Nom : Heidmarsson   Prénom(s) : Lachlan  Aïden   Âge : 430 ans et aucuns rides   Âge d'apparence : 21 ans   Date de naissance : 1586 Seul ma mère connais la date précise, hélas elle m'a quitté bien trop tôt, j'avais à peine un ans quand elle est morte mais si vous voulez une date d'anniversaire, prenez le 10 février.   Nationalité : J'étais écossais,Je le  suis et je le resterais   Origine(s) : Ecossaise   Métier (études) : j'étudie la physique à l'université  car les sciences m'ont toujours fascinées et l'immortalité permet d'assouvir ma soif de savoir aisément. Sinon, quand je ne suis ni sur les bans de l'école, ni la tête dans les bouquins, j'aide mon père au Beckta Dining & Wine en temps que serveur.   Niveau social : Je n'ai pas à me plaindre,  vivant avec mon père dont les années lui ont permis de vivre plus qu'aisément, je n'ai jamais eus besoin de rien. Cependant, il est hors de question de profiter de celui qui m'a déjà tout donné. J'ai donc moi-même ammassé un petit pécule. Certes plus modeste mais cela reste confortable.   Statut marital : J'aime bien trop la liberté pour pouvoir m'engager auprès de quelqu'un a qui je ne pourrais promettre fidéité.   Orientation sexuelle : Hétérosexuel   Avatar: Dominic Sherwood   Crédits: Me and my friend google   Personnage: scénario   Petites curiosités     Famille et proches - SÖREN L. HEIÐMARSSON: Mon père d'adoption. Il m'a recueillis quand j'étais encore bébé. Je lui dois tout. Il a fait de moi ce que je suis aujourd'hui. Mon père m'a laissé le choix et j'ai choisis de suivre ses traces et devenir un Styrge. C'est mon modèle et je suis prêt à tout pour lui. Aussi bien pour l'aider que pour le rendre fier de la personne que je suis devenus. Echô Mon père a des sentiments pour elle, c'est évident mais quelque chose en elle m’attire. Il ne s'agit pas de sentiments amoureux mais plutôt d'une sorte d'affection.   Besoins carnassiers - J'ai été élevé par un Styrges alors les habitudes alimentaires sont naturelles chez moi. Je m'en tiens au sang, même si par curiosité j'ai déjà goûté à la chaire fraîche si je puis dire. Cependant j'en ai pas gardé un souvenir fantastique... Enfin je chasse de façon hebdomadaire. Parce que oui c'est une chasse, un jeu mais je ne prends aucun plaisir à massacrer, je ne suis pas cruel non plus.  Du coup je sors, souvent le week-end quand j'en ai finis avec les devoirs de la fac. J'use de mes charmes pour attirer des humaines et...Santé!  Par contre je préfère que ma proie sois détendue,  le stress donne un goût parfaitement atroce au sang!   Position sur le conflit - Sincèrement j'en ai que faire de ce conflit. Il s'agit de vieilles idéologies. Et puis au moins nous sommes plus libres. Les Faes sont bien trop différentes. Que peut-on y faire si nous sommes des prédateurs? En fait la seule personne à qui je suis loyal c'est à mon père.  Par conséquent, je ne m'implique que lorsqu'il a à prendre position. Par conséquent on peut dire qu'il m'arrive d'être plus impliqué que ce que je voudrais. Cependant, les choix de mon père dans ce domaine me semblent toujours être les plus raisonnable. Et comme il a déjà vu assez de guerres en sa longue existence, on les évites!   Points faibles - (Minimum 2 faiblesses, 5 lignes) Faiblesse? Désolée je ne connais pas ce mot! Non évidemment je plaisante! Mais il faut dire que c'est quoi cette question? Personne n'aime déballer ses faiblesses au grand jour! Vous pourriez les utiliser contre moi! Bon sérieusement, à part les faiblesses liées à mon statut de Styrges on retiendra : Mon père. C'est ma force mais aussi ma faiblesse. C'est ma seule et unique famille en ce monde alors je suis prêt à tout pour lui. Même prendre des risques inconsidérés. Sans lui je suis perdu et je donnerais mille fois ma vie plutôt que de le voir souffrir. Le feu Et pas que celui du phœnix, j'ai la phobie du feu. Il me rends mal à l'aise. Certains le trouve réconfortant, moi je le trouve juste dangereux et destructeur. Cependant ne me demandez pas d'où cela viens, je l'ignore moi-même. Cependant les bûchers ne sont pas de belles choses à voir quand on est jeune. Et malheureusement cela était pratique courante il y a quelque siècle.

     


     qualités
     Loyale
     Enjoué
     Optimiste
     Protecteur
     Serviable
      défauts
     Curieux
     Maladroit
     Perfectionniste
     Borné
     Macho
     

  Le nombre d'année ne fait pas la sagesse. Me qualifierais bien je pense. Car malgré que j'ai un grand sens des responsabilité. Je reste un grand enfant qui aime s'amuser. Quitte à parfois se mettre dans des situations périlleuses. Cependant, vous ne me verrez jamais favoriser la violence. En effet, je préfère le dialogue, j'ai la "tchatche " comme on dit (ou baratineur d'après certaines personnes rancunières). Du coup je m'en sort le plus souvent par une pirouette. Non vraiment si vous voulez mixer la tête de quelqu'un, appelez-moi! J'ai de l'expérience en "extraction de situation difficile" puisque je suis plutôt maladroit.Mais bon, les demoiselles n'en veulent pas bien longtemps à cette "bouille d'amour". Oui je suis un séducteur. J'aime plaire et jouer de mes charmes. D'un autre côté pourquoi s'en priver? Hein? La séduction est un jeu tellement amusant. Un mélange de cache cache, du jeu du chat et de la sourie....

Oui j'aime m'amuser c'est un fait. Et tout est prétexte à s'amuser. Rien de tel que le frisson d'une bonne compétition. C'est pour cela que je prends un malin plaisir à briller dans les études. J'aime être le meilleur, le premier, celui qu'on regarde et on envie. Il m'arrive aussi beaucoup e parier quand je m'ennuies. Des paris les plus débiles aux plus sérieux d'ailleurs. ça pimente la vie et ajoute du piment.

Cependant, malgré mon côté très enjoué, il m'arrive d'être sérieux. Et oui. Je supporte mal l'échec et je suis rarement pleinement satisfait de ce que je produits. Je cherches toujours à aller plus loin, me surpasser. Alors oui, d'extérieur, j'ai l'air du gars qui à vraiment confiance en sois. Mais les gens qui sont proches de moi le savent (du coup ça se limite à mon père). Je n'ai pas confiance en moi. Je doute et me remet toujours en question. Auprès des gens que j'aime, je suis différent. Je suis prêt à tout pour eux, m'oubliant pour ne penser qu'a leur bonheur. Même si pour me protéger, je préfère éviter les mortels car leur départ fait bien trop souffrir.

Je suis né en hiver 1586 en Ecosse. Jusqu'en 2000, je n'aurais pas pus vous en dire plus. Ma mère appelait Caiohme, loyale envers la reine Marie Stuart d'Ecosse, elle fut jugée "équitablement" et condamnée à être exécutée en place publique 10 Février 1587 à  Fotheringhay en Angleterre, me laissant ainsi pour orphelin. Je ne lui en veux  pas. Surtout pas! Elle m'a donné la vie. Et les responsables ne savent pas à quel point ils ont de la chance d'être devenus poussières bien avant que je ne l'apprenne. Je fus placé à l'église mais je n'y suis resté que quelques heures car mon père me recueillit. Il m'éleva donc sur ma terre natale, se chargeant de mon éducation car j'avais quelques difficultés à côtoyer les enfants de mon âge. Père était différent de moi de par sa condition de Styrge et cela a toujours attiré ma curiosité étant petit. Je ne comprenais pas.  Cependant, ses habitudes alimentaires ne m'ont jamais dérangé. Pour moi c'était naturel.

C'est donc tout naturellement qu'en Septembre 1607 je pris la décision de devenir comme lui. Je ne pouvais pas m’épanouir en tant qu'humain normal. Je me sentais étriqué dans mon enveloppe corporelle. Alors j'avais troqué mon humanité contre l'immortalité, la liberté, la capacité de découvrir le monde. Et puis rien ne me retenait à ma vie d'humain. Certes j'avais eu quelques aventures mais je n'étais réellement attaché à personne à l'exception de mon père. La transformation n'est pas le meilleur souvenir de ma vie, la mutation est horriblement douloureuse et je sais (grâce à mes rares moments de conscience totale) que mon père s'en voulait de m'infliger de telles douleurs. Aussi je me retenais le plus possible de crier, ne voulant pas le blesser. C'était mon choix, j'en connaissais le prix : la mort. Les ténèbres.





Ce serait mentir que de dire que l'adaptation fut chose aisée. La faim était étrange et difficile à contrôler. Heureusement, père était là pour m'aiguiller et m'aider. Au début j'étais une bête sauvage, tapis dans l'ombre prête à sauter sur la première proie venue et la massacrer. Puis j'avais commencé à maîtriser ma force (combien de meubles et de portes avions nous du changer? j'ai bien vite cessé de compter) et petit à petit mes autres dons. Mon favori étant de pouvoir voler. Cela procure une telle sensation de liberté. Je pouvais passer des journées dans les airs.
Puis nous avions entrepris le tour du monde. Je m'émerveillais de découvrir les paysages, les cultures, les langues. J'étais avide d'apprendre le maximum de choses. L'histoire, la culture, les croyances. Et puis la technologie évoluait aussi, ce qui était fascinant. Je me pris de passion pour les sciences. D'ailleurs je dois encore avoir des revues scientifiques de cette époque dans un carton au grenier...
Dans les années cinquante, alors qu'on était en Italie, je m'étais pris d'affection pour une demoiselle aux yeux verts comme les arbres d'Amazonie et aux cheveux noirs comme l'ébène le plus précieux, Rosa.  Rosa occupait toutes mes pensées mais également mon cœur. Je passais le plus clair de mon temps avec elle.Négligeant au passage mes besoins de Styrge, ce qui fut une erreur fatale puisque j'avais totalement perdu la tête lors d'une dispute. Goûtant pour la première et dernière fois de ma vie à la chair humaine. Dégoûté de ma personne, je m'étais enfermé plusieurs jours dans un mutisme des plus totales avant de craquer et finir par déballer mes états d’âme à mon père. Mous avions changé de continent, m'éloignant le plus possible de mes douloureux souvenirs. J'avais alors commencé sérieusement à étudier les sciences, élargissant mes domaines de connaissances.

Dans les années 2000, au printemps, pris de nostalgie, j'avais réussi à convaincre père de retourner sur ma terre d'origine. J'avais besoin de renouer avec mes origines et éventuellement en découvrir plus sur ma mère. Car les seules informations dont je disposais étaient celles de sa mort. Ce qui était plus qu'insuffisant. Malheureusement, après plus d'un demi-siècle, les traces de son existence étaient minimes, voire inexistantes. J'en appris plus sur ses convictions en me documentant sur la reine Marie-Stuart, car après tout, elle était morte pour lui avoir été resté fidèle non? Cependant, ces quinze années de recherches ne donnèrent rien à ma grande déception.
Nous restâmes cependant un an de plus en Ecosse, où je me suis inscrit à la fac afin de continuer ma passion pour les sciences et avoir un diplôme qui reconnaissait mes capacités.  Je côtoyais ainsi des humains, me fondant dans la masse, pratiquer des sports collectifs comme le basket ou l’athlétisme. Bref dépasser mes limites et me lancer des défis.

C'est un an plus tard que mon père reçut une offre d'emploi pour un restaurant au Canada. J'avais donc rempli mon dossier pour le transfert. Et à l'automne  2016 voilà que je m'intègre à la fac avec cette fois des humains et d'autres espèces surnaturelles.
Mais je ne peux guère vous en dire plus, car l'avenir reste à écrire!