❝Louve x Aetios

   ♡ A meeting of fortune

« Désolé gamin, tracasse, tu ne vas pas en mourir. » son comportement trahissais une certaine excitation. « Non, tu vas juste le vider de son sang avant de le laisser là, agonisant sans honte ! » cela avait été plus fort que toi, ta voix était tout aussi glaciale que la météo dehors. Mais une question se pose ? Qu’est-ce que tu foutais là au beau milieu de nulle part, par ce froid plus que glaciale ?

Tu avais passé une journée des plus banales à en mourir. Métro, boulot, dodo ce n’était pas la vie après la mort dont tu rêvais ! Tu n’avais jamais non plus vraiment espérer avoir un grain dans la tête, loin de là et pourtant c’était le cas ! Comme quoi on a jamais ce que l’on veut dans la vie, toi qui rêvait d’un mari aimant et d’une vie de famille bien ranger et de mourir de tes vieux jours le plus naturellement possible, là encore c’était foutu ! Tu t’étais rendu au travail. Assez naturellement et comme si cela avait toujours été inné tu avais fait ce pour quoi tu été payé chaque mois ! Un homme te passa devant, ce n’était pas la première fois que tu le croisais en fait. Tu savais aussi clairement que ta race te permettait de savoir qu’il n’était pas clair, avoir ce genre de ressenti été propre à toi. De nombreux squelettes voilà ce qu’il avait dans son placard. Surtout envers les femmes et ça te donnais une rage folle, ce qui n’est généralement pas le meilleur. Le revoir là, aujourd’hui, il t’avait donné une bonne raison de le poursuivre et de finir cette après-midi sur une note positive… Pour toi, non pour lui…

Tu l’avais suivit de manière discrète, connaitre un peu mieux sa proie et attaquer quand il serait le plus faible ! Sans sa compagne… Mais c’était rarement le cas. Il finit par rentrer chez lui et tu te décidas à le suivre mais de manière complètement invisible. C’était rare que tu le fasses, mais tu avais ce besoin viscérale de remettre les choses à leur véritable place ! L’appartement ce couple avait une odeur de vieux et de renfermé. C’était loin d’être agréable. Coincé dans un angle tu observais avec silence. Cela faisait un petit moment que tu n’avais pas pris cette forme de Sidh, cette image de toi à la fois très sexy mais aussi très effrayante à cause des stigmates de ta mort !

L’homme annonça à sa copine qu’ils feraient du camping pour la soirée. Tu avais horreur de ça mais tu continuais de les suivre, de manière purement invisiblement à l’œil ! Ils passaient et te frôlaient à chaque instant sans te sentir ni rien. A la campagne, se sera plus dur de lui faire payer mais c’était un endroit tellement reculé que cela peut aussi être un avantage pour toi. Malgré toi, la température de l’appartement diminuait peu à peu. Le résultat d’une folle envie de vengeance… Ils partirent. Tu finis par retourner chez toi le plus naturellement possible. Après tout, tu avais une bouche à nourrir et il ne te restera plus qu’à te téléporter non loin de leur nid d’amour temporaire.

Il y avait un arbre juste à côté, tu grimpas sur une des branches les plus basses pour attendre le meilleur moment ! Tu les regardais manger ensemble, se faire des papouilles des mamours, tout cela t’écœurait quand tu savais que le mec n’avait jamais vraiment eut de considération pour les femmes en général. Tu t’ennuyais follement que tes tords reprenais le dessus, les chiffres m’obsédais comme ils le faisaient quotidiennement… Attendant patiemment qu’ils s’endorment, je calculais mentalement toute les décimales possibles de pi. Oui le truc qui ne sert à rien mais ça occupe l’esprit et ça c’était bien. C’est alors qu’un homme arriva. Regardant au bas de l’arbre la même tente que toi et dès que l’homme en fut sorti il commença à le siphonner…

Tu avais sauté de ta branche avec beauté, te rendant visible mais toujours aussi terriblement sexy, des marques plus prononcé sur tes vieilles plaies. C’est avec grâce que tu flottais jusqu’à lui « Je serais terriblement déçue que tu m’enlèves le pain de la bouche ! »

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Tu lui avais pour ainsi dire coupé la chique sous le pied. Il laissa l’homme à terre inconscient mais vivant et te regarda. Un grondement rauque lui sortit de la bouche mais tu ne préférais pas t’arrêter là-dessus sinon tu n’avais pas fini si tu flippais dès qu’une créature bizarre grognait à ta simple vu ! Tu ne lui en voulait pas pour ça, après tout il était en train de se nourrir et toi bonne rabat joie tu venais lui casser son trip… Il se redresse fièrement face à toi « Faut bien se nourrir, puis, qui te dit que je vais le laisser agoniser...moi au moins je ne vais pas le tuer. » te clama-t-il d’un ton sombre et froid. Tu secouas la tête avec légèreté. « Parce que c’est écrit sur ta tronche que tu es mort pour tuer et non le laisser agoniser tranquilou ton repas, ou alors tu es un être particulièrement stupide. » lui dis-tu avec un calme exemplaire. Tu n’étais pas énervée, mais tu avais juste envie qu’il dégage et qu’il te laisse faire ton devoir d’ombre. Tu penchas la tête sur la gauche en fixant le Stryge droit dans les yeux. « Tu n’as pas l’air d’un abruti. » théâtralement tu penchais la tête dans l’autre sens. Finalement tu redressas ta tête normalement. « Mais je peux me tromper, éclaire ma lanterne ! »

Il ricana quant au fait qu’il me coupait l’herbe sous le pied et finit par se redresser totalement. Je continuais de me rapprocher de lui doucement. « Pauvre de toi, si tu veux il reste la fille que je te laisse gentiment...Tu ne vas quand même pas réclamer mes restes ? » Ce fut à ton tour de ricaner pour une fois. Tu ouvris la bouche pour lui répondre, mais au même instant le jeune homme poussa un gémissement fluet. Tu posas ton regard sur lui, il ne perdait rien pour attendre. Il posa son pied sur lui l’obligeant à rester à bouffer de l’herbe par terre. Il serait utile de prévenir les Stryge que les humains ne bouffent pas que de la verdure ! « Couché, pas bougé. » ordonna-t-il à l’humain qui avait la tête dans le derrière tout simplement à cause de la créature. « Je ne veux pas de la fille, c’est bête mais j’ai pour principe de m’occuper des hommes que le méritent, et ce gland à tes pieds, crois-moi il mérite une mort digne d’un sidh… »

Tu fixais l’homme pour qui tu avais planifié un programme fort déplaisant et qui pour le moment n’était pas tient. Pas encore. « Puis-je savoir pourquoi mon repas semble tant t’intéresser... » Tu croisas les bras sur ton thorax. « C’est possible si tu me le laisses. Tu as d’autres humains à un peu moins d’un kilomètre d’ici, leur destin ne me concerne absolument pas tu pourrais en faire ce que tu veux. » Tu te rapprochas encore un peu du duo de la soirée tant et si bien que tu aurais pu murmurer pour parler que les deux entendrais. « ça fait quelques nuits que je le jauge et le test. Et je n’aime pas, ne pas finir le travail que j’ai commencé… » Pas une once d’agressivité en toi. Une voix simple et posé.

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Tu voyais très clairement que tu l’agaçais. A vrai dire tu t’en foutais, cela ne te concernait pas du moment qu’il te le laisser cet homme qui se passait du consentement des femmes pour passer à l’acte... En fait la créature face à toi te fatiguait tout simplement avec ces jérémiades à la mords-moi le nœud… Tu avais l’impression furieuse qu’il te faisait perdre ton temps et ça commençait à te rendre tout autant grognant que l’homme que tu avais coupé dans son élan ! Tu montrais quelques signe d’impatience, les bras noué sur ton buste tu n’avais de cesse de le fixer. Ta provocation avait fait mouche. Il fronça les sourcils l’air blessé. Droit en plein cœur tu avais appris à vexer les hommes et à toucher leur point faible assez facilité. Ils t’avaient tellement marqué physiquement et moralement que tu avais décidé de quasi tous les foutres dans le même panier.

« A quoi bon, je suis sûr que les Sidhs n'ont qu'une illusion d'intelligence... Je ne perdrais donc pas mon temps à combler le trou fantomatique dans ta petite tête. » A ces mots tes lèvres formèrent un sourire. Nuls mots, nulles paroles ne t’affectaient plus depuis que tu avais vu ce dont était l’être humain. Et ce serait pas ceux venu d’une créature comme cet stryge qui ferait vraiment écho en toi ! « Rassure-toi, ma capacité de réflexion n’est pas illusoire mais je n’aurais moi pas la vanité de dire que je suis surpasse une quelconque autre personne mon lapin. » Le jeune homme à ces pieds était là, nous regardant sans vraiment nous voir. Peut-être nous maudissait-il ? il était à mille lieux d’imager que les êtres que nous étions étaient déjà mort depuis longtemps… Et que lui dans tous les cas aussi serait mort sous peu, soit de ta main soit de celle de l’autre créature. Les deux façons tout aussi douloureuse l’une que l’autre. Et il le méritait de toute façon, un collectionneur, un violeur et un tueur ne pouvait avoir que ça comme digne jugement. Tu préférais que ce soit fait de ta main, de voir la souffrance se peindre sur son visage, voir la douleur le tordre. C’était ce que tu demandais tout simplement.

Face à tes remarques l’homme était mi-figue mi-raisin, tantôt amusé tantôt perturbé. Savait-il seulement sur quel pied danser ? Avec toi se serait fort peu étonnant. Le fait d’’avoir cette proximité avec lui le rendait nerveux, ce qui t’amusait, tu n’avais d’ailleurs pas honte de le cacher, ton visage marquait clairement la jubilation que tu ressentais, tu n’en avais pas honte et tu ne voyais clairement pas pourquoi le cacher. Son sourire t’interrogea, te rendant soucieuse. Que pouvait-il penser ? Que songeait-il faire ? Il eut une mine réfléchi, tu te mordis la lèvre pour à nouveau ne pas sortir une vacherie qui rendrait cette conversation encore moins cordiale qu’elle ne l’était. « Quelques nuits...c'est pas de chance pour lui...mais pour toi aussi, parce que vu que tu m'as gentiment interrompu dans mon repas, je suis devenu d'humeur maussade. Mais d'accord, je vais aller chasser une autre proie mais...toi tu devras recommencer également une chasse. La prochaine fois, apprend à ne pas interrompre les gens. » Tu fronça les sourcils. Au même moment il posa son pied sur la nuque de l’homme et lui rompit telle une vulgaire brindille. Un sifflement échappa de tes lèvres et alors que jusqu’à présent tu avais été courtoise avec lui bien que tu n’ait guère d’estime pour lui au final. C’était un homme, et il venait de te montrais ce qu’il valait. Rien. Au contraire !

« Finalement je ne me trompais pas à ton sujet, tu es bien un imbécile, heureux de sa connerie mais idiot quand même. Comment as-tu survécu ainsi ? Je me le demande. » pour la première fois, ta voix était sèche et de glace, à en faire reformer de la banquise au pôle Nord ! « Maxence ? » Tu levas les yeux au ciel l’air complètement exaspéré ! Mais qu’avais-tu faire au bon dieu bordel pour qu’on vienne te faire chier ainsi ? Tu devais être maudite. Cette réflexion interne t’amusa, la mort elle-même t’avait repêché et condamné à jouer les esprits frappeurs… Tu avais eu une vie de merde ce ne serait pas dans la mort qu’on viendrait te donner tout ce que tu pouvais souhaiter ! « T'es sur que tu ne veux pas la demoiselle ? Je suis sympas, je peux te la laisser...sinon et bien, je m'en occupe aussi. » Ce fut à ton tour de froncer les sourcils, avec le côté ombre cela te rendait plus redoutable, ou sexy au choix… Toi qui jusque-là t’étais rendu volontairement intangible, changea ton fusil d’épaule. Tu posas ta main sur le torse de l’homme et lui répondit avec une teinte de défi dans la voix. « Touche-là Ducon et je te promet le pire moment de ta vie ! » tu souriais d’un air de défi, tu n’hésiteras pas une seconde à t’interposé entre lui et la bonne femme quitte à ce qu’il te morde, tu t’en foutais la seule fois où tu avais essayé ça tu avais retrouvé le Stryge à l’agonie. Tu avais jubilé et recommencer avec Ducon, parce que depuis le début fallait avouer que tu ne connaissais pas son prénom et vu que tu trouvais que ça lui collait à la peau. Tu n’hésiterais pas non plus après à lui faire comprendre ce que c’est d’avoir l’illusion de l’intelligence… Si il bougeait ne serait-ce que d’un iota, tu te téléporterais devant la femme pour la protéger, elle n’avait rien à voir dans cette histoire et c’est pas lui qui allait changer ça…

[hj j’ai un doute sur la sensibilité des stryges sur la capacité d’illusion et leur récéptivité. Y sont-ils sensible ?]

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« Comme quoi, le monde tourne à l'envers. » te dit-il l’air un peu détaché, agrémenté d’un petit haussement d’épaules. Tu haussas un sourcil l’air perplexe, mais tu savais qu’il n’avait pas tout à fait tort non plus, mais tu ne l’avouerais pas à haute voix tu ne voulais pas passer pour une conne non plus… Quel monde tournerait à l’endroit en hébergeant en son sein des êtres aussi particulier que vous ? Il y avait de quoi devenir maboul quand on y songe ! Et les humains qui en plein milieu de se foutoir se plaignaient de leurs petite problème existentiel, ce qui était le genre du truc qui t’exaspérait…

Il poussa un grondement rauque quand j’avais posé ma main sur lui. Ce genre de réaction avait le don de t’amuser, tu n’étais pas du genre lâche, mais tu avais tendance à te surestimer, sans doute dû à ton passif avec la gente masculine…  Tu ne prenais conscience de tes actes et de tes mots qu’une fois prise sur le fait accompli. Ce n’était pas toujours beau à voir mais c’était un attrait de ton caractère que tu t’étais forgé avec le temps passant… « Ne me tente pas la morte, tu risquerais d'être terriblement surprise. » tu le fusillas du regard. « Dit donc Ducon, t’as autant passé la date de péremption que moi à ce que je sache le macchabé ! » Tu fronças durement les sourcils, l’air un peu enclin à a rigolade. La morte était à ton sens plus vexant que toi à l’appeler Ducon. Tu étais comme blessé dans ton amour propre et quelques peut rancunière de ta mort qui devait surement être plus horrible que la sienne. « Oh mon dieu, Maxence ! Que...oh mon dieu...il est...oh mon dieu... » Le Stryge face à toi leva les yeux aux ciel l’air complètement dépitée par les mots de la blonde. « Franchement, laisses dieu où il est ma belle, je pense qu'il est actuellement en vacance... » tu acquiesças d’un air entendu, parfaitement en accord avec la créature en face, tu as toujours trouvé amusant de croire que dieu était un gros geek qui s’amusait à faire crever les gens par plaisir, les transformer en stryge ou en sidh par pur plaisir sadique… Il parait même qu’il a téléchargé de quoi regarder les files sous la douche sans cache… Le gros pervers ! « Tu peux le croire sur parole si dieu existait on ne serait pas ici ni lui ni moi ! » Bien que tournant le dos à la jeune femme tu sentais sa peur monter…

A la réflexion tu te disais que si dieu existait, lui ne serait pas là, mais toi tu dépendais de la mort, est-ce dieu aussi qui gérait la mort ? Tu rentrais mentalement dans des questionnements philosophiques qui n’étaient pas forcément intéressant pour d’autre que toi. Ta foutu névrose reprenait quelques peu le dessus sur toi, te faisant perdre toute connexion avec ce qu’il avait autour de toi. Tu aurais pu être au beau milieu d’un attentat que tu n’aurais pas bougé ou réagit. Ducon posa sa main sur la tienne, te ramenant un peu sur terre et à la réalité de l’instant présent. Il l’avait fait avec une douceur déconcertante qui jurer avec le monstre qu’il était vraiment. Il avait un sourire malsain flanqué sur son visage, tu n’eus pas le temps de réagir qu’il se retrouver vers la jeune femme susurant une « A table ». Tu sifflas d’une rage folle. La jeune femme se mis à hurler.  Tu te retournas violemment pour faire face à la scène. Devant une tel démonstration de force de la part du Stryge que tu ne bougeais pas. « Pitié, je suis enceinte...pitié ! » Tu te pris une claque dans la tronche à cette annonce. Tu avais été focalisée sur l’aspect masculin du couple, mais pas sur elle. Savait-elle vraiment qui était l’homme qui selon toi devait être de le père ? Tu l’ignorais mais ce ne serait pas étonnant que ce soit véritablement le cas ! A nouveau tu sifflas tel un serpent dans ton coin. « Ouai, t'attends même des jumeaux. Félicitation, c'est ton putain jour de chance ! » En plus d’être un monstre Ducon servait aussi de gynécologue. Quel homme ! Il se tourna vers toi un air bizarrement peint sur son visage. « Comme quoi, je suis pas aussi méchant que tu pouvais le croire... »

Tu fronçais de plus belle les sourcils, tu n’avais pas confiance en lui et tu ne savais pas vraiment sur quel pied danser que tu préférais rester sur tes gardes. « Te fous pas de ma gueule Ducon ! » tu le regardais de travers. « Qu’est-ce qui me garantit que tu vas pas me la faire à l’envers ? » Tu le gardais à l’œil. Tu fis un pas en arrière vers le corps de l’homme, délicatement du bout du pied tu le retournas, la jeune blonde derrière Ducon poussa un nouveau hurlement. C’est en regardant le corps et l’angle que prenait la tête de l’homme que tu compris que la jeune femme prenait conscience de la chose. L’angle clairement pas naturelle marquait encore plus la mort de l’homme. Tu fouillas les poches du mec à la recherche du trousseau de clef sur lequel tu parviens à mettre la main. Tu te pointas devant la blonde, attrapant sa main tu lui confies les clefs de la voiture. Hypnotisant la femme tu lui déclaras avec douceur « Tu ne nous as jamais vu, ton crétin de mec s’est barré avec un autre mec bodybuildé sans cervelle, tu ne perdras rien. Tu vas aussi quitter la ville pour t’éviter toute peine. » Tu lâchas les clefs dans la mains de la blonde, te retournant vers le stryge tu repris « Même s’il faut que je te colle au cul pour être sûre que tu la laissera en paix je le ferais. Je suis loin d’être fleurs bleu mais je n’aime pas qu’on s’attaque à des nanas sans une raison valable ! » Le fait que Ducon lui avait annoncé des jumeaux avait rouvert une plaie béante en toi. Tes enfants. Tu avais toi-même porté la vie pour au final faire naître la mort ! Cela t’attristait et te ramenait des années et des années en arrière quand ta vie avait encore une quelconque importance à tes yeux.