Rp commun - Vive la mariée !

Je suis arrivé(e) le : 09/08/2015

RP commun

Vive la mariée !

Elle est là la mariée. D'une élégance inouïe dans sa robe merveilleuse, les invités – très nombreux, beaucoup trop nombreux – se lèvent pour accueillir celle-ci comme il se doit. L'homme à l'autre bout de l'allée fleurie pose un regard aimant sur sa future femme, un sourire nerveux sur le visage. Il a remarqué toutes ses personnes inconnues, se posant quelques questions. Néanmoins, l'heure n'est pas au raisonnement, il va se faire passer la corde au cou. Oups... non, la bague au doigt ! Elle avance au rythme de la musique s'élevant dans les airs. Ils s'observent, ils oublient tout ce qui se passe autour d'eux, ils respirent l'amour à plein nez ses deux-là. La cérémonie se passe convenablement, enfin, presque. Entre deux phrases un enfant se met à hurler qu'il veut une sucette... Cinq minutes après, un homme laisse échapper un rot dans l'assemblée. Que d'élégance...

Les mariés, déjà nerveux, semblent sur le point de céder à une envie de meurtre, lançant quelques regards noirs ici et là. Mais la cérémonie reprend, et tous écoute (ou non...) les discours d'engagements et les promesses d'amour. Alors que le « oui » fatidique approche à grand pas, un homme pénètre dans la salle de cérémonie une bouteille de Whisky en main. « Putain de merde, j'ai raté quoi. Non attendez, attendez, j'arrive, je suis là, je suis... » Et il s'écroule sur les genoux d'une vielle femme d'une soixantaine d'année, qui elle, hurle à l'agression. Le marié se tape le front avec la paume de sa main, alors que la marié semble sur le point de déclencher une guerre nucléaire. Deux hommes sortent le fauteur de troubles pour le jeter hors de la bulle. Les invités sont choqués, mais certains ne peuvent s'empêcher de rire face à cette cérémonie hors du commun. Les mariés réclament le calme et le futur époux lance un bouquet de fleur au visage d'un de ses employés pour qu'il cesse de rire, ce qui déclenche l'hilarité de certains. Après plusieurs minutes de chaos, le silence revient enfin et la cérémonie peut reprendre son cour...

Le moment est arrivé, l'échange des alliances, le « oui » qui va les unir pour le reste de leur existence – très court pour un d'ailleurs -. Les applaudissements résonnent dans la bulle alors que les mariés échangent un doux baiser – "aaaaaaah dégueugnaaaasse !" s'écrit encore l'enfant perturbateur avant de se prendre une mandale de sa mère et de se remettre à brailler comme une alarme Verisur– pour finaliser cette union. A présent il n'est plus possible de faire marche arrière, ils sont mari et femme. Vive les marié !!

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Vive la mariée !

Un mariage… Franchement, c’était exactement ce qu’il fallait aux deux frères Pixies histoire de vivre des moments plus sympathiques ! Les évènements récents avaient plongés la ville dans une stupeur et un deuil profond. Et même si Lorcàn était sorti indemne de l’épreuve Magyar n’en restait pas moins traumatisé à sa place… Bah oui quoi ! Lolo n’avait pas l’air plus choqué ce cela, alors que son petit frère lui, chougnait souvent et se lamentait comme s’il avait été lui-même au cœur de l’attentat. Mais aujourd’hui, il ne serait question que de fleurs ! De gâteaux, d’amour, et de mièvrerie comme il aimait tant en voir ! Ils allaient pouvoir batifoler, heureux et abrutis. Quoi de plus beau qu’un mariage ? La célébration même de l’amour … Magyar entendait déjà les cloches sonner, les petits oiseaux gazouiller… La journée serait magnifique ! Et ce, même s’il oubliait un micro-détail : son ‘avocat’ n’aurait certainement jamais invité un client aussi dérisoire que lui. Mais il s’en foutait pas mal et s’était empressé de se vêtir comme un BG (grâce à Lolo, ils évitèrent le Kilt…) et avait même préparé un beau costard pour Lorcàn. Mais c’était sans compter sur la présence d’un autre jeune homme dans la maison, ce matin-là.
C’est donc sans scrupule et dans la joie la plus extatique que Magyar avait réussi à entrainer Lorcàn et son mignon petit chenapan de … Adadin ? Merde, pas moyen de se souvenir du prénom du gars ! Mais au moins, Alarin était marrant et semblait aussi ravi de participer à la sortie des deux frères Pixies. Si bien qu’en arrivant à la chapelle, Magyar avait baissé d’un ton pour s’adresser au Djinn Alain :

« Y’a un truc que j’ai toujours rêvé de faire moi… dans un mariage. »

Puis il avait ricané comme un môme, et ouvert en grand les deux portes menant au chemin marital pour brailler :

« JE M’Y OPPOOOOOOOOOOOOO… OOOOH merde… pt’ain… c’était commencé… »

Fini même… mais ça il n’en s’en rendait pas compte car rouge de honte, le Pixie souhaitait à présent se faire tout petit et s’installa du bout du cul sur une chaise encore libre.

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Vive LE Marié !

Lorcàn aimait son frère, de tout son cœur. C'était toute sa vie, son bonheur toussa toussa … Mais ce matin, bizarrement, une envie de meurtre s'était fait ressentir. Oh, il l'aurait tué de chagrin, avec amour même … Mais la finalité de la chose restait la même. Arraché de force de son lit douillet comme on arrache un chiard de la tranquillité de son utérus, il fut contraint de suivre son frère pour essayer des tenues afin d'aller à un foutu mariage dont il ne connaissait pas les foutus mariés. Surtout que la soirée de la veille fut assez … Mouvementée et voilà qu'Adin, pauvre victime du briseur de sommeil appelé Magyar, dû aussi se mettre au pli sans échappatoire possible. Après une lutte acharnée contre son frère des plus spectaculaire pour lui dire que « non, le kilt c'est mort », la joyeuse compagnie (enfin le joyeux Pixie et les deux encore à moitié endormies) arrivèrent sur le lieu où se déroulait le fameux mariage. Bah putain, ils se faisaient pas chier les deux amoureux ! C'était beau, c'était grand et ça sentait le bon alcool à plein pif. Quoi ? Vous croyez vraiment qu'il avait « accepté » de se laisser tourmenter toute une matinée pour voir deux pécores se rouler des pelles et se noyer dans des mièvreries consternantes ? Bah … non ! Lui dans sa tête c'était plutôt : Mariage donc buffet à volonté et alcool à foison … Avec en sus des petits serveurs pas trop dégueulasses s'ils étaient riches.

Il fut coupé dans ses pensées par son frère qui se mit à gueuler un truc qui ne fallait surtout pas gueuler dans un mariage et tenta de le rattraper … En vain. Bordel. Le facepalm qui suivit fut tout aussi magistral et bruyant. Fort heureusement, la cérémonie était terminée et il alla rejoindre Magyar, accompagné d'Adin qui devait se demander encore ce qu'il foutait là, avant de voler une chaise d'une dame qui venait de se lever.

- Bon au moins, voyons le côté positif … On aura pas à se taper la cérémonie extrêmement looongue et chiante ! Directos le buffet et la boisson ! Par contre Maggy … S'il-te-plaît … Je t'en supplie, ne gueule pas des trucs comme ça ! Sinon, on risque de se faire étrangler par le porte-jarretelles de la mariée et franchement, j'ai pas trop envie de crever comme ça …

En parlant de mariés … Où est-ce qu'ils étaient ? Pour au moins voir la tronche des coupables de sa future gueule de bois ...

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Vive la mariée !

Ce jour...je l'avais attendu depuis des semaines. Les préparatifs avaient bouffé tous notre temps, puis, il y avait eu les attaques, la révélation de ce monde que je ne connaissais que très peux, puis, le fait que ma femme était enceinte. J'allais finir par crever d'une crise cardiaque. Pour l'occasion, mon médecin avait fait en sorte de m'offrir une bonne dose d'anti-douleur, histoire que je sois en forme pour mon mariage. Quand j'avais vu Avalon marcher vers moi dans l'allée, je m'étais senti foutrement nerveux. Pourtant, je n'avais d'yeux que pour elle. Elle était si belle. La cérémonie se passe assez bien dirons-nous, un petit accident, un bouquet de fleurs lancée sur un de mes employés, un enfant mal élevé qui se prit une mandale par sa mère. Mais au final, le « oui » fatidique arriva et nous étions enfin mariés. L'alliance à mon doigt, au sien, le prouvait. Nous étions liés l'un à l'autre jusqu'à ce que mort s'en suive, ce qui ne devrait malheureusement pas tarder. J'avais mes lèvres contre les siennes, scellant d'un baiser cette union que je n'aurais jamais pu imaginer vivre il y a de cela un an. C'est fou quand même. Moi qui ne pensais pas vivre assez longtemps pour me marier, voilà qui était fait et en plus, elle attendait un enfant. La cérémonie était terminée laissant place aux festivités, j'entends les deux portes s’ouvrir à la volée et un con crier la phrase débile « je m'y oppose... ». Tournant les yeux vers le perturbateur qui arrivait en fin de cérémonie, je remarque Magyar. Il fout quoi ici.

« Chérie, c'est toi qui a invité tout Ottawa ou il y a un soucis ? »

Je passe une main sur mon visage et dépose un baiser sur les lèvres de ma femme, prenant sa main dans la mienne pour me diriger vers ce phénomène de foire. Une fois proche de lui, je souris très légèrement, parce que oui, voir autant de monde sa me perturbais. Bordel, c'était censé être une petite cérémonie, pas un truc avec un nome incalculable de personne.

« Monsieur de Brùn, que me vaux le plaisir de votre visite à mon mariage. Puis, vous vous opposez à quoi ? Je pense que cette phrase est censée venir bien avant la fin de la cérémonie... »

Je vois un serveur passer et j'attrape une coupe de champagne, bloquant la main de ma femme quand elle tenta d'en chopper une. Non mais elle rêve ! Une femme enceinte ça ne boit pas, elle avait cas se contenter d'un verre de coca.

« Chérie, les boisons non alcoolisées c'est par là... »

Je suis arrivé(e) le : 09/12/2015

Vive Le Marié

Avalon flottait sur un nuage, rien ne pouvait l'en faire descendre. Ça y est ils c'étaient dit oui, ils étaient officiellement mari et femme, elle prenait officiellement le nom de Mathis. La cérémonie avait été agitée, elle avait bien failli en tuer quelques uns, son mari avait même jeter un bouquet. Eux qui voulaient un mariage simple en petit comité se retrouvait avec la moitié de la ville à leur mariage. Qu'est ce qu'il c'était passé ? Ils c'étaient pourtant mis d'accord. Apparemment ce n'était pas du fait de Mathis puisqu'ils avaient parut aussi surpris qu'elle.

Au final elle avait zappé tout le reste quand elle l'avait vu dans son costume, quand elle c'était avancé jusqu'à l'autel. Tant pis pour le reste, pour ces convives qu'elle ne connaissait pas. C'était vraiment du décor, tout ce qui comptait c'était Mathis. Il l'embrasse et elle regarde leur mains liées et les alliances qui ornent leur doigt. Des retardataires arrivent et un abruti de première se met à crier. Un peu à la bourre celui là pour interrompre le mariage, les autres s'en sont charger avant lui. Elle fait non de la tête quand son mari la questionne. Ils se dirigent donc vers les nouveaux convives.

Apparemment Mathis connais l'homme puisqu'il l’entraîne vers lui, elle sourit pour la circonstance puis se détourne de la conversation, observant les gens autour d'eux. Elle n'en connais même pas la moitié et elle sait qu'un bon nombre d'entre eux sont des créatures magiques, heureusement que Mathis est au courant à présent sinon ça aurait été un véritable désastre surtout quand elle voit deux leprechaun se téléporter au fond de la salle. Par réflexe elle tends la main vers une coupe de champagne mais Mathis l'en empêche. Elle grogne et lui lâche la main.

« Je vais donc me chercher un verre, messieurs. Elle salue les convives devant eux et embrasse Mathis. Si tu me cherche je suis celle en blanc. »

Je suis arrivé(e) le : 14/03/2016

Vive Les Mariés

Un pas après l'autre. Comme chaque instant dans le ballet incessant de la vie. Une valse intemporelle qui laisse en tous un souvenir marquant qui deviendra diffus avant de disparaître. Mais certaines danses laissent en ceux qui ouvrent le bal, une si belle émotion que jamais l'oubli ne parvient à effacer complètement le bonheur partagé. Et pour d'autres, moins chanceux qui quémandent aux affres du temps de faire leur oeuvre, ce n'est qu'une paire de stigmates sanguinolentes qui restent profondément ancrés dans leurs âmes dévastées. Tranquillement assis dans une chapelle, les yeux rivés vers une coupole à l'architecture simple mais charmante, il revoit son propre mariage. Un moment d'une féerie inégalable qu'il a si souvent souhaité extirpé de sa mémoire ...

La cérémonie s'achève dans un brouhahas qu'il atténue d'un mouvement de ses longs doigts gantés de velours blanc. Une ovation accueille l'étreinte des époux et il s'y joint de bon coeur sans pour autant se laisser aller à sourire. Il lui semble qu'il y a dans cette grimace des lippes, plus du rictus sur son faciès étrange que de la joie. Son regard asymétrique se pose sur le couple qui rayonne d'un bonheur partagé et la chaleur qui émane d'eux annihile toute celle de son corps long. Un frisson glacé court sur son échine et il se lève, majestueusement, laissant sa cape bercé chacun de ses pas d'une volute de tissu. La réception commence et bien que sa plus profonde envie soit de fuir la cacophonie de ce marasme, un élan de curiosité surprend son habituelle morosité lorsqu'il croise le regard de la mariée. Sa robe blanche dessinant une silhouette fine bruisse doucement de sa dentelle alors qu'elle se dirige vers le buffet. Intuitivement, Heathcliff se glisse dans son sillage, laissant ses doigts d'arachnides remuer pour amplifier l'agréable froufrou du tissu immaculé.

"Madame, permettez-moi de vous féliciter pour cette magnifique cérémonie. Il y a dans ce regard que vous posez sur votre époux, quelque chose de pur et de beau qui fait fortement écho en moi. Vous êtes ravissante, puis-je vous tenir compagnie un moment ?"

Marque de respect ou politesse surannée, il incline brièvement la tête avant de s'emparer de la main pâle pour y déposer un baisemain d'un autre temps. L'empreinte pourpre du rouge qui orne sa bouche démesurée tranche avec la tenue de la mariée, aussi lui offre-t-il un mouchoir de tissu, brodé aux initiales de son patronyme. Et sa voix meurt dans un murmure rauque alors qu'il croise à nouveau son regard.

"Pardonnez-moi ..."

Vive La Mariée

T'es sobre pour une fois. C'est à inscrire quelque part sur un calendrier. Toi qui ne raffoles pas des mariages, pire encore, tu n'as pas l'intention de te laisser passer la bague au doigt par qui que ce soit, du moins, pas avant quelques siècles de liberté ou plutôt de libertinage. Tu n'as jamais compris cette idée de te lier pour le reste de l'éternité avec une autre personne. Non, t'as jamais été amoureuse. Ceci explique cela. Enfin, peut-être. La grande question est, pourquoi est-ce que tu t'es pointé à un mariage d'un couple que tu n'as jamais entendu parler? La vie est un grand mystère et tu n'avais rien de mieux à faire aujourd'hui.

Pendant l'échange des vœux, tu as passé le plus clair de ton temps à réarranger ta cravate. Ce n'est un secret pour personne que tu n'es pas une grande fervente des robes et tout ce que ça implique. Le seul moment marquant, c'est quand l'alcoolo de service est venue s'effondrer sur une pauvre vive dame. En une fraction de seconde, tu as éclaté de rire comme une véritable gamine. Pourtant, tu ne devrais pas rire, car en temps normal, tu es celle qui se fait un peu trop remarquer quand les effets de l'alcool - ou de la drogue- décident de se manifester... Appuyée contre l'un des murs de l'abbaye, les bras croisés sous ta poitrine, tu observes les invités. Génial. Tu ne connais personne. L'idée de quitter les lieux t'effleure l'esprit au même moment où un homme éméché s'approche de toi afin de te réciter un paquet de conneries que tu ne prends pas la peine d'enregistrer dans ton cerveau. Dégage. Ta voix est cassante et ton regard glacial. Tu n'es pas du tout d'humeur à subir les avances beaucoup trop lourde d'un pauvre type.

Quand ton regard croise une grande silhouette loin de t'être inconnu, l'esquisse d'un sourire se dessine sur tes lèvres. Il est autant à ta place que toi à ce mariage. Puis, lorsqu'il se retrouve à la hauteur de la mariée, tu te demandes si tu ne dois pas intervenir, mais tu ne fais rien. Tu restes là les bras croisés. Qui sait, peut-être que ce mariage va devenir marrant. Ça manque cruellement d'action dans le coin et tu commences vraiment à t'ennuyer. Peut-être aurais-tu dû écraser ton poing en pleine gueule du pauvre type. Oh et puis merde! Pourquoi est-ce que tu dois faire un effort pour rester sage? Tu n'es pas là pour te tourner les pouces jusqu'à la fin de la réception! Dès qu'une coupe de champagne te passe sous le nez, tu l'attrapes d'un geste vif avant de la porter à tes lèvres afin de la boire d'un trait. Quel soulagement de sentir le liquide doré couler au fond de ta gorge! Il ne te reste plus qu'à espérer que les effets de l'alcool vont agir sur ton corps.

FICHE ET CODES PAR ILMARË

Je suis arrivé(e) le : 09/12/2015

Vive Le Marié

Elle c'était donc dirigé vers le buffet, là où trônait les boissons non alcoolisé, vous savez les jus de fruits pour les enfants, ou les diet coke pour les femmes qui faisaient soit disant un régime, ou les eau pétillantes pour les mamies. Avalon désespérait elle avait l'impression de devoir choisir entre la peste ou le choléra. Elle élimina les boissons allégées, franchement elle allait ressembler à une baudruche d'ici quelques mois alors pourquoi se priver ? Finalement elle pris un jus de raison, elle pourrait faire croire qu'elle avait du vin rouge. Sans alcool quoi, elle qui était habituée à prendre un shot de vodka le soir de temps en temps se retrouvait à la diète à son propre mariage, super.

Elle apprécia ce moment de tranquillité, l'ambiance était animée, la salle sublime, elle s'en rappellerais toute sa vie. Elle aperçut Mathis qui se débattait avec les conversations autour de lui. Peut être devrait – elle aller le sauver ? Elle se retourne pour poser son verre quand un homme l'interrompt, elle le détaille de la tête au pied et sent son fluide effleurer le sien. Cet homme est étrange, d'un autre age. Mais il parle bien et c'est agréable de l'entendre, il est correct et flatteur dans la limite du raisonnable. Et ses paroles la touche profondément, elle lui fait un sourire.

« Merci beaucoup, je suis touchée de votre attention. Je vous en prie restez donc avec moi quelques instants. »

Il a un geste alors qui surprend vivement Avalon mais la jeune femme se laisse faire. Ce baise main est d'un autre age mais la jeune mariée apprécie cette attention, la galanterie se perd. Son baiser laisse une empreinte sur sa main et il lui tends sans hésiter son mouchoir. Elle le saisit et nettoie la marque, elle ne voudrait pas tâcher sa belle robe.

« Ne vous excusez donc pas, la galanterie est beaucoup trop rare de nos jours. »