Il m`a conduit, mené dans les ténèbres, Et non dans la lumière.
IDENTITY CARD
Messages : 67 Je suis arrivé(e) le : 03/01/2016 Sous les traits de : Travis HOT Fimmel Je me dédouble : En Une handicapée des sentiments, Lilwenn Millward Pseudo : SUNRISE Crédits : ETERNAL LOVE Points : 989
J'ai : 34 ans, qui me paraissent une éternité Je travaille comme : Membre de la garde rapprochée de la reine Actuellement, je suis : Veuf Niveau social : Bien plus qu'aisé, bosser pour la reine, ça paie !
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IT'S OVER
Sam 16 Avr - 21:32
I can't ignore you anymore. Alors même que je venais de hurler dans sa maison que j'avais faim, je sentis sa présence dans mon dos, me procurant un doux frisson d'excitation mêlé au désir que je pouvais éprouver pour lui. Et voilà que ça recommençait. Je n'arrivais jamais à me contrôler lorsque l'on se retrouvait dans la même pièce et ça avait le don de me frustrer plus qu'autre chose. Fort heureusement pour moi, l'odeur du plat qu'il m'avait préparé me ramena sur terre et je fis de mon mieux pour me focaliser dessus, atténuant pour quelques instant ce désir naissant en mon seing. « Mademoiselle est servie. » Mes yeux se posèrent instantanément sur la nourriture et je me mis à saliver, carrément saliver. Comme une bête n'ayant pas mangé depuis plus d'une semaine. Mon bon, afin de garder ma dignité et de ne pas effrayer Aétios, je gardais contenance et attrapais l'assiette en le remerciant. Je me remémorais ces moments où il me préparait à manger, c'était plus souvent lui que moi en réalité (En même temps, comment voulez vous préparer un dîner pour un Stryge ? J'allais pas lui rapporter une poche de sang quand même, dans le genre romantique on faisait mieux.) Je faisais alors souvent ma princesse à me faire servir et qu'est ce que j'aimais ça ? Mais le passé restait le passé. Il s'éloigna de moi pour retourner dans la cuisine et j'en profitais pour aller m’asseoir sur le fauteuil, préférant manger sur la table basse que la table du salon. Oui oui j'étais bizarre.
Il revint quelques instants plus tard, tenant deux coupes dans une main et une bouteille de vin de l'autre. Uhm du bon vin. J'affichai un petit sourire lorsqu'il en posa un devant moi et l'écoutais en riant. « Non, avant que tu ne me fasse la réflexion, je n'essaye pas de te soûler. » J'affichai un grand O de la bouche, faisant mine d'être choquée par sa réflexion. Mais bien sûr que non ! Je n'allais pas penser à ça du tout ! Je ne pus m'empêcher de rire tout en secouant la tête. « Quoi ? Mais pas du tout arrête ! » Je secouais toujours la tête avec un sourire aux lèvres lorsqu'il se retourna et m’annonça qu'il allait se changer. Je hochai du menton, signe que j'avais compris et commençais à manger en silence. Vous savez ce qu'on dit quand on mange sans dire un mot, c'est que c'est bon ! J'avais déjà bien entamer mon assiette lorsqu'il revint dans le salon, seulement vêtu d'un short. Genre juste ça. J'affichai des yeux rond tout en le suivant du regard jusqu'à ce qu'il se vautre dans le canapé en face de moi. Euh ... Je baissait les yeux, légèrement gênée par la situation. Bon ok, j'avais déjà vue Aétios nu et nous avions partagé énormément de moments intimes tous les deux mais c'était il y a bien longtemps. A présent, nous n'étions que des "amis" et encore, notre relation n'avait pas de terme précis pour la définir. C'était le flou total. Une chose était certaine, c'était que la vue de son torse nu éveilla quelque chose au fond de mon ventre et me coupa l’appétit.
Hild'▲ AétiosC'est déjà une preuve d'attachement que de pouvoir se supporter. « Quoi ? Mais pas du tout arrête ! » Son rire était agréable. Je réalisais à peine qu'elle se trouvait ici, chez moi. Je n'avais plus imaginé de telles scènes depuis plusieurs mois, me disant qu'elle avait sûrement refait sa vie avec un autre. Cette simple idée m'avait souvent brisée avec une cruauté étonnante. Comme si mon cœur se faisait frapper encore et encore, déchiré en mille morceaux. J'avais fini par repousser ses émotions. Souffrir me rendait humain, certes, mais ce n'était pas agréable. Alors, je m'étais dis que c'était mieux ainsi. Qu'elle méritait une vie bien meilleure que celle que je lui offrais. Mais, au fond, je ne l'avais jamais oublier. C'était impossible. Même inconsciemment elle hantait mes pensées, alors qu'un simple parfum me ramenais à ce que nous étions autrefois. Bordel, ça me manquait. Je décide donc d'aller me mettre à l'aise alors qu'elle affirme avoir compris, entamant son assiette avec avidité. Elle avait faim, c'est évident. J'enfile un short et jette mes habits dans un coin de ma chambre, n'étant pas du tout un homme qui garde son chalet en ordre. Ouai, je suis bordélique. Je reviens dans le salon et m'enfonce dans le canapé avec un soupire. Je sens le regard de la jeune louve sur moi et je ne peux m'empêcher de sourire légèrement. Bon, au moins je n'avais pas perdu d’intérêt à ses yeux, en tout cas physiquement. J'entends l'assiette être repoussée et je pose mon regard sur la jolie blonde. Quoi, déjà ? Bon, je ne m'attendais pas à ce qu'elle finisse de manger aussi rapidement... Elle me détaille de nouveau et je hausse un sourcil l'air surpris, loin d'être mal à l'aise. Que du contraire, ses yeux glissant sur mon corps éveillaient bien des envies.
« Tu aurais au moins pu mettre un tee shirt ! » Pardon ? Elle était sérieuse là ? Non mais je suis chez moi, merde, puis son langage corporelle il en dit beaucoup à la petite louve. Les battements de son cœur aussi. Parce que oui, aussi faible soit l'accélération, celle-ci ne m'avait pas échappée. Je me redresse légèrement, posant mes bras sur mes genoux alors que je ne quittais pas Hildred des yeux. Elle était vraiment magnifique. « Je veux bien que tu sois chez toi et tout, mais je fais comment pour manger alors que tu es à moitié à poil devant moi ? » Un sourire amusé s'affiche sur mon visage. Quand elle se mordait l'intérieur de la joue ainsi c'était assez révélateur chez elle. J'étais heureux de voir que je connaissais toujours ses petites manies, ce qui m'aidait à la comprendre. Je fais une légère moue avec ma bouche, pinçant mes lèvres l'une contre l'autre. « Je suis désolé tu veux que j'aille me mettre quelque chose sur le dos ? » Je me lève assez lentement, contournant la table basse puis le canapé, me retrouvant derrière la jeune femme en silence. Approchant mes lèvres de son oreille, je viens alors murmurer avec douce et taquinerie. « Je suis sur que ce n'est pas ça qui te coupe l'appétit... » Voilà, je perdais pied. Mes bonnes résolutions tombaient à l'eau. Je m'étais juré de ne pas brûler les étapes, de ne pas lui sauter dessus. Hors, là, je faisais totalement le contraire. Je suis faible quand Hildred est dans les parages ! Je fais passer mes lèvres vers son autre oreille, laissant ses cheveux frôler mon visage. « Sincèrement, je n'ai pas envie de retourner m'habiller. »
Il m`a conduit, mené dans les ténèbres, Et non dans la lumière.
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Sam 16 Avr - 22:59
I can't ignore you anymore. Je voyais la surprise se peindre sur son visage à mesure que je lui faisais des reproches sur sa nudité. Bah quoi, il ne s'attendait quand même pas à ce que je lui saute dessus sous prétexte qu'il se ramenait torse nu ? Je devais avouer que ce n'était pas l'envie qui m'en manquait mais le contexte de la situation me poussait à rester raisonnable. Je le sondait toujours du regard lorsqu'il s'adressa à moi, un sourire taquin plaqué sur la bouche. « Je suis désolé tu veux que j'aille me mettre quelque chose sur le dos ? » Mais quelle ironie, bien sur que non je n'avais pas envie qu'il se rhabille, et j'aurai mis ma main à couper qu'il le savait très bien. En tant que Stryge, avec une ouïe sur développée il était capable d'entendre le moindre changement dans le rythme désordonné des battements de mon cœur. C'était à la fois grisant et frustrant, grisant parce qu'il était capable de déceler lorsque je le désirai et frustrant parce que je ne pouvais pratiquement rien lui cacher. Je le suivis avec méfiance du regard lorsqu'il se leva pour contourner le canapé et venir se poster derrière moi. J'étais complètement et indéniablement foutue. Je déglutis avec difficulté lorsqu'il approcha ses lèvres de mon oreille pour me chuchoter sur un ton sans équivoque. « Je suis sur que ce n'est pas ça qui te coupe l'appétit...» Non, ça c'était certain, mais ça me coûtait beaucoup trop de le lui avouer. C'était trop facile.
Alors que je pensais qu'il s'arrêterai là il en fit tout autrement. Il se redressa pour venir se poser de l'autre côté de mon visage, me faisant frissonner lorsque ses lèvres effleurèrent de nouveau mon oreille. Mon dieu, mais comment faisait-il pour autant m'enivrer au point de me faire perdre tout mes moyens ? « Sincèrement, je n'ai pas envie de retourner m'habiller. » Mon bas ventre répondis à la positive à sa réflexion et je me mis à l'imaginer sans rien du tout, en tenue d'Adam comme certains le diraient. Comment j'en étais arrivée là ? Je seulement je ne m'étais pas baladée en pleine nuit en forêt, si je ne m'étais pas faite percuter par un motard je serai tranquillement dans ma chambre d’hôtel, en train de regarder une série ou je ne sais quoi et non pas en train de craquer sous les chuchotements d'Aétios. Il savait comment me rendre folle, il connaissait mes points faibles et bien sûr il en profitait. Je pouvais sentir que lui aussi était tendu de désir, au sens propre du terme si vous voyez ce que je veux dire. Je retins ma respiration et la seconde d'après il se retrouva devant moi, me redressant par la même occasion sans que je n'ai eut le temps de réagir. Oh là là, ça allait beaucoup trop loin ! Je ne pouvais pas, on ne pouvait pas. Notre situation n'était pas encore éclairée, bien que je lui ait dit de faire ses preuves quelque part en moi je lui en voulais toujours. Une part de fierté m'interdisait de me laisser aller avec lui, je voulais qu'il comprenne, qu'il ressente à quel point j'avais souffert et je sentais que c'était encore trop facile. Il avait toujours tout ce qu'il voulait, et particulièrement avec moi. Sans m'en rendre compte j'étais tombée dans le panneau à partir du moment où je l'avais revue dans ce musée. Au final, il allait avoir ce qu'il voulait. Me posséder. Il posa sa main sur ma nuque et approcha son visage du mien. Je ne pouvais plus rien faire, prisonnière de son contacte, groggy par son regard planté dans le mien, exprimant clairement ses intentions. Lorsque ses lèvres se posèrent délicatement sur les miennes je ne sus trop comment réagir, mon cerveau tournant à plein régime. Est ce que je devais le repousser ? Le laisser m'embrasser ? Lui sauter dessus et lui arracher ce maudit short ? Putain, j'arrivais même plus à raisonner convenablement et ce fus bien pire lorsque la pression de ses lèvres sur les miennes s’accentua ainsi que celles de ses mains sur mon corps. Mon cerveau court-circuita, ma peau s'embrasait à son contact et mon intimité brûlait d'un désir ardent. Non, no je ne pouvais pas, pas comme ça. Un sentiment de panique s'empara brusquement de moi et je le repoussai de mes bras rompant ainsi notre baiser. Essoufflée par toutes ses émotions, je ne m'étais pas rendue compte que j'avais cessé de respirer au moment même où il m'avait touché. « Je ... Je ne peux pas. C'est trop rapide, je t'ai demandé du temps, je t'ai demandé de me prouvais que tu tenais à moi et tu me sautes dessus. » Je fronçais les sourcils tout en le détaillant quelques secondes, ne sachant trop quoi faire après l'avoir repoussé. Je me retrouvais soudainement mal à l'aise dans ce chalet, son regard pesant sur moi. J'étais certaine de l'avoir blessé en le repoussant mais il devait comprendre. Ce n'était pas parce que tout mon corps voulait de lui que c'était raisonnable et il aurait du le savoir. Je secouais la tête tout en me pinçant les lèvres. « C'était une mauvaise idée, je n'aurai jamais dû venir ici. Il faut que je parte, je suis désolée. » Prise de panique, je le contournais et me dirigeais vers la porte. J'avais besoin de partir, besoin d’échapper à son regard qui me sondait de trop. J'avais besoin de fuir cette culpabilité qui m'écrasait de tout son poids.
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