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Dante Boogeyman I ain't nobody's bitch
 |  Dim 14 Aoû - 14:55 | | L’enfer c’est de se lever tous les matins et te demander pourquoi t’es là. 
C'est étrange de garder une alliance...
Ça fait près de deux ans maintenant. Deux ans à garder cet anneau en or blanc au doigt sans vraiment savoir pourquoi. J'y étais tellement habitué que je ne me voyais plus la retirer. C'était le dernier souvenir que j'avais de ma vie d'avant. Pourtant, j'avais une certaine honte à la garder sur moi alors que je tuais de sang froid soir après soir. Coucher, ça ne voulait rien dire pour moi. C'était un passé-temps comme un autre. Mais prendre des vies, jamais mon ex-femme n'aurait pu me pardonner un tel geste.
Ma morale avait violemment chuté depuis ma transformation. Je ne questionnais plus mes choix et je me contentais de survivre, peu importe ce que j'avais à faire. J'étais redevenu ce petit joueur de poker, ce tricheur invétéré. Je payais les réparations d'un casino délabré avec des paris clandestins. Je restais en vie en attirant de jeunes femmes dans la tombe. Et j'aidais des cadavres à disparaître.
Je fixe mon reflet dans la glace de ma salle de bain, questionnant ce que j'étais devenu. Cette alliance, ce n'était qu'un bijou, mais elle contredisait tout le personnage que j'étais devenu. Je baisse les yeux vers l'anneau, inquiet à l'idée de l'enlever. J'avais le sentiment que si je laisser ce simple objet loin de moi, c'était comme si mon humanité allait rester là également. Si je délaissais cette partie de moi, je pensais risquer de devenir quelqu'un de pire encore. C'était à la fois une honte à porter et une nécessité. Comme une camisole sur un fou, comme un uniforme sur un prisonnier.
Comme des chaînes sur un monstre.
Finalement, je cesse de me questionner: je la retire. Je finis d'enfiler des vêtements et je vais ranger cette alliance - maudite ou bénite, impossible de me décider - sur la table de chevet dans la chambre. Je prends rapidement l'habitude de remuer les doigts. La sensation de manque ne se fait pas attendre, rapidement remplacée par un jeton de poker avec lequel je joue pour occuper ma main et ma tête.
Le rond de plastique valse entre mes phalanges et je sais déjà qu'il faut que je sorte d'ici. Le travail m'appelle. La folie me guette. Et je suis persuadé que m'occuper utilement au casino m'empêchera de sombrer plus profondément.
Je claque la porte et je file dehors où le Soleil part s'enterrer pour laisser place à son amante, la Lune, joli petit ballet journalier. Moi, je me retourne sur une silhouette féminine dont je sens d'ici les veines pulsées. Le goût rouillé du sang me revient en bouche.
C'est dégueulasse et pourtant je tuerais pour en avoir un misérable petit verre.
À peine arrivé au casino, je passe derrière le bar prendre un verre de whisky pur. Ça ne me fera pas le moindre effet, mais ça effacera ce goût, ce souvenir sadique qui me redonné envie de plonger. Quelques clients sont déjà là, certains au bar pour se noyer à grands coups d'absinthe, d'autres aux tables de jeux espérant doubler leur mise alors qu'ils ne font que s'enliser dans leurs dettes. Ici, tout était fait pour garder les clients le plus longtemps possible.
C'était un peu l'Enfer.
Mais tous les casinos du monde ont les mêmes méthodes. Même tout juste rafraîchit, le mien ne faisait pas exception. Tout d'abord, un grand bar. Les consommations rapportent, et les clients alcoolisés misent de plus grosses sommes et les perdent plus facilement. Ensuite, des serveuses apprêtées, pour leur donner envie d'aligner les jetons et de les impressionner. Et enfin, pas de fenêtres, ni d'horloge. On ne voudrait pas que la clientèle voit le temps filer et ainsi qu'elle ne s'échappe. Non, pour mieux vendre, il faut les laisser oublier qu'à l'extérieur leur famille les attend tandis qu'ils gaspillent leurs économies pour quelques cartes.
Je regarde ces scènes habituelles en passant entre les tables. J'atteins finalement mon bureau à l'étage. Je pose ma veste, je prends une cigarette, et je relève les manches de ma chemise avant de retourner auprès de mes chers clients et leurs portefeuilles. Une soirée de plus au milieu de cette faune pathétique. Sans différence avec les précédentes.
Enfin, presque.
J'adressais un sourire à l'un des croupiers en voyant le jeu du client face à lui, riant intérieurement de la victoire à venir de la banque, quand j'ai aperçu au bar ce que je n'aurais jamais imaginé trouver dans mon établissement: une femme enceinte jusqu'au cou. La majorité de la clientèle était composée de vieux riches claquant leur retraite ou de plus jeunes gamins qui voulaient impressionner leurs amis avec leur restant d'argent de poche. Mais tous étaient des hommes. Très rares étaient les femmes dans ce genre de lieu, sûrement à cause de la réputation de coupe-gorge, mais aussi à cause des clichés persistants de la féminité qui ne peut être atteinte en pariant et en buvant comme un homme. Alors une femme enceinte, c'était le comble du ridicule dans un endroit pareil.
Finalement, cette soirée promet d'être intéressante.
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Avalon B. Mathew Sacrifices are necessary.
IDENTITY CARD Messages : 252 Je suis arrivé(e) le : 09/12/2015 Sous les traits de : Eva Green Je me dédouble : Maxence le Lepry-Chieur & Saf la dépressive - agressive Pseudo : Pims Crédits : Tumblr - Xelette - Swan Points : 6585 
J'ai : 35 ans et méfiance à ceux qui oserait dire plus. Je travaille comme : Psychiatre militaire spécialisée dans les trouble explosifs, anciennement meneuse d'interrogatoire pour le compte de l'armée. Actuellement, je suis : Veuve, enceinte de son mari décédé. Pouvoir : Emission de poisons et antidotes Niveau social : Héritage familial et marital conséquent, retraite militaire confortable, méchamment riche 
- Soit comme un loup blessé, qui mord le couteau, de sa gueule qui saigne. -
- On rencontre sa destinée souvent par les chemins qu'on prends pour l'éviter. Je te connais mieux que toi-même ; je suis le reflet consacré. Je suis le féminin, je suis l’origine. Je suis la preuve de ta candeur ; je suis celle qui vient adoucir la terrible arrogance de ta chair
inflexible. Par la pratique d’un supplice infini, je souffre pleinement dans mon corps immaculé. Je suis la muse oubliée des hommes. -
« Nous sommes ceux que vous ne voyez pas,
Parce que vous ne savez pas voir.
Nous prenons sans rendre.
La vie, la Mort.
Sans pitié. » | | Dim 14 Aoû - 22:18 | |  La vérité est au fond du verre.  Avalon tournait comme un lion en cage dans sa maison, elle avait besoin de se détendre, de trouver quelque chose à faire. Elle n'avait pas envie d'importuner Diane, elle l'avait déjà bien éprouvé dernièrement. Et Heatchliff se remettait à peine de sa tentative de suicide dans les bras de Simon du coup il n'était pas question qu'elle aille l'embêter pour le moment. Normalement quand c'était ça elle passait ses nerfs ailleurs. Elle descendit dans sa cave, dans son atelier. Le fauteuil en cuir riveté au sol portait encore des marques de sang, quelques giclées traînaient encore au sol mais elle n'avait pas la foi de s'en occuper maintenant. Ses seins lui faisaient mal et elle avait envie de passer ses nerfs sur quelqu'un. Pendant un instant elle se dit qu'elle ne serait pas contre un petit interrogatoire musclé de l'armée, mais ils n'allaient plus l'engager et surement pas si elle était enceinte. Putain la black mamba enceinte ça faisait tâche quand même. Avalon remonta au salon, elle avisa le petit meuble ou elle cachait ses bouteilles normalement. Mathis l'avait vidé directement après l'annonce de sa grossesse, il connaissait son amour pour la vodka et l'en avait donc privée. Elle avait envie d'une clope aussi. L'alchimiste ronchonna contre elle même, contre Mathis qui l'avait foutu en cloque, contre le bébé avant de se laisser tomber dans le fauteuil le plus proche.
Elle se massa les tempes une seconde et quand elle voulut retirer sa main gauche ses cheveux furent pris dans quelque chose. Grognassant, elle retira les cheveu qui c'étaient pris dans son alliance. Elle tendit la main devant elle, mirant la superbe alliance en or gris, le superbe diamant enfermé par des griffes délicates et les deux minuscules rubis incrustés de chaque côté. Mathis n'avait jamais été dans le besoin et il lui avait offert une bague d'une valeur incroyable. Elle tenait à cette bague comme à la prunelle de ses yeux, cette bague lui rappelait le moment le plus heureux de sa vie, quand il avait passer la bague à son doigt tremblant pendant leur mariage en disant « Oui je le veux. », elle qui n'avait jamais rien espéré de la vie avait trouver l'homme parfait qui l'avait calmée, posée et permis d'entrevoir la vie sous un autre angle. Puis il était mort. Cette alliance était un symbole puissant, autant heureux que triste. Elle serra le poing. Il lui fallait un verre. Maintenant.
La jeune femme se leva, saisit son sac à main, les clés de sa voiture et sortit. C'était tout à fait irresponsable dans sa condition, sachant que personne ne connaissaient les effets de son sang méphitique sur le bébé, elle pouvait accoucher ou faire une fausse couche à tout instant. Mais elle avait besoin, c'était viscéral. Elle conduisit jusqu'au vieux casino défraîchit, elle ne voulait pas aller dans un bar huppé où on la jugerait, ni dans un troquet. Elle avait donc choisit le milieu de gamme, le casino n'avait pas bonne réputation mais elle était tout à fait à même de se défendre et de tuer un simple homme sans lever le petit doigt. Entrant dans le casino elle se rendit immédiatement au bar, se hissant sur une haute chaise.
« Une vodka pure, la meilleure que vous ayez. Le barman la reluqua de haut en bas, s’arrêtant sur son ventre. Et que ça saute gamin ! »
Apparemment l'invective ne lui plut pas mais elle s'en moqua et bientôt elle reçut un verre, d'une propreté douteuse, avec le fameux liquide tant attendu. Elle soupira et fit signe au barman de se barrer comme si elle chassait une mouche importune. © fiche par Ell, optimisée par Superno√A pour ASN
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Dante Boogeyman I ain't nobody's bitch
| | Lun 15 Aoû - 17:34 | | L’enfer c’est de se lever tous les matins et te demander pourquoi t’es là.
Pourquoi toutes les femmes de cette ville sont complètement inconscientes...
D'abord une rouquine me demande de la tatouer sur le visage, ensuite une albinos va risquer sa vie dans une cage pour me faire plaisir, et puis maintenant une femme enceinte qui veut absolument avorter dans mon casino à grand renfort de vodka. J'en avais connu une de femme enceinte et j'avais le souvenir que l'alcool était des plus mauvais pour la croissance d'un foetus. Je ne savais pas vraiment pourquoi, je n'étais pas médecin. Mais une femme enceinte qui boit au bar, ça n'allait clairement pas m'amener de nouveaux clients. C'était même un risque si jamais on venait à apprendre que le Blue Devil servait de l'alcool à tout le monde et n'importe qui.
Je me dirige vers le bar tandis que mon barman se rend vers un autre client. Il a été assez con pour la servir sans même se poser de questions, simplement parce qu'elle avait levé le ton. J'allais devoir sélectionner mes employés avec un peu plus de sévérité. Je me place à côté de la cliente en cloque et j'éloigne le verre de ses mains avant qu'elle n'ait le temps d'en consommer le moindre millilitre.
"Je serais vous, j'éviterais ce genre d'endroits. Et de cocktails."
J'écrase ma cigarette dans le cendrier à proximité et je m'asseois sur le tabouret libre à côté de la brunette. J'avais comme un pressentiment que cette discussion allait être plus longue que prévue. J'espérais juste qu'elle n'était pas dans l'une de ces phases étranges où les femmes sont en proie à leurs hormones maternelles. J'avais déjà donné et j'avais horreur des crises sans que ni tête...
Elle n'a pas l'air... bien. Je ne dis pas qu'elle a l'air d'être de mauvais genre, au contraire. Ici, elle n'est pas du tout à sa place. Enceinte, mariée d'après son alliance, elle doit avoir une famille qui l'attend quelque part, loin de cet établissement malfamé. Mais, puisqu'elle venait se rendre ivre ici, elle ne devait pas avoir une si belle vie chez elle. Elle n'avait pas l'air d'avoir de bleus ni de marques sur la peau. Elle n'avait pas l'air d'être une femme battue. Violence psychologique? Vue la façon dont elle avait parlé au barman, elle ne semblait pas se laisser malmener sans répondre.
Impossible de savoir ce qu'une femme dans son genre venait foutre ici...
Je ne pouvais pas la laisser boire pourtant. Ma conscience, elle s'en foutait. Si j'avais croisé cette femme dans n'importe quel autre endroit, je l'aurais laissée se saouler jusqu'à ce que son bébé ne devienne une bouteille d'alcool bon marché. Moi, on ne m'avait pas laissé avec des gosses plus de quelques années. Je me fichais bien de savoir que quelqu'un d'autre dans cette ville n'avait plus la chance d'avoir une famille. C'était même l'exact opposé: j'en aurais été heureux. Si tout le monde pouvait souffrir comme moi j'avais souffert, j'en aurais rit. J'aurais même été euphorique de savoir que je n'étais pas le seul à avoir autant douillé.
"Navré pour vous, mais on ne vend pas d'alcool aux mineurs et aux femmes enceintes."
Pour les mêmes raisons: mauvaise publicité. Des parents en colère qui viennent crier leur mécontentement, ce n'était pas ça qui allait faire gonfler mon fond de commerce. Déjà que je finançais la moitié de ce casino sur des parties de cartes truquées et des combats clandestins, je ne pouvais pas me permettre de m'amener des procès.
C'était bien dommage. En d'autres circonstances, j'aurais été ravi de lui payer un verre moi-même. Peut-être même deux. Ce n'était pas exactement mon type de femme mais, l'important, c'est qu'elle ne me semblait pas être une banshee, ni même une Sidh. Elle ne me laissait pas le même sentiment que ceux que j'avais pu rencontrer.
Elle n'était sans doute pas très dangereuse...
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Avalon B. Mathew Sacrifices are necessary.
IDENTITY CARD Messages : 252 Je suis arrivé(e) le : 09/12/2015 Sous les traits de : Eva Green Je me dédouble : Maxence le Lepry-Chieur & Saf la dépressive - agressive Pseudo : Pims Crédits : Tumblr - Xelette - Swan Points : 6585
J'ai : 35 ans et méfiance à ceux qui oserait dire plus. Je travaille comme : Psychiatre militaire spécialisée dans les trouble explosifs, anciennement meneuse d'interrogatoire pour le compte de l'armée. Actuellement, je suis : Veuve, enceinte de son mari décédé. Pouvoir : Emission de poisons et antidotes Niveau social : Héritage familial et marital conséquent, retraite militaire confortable, méchamment riche
- Soit comme un loup blessé, qui mord le couteau, de sa gueule qui saigne. -
- On rencontre sa destinée souvent par les chemins qu'on prends pour l'éviter. Je te connais mieux que toi-même ; je suis le reflet consacré. Je suis le féminin, je suis l’origine. Je suis la preuve de ta candeur ; je suis celle qui vient adoucir la terrible arrogance de ta chair
inflexible. Par la pratique d’un supplice infini, je souffre pleinement dans mon corps immaculé. Je suis la muse oubliée des hommes. -
« Nous sommes ceux que vous ne voyez pas,
Parce que vous ne savez pas voir.
Nous prenons sans rendre.
La vie, la Mort.
Sans pitié. » | | Mar 16 Aoû - 20:00 | | La vérité est au fond du verre. Avalon faisait claquer ses ongles peints de noirs sur le zinc du bar crasseux, c'était quand même pas du grand standing mais elle devais se contenter de ça. Elle soupira ouvertement en attendant son verre, le barman finit par lui apporter, il avait eu la grande amabilité d'y ajouter deux olives vertes. Il lui tendit le verre et la fixa, comme si il attendait quelque chose - un pourboire sûrement - elle le regarda en biais. Il finit par lâcher l'affaire ce qui lui fit avoir un rire nasal, mauviette. Pendant quelques secondes Avalon fait tourner le liquide dans le verre, se gorgeant de l'odeur puissante de l'alcool. Son alliance claqua contre le verre alors qu'elle se penchait un peu plus pour sentir la douceâtre sensation de l'alcool dans son nez. Bon dieu que ça lui manquait, elle avait toujours été habituée à prendre un verre ou à se faire un cocktail le soir quand elle finissait de travailler tard. Soudain elle se voit enlever son verre par un homme qui viens tout juste de s'asseoir à côté d'elle. Mauvaise idée mon p'tit gars, très mauvaise idée même. Et en plus il lui fait la morale, si c'est pas le comble ça. Elle le regarde de haut en bas, excédée par cet homme sans même le connaître.
« Je serais vous j'éviterais de prendre le verre d'une dame si vous ne voulez pas vous retrouver émasculé. »
Si avec ça elle n'était pas clair elle allait devoir lui montrer qu'elle ne rigolais pas quand il était question de lui prendre quelque chose qui lui appartenait, et qu'elle avait payer qui plus est. Elle le regarde écraser sa cigarette avec envie et continue de lui jeter des regards noirs alors qu'il ose prendre la place juste à côté d'elle, il veux pas non plus qu'elle lui tienne le crachoir ou quoi ? Ce fut au tour de l'homme de la détaillé, elle connaissait ce genre de regard, il essayait de savoir ce qu'elle faisait là. Ses yeux se fixèrent un instant sur son alliance. Elle leva les yeux au ciel et se remit à tapoter le dessus du bar. Elle laissa son alchimie s'échapper un peu d'elle, glissant le long du bar pour aller effleurer la main de l'homme posée sur le dit bar, un frisson parcourut son échine : stryge. Depuis quand les stryges avaient une morale ? Il semblait à peine navré quand il s'excusa, elle broncha et se tourna franchement vers lui.
« Ce n'est dans aucune loi qu'une femme enceinte n'a pas le droit de boire de l'alcool. Et pour votre gouverne je ne comptait pas boire ce verre. Puisque vous m'avez pris mon verre, offrez moi au moins de quoi satisfaire ma soif, un peu de galanterie. »
Et elle n'allait pas apprécier si il refusait, c'était quand même le minimum pour s'excuser de son comportement de goujat. Avalon avait terriblement envie de lui faire ravaler son geste, elle n'appréciait pas qu'on lui fasse la morale ou qu'on l'empêche de faire quelque chose. Mais ça ferais sacrément tâche de l'attaquer là maintenant, surtout qu'elle ne connaissait pas ses capacités. Le détaillant encore une fois elle se dit qu'elle en ferait bien son goûter pour après le faire descendre dans sa cave et tester ses nouveaux poisons. Et elle avait sacrément besoin de se défouler.
« Bon ce verre ? Je ne suis pas très patiente. »© fiche par Ell, optimisée par Superno√A pour ASN
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Dante Boogeyman I ain't nobody's bitch
| | Ven 19 Aoû - 15:51 | | L’enfer c’est de se lever tous les matins et te demander pourquoi t’es là.
Et aller, encore une frimeuse...
Elle mettait une autorité folle dans sa voix. Mon barman s'y pliait par obligation, moi pas. Je n'étais pas franchement intimidé par ses menaces ni par son attitude. Elle peut hurler et taper du pied tant qu'elle veut, si je ne veux pas d'elle ici, elle dégage. Les caprices de ses hormones ne me feraient ni chaud, ni froid.
"C'est écrit à l'entrée du bar. On se réserve le droit de servir tout client qui ne serait pas en état de consommer de l'alcool. Si vous voulez tout savoir, on a aussi un écriteau qui dit qu'on peut refuser à un client de jouer s'il est incapable d'honorer ses dettes. La maison fait ni crédit, ni avortements."
Pourtant ça aurait été infiniment plus drôle.
Je lui souris et j'adresse un signe au jeune barman pour qu'il s'empresse de lui resservir un verre. Elle avait dit qu'elle ne le boirait pas après tout. J'étais curieux de savoir ce qu'elle comptait en faire. Si elle comptait seulement le regarder, il y avait deux hypothèses: soit elle testait sa capacité à se retenir de boire, soit elle mentait. Et j'avais vu trop de parties de poker pour croire qu'elle mentait en mettant tant d'agacement dans sa voix. Peut-être était-elle seulement marié à un alcoolique absent et la simple odeur de l'alcool lui rappelait son tendre époux qui avait un goût certain pour les alliances. Dans le mariage, on a tous des automatismes insensés qui nous font apprécier des petits détails insignifiants. Des vieux souvenirs qui s'impriment dans une habitude, un surnom, un objet. On finit par s'y attacher et ça devient comme une réminiscence de la personne chaque fois qu'on est confronté à ce totem hanté de souvenirs.
Le barman ramène un verre, et un whisky pour moi. Comme si j'allais me contenter de vodka. Je prends une cigarette pour mêler le goût de l'alcool à celui de la fumée, un savant cocktail que j'adorais plus que tout au monde. Et c'était aussi une bonne façon de m'occuper les doigts et de m'éviter de penser à la marque de mon alliance retirée qui me donnait la sensation d'avoir la main entière amputée.
Une sale perte.
"Ecoutez, moi je m'en fous que soyez enceinte ou pas. Je suis pas votre médecin. Mais si une ambulance vient récupérer une femme enceinte ivre morte dans mon casino, ça fera de la mauvaise publicité."
Je joue avec mon verre, à défaut de le boire. J'ai besoin de m'occuper l'esprit. J'aperçois une petite blonde plus loin, décolleté plongeant. J'imagine déjà ses veines ouvertes et le bruit de son myocarde. J'avais mieux à faire que de surveiller une future mère ce soir. Et pourtant j'étais là, à jouer les anges gardiens, le pire rôle de toute ma vie. J'avais un point faible pour... cette femme. Ca me rappelait trop mon ex-femme et ce qu'elle avait du vivre lors de sa première grossesse. Je lui avais promis d'arrêter de fumer à l'époque, pour le bébé bien sûr. Ca n'avait pas été une franche réussite et une fois père, j'étais terrorisé par l'idée que mon gosse soit asthmatique ou né les poumons plein de fumée. Je m'en serais voulu à vie d'avoir ruiné la sienne. C'est là le pire drame des addictions: on ne peut jamais vraiment arrêter. Aujourd'hui ce n'était plus la cendre qui m'effrayait mais le sang et les envies incontrôlées qu'il provoquait chez moi.
"Dites-moi juste que vous n'êtes pas une alcoolique qui va finir inconsciente sur le bar alors qu'elle a un bébé dans le bide."
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Avalon B. Mathew Sacrifices are necessary.
IDENTITY CARD Messages : 252 Je suis arrivé(e) le : 09/12/2015 Sous les traits de : Eva Green Je me dédouble : Maxence le Lepry-Chieur & Saf la dépressive - agressive Pseudo : Pims Crédits : Tumblr - Xelette - Swan Points : 6585
J'ai : 35 ans et méfiance à ceux qui oserait dire plus. Je travaille comme : Psychiatre militaire spécialisée dans les trouble explosifs, anciennement meneuse d'interrogatoire pour le compte de l'armée. Actuellement, je suis : Veuve, enceinte de son mari décédé. Pouvoir : Emission de poisons et antidotes Niveau social : Héritage familial et marital conséquent, retraite militaire confortable, méchamment riche
- Soit comme un loup blessé, qui mord le couteau, de sa gueule qui saigne. -
- On rencontre sa destinée souvent par les chemins qu'on prends pour l'éviter. Je te connais mieux que toi-même ; je suis le reflet consacré. Je suis le féminin, je suis l’origine. Je suis la preuve de ta candeur ; je suis celle qui vient adoucir la terrible arrogance de ta chair
inflexible. Par la pratique d’un supplice infini, je souffre pleinement dans mon corps immaculé. Je suis la muse oubliée des hommes. -
« Nous sommes ceux que vous ne voyez pas,
Parce que vous ne savez pas voir.
Nous prenons sans rendre.
La vie, la Mort.
Sans pitié. » | | Sam 20 Aoû - 22:40 | | La vérité est au fond du verre. Non mais il la prenait vraiment pour une de ces mères indignes qui continuent de faire n'importe quoi avec leur corps même une fois enceinte ? Ni crédit, ni avortement ? Si il ne lui faisait pas la morale elle aurait trouver cela drôle, elle aimait ce genre d'humour cynique c'était même ce qu'elle préférais. Du coup elle aurait même pu le trouver relativement intéressant mais elle avait une sainte horreur des hommes qui osaient venir faire la morale à une femme. Encore plus quand cet homme faisait la morale sur la façon dont elle devait se comporter étant enceinte. Genre comme si il avait une expérience en la matière alors que depuis la nuit des temps c'était les femmes qui portaient la progéniture du monde.
« Je suis capable d'honorer mes dettes, et mes vengeances aussi. »
Menace direz vous ? Oui tout à fait. Finalement il fait demander un verre et elle comprends alors qu'elle a le patron du casino à côté d'elle. Enfin à vrai dire ça ne change pas grand chose à la situation mais elle aime savoir avec qui elle joute. Il fixe alors intensément sa main gauche et plus particulièrement son alliance et il semble partir dans ses pensées quelques instants, juste le temps que les verres arrivent et qu'il sorte une cigarette. Cet homme l'intrigue elle ne sais pas bien pourquoi mais elle sent chez lui un potentiel étrange, un potentiel pour quoi là est la question ? Avalon le regarde allumer sa cigarette avec envie, elle n'avait jamais beaucoup fumer c'était plutôt un petit péché qu'elle s'accordait de temps en temps, mais maintenant qu'elle en était privé c'était d'autant plus difficile de s'en passer. Alors qu'elle se saisit de son verre elle le détaille, ses yeux s'arrêtent sur la marque à sa propre main gauche, une bande de peau plus claire sur l'annulaire. Un sourire amusé étire les lèvres rouges d'Avalon, alors c'est ça ? Elle soulève le verre et se contente d'humer les vapeurs d'alcool, faisant tourner les olives au fond du verre.
« Écouter il n'y aura pas de scandale ce soir, enfin en tout cas pas à cause de moi, je sais être discrète quand il le faut. »
Et franchement elle tiens trop à son enfant pour oser le mettre en danger, c'est juste un moyen de se détendre, de se rappeler sa vie passée, avant l'enfant, avant la mort de Mathis, quand elle pouvait encore prendre un verre avec lui après le travail, chacun se racontant sa journée de travail. Ça lui serre encore le cœur, elle sait que la blessure sera toujours là à suppurer pour l'infecter jusqu'à ce qu'elle jette l'éponge. Elle voit alors l'homme tourner le regard vers une espèce de bimbo blonde plantureuse un peu plus loin dans le bar et soudain elle a envie de s'amuser un peu avec le stryge.
« Je ne suis pas venue pour me soûler. Enfin je vais être honnête avec vous la grossesse c'est pas une partie de plaisir et j'ai besoin de me défouler. »
Elle soupire et se tourne franchement vers lui, son alliance tintant sur le verre dans une lente mélopée sans rythme. Avalon se penche sur le côté et désigne la femme blonde du menton.
« Vous avez envie de la mordre n'est ce pas ? Tout n'est que question de sang au final vous savez, le boire, le faire gicler, le voir changer de couleur, c'est un divertissement comme un autre. »
Avalon avait décidé d'être cash, c'était un stryge il connaissait les besoins du sang, elle n'avait peut être pas d'envies carnassières comme ces créatures mais elle avait besoin de faire du mal, pour se sentir vivante à l’intérieur autrement que par son enfant. Alors soit il le prenait pour une sadique, soit il allait lui demander plus d'explications. Elle espérait la deuxième solution.
« Au fait je m'appelle Avalon Blackfield Mathew, enchantée de vous rencontrer. » © fiche par Ell, optimisée par Superno√A pour ASN
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Dante Boogeyman I ain't nobody's bitch
| | Dim 21 Aoû - 21:32 | | L’enfer c’est de se lever tous les matins et te demander pourquoi t’es là.
Ses vengeances, tiens donc...
Une autre créature follement vindicative qui ne supporte pas de ne pas avoir le dernier mot. Ca allait faire des étincelles si nos esprits commençaient à s'échauffer. Mais elle m'assurait savoir être discrète quand la situation l'exigeait. Je n'allais pas passer la nuit à la surveiller, je n'avais pas d'autre choix que de la croire sur parole. Très franchement, c'était difficile pour moi de ne pas faire confiance à une femme enceinte. Les mères, c'était à la fois un manque et une phobie chez moi. Un mélange explosif qui expliquait sûrement mon goût pour les femmes. Un jour, il faudrait que je pense à voir un psy, juste pour rire...
D'après ses dires, elle ne vivait pas particulièrement bien sa grossesse. Je la plaignais, mais j'avais tendance à penser qu'elle souhaité le garder, donc elle ne regretterait pas quelques mois d'abstinence bien longtemps. Mais je comprenais bien sa tourmente. Moi, je ne tenais pas deux jours sans cigarette. C'était ma drogue dure, ma médecine douce.
Et ma camisole de force.
Je relève les yeux vers la brunette quand je l'entends deviner avec une facilité déconcertante mon besoin de sang. Dans cette ville, ma nature nouvelle ne semblait être un mystère que pour moi. Un véritable calvaire. Soit je me fiais à des inconnus pour comprendre ce que je devenais, soit je continuais par moi-même de chercher ce qui avait changé depuis ma chute du treizième étage. Je soupire, désespéré de voir dans quelle situation merdique ma créatrice forcée m'avait mis de force.
Elle change de sujet, se présentant comme une certaine Avalon. Je ne retiens pas son nom de famille, trop perturbé par sa découverte à mon sujet. Cependant, j'entends bien qu'elle a souhaiter mettre deux noms derrière son appellation. Trop fière pour abandonner le sien, trop amoureuse pour refuser celui de son mari.
"Boogeyman. Dante Boogeyman."
Un nom qui m'allait toujours aussi bien quand on connaissait ma vie nocturne et mon rapport au sommeil.
"Si je ne vous voyais pas avec un verre plein, je pourrais penser que vous êtes déjà ivre. Comment vous savez pour moi? Vous en êtes une aussi ou bien ça se lit sur mon visage quand j'ai un petit creux?"
J'espérais secrètement que ce soit la première solution. J'avais besoin d'en savoir davantage sur ma nature et je ne souhaitais surtout pas que mon apparence ou mon aura évolue jusqu'à laisser entrevoir ma nature aussi facilement. Et puis je réalise soudain qu'elle m'a touché un peu plutôt. Je me tends légèrement en songeant qu'un simple toucher pouvait suffire à révéler ma nature. Mais les sidh me sentaient à des kilomètres, ce n'était pas pire. Elle était peut-être une sidh elle aussi. Mais elle ne me laissait pas la même impression que ceux que j'avais croisé. Je ne pouvais encore rien deviner de ce qu'étaient les autres. Je ne savais pas ce que j'étais, et j'ignorais aussi ce qu'ils étaient tous. Cruel désavantage.
La blonde est repartie comme elle est venue. Une chance pour moi et pour l'envie de chair qui commençait à me gagner. Elle serait épargnée, tout du moins, pour cette fois. Avalon, elle, ne risquait rien. Je ne me refusais habituellement aucun meurtre si c'était pour contenter mes besoins, mais tuer une femme enceinte, c'était malsain.
Même pour moi.
Je reprends une gorgée ou deux de mon verre, puis j'enchaîne avec de la nicotine. Plus rien de tout ça ne me fait réellement d'effet, et pourtant, je ne m'imagine pas m'en passer un seul instant. J'imaginais donc très bien le calvaire de cette mystérieuse génitrice en devenir.
"J'ai du mal à croire que vous puissiez en être une aussi, mais le Diable a bien des visages."
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Avalon B. Mathew Sacrifices are necessary.
IDENTITY CARD Messages : 252 Je suis arrivé(e) le : 09/12/2015 Sous les traits de : Eva Green Je me dédouble : Maxence le Lepry-Chieur & Saf la dépressive - agressive Pseudo : Pims Crédits : Tumblr - Xelette - Swan Points : 6585
J'ai : 35 ans et méfiance à ceux qui oserait dire plus. Je travaille comme : Psychiatre militaire spécialisée dans les trouble explosifs, anciennement meneuse d'interrogatoire pour le compte de l'armée. Actuellement, je suis : Veuve, enceinte de son mari décédé. Pouvoir : Emission de poisons et antidotes Niveau social : Héritage familial et marital conséquent, retraite militaire confortable, méchamment riche
- Soit comme un loup blessé, qui mord le couteau, de sa gueule qui saigne. -
- On rencontre sa destinée souvent par les chemins qu'on prends pour l'éviter. Je te connais mieux que toi-même ; je suis le reflet consacré. Je suis le féminin, je suis l’origine. Je suis la preuve de ta candeur ; je suis celle qui vient adoucir la terrible arrogance de ta chair
inflexible. Par la pratique d’un supplice infini, je souffre pleinement dans mon corps immaculé. Je suis la muse oubliée des hommes. -
« Nous sommes ceux que vous ne voyez pas,
Parce que vous ne savez pas voir.
Nous prenons sans rendre.
La vie, la Mort.
Sans pitié. » | | Mar 23 Aoû - 18:55 | | La vérité est au fond du verre. Il n'est pas difficile pour Avalon – en psychiatre aguerrie qu'elle est – de deviner que l'homme à côté d'elle à surement été marié. La marque d'anneau sur son doigt en fait foi, et la façon qu'il a d'y toucher sans faire attention prouve que ce n'est pas un choix que de retirer son alliance. Ou plutôt que ce mariage n'est plus, soit par le départ de l'autre, soit par son décès. Elle se projette peut être un peu trop mais elle est presque sur de ses suppositions. Elle se dit que ce n'est peut être pas le bon sujet à aborder avec lui, cependant elle lui avoue sans fard qu'elle sait exactement de quelle nature il est. Ce qui semble le surprendre, il n'a pas l'air de savoir ce qu'elle est. En même temps la nature d'une alchimiste est difficile à détecter il faut véritablement se concentrer sur l'aura que dégage les alchimistes pour capter le fluide qui végète autour d'eux en permanence. Elle lit sur son visage qu'il semble se demander par quelle magie elle est capable de savoir une telle chose ce qui lui fait avoir un rictus sadique, elle aime avoir le dessus sur les autres, encore plus sur les autres.
Finalement elle se présente, mais il ne tique pas sur son nom de famille ce qui lui apprends qu'il est soit ignorant de beaucoup d'éléments du monde surnaturel, soit juste assez stupide pour ne pas craindre une Blackfield. Elle ne peux s'empêcher de sourire de plus belle en entendant son nom qui lui va comme un gant, elle trouve qu'il colle bien avec le personnage et le genre qu'il se donne. Il la questionne alors sur la façon dont elle connais sa nature. Alors c'est ça, c'est un tout récent stryge qui n'a pas véritablement côtoyé le monde surnaturel et qui commence tout juste à appréhender le fabuleux monde qui l'entoure et qui lui était précédemment interdit. Depuis l'attaque des stryges à l’hôpital et ce qu'elle y avait subit Avalon avait toujours éviter de frayer avec cette race, la cicatrice sur son bras et son bras droit lui rappelait durement la férocité qu'ils étaient capable de déployer. Cependant ce Dante ne semblait pas enclin à l'attaquer, il semblait plutôt avide d'en savoir plus.
Avalon leva son verre et huma l'alcool encore une fois avant de repousser définitivement le verre un peu plus loin sur le comptoir. Elle lorgna le bout enflammé de la cigarette du stryge, elle tuerais pour n'avoir ne serait – ce qu'une bouffée de nicotine. Il table sur le fait qu'elle est elle aussi de la même race que lui.
« Je ne suis pas une stryge et rassurez vous votre faim ne se lit pas sur votre visage, je déchiffre seulement mieux les gens que la plupart du commun des mortels. Cependant il est fort possible que je soit un des visages du diable. »
Elle se pencha un peu et posa un doigt léger sur la surface du verre que tenait Dante. La matière se déforma par la volonté d’Avalon et de l'alchimie combinée. Le verre s'étira, bulla et se hérissa de piquants inoffensifs. Puis il se modifia de nouveau pour former des facettes, des demi sphères avant de reprendre sa forme initiale. Elle se remit mieux sur son assise et fixa franchement l'homme.
« ça fait un moment que je cherche un stryge qui pourrais m'aider dans mes … Recherches. »
Elle avait été tenté de recruter Mara au début mais vu ce qu'elle avait subir à Heathcliff elle n'avait plus qu'une envie en tête : la tuer salement et le plus douloureusement possible. Il n'empêche qu'elle avait besoin d'un stryge, ils avaient une sorte de charisme qui lui permettrais d'attirer plus facilement des cobayes dans son labo. Et peut être que Dante pourrait être cet homme. © fiche par Ell, optimisée par Superno√A pour ASN
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| | | | | | L’enfer c’est de se lever tous les matins et te demander pourquoi t’es là. || Ava | |
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