Nom : Stewart   Prénom(s) : Joshua, Alexandre., et des dizaines d'autres.   Âge : 350 ans   Âge d'apparence : 30 ans   Date de naissance : Le 8 juillet 1665   Nationalité : Anglaise à l'origine, puis Allemande, Russe, Française, Américaine, et enfin Canadienne depuis peu. Les paris sont ouvert pour la prochaine   Origine(s) : Anglaise   Métier (études) : Commissaire adjoint   Niveau social : Je peux prétendre à  la couronne d'Angleterre si tu veux savoir ! Mais c'est un secret. Elevé disons   Statut marital : Célibataire, plus pour longtemps !   Orientation sexuelle : Hétérosexuel   Avatar: Joseph Morgan   Crédits: Bazzart   Personnage: Scénario   Petites curiosités     Famille et proches - Famille est un mot que j'ai bannis depuis longtemps de mon vocabulaire. Un père inexistant, une mère à peine plus présente qui a préféré sa vie à la court que son fils. Je suis leur digne fils après-tout, c'est normal que je sois aussi plus attiré par le pouvoir qu'autre chose. Quant aux proches, ce n'est pas tellement mieux. J'ai appris que les relations sont éphémères que qu'on ne peut faire confiance à personne. Tôt ou tard on vous trahit, le mieux est encore de rester seul. Je dis ça, mais je ne suis pas seul non plus. J'ai des amis, qui ce compte sur les doigts d'une main mais ça ne veut pas dire que je leur fasse confiance. Et puis j'ai Svetlana, elle ne partira pas elle, je ne la laisserai pas.   Besoins carnassiers -En trois siècles on aurait pu croire que j'aurais fini carnassier depuis longtemps, surtout quand on voit comment j'aime jouer avec la nourriture, c'est beaucoup plus amusant de la voir essayer de se débattre. Pourtant je m'en suis toujours tenue au sang et uniquement au sang. J'ai été tenté, plus d'une fois. Mais l'idée de me faire traquer par une horde de Stryges ne me vends pas du rêve. Et puis ça montre un certain contrôle sur moi-même d'arriver à me restreindre de la sorte. Je suis le seul maître de mes actions. Il n'y a que moi qui décide de mes actes et ça commence par le contrôle de mes pulsions. Je torture allégements sans état d'âme, mais ne tue que en cas de nécessité absolu. Toutefois je ferai une exception pour Valencia.   Position sur le conflit -Ce conflit millénaire n'est pas le mien et je m'y refuse, les risques étant trop élevés, si j'avais avec moi d'autres Stryges sur qui compter je serai déjà plus belliqueux à leur encontre c'est sur. Mais je ne suis pas idiot, au contraire, dans un conflit ouvert nos pertes seraient nombreuses, trop nombreuses. Et puis la paix installée me permet de mener à bien mes manigances sans avoir en plus à m'inquiéter de l'intervention de possible Faës. Il est déjà arrivé que la cible de ma prochaine arnaque soit le proche d'une Faës et ça a toujours était une épine dans le pied assez douloureuse à éviter.   Points faibles - Ma plus grande faiblesse, inutile de le nier, c'est Valencia, et par la même occasion Svetlana. La première me fait sortir hors de mes gonds et oublié tout sens commun au point de me mettre en danger dans le seul but de pouvoir la tuer de mes propres mains. La deuxième a l'effet inverse, j'oublie avec elle que le danger peut toujours survenir. Elle est tellement humaine, tellement fragile, je n'arrive pas à me méfier assez quand ça la concerne, je sais qu'un jour cela risque de m'attirer des ennuis. Malheureusement ce n'est pas la seule faiblesse que j'ai. Déjà de part ma nature les Phoenix sont une de mes plus grandes hantises. Je l'admets difficilement mais mon souhait de vivre le plus loin possible de toute relations me pousse à être une stryge solitaire ce qui est assez dangereux. Aussi ai-je appris à être incroyablement discret sur ma vraie nature. Ceux aux courant de ma condition sont très rares.

     


     qualités
     Intelligent
     Cynique
     Artiste
     Passionné
     Inventif
      défauts
     Obsessionnel du contrôle
     Sadique
     Calculateur
     Egoiste
     Mégalomane
     

 Intelligent, c'est un fait, je suis intelligent, vraiment intelligent, ceux qui ont essayé de se mesurer à moi en ont payé les conséquences, je ne fonce pas tête baissée dans les pièges, je suis celui qui tends les pièges. En plus de ça j'ai une imagination prodigieuse. Ca doit être mon côté artiste, j'invente toujours de nouveau moyen d'arriver à mes fins. Si le plan A ne marche pas, j'ai déjà prévu jusqu'au plan Z. Chaque problème a sa solution, il faut juste un peu chercher. Oui parce que des plans j'en ai. Je suis très calculateur, vraiment. Mais ça va de paire avec mon cynisme je suppose. Je suis obligé de tout prévoir, faire attention à tout et tout le monde, c'est ça de n'avoir confiance en personne à part soi-même. Je dirais bien que ça m'ennuie mais j'adore ça, être celui qui a cinq coups d'avance sur tout le monde, celui qui contrôle, qui décide. Ah on en arrive à mon obsession du contrôle, il paraitrait que je suis un control-freak, je ne suis pas d'accord. Oui j'aime avoir le pouvoir et le contrôle, mais de là à aller aussi loin … Non je ne supporte pas d'être déçus c'est vrai et si je veux éviter ça il faut que je contrôle ce que font mes pions non ? Et puis les humains ont la fâcheuse tendance à faire les idiots quand ils ont leurs libres arbitres, si tant est qu'une telle chose existe vraiment pour eux. Ils sont tous esclaves de leurs instincts, tous. Mais aucun ne sait ce que veut vraiment dire le mot contrôle, ils n'ont pas subi l'appel du sang, l'appel de la chair. De tous les humains que j'ai rencontrés dans ma vie peu, très peu aurait résisté à ça s'ils avaient été transformés. Alors oui j'aime la sensation de satisfaction et de pouvoir que procure le contrôle mais maniaque ? Non … Du moins je n'aime pas qu'on me le fasse remarqué. À mon sens mon plus grand défaut je l'ai découvert grâce à Valencia. Je suis trop passionné pour mon propre bien. L'amour m'a fait faire des choses au-delà de ma volonté, il me fait perdre mon ascendant sur moi-même et me rend vulnérable. Voilà pourquoi j'ai fait une croix dessus. Pour me protéger. Je suis une Stryge qui vit seule, c'est dans mon intérêt de réduire mes faiblesses le plus possible. En pensant à moi et pas aux autres j'arrive à éviter la plupart des conflits. Certain appelle ça de l'égoïsme, pour moi c'est l'instinct de survie. Et je n'ai aucun problème à admettre que ma vie vaut plus que la plupart des humains. Je suis de sang royal moi, je devrais être sur le trône anglais. Mais je me satisferai difficilement d'un pays aussi petit. Le seul royaume assez grand pour moi c'est le monde. Ce n'est même pas un délire mégalomane, je suis tout ce qu'il y a de plus sérieux. J'y travaille d'ailleurs sur le long terme, bien caché dans l'ombre, je tisse des liens et des connections partout..

Dear child, January the 26th 1665

J'ai conscience en écrivant ces mots que rien au monde ne pourra pardonner mon absence à tes côtés. Quand tu liras ces mots tu seras sans doute déjà trop vieux pour avoir un quelconque souvenir de moi, pourtant mon seul vœu et de pouvoir te voir grandir. Tu n'es pas encore né et déjà je sais que je devrais me séparer de toi. Je ne peux me résoudre à te garder, cela signerait ma mort à la cour.
Tu n'as pas ouvert tes yeux sur le monde et je t'apporte déjà des ennemies. Pour ton propre bien tu grandiras loin de la cour de notre roi, et de moi, puisse tu vivres paisiblement et heureux auprès de ma sœur.  
-F. Stewart

Vous savez le plus drôle là-dedans ? Mon anniversaire tombe le même jours que celui de ma « mère » … Et il se trouve qu'étant de la noblesse j'ai été convié à partir de l'âge de mes 15 ans à assister à sa fête à la cour. Comme si je n'avais que ça à faire le jour de MON anniversaire !
Il a fallu que j'atteigne mes quinze ans pour enfin voir le visage de ma génitrice, et pour avoir le droit de lui adresser la parole, ne parlons pas de mon cher père, roi d'Angleterre,  il ne m'a accordé durant toute sa vie qu'un regard de mépris et de haine sans même connaître mon nom. Officiellement j'étais le neveu de Frances, ca lui permettait d'expliquer pourquoi elle m'envoyait régulièrement de l'argent, comme si elle pouvait acheter mon pardon avec. Elle a essayé toute sa vie de renouer le contact avec moi, toutes ses lettres sont restées sans réponse au fond de mes placards. Je les ai encore pour la plupart, pas par sentimentalisme, non pas moi, disons qu'elles m'aident à ne pas oublier les ravages de la culpabilité. Jusqu'au bout elle n'aura jamais réussi à se pardonner, à quoi bon avoir essayé ? Elle n'avait qu'à ne pas se laisser avoir dans le lit du roi !


My Love, September the 13th 1795

Valencia, cela fait cent ans que tu as fait de moi l'homme le plus heureux sur terre, tu m'as montré le monde sous tous ses aspects et m'a fait m'éveiller à ma destiné : Passer l'éternité à tes côtés. À nous deux nous ne risquons rien ni personne, tu es la femme la plus forte qu'il m'ait été donné de rencontrer, les pauvres âmes égarés qui se mettent devant où entre nous ne sont que des spectres que nous ignorons. Maintenant que je l'ai vu, je sais que le monde est grand et renferme mille et un trésors, pourtant il n'y a que toi qui trouve intérêt à mes yeux et si tu me demandais de t'offrir la lune j'y volerais sans la moindre hésitation.
Étrangement c'est en mourant dans tes bras que j'ai pour la première fois eu la sensation de vivre et c'est en acceptant de me lier à toi pour l'éternité que j'ai arrêté de redouter la mort, ma mort. Car si jamais tu disparaissais je te suivrai sans regarder derrière moi, comme Orphée, je viendrais aux enfers te retrouver. Mais là où lui a échoué je réussirai à n'importe quel prix.
Ci-joint, ton portait devant les plaines enneigées de Russie. Tu m'as dit vouloir garder ce paysage et cette beauté dans ta mémoire pour toujours, j'espère avoir réussi à en saisir même un dixième de l'intensité. Si tu m'avais demandé mon avis je t'aurais répondu que la seule source de beauté dans ce paysage était ton visage et tu aurais eu ce rire qui fait vibrer l'air autour de toi, un son que les anges auraient en jalousie si ils n'étaient pas déjà eux aussi subjugué par ta présence.
- Avec tout l’amour qui puisse exister dans ce monde, Alexandre ton serviteur.

P-I-T-O-Y-A-B-L-E ! Quand je pense que j'ai cru aux mensonges de cette succube des enfers ! Elle c'est bien joué de moi cette garce. C'est bien simple, Valencia est un nom proscrit en ma présence. Sauf si vous souhaitez passer les cinq prochaines années dans une cave à servir de défouloir pour mes sautes d'humeurs. Quand je pense à ce que j'étais prêt à faire pour elle, je serai mort avec le sourire aux lèvres pour ses beaux yeux. Et qu'a t-elle fait de mon amour ? Rien du tout, pire ! Elle l'a utilisé pour avoir un valet pendant deux siècles avant de finalement se lasser de son chien de compagnie. Plus jamais je ne commettrai les mêmes erreurs, plus rien ni personne ne me dicte ma conduite, je suis celui qui ordonne. Je suis le légitime roi d'Angleterre bordel ! L'amour est le fardeau de l'humanité, soit, je ne le suis plus. Je suis au-dessus de ces faiblesses. L'amour est une prison, l'un est un prisonnier, l'autre le geôlier. J'ai suffisamment donné du côté prisonnier ! Maintenant c'est mon tour d'être geôlier, et malheureusement pour ces pauvres humains je ne suis pas gentil.


Bаше высочество Nikolaï, 10 марта 1917

J'ai bien reçus votre premier versement pour la livraison d'armes ce mercredi. Comme prévue vos hommes ce verront, par l'intermédiaire d'amis proches, remettre la marchandises. Longue vie au Tsar
- Andrei Starikov

Ah ce bon vieux Nikolaï ! Un bon empereur, il aurai pu emmener loin son pays s'il n'avait pas eu une révolte sur les bras. Et s'il ne m'avait pas demandé de le fournir en arme … Je confesse volontiers avoir gardé l'argent du Tsar pour moi, cinq jours plus tard il abdiquait.  Et est mort une année plus tard il me semble. Certains se seraient senti coupable, pas moi ! Grâce à lui j'ai pu commencer mon entrée dans le cercle fermé des grosses fortunes mondiales. Déjà depuis la mort de ma mère et son souhait de me léguer une bonne partie de sa fortune je n'étais pas à plaindre. Mais ma vie avec Valencia avait eu un certain coût. Et j'ai toujours été habitué à un train de vie plutôt aisé. J'ai traîné dans à peu près tous les grands moments historiques après ça, comme trafiquant souvent, conseiller, une fois général ou même instigateur parfois. La guerre est tellement pratique pour se constituer une petite fortune, surtout quand on n'a pas d'état d'âme ! La Première Guerre Mondial ? A votre avis qui a mis le feu aux Balkans en échange d'une grosse valise d'or ?
La Seconde ? Il suffisait de se baisser pour cueillir les héritages abandonnés là par les familles déportées
La Guerre Froide ? Vous pensez que ça se trouve comme ça des missiles nucléaires ?

En ce moment c'est vrai je suis plutôt calme, c'est que ma fortune me rapporte plus que nécessaire malgré de grosses dépenses et puis, je commence à ne plus avoir de place dans les coffres-forts des paradis fiscaux pour entreposer mes trésors. En plus mon attention est toute tournée vers Svetlana maintenant, je laisse mes comptables s'occuper de gérer mes actions ! Ils savent ce qui leur arrivera s'ils ne font pas du bon travail.


Mr Stewart, 8 Février 2010

Cela fait longtemps que votre tête n'a pas été aperçu dans les environs. Je dois dire que c'est très reposant.
En souvenir de notre vieille dette j'ai des informations intéressantes à vous transmettre, mais croyez bien qu'après cela je ne vous serais obligé de rien. Oubliez moi.
Une personne a été vue à Montréal, elle correspond en tout point à la description de la stryge Valencia qui, je le sais, est une vieille connaissance à vous. Ci-joint son adresse et d'autres informations utiles.
- Au plaisir de ne jamais vous revoir

Cette écriture, aucun doute sur le destinataire, une vieille connaissance, une autre stryge avec laquelle il m'est arrivé d'avoir des différends. Sa lettre m'avait vraiment perturbé à l'époque, je me souviens avoir cassé pas mal de mobiliers anciens. Savoir Valencia à porter de main était à la fois insupportable et euphorisant. La nuit même j'étais en route pour Montréal, j'avais plus ou moins abandonné mes affaires en cours tellement j'étais impatient de pouvoir accomplir ma vengeance. J'ai eu une surprise en arrivant en ville. Dès le premier regard il fut évident que Valencia n'était qu'une simple humaine. Elle se faisait appeler Svet, diminutif de Svetlana. Ma rage transformée en curiosité, ma méfiance naturelle revient et j'entrepris de l'observer pour comprendre, si Valencia avait pu redevenir humaine cela changeait beaucoup de choses !
Au bout de plusieurs mois de recherche il est devenu évident qu'il ne s'agissait pas de Valencia. Rien en Svet ne rappelait ma créatrice en dehors de son physique. C'était des plus troublant, voir la femme que vous aviez aimée le plus au monde agir comme une personne totalement différente, être totalement différente. Je ne sais pas trop à quel moment j'ai décidé de me l'approprier. Ni pourquoi je ne l'ai pas juste hypnotisé. Sans doute parce que je voulais m'amuser. Malheureusement je n'en ai pas eu le temps. Déjà les soucis que j'avais quittés pour venir à Montréal me pourchassaient et j'étais trop occupé par Svetlana pour pouvoir les résoudre.


Dear friend,  June the 15th 2010

Kassin ! Cela fait trop d'années que nous ne sommes pas vus. Je te pris de croire que ta conversation me manque, il est difficile de trouver des gens intelligents de nos jours. Tu te doutes que ma lettre n'est pas désintéressée. Il s'avère que j'ai sur le feu une affaire assez délicate mais synonyme de bénéfice. Malheureusement j'ai été distrait dernièrement et ton aide serait  plus qu'apprécié et fortement récompensé. J'arrive à Londres dans deux jours, retrouve moi à mon hôtel.
- Alexandre, ton ami de toujours.

Avec l'aide de mon ami, mes soucis furent expédiés en quelques semaines, nous rapportant un joli magot. Après cela je suis resté un moment en Angleterre avec lui, le souvenir de Svetlana était trop présent dans mon esprit et j'avais préféré rester avec une des rares personnes qui pouvait assurer mes arrières. La confiance n'était pas là, elle ne l'a jamais été avec Kassim, mais j'ai un certain respect pour lui et je reconnais aisément ses qualités.
Après trois ans de collaboration j'ai finalement décidé de repartir, je n'aimais pas rester trop longtemps au même endroit. J'ai donc pris la fuite sans prévenir comme à mon habitude, emportant avec moi un peu plus que ma part de l'argent amassé par nos soins en trois ans. Finalement en 2015 après cinq ans à avoir essayé d'oublier Svetlana je me suis résolu à la rejoindre. Cette fois avec la ferme intention de la détruire et la brisé comme Valencia l'avait fait pour moi. J'ai donc acheté un manoir en bordure de la ville et demandé avec toute ma gentillesse au maire si le poste de commissaire adjoint pouvait m'être accordé. C'est comme ça que j'ai fini comme supérieur de Svetlana. Elle ne se doute pas de l'obsession que je nourris pour elle. Ni que j'ai toute la patience du monde pour la faire tomber dans mes filets