stryges. Disons que ce ne sont pas les bestioles que je porte le plus dans mon cœur. Il faut dire que quand on voit un ange noir s'envoler et laisser derrière le cadavre de ses parents.... ah bah ça n'aide pas à la sympathie. Pas que je ressente de la haine à proprement parlé. En fait je suis tout à fait capable de comprendre qu'il y a des imbéciles de partout et même parmi les stryges. Alors s'il y a des imbéciles, j'ai supposé qu'il y avait des stryges parfaitement censées.... non ? Mais malgré moi, j'aurai tendance à craindre les anges noirs. C'est plus fort que moi. Naturellement, je ne vais pas aller vers eux, j'aurais même tendance à les éviter. Il est clair que vous ne me verrez jamais parler avec un stryge autour d'un verre de vin, OH CA NON JAMAIS DE LA VIE ! Mais sinon, non je ne les déteste pas. Alors le conflit, on dira que je suis neutre ? Attitude face aux humains - Sachant que j'ai passé la majeure partie de ma vie avec des humains.... ben naturellement j'aime les humains. Même – entre nous – pas mal de ses bestioles sont franchement connes. J'ai passé plus de temps parmi les simples hommes que les faë, j'ai été élevé comme un garçon humain. Alors forcément, je suis intégré totalement à cette masse populaire qu'on appelle les homo sapiens sapiens. J'aurai plus tendance à me considérer plus comme un simple homme que comme un membre de cette communauté magique. Donc oui, j'ai plutôt de bonnes relations avec les humains, comme je suis un membre de cette populace. Points faibles - Mon point faible premier, c'est le froid. Comme tout iphrine qui se respecte, je suis très sensible au froid. Alors vous allez me dire qu'est-ce que je fous à Ottawa ? Ben bonne question sérieusement ! Plus sérieusement, si je ne prends pas certains disposition, j'aurais tendance à rapidement avoir la goutte au nez. Je dois sortir à l'extérieur couvert de plusieurs couches de vêtements. Et chez moi, il doit au moins y avoir une cheminée, ou que ça soit bien chauffé... ou alors de bien me réchauffer. Ça je vous laisse le choix. Indéniablement mon autre faiblesse, c'est la connaissance. Je suis quelqu'un de très curieux de base, et sur un tas de domaines. Il suffit de bien me parler d'un sujet et ça y est, je suis complètement pris dedans. Que ça soit le profilage, l'astronomie, l'archéologie, ou encore la stratégie. Bref, tant que tu y mets les mots et que sais me capter, je peux devenir une vraie biatch pour en savoir plus. Alors je poserai une bonne centaines de questions en un temps record. Autant dire que je peux devenir facilement insupportable et surtout manipulable.

  


  qualités
  Souriant
  Positif
  Blagueur
  Bienveillant
  Agréable
 Intelligent
Facile à vivre
   défauts
  Dragueur
  Volage
  Peu fiable
  Moralité douteuse
  Maladroit
 Trop curieux
Parfois naïf
  

Vous parler de moi ? Avec grand plaisir ! Alors ... voyons voir.  Commençons par mes défauts... parce qu'entre nous, je pense qu'il y en a un bon paquets. Je suis quelqu'un de particulièrement dragueur. C'est ce que vous pourrez penser de moi la première fois que vous me rencontrerez. Vous me direz la fibre italienne, toussa toussa. J'aime draguer, j'aime séduire, tchater, ce genre de choses. Et autant dire que la fidélité n'a jamais vraiment fait partie de mes.... principes, dirons-nous. Je ne suis pas vraiment le genre de personne a qui il fait faire confiance et ça tombe bien, car il y a de fortes chances pour que je ne vous fasse pas confiance non plus. Je n'ai jamais vraiment eu de principes dans tous ma vie. Je vous dirai que je vais au gré de mes envies, sans me soucier du reste ou de la moralité. Certains vous dirons que je suis un peu naïf.  J'ai tendance à m'émerveiller de peu et à sourire pour un rien.

Cependant le sourie reste aussi ma plus grande qualité. Je suis le genre de personne qui sourit tout le temps. Même quand les choses ne vont pas bien je vais vous afficher mes dents blanches. Je me contente de peu pour aller bien. Il en faut peu pour être heureux après tout. Dans chaque situation, j'essaye de tirer le meilleur. je suis une sorte d'éternelle optimiste. Une blague par ici, une blague par là. autant dire que je suis un vrai professionnel pour faire sourire les gens autant que moi. Je suis l'ami à avoir en cas de déprime furieuse. Dans ce genre de situation, je faisais toujours attention à la personne et je fais tout pour la faire aller mieux. J'essaye toujours de prendre soin des personnes que j'aime bien. Même si j'apprécie beaucoup plus de personne que je ne veux bien l'avouer. Vous voyez, on m'a toujours dit de ne pas m'attacher, mais c'est plus fort que moi.  je suis un bisounours vivant. Tout le monde vous dira que meme si je suis un éternel dragueur, je suis très facile à vivre. Et c’est vrai. je ne suis pas vraiment compliqué comme type. Je m'adapte à tous les situations et je ne suis pas très exigeant. je suis très facile à satisfaire? Le plus dur? C'est de supporter mes blagues.

Par contre ce que peu de personnes savent, c'est que je suis beaucoup plus vif d'esprit que je pourrais en avoir l'air. J'ai toujours été quelqu'un de très curieux. Ainsi pendant tout ma vie j'ai cumulé pas mal de connaissances. J'ai dès mon plus jeune age développé un gout très prononcé pour la musique. Avec le temps j'ai appris de jouer d'un grand panel d'instruments différents. Je suis allé très loin pour l'amour de la connaissance. Entre autre chose j'ai appris à maitriser divers langues et a parler sans qu'on détecter mon accent italien. Je n'irai pas à dire que je suis intelligent, je ne suis pas vraiment vantard sur ce point-là. Mais je suis loin d’être bête ou naïf comme certains se plaisent à le dire. Alors que beaucoup me pensent simple d'esprit et très irréfléchi, c'est tout l'inverse. Mon cerveau pense toujours à deux mille à l'heure. Tous mes actes sont pensés à l'avance. Autant dire que je suis bien loin d’être une mijaurée.

Florence, Adin, 10 ans

J'aimais les rues de Florence. Je n'avais pas vraiment l'occasion d'y aller. Il fallait dire que ma famille était assez.... différente des humains. Ma mère me l'avait expliqué, nous, nous étions des djinns. Des génies, les humains croyaient pas mal de choses nous concernant. Alors forcément, si on ne faisait pas attention, on risquait d'attirer l'attention sur nous. Pourtant j'aimais regarder les gens. Ils étaient marrants. Je ne comprenais pas vraiment ce qu'ils faisaient, mais ça me fascinais à chaque fois. Ils étaient rigolos dans le fonds ces petits humains. Je continuais de marcher, j'avais échappé à la surveillance vigilante de ma mère. Voilà que j'étais partie en vadrouille suivant les rires et les voix des petits humains. Puis rapidement, un son attira mon oreille. Je suivis cette étrange mélodie. C'était vivant, rythmé, ça respirait la joie de vivre. Cela me donnait envie de sourire et de danser. Ne suivant que les notes de musique, je finis par arriver vers une petite fontaine. Là se tenait un homme, il tenait une drôle de chose entre ses bras. Je le regardais attentivement. Quelle était cette chose en bois ? Il y avait des cordes. Je me frottais le menton alors que l'homme qui faisait danser ses doigts sur l'instrument avait un grand sourire. Il finit par arrêter sa mélodie et me regarda amusé. Intrigué petit ? C'est quoi.... ça ? Je montrais du doigt la chose en bois qu'il tenait contre lui. Ça ?! C'est une guitare ! Une... g... guitare ? Je n'en avais jamais vu à la maison, il fallait dire que nous n'étions pas vraiment très musique dans la maisonnée Orsini. Je veux faire comme vous. Il me sourit alors qu'il me tendait l'instrument, prêt à me donner un court directement.


Nice, Adin, 14 ans

Je me repliais sur moi-même. Cela faisait un an en tout. Un an jour pour jour. Tout avait changé. Je n'avais que très peu de souvenirs de ce jour pourtant. La seule chose dont je me souvenais pourtant, c'était que ma vie n'avait plus été la même à partir de cet instant. Il y avait pourtant des sensations qui étaient encore fraiches dans mon esprit. L'odeur du sang, principalement. Je me souviendrai toujours de cette odeur de sang qui avait emplie toute ma maison. Ce fumet de fer qui en était devenu écœurant. Et le froid. La peau de mes parents qui était devenue gelée. Trop froide pour les iphrines. Je détestais le froid. Je me recroquevillais un peu plus. Les anges noirs. L'ange noir. Je ne me souvenais pas de son visage, ni même de son sexe... je ne me souvenais juste de ses deux grandes ailes noirs dans son dos qui m'avaient faites frissonner. Encore aujourd'hui d'y penser j'avais froid dans le dos. Je m'étais retrouvé seule, sans personne. Je m'étais retrouvé à vagabonder, sans but. J'avais fini par traverser la frontière et me retrouver en France. Je soupirais longuement. J'ignorais encore combien de temps tout cela allait duré. Je n'étais qu'au début de ma vie de djinn et déjà c'était l'enfer. Ottawa. Ma mère m'avait parlé de cette ville, la cours des faës. C'était là que tous les gens comme moi se regroupaient. Visiblement, c'était la meilleure solution pour moi. Mais un obstacle s'imposait.... assez massif. Comment allais-je aller jusqu'au Canada ? Je poussais un long soupire. J'étais loin d'être sorti de ma galère.


Nice, Adin, 20 ans

Mes doigts glissèrent sur les cordes du violon. Elles étaient neuves, cela se sentait directement. J'aurais presque pu m'y esquinter les doigts avec de la bonne volonté. J'avais presque la sensation de caresser le coupant d'une lame de couteau. Le temps avait passé a une vitesse folle, je ne m'étais pas vraiment rendu compte des choses. Les Archer m'avaient trouvé sur le bord de la route, littéralement. Ce qui au départ devait être une nuit de dépannage était devenu beaucoup plus régulier. A force je faisais presque partie des murs. Mais voilà, être un membre de cette famille, c'était compliqué pour moi. Je savais bien que je n'étais pas comme eux. Je me souvenais encore de ce que m'avaient dit mes parents sur les humains. Certes, je ne les avais jamais craints, ou ne serait-ce que de vouloir me servir d'eux. Mais leur confier que je faisais partie d'un monde dont il n'avait pas conscience, c'était une autre histoire. Quand une main se posa sur mon épaule je sursautai immédiatement et l'attrapa. Mais lâchai immédiatement en voyant que la main appartenait à Camille, l'humaine qui était.... euh ben je ne savais pas trop comment je devais l'appeler. « Ma tutrice » ? Je supposais que c'était quelque chose comme ça. Je marmonnai quelques excuses avant de reposer mon regard sur l'instrument de musique. Tu as trouvé ton cadeau ? Je hochai de la tête comme simple réponse. Il fallait avouer que je ne savais pas trop quoi lui dire. C'était bien la première fois de ma vie que je manquais de mots. Après quelques dizaines de secondes qui me semblèrent durer une éternité. Pourquoi... tu me l'as offert ? Elle me regarda avec une air surprise, avant de rire légèrement. Après tout ce temps tu te méfies encore Adin ? Je baissais le regard presque un peu honteux. Elle avait raison. Aujourd'hui, ça fera cinq ans que tu vis avec nous. Ça se fêtait, tu ne trouves pas ? Oh. Ah oui en effet. Je voulais trouver quelque chose à dire, mais encore une fois, je restais comme un con. Je sentis la main de Camille se glisser dans mes cheveux et les ébouriffer affectueusement. Allez, fais pas ta tête de linotte, on t'aime comme tu es Adin.


Londres, Adin, 37 ans

Mes doigts restèrent en suspens sur les touches du piano alors que la dernière note du morceau venait à mourir dans les airs. Quelques secondes passèrent avant que j'entende un applaudissement de main. Je me retournai vers mon public qui était composé d'une seule et unique personne. Je fis un grand sourire à l'homme qui s'approchait de moi. Je savais ce que j'avais à faire c'était facile. Je l'avais déjà fait beaucoup de fois. La méthode était simple, toujours la même. Sourire. C'était la clé. Personne ne soupçonnait mon grand sourire de gamin. Il fallait dire que ma nature de faë était un vrai avantage. Je ne vieillissais pas comme les humains. Même si j'avais 37 ans, je n'en faisais qu'une quinzaine. Autant dire que pas mal de pédophiles étaient attirés. Je souriais toujours à l'homme. Ma cible. Doucement il se pencha sur moi pour me voler en baiser. Je me laissais faire. Il venait déjà de tomber dans le piège. Alors qu'il continuait dans son acte, je sortais de ma ceinture une dague. Quelques secondes après je lui enfonçai la lame directement dans la carotide, toujours en souriant. Il se recula d'un coup sec, mais d'un geste sec, je fis une entaille sur tout la nuque, sectionnant entre autre chose la trachée. La sang gicla, je m'écartai ça aurait été bête de me tacher. C'était facile oui, très facile de tuer quelqu'un. Mais je le faisais bien... après tout c'était la seule chose qu'on m'avait apprise.


Ottawa, Adin, 59 ans

Brrr, je n'aimais pas ce pays. Il faisait beaucoup trop froid. Même en été ! Bon sang, même à Londres c'était plus agréable. Je poussais un long soupire alors que je remontais mon écharpe sur mon nez. J'ignorais encore comment j'avais atterri ici. Depuis que j'avais arrêté mes activités, j'avais voyagé au gré de mes envie. Cela faisait environ cinq que je voyageais de partout. Par chance, mes parents adoptifs m'avaient laissé un petit pactole qui me permettait de vivre aisément. Il fallait dire que d'être assassin c'était assez bien payé... et c'était sans compter mes propres contrats qui – pour certains – avaient été relativement juteux. Enfin je pouvais vivre sans trop me préoccuper des lendemains. Enfin ce n'était pas pour autant que je jetais l'argent par les fenêtres. J'hésitais à prendre un nouveau travail. Tuer des gens ? Non, je m'étais promis de ne plus le faire. C'était le truc des Archer, pas le mien. Après oui, j'étais doué pour ça... et j'étais aussi douer pour jouer de la musique. J'avais appris à jouer d'un grand panel d'instruments. Je m'arrêtais quelques instants, réfléchissant. Pourquoi pas après tout. Devenir musicien ? Ça sonnait bien à l'oreille en tout cas. Cela me plaisait. Alors que je continuais de réfléchir, quelqu'un me bouscula. La personne me toisa d'un regard sévère et finit par beugler. Tu vas regarder ou tu vas troufion ? Je haussais un sourcil, quel grossier personnage. Excusez-moi, mais d'une, il faut regardez devant vous quand vous marcher. Et de deux, si tu veux me faire du rentre-dedans tu peux t'y prendre autrement chéri. Non mais je pensais que les canadiens avaient la réputation d'être courtois. Fausse idée. Le type furibond m'attrapa par mon écharpe et m'approcha de lui. ELLE A DIT QUOI LA TAPPETTE ? Je levai mes yeux vers lui, sans qu'il ne puisse réagir, je lui avais envoyé un bon coup de genou dans les testiboules. Surpris, j'en profitais pour le déséquilibrer et le faire tomber les fesses directement dans la neige. Je finis par poser ma main sur sa tête. Si tu voulais m'embrasser, il fallait le demander gentiment chéri. Je ris alors que je continuai mon chemin comme si de rien n'était.


Ottawa, Adin, 64 ans

Je me réveillais doucement. Je n'avais pas vraiment pour habitudes de dormir chez amant, mais bon, on va dire que c'était différent. J'ouvrais mes yeux un à un pour tomber face à face au jeune pixie dont j'avais squatter le lit honteusement. Les souvenirs de la veille étaient un peu brumeux. On avait bu, mais pas plus que de raison, juste ce qu'il fallait. Je me souvenais de notre rencontre la veille, dans une boite pour les hommes qui cherchaient des hommes. Bref, toujours était-il que c'était au bar que j'avais accosté le bel homme. Il fallait dire qu'il ne laissait pas indifférent. Le genre grand et baraqué, ça me plaisait. Lorcàn. C'était son prénom. On avait discuté... bon ok, on s'était surtout chauffé en fait. Je sais pas pourquoi, mais ce type, il avait faim. Puis rapidement il m'avait avoué que ça faisait trois ans qu'il n'avait pas eu de relation sexuelle. Quand j'avais entendu ça, j'avais presque craché mon cocktail. Autant dire que je ne pouvais pas rester sans rien faire. J'avais du sauver cet homme ! Puis sérieusement, comment je pouvais dire non à un canon pareil. Ça aurait été criminel de ma part. Je me rapprochai de Lorcàn avec un grand sourire, je me collai avec délicatesse dans son dos. Je vins poser distraitement des baiser à l'arrière de la nuque du brun. Je le sentis bouger. Réveillé ? J'eus cette confirmation quand il se retourna vers moi. Je souris, restant bien contre le torse du pixie. Ben quoi ? Il était confortable. Ses muscles étaient de vrai matelas en mieux. Alors heureux ? Ou tu as encore faim, Monsieur Trois ans ? Je ris légèrement et finis par nicher mon visage dans son cou. Personnellement ? Un second round ? Là, maintenant, tout de suite ? Je n'aurais pas dit non !