AccueilAccueil  Tumblr  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  

Partagez
L'adultère est le gagne-pain des connasses | Feat. Léonard

 :: Archives des rps

Invité
Invité
Anonymous

IDENTITY CARD
MORE ABOUT ME
IT'S OVER

L'adultère est le gagne-pain des connasses | Feat. Léonard  Empty
L'adultère est le gagne-pain des connasses | Feat. Léonard  EmptySam 5 Déc - 12:47
L'adultère est le gagne-pain des connasses

Léonard & Willow

Et voilà, encore une fois Willow c’était lamentablement fait planter par Darwin qui, non content d’avoir pris un copieux petit déjeuné en bouffant (encore !) la dernière bonniche engagée, avait pris la poudre d’escampette pour se farcir une bombe… La loose quoi. Et quand on dit farcir, c’est genre… dans les deux sens du terme ! Si bien que ravagée par la jalousie, Willow avait décidé une fois encore d’aller noyer son chagrin et sa solitude parmi le commun des mortels. Et de préférence, des gens qu’elle ne connaissait pas, et avec qui elle pourrait s’amuser… enfin s’amuser à leur dépend m’voyez ? Déjà plus d’une demi-heure que l’Alchimiste se tenait au bar, une bière de paysan dans la main et le regard planant sur la petite pièce où un brouhaha joyeux s’élevait. C’était un vendredi soir, et la proximité de la fac’ avait fait exploser le quota d’étudiants en quête d’une bonne rasade, certainement pour se donner des forces avant de partir à l’assaut d’une boite de nuit moins ringarde que le bar à moitié miteux où ils se tenaient. Ouais… sans doute s’était-elle bien plantée en choisissant ce bar ci. Mais elle n’avait pas réfléchit, et était venue dans le premier qu’elle avait croisé. La vie était vraiment très très moche parfois ! Mais lorsqu’une jeune fille vint vers elle avec un sourire ravissant, Willow devina tout de suite que le vent tournait enfin en sa faveur. Elle était bien trop mignonne pour l’ignorer, et l’envie de passer ses nerfs sur une jeune créature aussi lumineuse qu’elle la démangeait sévèrement.

Si bien qu’elle prit un regard plutôt bienveillant le temps qu’elle arrive, imita son sourire, mima une expression ma foi fort sympathique… Elle l’écouta, lui demander si elle pouvait la dépanner d’un peu de maquillage parce qu’elle n’avait pas eu le temps de gna gna gna gna ! Rien à foutre ma p’tite ! Mais après l’avoir laissé parler avec sa voix de dessin animé pour enfant, Willow lâcha sans se départir de son sourire aimable.

« Sache que le mascara ne remplace jamais la beauté intérieure… Mais vu ta gueule on va faire une exception. »

Son vilain smile s’élargissait, à mesure que la jeune fille elle, voyait le sien diminuer au profit d’une mine bien plus terne. Bah voilà, c’était pas compliqué ! Satisfaite, Willow observa la jeune fille s’éloigner en silence, lui jeter un regard triste à la princesse Disney (ce qui remonta son moral en flèche !) pendant que l’Alchimiste finissait sa bière. Ah, que les âmes innocentes étaient les plus marrantes à meurtrir ! Pas d’une manière aussi infecte que pouvait le faire Darwin… fallait quand même pas déconner. En attendant, et puisqu’elle se faisait quand même plutôt chier dans ce repère de moches qui fleuraient bon la jeunesse et la frustration, Willow s’empara de son sac, de son manteau pour fendre la foule et se barrer d’ici. Avec un peu de chance finalement, il y aurait un film à la télé… ou alors Kassim serait dans le coin et elle pourrait le titiller un peu. Là, là c’était un programme amusant ! Ou mieux encore, ils iraient dans un autre de ces bars minables histoire de chercher des cibles barbouillées et ludiques. Parce qu’il avait beau être un gros naze pas drôle le Kassim, il avait au moins cette qualité : une fois un peu poivré, il devenait marrant. L’autre jour il avait fini sur le bar avec le soutif de Willow sur la tête, chantant un truc incompréhensible à base de G.i. joe et de top model USA.  C’est donc dans l’idée de lui envoyer un texto qu’elle sortit du bar. Mais, sur sa route, une silhouette plus massive que celles des autres étudiants attira son regard et immédiatement ses yeux pétillèrent en se posant sur la personne concernée. Bah tiens ! Alors là, pour une surprise, s’en était une vraiment bonne !

Le type en question, Willow l’avait déjà croisé une fois dans un bar… proche d’ici d’ailleurs, sans doute travaillait-il non loin de là. Mais le plus intéressant, était sans doute ce qu’elle avait réussi à lui faire avouer ce fameux soir… Car comme toujours, Willow avait joué, et avait soutiré un joli paquet de billets au beau brun après une petite séance d’hypnose. Le recroiser lui paraissait alors être une perspective bien plus amusante que de trainer avec des Stryges… Aussi s’approcha-t-elle de lui d’un air parfaitement désintéressé (et pourtant qu’est-ce qu’elle l’était pas !) pour jeter sans préavis en lui tapotant le torse pour capter son attention :

« Tiens ! Je crois que je te reconnais toi… tu serais pas le mec qui se tapait ta coéquipière ? Oh ouiiiii ! L’infidèle, merveilleux ! Je commençais justement à manquer de monnaie pour boire un coup ! »


(c) sweet.lips
Revenir en haut Aller en bas

Invité
Invité
Anonymous

IDENTITY CARD
MORE ABOUT ME
IT'S OVER

L'adultère est le gagne-pain des connasses | Feat. Léonard  Empty
L'adultère est le gagne-pain des connasses | Feat. Léonard  EmptySam 26 Déc - 4:35

L'ADULTÈRE EST LE GAGNE-PAIN DES CONNASSES
Willow Deslauriers & Léonard Armstrong

J’ai une sainte horreur de l’ambiance déprimante du vendredi soir. Tout le monde est plus ou moins fatigué. Tout le monde n’attend que de rentrer chez soi pour se reposer ou en tout cas, de quitter la fac pour aller faire la fête, pour les étudiants, notamment. Soit, en soi, il n’y a plutôt rien de mal à ça et à vrai dire, c’est même plutôt normal. Le truc, c’est que… ça fait beaucoup trop de monde qui traîne dans les rues. On a moins de place, on se fait marcher dessus, etc… Bref, pour faire simple, c’est la guerre pour pouvoir faire ne serait-ce qu’un seul pas en avant. Pourtant, contrairement aux autres soirs où je préfère m’empresser de rentrer chez moi, cette fois-ci, je décide de rester dans les environs. Essayer de me poser, de décompresser… De relativiser ? Ou simplement de changer un peu mes habitudes de fin de semaine. Ou plus bêtement encore, juste parce que j’en ai envie. Oui, c’est aussi bien. Je ne suis pas obligé de devoir justifier le moindre de mes choix, après tout. Il y a longtemps que je n’ai plus à le faire et je devrais songer plus souvent à en profiter. Je suis censé être libre de mes mouvements depuis tellement d’années… Et de toute évidence, pour les gens qui vivent ici et qui pensent me connaître un minimum, je ne suis que Léonard Armstrong, un simple humain, professeur à l’Université de la ville, avec une personnalité tout de même assez variable. Tantôt un professeur déconneur, qui se lâche… Tantôt un mec relativement banal, voire même un peu coincé. Mais personne ne semble se poser plus de questions à ce sujet alors j’en profite. Je ne vais certainement pas tendre le bâton pour me faire battre. Ce serait... Illogique Et masochiste.


Les mains dans les poches, la tête et le dos droit, j’avance dans la rue en tentant de faire comme si tout allait bien. J’arrive un tant soit peu à me glisser parmi la foule qui navigue sur les trottoirs. Le fond de l’air est frais mais largement supportable pour l’époque dans laquelle nous sommes actuellement. Ce qui est assez étrange mais je ne m’en préoccupe pas plus que ça. Au contraire, je me dis que finalement, cette petite balade parmi les jeunes étudiants n’est pas si mauvaise que ça. Du moins, elle ne l’était pas… Jusqu’à ce qu’elle, elle me voit venir. Malheureusement. Cette fille qui était la seule à connaître un élément de mon passé que même ma famille ne savait pas. Cette fille qui se servait de ce petit plus pour m’extorquer quelques billets, de temps à autre. Eh bien ce soir, elle était là, en face de moi. J’ai essayé de passer inaperçu en faisant comme si je ne l’avais pas remarquée mais c’était déjà peine perdue. Innocemment, elle s’est approchée de moi et est venue me tapoter le torse. Ainsi, je ne pouvais plus faire celui qui ne la voyait pas. Si seulement elle avait pu oublier mon visage… Mais ça aurait été trop simple. A la place, elle parle plutôt à voix haute, en avouant sans complexe, à qui veut l’entendre que je n’ai pas toujours été fidèle avec ma femme. Super. Magnifique. Sérieusement. La seule chose que j’ai présentement envie de faire, c’est lui envoyer mon poing dans la figure. Puis, je me rappelle qu’elle est la sœur d’Oreste et que même au niveau de mon secret, je ne ferai qu’aggraver mon cas en lui portant la main dessus dès maintenant. Alors je procède à la seule option qui semble se présenter à moi… Fouillant dans mes poches, j’en sors dix dollars que je tends sans attendre à Willow, non sans la fixer avec l’un de mes fameux airs blasés. Ceux qui en disent généralement long sur ce que je pense de la situation actuelle. « Non, ce n’est pas moi, tu fais erreur. Dépêche-toi de prendre ça et de partir, maintenant. Tu as largement assez pour une boisson… » Mon ton est aussi calme et détaché que possible alors que je me retiens de jurer entre mes dents… Que cette entrevue improvisée s’achève rapidement !


copyright crackle bones
Revenir en haut Aller en bas

Invité
Invité
Anonymous

IDENTITY CARD
MORE ABOUT ME
IT'S OVER

L'adultère est le gagne-pain des connasses | Feat. Léonard  Empty
L'adultère est le gagne-pain des connasses | Feat. Léonard  EmptyLun 28 Déc - 21:01
L'adultère est le gagne-pain des connasses

Léonard & Willow

Alors là vraiment, on pouvait dire qu’il tombait à pic celui-là. Dieu existait, et lui envoyait la distraction la plus exquise qui soit, un os à ronger que Willow n’espérait pas. Et rien que la tronche qui tirait devant elle, reconnaissant enfin son visage, lui mit du baume au cœur. L’alchimiste était réellement ravie de tomber sur cette proie de qualité. A l’image d’un enfant devant un insecte, elle affichait alors un sourire excessivement satisfait, aux allures très carnassières. Et ce papillon-là, Willow comptait bien prendre son temps afin de lui arracher les ailes. Elle l’observa alors comme on le fait d’un morceau de viande particulièrement savoureux, alors qu’il sortait quelques billets, dont la somme additionnée était fort dérisoire… Mais Willow ne se priva pas de les lui arracher des mains, émettant une sorte de petit rire nasal particulièrement moqueur. Il était marrant lui, avec son air de blase total. Il croyait vraiment que six petits dollars allaient suffire pour la réjouir et surtout lui faire ‘oublier’ qu’il était un homme adultère ? Franchement… tromper sa femme, c’est quand même super moche. Alors d’accord, s’il fallait être honnête Willow avouerait sans peine qu’en réalité elle n’en avait rien à foutre des parties de jambes en l’air extra-conjugales d’un vulgaire prof de fac. Qu’il soit ami avec Oreste n’apporterait pas non plus la sérénité au pauvre homme. Willow s’accrochait déjà à lui comme une sangsue, prête à lui arracher jusqu’à sa dernière goutte de sang. C’était si amusant ! Pourquoi se priverait-elle ?

« Non, ce n’est pas moi, tu fais erreur. Dépêche-toi de prendre ça et de partir, maintenant. Tu as largement assez pour une boisson… » Cette fois ce n’était plus un simple petit rire qui s’échappa d’elle mais bien un véritable éclat de rire alors qu’elle tombait ‘dans ses bras’, passant les siens autour de sa nuque. Ouais vraiment, elle était bien tombée… il était particulièrement crédule ! Jusque-là elle s’était fait royalement chier, jalousant les femmes qui se trouvaient actuellement avec Darwin (même si techniquement elles étaient vouées à se faire bouffer les entrailles… mais c’était une autre histoire !) et cherchant à se changer les idées. Armstrong était le parfait joujou.  

« Oooooh mais que tu es naïf mon brave, c’est presque attendrissant ! Je ne vais quand même pas boire seule ! Une jeune femme non accompagnée dans un bar, c’est triste et morose… Tu vas m’accompagner sagement d’accord ? Te payer un verre, trinquer avec moi et me raconter comment tu fais pour regarder ta femme dans les yeux chaque jour et lui mentir toujours d’avantage ok ? Moi j’aime bien les histoires… »

Sur ce, elle défit ses bras pour fendre à nouveau la foule vers le bar, non sans trainer Léonard derrière elle en l’accrochant par la chemise. Il y avait peut-être parmi les jeunes ici, des étudiants qui connaissaient le professeur. Et l’idée d’ajouter à son calvaire le jugement de ses élèves semblait la griser un peu plus encore. Née pour pourrir la vie… Une fois arrivée à proximité du comptoir, Willow l’y poussa, en direction de l’unique tabouret qui demeurait encore libre. Mais ce n’était pas vraiment par courtoisie qu’elle le lui laissait, car rapidement l’Alchimiste vint frotter son derrière à la jambe de sa victime pour grimper sur ses genoux. Puis elle s’adressa à la barmaid.

« Tu nous mets deux B-52 ma poule ? Faut au moins ça pour le faire décoller celui-là… Il a le feu au slip ! »

Croisant ensuite les jambes, Willow glissa sur les genoux de Léonard pour passer un bras autour de ses épaules et lui adresser un regard bien peu compatissant. Très familièrement, elle passa son doigt sur la fossette qui avait au menton, laissant entendre qu’ils se connaissaient très bien… ce qui n’était pas le cas bien sûr, mais ce qui comptait c’était surtout ce que les autres pensaient. Les étudiants, en l’occurrence.

« Alors dis-moi… Du nouveau depuis la dernière fois ? Tu chopes toujours des nénettes dans le dos de ta meuf ou bien ça devient officiel et vous envisagez les gangs bangs ? »

Elle affichait un sourire radieux, quand la barmaid leur apporta deux shots enflammés qu’elle déposa devant eux avec des pailles. Willow se trémoussa pour signifier son contentement, non sans appuyer sur la zone sensible de monsieur Armstrong avant de lui tendre son verre une fois la flamme éteinte, lui fourrant la paille directement dans le bec.

« Cul sec mon chéri ! … Tu connais bien ça, nan ? »

Un clin d’œil plus tard, l’Alchimiste aspirait son shot d’une seule traite et laissait le B-52 bombarder sa langue.



(c) sweet.lips
Revenir en haut Aller en bas

Invité
Invité
Anonymous

IDENTITY CARD
MORE ABOUT ME
IT'S OVER

L'adultère est le gagne-pain des connasses | Feat. Léonard  Empty
L'adultère est le gagne-pain des connasses | Feat. Léonard  EmptyMer 30 Déc - 4:11

L'ADULTÈRE EST LE GAGNE-PAIN DES CONNASSES
Willow Deslauriers & Léonard Armstrong

Pourquoi la seule fois où je décide de sortir un vendredi soir, il faut que je tombe spécialement sur elle ? Pourquoi ? Je peux pas vivre une soirée normale, comme tout le monde ? C’est trop demandé ? Il faut croire que oui. Journée de merde. J’aurais mieux fait de rentrer directement chez moi. Ça m’aurait évité tous les problèmes qui semblent s’annoncer. J’aurais dû fuir tant qu’il en était encore temps. Partir loin de cette… Fille… ? On va dire ça comme ça. Me placer à une distance raisonnable. J’aurais dû. Mais c’est déjà trop tard. A partir du moment où ses yeux se sont posés sur moi, c’était déjà trop tard pour fuir. Je le sais. Naïf oui, je l’admets, j’ai parfois tendance à l’être. Ou alors, j’espère un peu trop. Pouvoir vivre en paix, une vie comme tout le monde… Tout ça, ça ne semble pas être à ma portée. Je crois que je vais définitivement finir par m’en convaincre, à ce rythme-là. « Sauf qu’étrangement, je n’aurais aucun remord à te laisser, toi, toute seule dans un bar. » J’évite volontairement de répondre au passage sensible qu’elle a évoqué. Après tout, c’est tout ce qu’elle cherche, me faire sortir de mes gonds, et je refuse catégoriquement de lui offrir ce plaisir. Je suis loin d’être aussi masochiste que ce qu’elle pense. Et même là, j’ai bien essayé de partir mais je me suis vite rendu compte que c’était inutile. Elle m’a retenu en passant ses bras autour de mon cou. Je n’ai pas cillé. Cette situation est déplaisante, pire, elle est carrément gênante. Mais je ne bouge pas. Je veux qu’elle pense que ça m’indiffère complètement. Que ses gestes n’ont aucun effet, que ce soit positif ou négatif. Et finalement, elle arrive à obtenir ce qu’elle veut… C’est-à-dire m’embarquer avec elle dans un bar pour boire un coup. Au moins, c'est clair, plus jamais de sortie le vendredi soir. Plus jamais.


Et voilà comment nous nous sommes retrouvés tous les deux au comptoir d’un bar. Comptoir vers lequel elle m’a poussé sans aucune gêne, me forçant ainsi à m’asseoir sur le seul tabouret encore disponible... Elle aurait pu me laisser par politesse. Mais non, ce ne fut même pas pour ça. A peine quelques secondes après m’avoir poussé, elle est venue s’installer directement sur moi en frottant son… Derrière contre ma jambe pour finir sur mes genoux. Bordel mais elle fout quoi là ? Elle essaye sérieusement de faire ce que je suis en train de penser ? Sans aucun doute. Et sa réplique ne fait que confirmer cette idée… Bien malheureusement. Non seulement elle nous commande deux alcools forts mais en plus, elle se permet une remarque déplacée et complètement fausse, de surcroît. Ajoutez à cela, des gestes d’une nature un peu trop intime à mon goût. Son bras par-dessus mes épaules, son doigt sur mon menton… Entre autres. « Putain mais… T’es sérieuse là ?! » Oui le professeur devient légèrement vulgaire. Et il assume entièrement ce qu’il vient de dire. Non mais je ne vais tout de même pas me laisser faire aussi facilement par une personne quasiment inconnue. Mais bon, je me doute bien que lui faire fermer son clapet n’est pas aussi simple. Ce serait trop beau pour être réaliste. A la place, elle se contente de surenchérir avec d’autres questions qui n’ont pas lieu d’être. Ma femme, je l’ai trompé, une fois. Et disons que c’était… Pour le travail. En partie. J’ai parfaitement conscience que ça n’excuse pas tout mais ça ne donne pas pour autant le droit, à certaines personnes, d’exagérer la vérité en demandant si je continue à le faire en secret ou si je lui ai avoué et qu’on en est venu à s’en faire des soirées. C’est complètement ridicule. Mais de toute évidence, cette mise en scène entière est ridicule. J’ai tenté de lui répondre mais pile à cet instant-là, la barmaid est venue nous déposer les shoots qu’elle a commandés. J’avais l’intention de répondre à ses questions, à ma manière… Je n’en ai pas eu le temps. Non seulement elle commençait à écraser mes parties sensibles mais en plus de ça, elle n’a pas attendu pour me fourrer la paille dans la bouche, une fois la flamme éteinte, en me disant de boire cul-sec… A sa façon. Clin d’œil de sa part avant que le contenu de son propre verre ne disparaisse en instant. Mais en ce qui me concerne, cette fois-ci, elle va regretter d’avoir insisté. Calmement mais avec des gestes précis et parfaitement calculés, je retire la paille de ma bouche, je la sors de mon verre et je la pose délicatement sur le comptoir. Ensuite, je saisis doucement mon verre à une main et d’un coup sec et rapide, je balance le liquide en plein dans le visage de Willow. « Wah, record battu, tu n’auras jamais mouillé aussi rapidement, félicitations, bébé. » Oh que ça fait du bien de se lâcher de cette manière. Je me sens beaucoup mieux. Je sais que ça ne restera pas sans conséquence mais au moins, pour l’heure actuelle, je me délecte de cette petite vengeance et comme ça, elle se rend compte que je ne suis pas un matou soumis…

hrp:


copyright crackle bones
Revenir en haut Aller en bas

Invité
Invité
Anonymous

IDENTITY CARD
MORE ABOUT ME
IT'S OVER

L'adultère est le gagne-pain des connasses | Feat. Léonard  Empty
L'adultère est le gagne-pain des connasses | Feat. Léonard  EmptyLun 4 Jan - 13:25
L'adultère est le gagne-pain des connasses

Léonard & Willow

Il y avait un moment que Willow n’avait pas consommé de B-52, alors peut être qu’elle s’était légèrement surestimée… Ouais juste légèrement. Alors que l’alcool lui brulait la langue et l’œsophage, les souvenirs douloureux de soirées arrosées lui revenaient en mémoire. Elle qui n’aimait pas perdre le contrôle et se trouver ivre, avait vite apprit qu’au-delà du troisième shoot, c’était même plus la peine de compter sur la logique ou la motricité… Par contre, si le professeur lui, pouvait s’amuser à s’en taper deux autres de plus, là c’était vraiment parfait ! Il se roulerait certainement sur le comptoir (ou sous… ou en travers on ne sait plus), ce qui constituerait la plus belle cible de vidéo souvenir qu’elle puisse trouver ce soir. Mais alors qu’elle encaissait les effets de sa boisson, il sembla que son visage lui aussi devenait douloureux. Froid tout d’abord, puis excessivement brûlant… « Wah, record battu, tu n’auras jamais mouillé aussi rapidement, félicitations, bébé. » Willow laissa son verre rouler sur le bar alors qu’elle ouvrait les yeux pour comprendre ce qu’il se passait. Fatal error ! L’Alchimiste ne mit plus très longtemps à comprendre que le contenu du shoot de Léonard ne se retrouvait pas dans son estomac à lui mais sur son visage à elle… Willow crut en devenir aveugle, dès lors que quelques infimes gouttes coulèrent de ses cils jusqu’à ses yeux. Sa rétine sembla littéralement prendre feu. Encore pire que le shampoing putain !! Dans un geste maladroit et causé par la douleur, elle glissa des genoux de Léonard en heurtant le bar dans son dos, auquel elle se rattrapa pour éviter de tomber. Puis, elle essaya en vain de calmer le mal en essuyant ses mirettes avec son propre t-shirt… ce qui n’eut pas vraiment d’effets, du moins pas avant une bonne minute qui lui sembla interminable.

La rage l’emporta alors, et on sait que la rage, bah elle à une sale gueule. Celle de Willow du coup, qui en rouvrant des yeux rouges et où quelques vaisseaux avaient éclatés sous ses frottements désespérés. Un vraie méchante Disney : moche, et très très en colère. Elle observa Léonard avec un rictus furieux, sans bouger pendant un instant puis… d’un seul coup, elle attrapa le verre à cocktail que sirotait son voisin de comptoir pour l’écraser directement sur la tempe du professeur facétieux. Et PAF ça fait des chocapic… Le fragile petit verre explosa sous la force de l’impact, puisque Willow y avait foutu toute sa force.

« BOOM ! C’est ce qu’on appelle un headshot, CONNARD ! »

Sans même attendre qu’il ait le temps de réagir à cela et profitant surtout du fait qu’il devait être un peu sonné, l’Alchimiste vint le saisir à la nuque et approcha son visage du sien pour forcer son regard. Yeux dans les yeux (rouges), Willow ne lâcha pas prise même si elle papillonnait comme une acharnée et peinait à garder les yeux ouverts plus de deux secondes. Et sans attendre, elle activa son don d’hypnose pour lui infliger une soumission plus divertissante.

« Mon très cher Léonard, je crois que tu n’as pas compris. Faut dire que tu es un peu con, je le sais pourtant… c’est pourquoi je vais être plus explicite : Maintenant, tu vas casquer ok ? Tu vas prendre très cher, et j’espère que tu aimes You Tube parce que tu vas y rester un moment. »

Un sourire presque malveillant s’étira sur ses lèvres alors qu’elle maintenait son regard dans le sien. Et maintenant ? Il s’agissait d’être créatif. Certes, l’idée de le voir se rouler à poil dans la neige à même le trottoir semblait marrante, mais elle pouvait faire mieux. Et puis, après l’humiliation qu’elle venait de se taper, la jeune femme savait qu’elle deviendrait vite mauvaise. Gagné. Choper un type random pour filmer un porno dans les chiottes était vraiment tentant… très tentant. Léonard serait parfait dans le rôle principal. Surtout qu’il n’avait pas l’air d’être du genre à se la prendre, l’entendre couiner serait donc sans doute un son d’une douceur fabuleuse à ses oreilles ! Oh oui… ooooooh c’était ce qu’elle allait faire ! Mais avant cela, Willow comptait bien crier victoire quant à la fameuse boisson qui imprégnait ses vêtements. Aussi s’adressa-t-elle à la barmaid non sans détourner le regard de Léonard.

« Tu m’en remets deux s’te plait ? Pour lui seulement, il aime bien jeter le premier à la gueule des gens mais après il a une descente terrible. N’est-ce pas mon p’tit trou duc ? Tu vas boire sagement, ça va te détendre un peu le slip avant de faire des cochonneries dans les chiottes… »

L’hypnose, c’était facile. Trop peut-être, surtout qu’elle n’avait pas besoin de grand-chose pour manipuler un esprit sans l’entraver ou l’étouffer. Il fallait que ses gestes ne lui appartiennent plus, contrairement à ses pensées. Mais ce qu’il y avait de drôle surtout, dans cette situation, s’était que le geste de violence de Willow n’avait alarmé personne… Les gens s’étaient bien arrêtés, stupéfaits. Avait observé la scène mais l’Alchimiste n’avait été gêné par aucune intervention quelconque en faveur du professeur. Le mec était seul… et ça c’était vraiment bon !


(c) sweet.lips
Revenir en haut Aller en bas

Contenu sponsorisé

IDENTITY CARD
MORE ABOUT ME
IT'S OVER

L'adultère est le gagne-pain des connasses | Feat. Léonard  Empty
L'adultère est le gagne-pain des connasses | Feat. Léonard  Empty
Revenir en haut Aller en bas
 

L'adultère est le gagne-pain des connasses | Feat. Léonard

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

 Sujets similaires

-
» Mini-event (Ilyan, Kai & Léonard)
» “L'alcool tue lentement. On s'en fout. On n'est pas pressés.” Léonard&Nathanaël.
» Pas de nouvelles...bonnes nouvelles !? ★ FT Leonard Armstrong
» Ça ! C'est de la merde ! Oh ... c'est ma vie ? - feat Lilwenn
» Loup y es-tu ? - feat. Hildred

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
All Souls Night :: Archives des rps-

Angel & Dante

Félicitation à nos deux couillons élus membres du mois de d'Août pour leur rafale de RP et leur bonne humeur ! <3