Nom : Jónsson Prénom(s) : Ciaràn Maxwell Âge : 25 ans Date de naissance : 19 Janvier 1990 à 6h45 du matin Nationalité : Américain Origine(s) : Islandais d'origine Alter-Ego : Une hyène tachetée Métier (études) : Policier dans la criminelle, en formation pour devenir inspecteur. Niveau social : Normal, né d'une famille pauvre, il ne manque pas d'argent mais n'en a pas non plus à dépenser sans réfléchir. Statut marital : Marié durant six mois, il est néanmoins à présent en attente de divorce. Orientation sexuelle : Bisexuel, néanmoins, sa sexualité penche plus vers les hommes. Avatar: Liam Hemsworth Crédits: Vio and tumblr Personnage: Inventé Petites curiosités Famille et proches - La famille est un sujet réellement tabou chez moi. Né dans un environnement des plus désagréables, je n'ai jamais eu beaucoup d'attention de mes parents. Un père violent qui avait tendance à se défouler sur moi quand je tentais de protéger ma soeur jumelle, Aileene. Une mère médiocre qui, dès le début, n'a jamais eu l'instinct maternelle. Ils n'étaient simplement pas faits pour avoir des enfants. Pourtant, malgré ça, ils en eurent trois. Ma soeur jumelle et moi avons toujours étés extrêmement proches, alors que nous nous soutenions dans les moments les plus difficiles à supporter. Sans cesses fourrés ensemble, l'amour que nous nous portons est semble-il sans limites. Je ne me vois pas exister sans elle. Elle est mon pilier, mon repère, mais également ma plus grande bataille. Elle me voit comme le frère possessif, trop protecteur et elle a sûrement raison. Ensuite il y a également ma grande soeur, Siam, que je n'ai vu qu'une seule fois dans ma vie. Je n'ai absolument aucun contactes actuels avec elle, néanmoins, nous partageons le même sang et à mes yeux c'est assez important. Je ne cherche pas à la retrouver ou encore à la connaître, après tout, elle est partie et je peux la comprendre. Envoyée dans un foyer alors qu'elle était toute jeune, elle n'a pas eu le temps de vivre le cauchemar que nous avons supporter et c'est tant mieux pour elle. Je ne suis pas un homme qui a énormément d'amis, de proches. Étant très mystérieux et solitaire, je travail pour combler mon manque de vie sociable. Néanmoins, ceux qui me sont proches diront que je suis un homme loyal et pourtant mystérieux, explosif également et qu'il ne faut absolument pas contrarier. Maîtrise du totem - Comme toute personne de ma race, au départ je ne contrôlais absolument pas mon totem. Étant une hyène tachetée, ses animaux sont considérés comme des prédateurs très peux sociables sauf avec les leurs. Agressifs, imprévisibles, ils n'est donc pas recommandé de se retrouver en face de cet animal. Au fil des années j'ai néanmoins réussis à remplacer mon état de Fureur par un état de fusion, ce qui veut simplement dire que mon totem et moi formons non plus deux êtres distincts, mais avons simplement acceptés la cohabitation. A présent, même sous ma forme de fusion mon alter-égo me laisse le dominer et je garde mon esprit d'humain. Il n'en fut pas toujours ainsi, d'ailleurs, c'est assez récent et je dois encore m'habituer à cette attitude docile de mon totem. Sensibilité - Comme toutes personnes possédant un totem je suis déjà passé par des moments de fureur. Aillant vécu dans une atmosphère assez électrique et violente, ça m'a donné pas mal de fil à retordre à ce niveau-là. A une époque incontrôlable et très émotif, j'ai souvent perdu le contrôle de mon totem et donc perdu mon esprit humain pour laisser place à l'esprit animal. Néanmoins, une fois loin de mes parents j'ai commencé doucement à reprendre le « contrôle » de ma vie, de ma condition. J'ai don appris à contrôler mes émotions, mais également l'animal en moi pour atteindre enfin la Fusion et vivre en harmonie avec la hyène en moi. Cela m'a pris pas mal d'années, mais une fois ce stade atteint tout me sembla plus clair, moins compliqué, c'est donc une forme que j'apprécie assez. Me retrouver sous la forme de mon totem durant quelques jours me procure une grande liberté, mais également un certain calme. J'accepte totalement ce que je suis, mais également les instincts que me procurent mon alter-égo. Il fait partie de moi, sans lui, je ne serais qu'un homme comme les autres. Points faibles - Mon plus gros point faible c'est ma soeur jumelle, elle a toujours été tout ce que je possédais. Ma bouée de sauvetage quand j'ai l'impression de couler, ma lumière quand j'ai l'impression de sombrer dans le néant. Autant je n'ai aucun mal à vivre sans mes parents, autant vivre sans elle me semble littéralement impossible. Aileen semble être ma moitié, celle pour qui je me battrais même contre vents et marrés. Si on vient à s'attaquer à elle, je pense que d'une façon ou d'une autre cela éveillerait en moi cet animal qui ne demande cas planter ses crocs dans quelque chose. La seconde, même si je me voile la face, c'est la famille. J'ai beau haïr mes parents, souhaiter être le plus loin d'eux possible, ils restent de mon sang. Par instinct ou par imbécillité, je protégerais les miens jusqu'au bout du monde.

  


   qualités
   Sincère
   Loyal
   Malicieux
   Fidèle
   Empathique
   défauts
   Mystérieux
   Froid
   Curieux
   Têtu
   Colérique
  

Plus insoumis que discipliné. Plus sauvage que rêveur. Plus humain qu'animal. La vie nous offres tellement de traits de personnalités, parfois uniques, parfois si semblables à certains. Nous sommes tous différents tout en étant adaptables à certaines situations. Je suis venu au monde dans un monde rempli de magique, de différences, mais également très sombres. J'ai vu le jour dans un univers qui a façonné mon monde de vie, ma vision de voir les choses. J'ai du grandir bien trop vite, protégeant celle qui avait respirer sa première bouffée d'air à mes côtés. Mes parents vous diront que j'étais un gamin insolent et indiscipliné, qui sans cesse refusait d’obéir ou de plier devant les coups que l'on me donnait aussi vite et facilement que des friandises... De part ce passé j'en ai gardé un caractère relativement sombre et instable, froid et colérique. Il est vrai que je m'emporte facilement, refusant de me laisser marcher sur les pieds, comme un prédateur prêt à défendre sa proie contre plus fort que lui. Je ne vais pas dire le contraire, je suis agressif et distant avec ceux que je ne connais pas ou encore qui me semblent incapables d'entrer dans mon monde, dans ma bulle. Je ne suis pas associable, je trie juste mes amis sur le volet. Une fois qu'une personne entre dans ma vie, celle-ci n'en ressort jamais...sauf en cas de trahison, chose que je n'accepte pas, que je ne pardonne pas. D'une grande jalousie autant en amour qu'en amitié, j'ai beaucoup de mal avec le mot « partage ». Cela vient peut-être de mon alter-égo, mais j'accepte difficilement qu'une personne inconnue entre dans mon cercle sans mon consentement. Dominant ? Certes, dans un sens, en tout cas mon côté humain l'est, alors que mon côté surnaturel lui est plus dominé que dominant. La vie étant remplie de secrets et de mystères, j'ai hérité de cette curiosité maladive qui me fait fourrer mon nez là où je ne devrais pas le mettre, me positionnant parfois dans de délicates situations. Néanmoins, une fois que j'ai quelque chose en tête je ne l'ai pas ailleurs. Têtu comme une mule, je me fie souvent à mes instincts qui ne me trompe que rarement.

Je suis également un homme avec ses qualités, celles-ci sont parfois bien cachées sous un masque de sourires arrogants. Loyal envers ceux que j'aime, je ne trahirais jamais les miens et cela fait de moi un allié sincère et parfois même naïf. Fidèle, quand j'offre mon coeur je ne l'offre pas à deux personnes différentes. Malheureusement, je n'offre généralement celui-ci qu'une seule et unique fois. Malgré mes airs assez sombres je peux me montrer drôle et compréhensif, voir même empathique. J'ai d'ailleurs tendance à me positionner dans la situation des autres, essayant ainsi de ressentir ce qu'ils ressentent pour mieux les aider. L'injustice et la souffrance sont deux choses que je ne supporte pas, comme deux éléments qui semblent me mettre hors de moi. Je pourrais vous parler de celui que je suis durant des heures, des jours, des années...Tantôt doux et tendre, je serais l'espace de deux minutes plus tard cruel et arrogant. Changeant, instable, animal, humain. Tellement de choses, de mots peuvent me définir mais cela, je vais vous laisser le plaisir de l'observer de vos propres yeux et vous faire vos propres idées.

Ils n'étaient pas destinés à devenir parents. Tu sais, tu n'es, non, vous n'êtes que des accidents qu'ils ont dû accepter et élever sans vraiment s'intéresser à vous. Je vous observes depuis bien des années, le coeur serré, la gorge nouée. Pauvres enfants. Vous avez vécus dans des endroits différents, une loin des coups et des larmes, deux autres plongés dans un océan de rancunes et d'amertume. J'aurais aimé avoir quelque chose à dire, quelque chose à faire... Je vais donc sortir de l'ombre durant quelques instants histoire de réciter votre existence, ton existence plus précisément celle d'un petit garçon devenu grand. Fermes les yeux, nous allons rêver ensemble et revivre quelques instants précieux et parfois douloureux. Ils vont sourires devant ta peine, mais n'oublies pas, tu es maître de ton destin, tu es mon maître.

Chapitre I ; L'éveil.

Tu fermes doucement les yeux, la joue contre ton coussin, laissant le sommeil s'emparer de ton corps rempli d'émotions. Tu sombres doucement mais sûrement vers tes souvenirs, souvenirs qui pour certains seront chauds et ardents. Le premier est au début très flou alors qu'il remonte à très loin, si loin. Tu ne sais pas où tu es, tu sais juste qu'elle est là elle aussi. Tu sens sa présence, sa peau douce de bébé contre toi. Tes yeux bleus se tournent vers les siens, alors que vous venez à peine d'entrer dans le monde réel. Les États-Unis viennent d’accueillir deux nouveaux nés, deux bébés qui ne sont pourtant pas si humains que ça. Te souviens-tu de cette sensation de bien être intense quand ton regard croisa le sien ? Te souviens-tu de ce silence qui régnait autour de vous ? Non, bien sûr que non, pourtant à cette époque tu étais bien, innocent. Vous n'êtes pas seuls, ils sont là, mais qu'importe tu ne la quitte pas des yeux. Elle semble déjà si fragile, alors que toi, pourtant identique, semblait chercher son simple contacte. Ta mère est couchée sur ce lit d'hôpital, parlant à voix basse avec ce père que plus tard tu détestera. Ils ont déjà une petite fille tu sais...Elle est loin d'eux, loin de vous, c'est sûrement mieux ainsi. Aileen et Ciaràn. Deux prénoms Islandais car telles sont vos origines. Deux parents dépourvus de sentiments affectifs, parentales, fuyant l'Irlande pour trouver refuge ici. Fuyant leur pays pour être amenés à perdre leur première fille, Siam. Vous êtes deux remplaçants. C'est dramatique, mais tellement vrai. Deux jumeaux qui vont devoir se battre contre le monde entier, mais surtout contre eux même. J'aurais aimé que votre univers soit plus brillant, plus étincelant. Tu bouges légèrement dans ton sommeil d'homme, alors que l'image s'efface peut à peut de ce rêve qui ne dura que quelques secondes. Durant un instant tu crus de nouveau ressentir cette sensation de pureté, de bien être enfantin. Simple illusion cruelle d'un souvenir enfuis au plus profond de ta mémoire. Saches-le l'esprit n'oublie rien, il fait juste en sorte de déplacer les souvenirs dans des coins sombres de ton esprit...

La brume floue de ton rêve laissa apparaître une image toute aussi ancienne, pourtant, tu le sais, tu n'es plus un nouveau-né. Tu tiens debout, difficilement mais tes jambes tiennent en équilibre. Tu joues à chat avec elle, alors que sa voix cristalline retenti dans petite caravane que vous habités. Vous êtes agiles mais tu es plus rapide, plus fort également que cette soeur frêle que tu poursuis en riant. Vos jeux sont innocents et vous n'avez que sa. C'est alors que la porte s'ouvre brutalement, laissant l'ombre de vos cauchemars pénétrer dans la pièce, titubant. Il sent mauvais. Ta mère, assise sur une chaise, sursaute mais ne bouges pas. Elle sait..vous aussi qu'il ne faut plus bouger dans ses cas là. Mais déjà son regard rempli de dégoût et d’agacement se pose sur vous, ses enfants, ses jumeaux. Il commence à crier que vous faites trop de bruit, qu'il en a marre de devoir s'occuper de deux petits sauvageons. Il approche dangereusement de ta soeur. Bien sûr, c'est tellement plus facile de vider sa colère et sa frustration sur ses enfants. Aileen, d'instinct, vient se cacher derrière toi et tu ne bouges pas, les larmes aux yeux. Le premier coup est violent et tu tombe en arrière, alors que tes cris, tes supplications ne peuvent rien y faire. Ta mère te regarde, trop faible, trop fatiguée pour s'interposée. Le deuxième coup fait tout aussi mal, mais au fond, tu sais qu'une fois terminé avec toi il ira dormir ou boire de nouveau, oubliant ta soeur... Tu ne vis pas le troisième coup, alors que l'image devenait de plus en plus floue. Ton corps semble crispé, comme meurtri par ses coups invisibles du passé. Tu pleures sans t'en rendre compte tout en restant inconscient. Tu aimerais te réveiller alors que la scène semblait avoir durée une éternité, celle-ci ne dura que quelques minutes, laissant déjà la place à un autre souvenir.

Tu dois avoir seize ans quand ton visage apparu dans le miroir. Te souviens-tu de cette époque ou ton corps ne semblait plus être tient ? Ou ton tempérament avait changé du tout au tout ? Tes yeux sont cernés face à cette fatigue qui ne cesse de t'envahir. Tes côtes sont douloureuses, alors que le soir d'avant ton père, tendrement, avait encore prit ton corps pour un défouloir quotidien. Tu es maigrichon. Sous alimenté, battu, écrasé par ce poids que tu t'es mis sur les épaules. Protéger Aileene coûte que coûte. Tu rêve de t'évader, de partir loin de ses parents qui n'en sont pas. Tu rêves de paysages, d'indépendance, d'un peux de repos et d'une existence normal. Tes journées sont rythmées entre crises de colères permanentes. Tu te sens différent, non, tu es différent. Ton père t'as vaguement parlé de ta vraie nature, entre deux moments de sobriété, te laissant sous entendre que ta vie sera partagée entre toi humain et lui animal... Tes mains se crispent, resserrant leurs prises sur le lavabo alors qu'un cris résonne dans la caravane. Il frappe ta mère, encore, pour une fois il a changé de cible. Il n'est que dix heures du matin, mais déjà, son haleine pue l'alcool alors que tu le repousse, prenant cette gifle qui ne t'était pas destinée. Aileene pleure, se jetant sur celle qu'elle aime malgré tout. C'est alors qu'une vive douleur s'empare de ton corps. Son regard change, il sait ce qu'il se passe et pour cette raison, il t'attrape par les cheveux et te jette cruellement dehors. Vous habités dans un endroit isolé, la campagne, la solitude et personne pour entendre tes cris furieux. Tu ne te souviens de rien...Non, le trou noir. Tu te réveille quelques temps plus tard, allongé dans un champ de maïs, les vêtements ensanglantés. Ce n'est pas ton sang, heureusement, c'est juste celui d'une vache. Enfin, c'est ce que la patte unique, déchiqueté à tes côtés semble t'indiquer. Tu frisonne face à ce rêve. Ce jour-là tu étais paniqué par l'idée de recommencer, de ne plus te souvenir, de perdre le contrôle une fois de plus. Cette époque semble être loin à présent, alors que le corps endormi n'est plus celui d'un adolescent, mais bien d'un homme...Pourtant, tes tremblements, eux, ne sont pas illusoire, tu as peur et cette peur reste ancrée en toi alors que la page se tourne sur une autre.

Chapitre II ; La soumission.

Elle te supplie de rester, alors que ses cris, ses larmes retentissent de nouveau en toi comme de cruels coups de poignards enfoncés dans le coeur. Tu veux partir, tu n'en peux plus de cette vie, de ses parents, de cet isolement qui ne fait qu’aggraver ta condition. Ta soeur essaye de te faire changer d'avis, alors que ses mains tremblantes essayent d'arrêter les tiennent qui s'activent à faire ta valise. Non, cette fois-ci c'est la bonne, oui, cette fois-ci tu compte bien t'en aller. Tu lui a demandé, non, tu l'as supplié de venir avec toi et de fuir cette vie qui n'est que coups, larmes et souffrances. Elle a refusée, elle ne se sent pas capable d'affronter le monde extérieur, elle ne se sent pas capable de laisser votre mère seule. Elle est trop sensible, trop loyal. Non, tu pense qu'elle est simplement stupide. Pourtant, l'abandonner est une chose qui te semble cruelle, une douleur pénible. Les larmes roulent sur tes joues, les lèvres pincées, tu ne dis rien la laissant hurler ton prénom, la laissant espérer qu'une fois de plus tu ferais marche arrière. Ton père est écroulé sur le canapé à regarder un match de catch, ta mère, elle, est partie faire les courses. Il ne te retient pas, pour lui, c'est une bouche en moins à nourrir et moins d'emmerdements. Tu referme furieusement ta valise et son regard croise le sien. Elle a cessée de pleurer, elle a comprit, elle sait que tu as pris ta décision. Un ami va te recueillir dans son studio, comme toi il est différent, tu seras en sécurité avec lui. Ta main se pose sur sa joue pâle, alors que ses yeux bleus plongent dans les tiens. Tu lui demande pardon, tu lui demande une fois de plus de venir avec toi...elle baisse les yeux, elle ne répond pas. Tu te sens seul, là de suite, comme si elle t'abandonnait à sa façon. Tu l'aime, c'est irrémédiable, mais tu ne peux plus rester. En silence tu la contourne et tu sors. Une voiture t'attend non loin de la caravane, alors que déjà, tu entends ses bruits de pas te suivre et son corps se jeter sur le tient. Tes bras l'entour alors que ton coeur saigne de milles et une façon. Je reviendrais te chercher. Oui, c'était une promesse, ton but ultime. Ce jour-là tu connus le pire moment de ton existence. Tu abandonna ta soeur jumelle aux griffes de ce père alcoolique, de cette mère sans amour et à un monde que tu ne pouvais plus regarder en face.

Même endormi tu as l'impression de sentir tout ton être se briser en milles morceaux, alors que tu te retourne dans ton lit, essayant vainement d'échapper à tes souvenirs. Tu ne comprends pas pourquoi tu revis toutes ses expériences, tu aimerais tellement tout oublier. Tu penses que c'est terminé, que tu vas te réveiller et pourtant un nouvel événement de ton passé refait surface dans ta mémoire, un événement qui changera beaucoup de choses sans que tu ne puisse vraiment le réaliser. Tu semble être dans un café cas l'époque tu fréquentais régulièrement. Tu as encore l'impression de goûter cette saveur délicieuse sur ta langue, un peux de moka, un peux de cannelle, tu savoure ta liberté. Ton téléphone vibre, te faisant sursauter aussi bien dans ton souvenir que dans ton rêve. Le nom de Aileene s'affiche sur l'écran de ton portable, alors que déjà, tu te hâte de répondre. La conversation est brève, tu dois retourner chez toi, une personne inconnue vient d'arriver et dit être de la famille. Curieux, d'instinct protecteur envers les tient, tu n'hésite pas. Tu ne te souviens pas vraiment de cette rencontre, alors qu'une fois arrivé sur place, une jeune femme blonde semblait sur le point de partir. Tu as croisé son regard, vous vous ressemblez beaucoup, elle n'est pas vraiment plus vieille que toi, que vous. Elle ne semble pas heureuse de vous voir, tu peux la comprendre. Ton père crie, ta mère ne dit rien et ta soeur fonce dans tes bras comme toujours. Ce jour-là tu rencontras ta grande-sœur, Siam et les seules paroles que tu lui offris fut « Ici il n'y a rien de bon...tu n'aurais jamais du revenir. » Tu n'avais pas dit cela avec méchanceté, tu pensais juste tes mots. Ce jour-là tu repartis mais pas seul, Aileene te suivit, ne supportant plus sa solitude mais également ceux qui se disent parents.  Vous vous êtes jurés de ne plus jamais revenir les voir, de les oublier, de les effacer de vos vies.  Oui, ce jour-là il n'y avait plus que vous deux contre le monde entier. Une nouvelle vie s'offrait à vous, vous jeunes gens instables et pourtant étrangement contrôlables.

La scène suivante fut très brève, mais ce fut sûrement la plus douloureuse de toutes, celle que tu tente vainement d'oublier de tout ton coeur. Ta soeur s'active dans tout les sens, toi, tu tremble de tout ton corps, replié sur toi même. Du sang couvre tes vêtements, ce sang n'est pas le tient. Tu ne te souviens pas d'où il provient, la télévision ce chargea de vous mettre la puce à l'oreille. Deux hommes blancs avaient étés sauvagement assassinés, alors que de leur corps il ne restait pas grand chose. Vous devez partir, fuir cette ville avant que d'autres victimes ne soient ta cible. Tu ne te contrôle pas encore, trop jeune, pas assez d'expérience, ta hyène , tes fureurs sont assez récentes.  Pourtant tu sens une amélioration, tu sais que tu évolue mais ce n'est pas encore assez... Tu vas prendre une douche, Aileene fait vos valises, vous êtes deux fugitifs dangereux.

Au loin le soleil se lève doucement, pourtant tes yeux restent fermement fermés. Bientôt, ton réveil sonnera pour annoncer ton début de journée, te ramenant ainsi à la réalité, t'arrachant à ton passé. Mais pour l'heure, tu continues ton trajet dans l'histoire, passant de nouveau à un événement passé que tu ne pourras jamais oublier. Tu es debout dans un parc, habillé d'un costume élégant, le sourire aux lèvres. Tu sembles tellement heureux, le visage lumineux, radieux. La vie te semble plus belle et pour la première fois de ta vie, tu goûte enfin au bonheur. La cause ? Tu es simplement amoureux et ce jour, c'est celui de ton mariage. Tu te sens nerveux, pourtant, même dans ton sommeil un léger sourire apparaît sur tes lèvres. Tu attends patiemment qu'il arrive, car oui, ce n'est pas une femme que tu épouse en cette journée radieuse mais bien un homme. Il apparaît devant tes yeux, lui aussi en costume. Il est un peut plus jeune que toi, pourtant, vous vous aimés, enfin, c'est ce que tu aime penser. Tu ne sais pour qu'elle raison tu te sens attiré par lui, presque soumis, mais cela ne te dérange pas plus que ça. Il approche, il te sourit, tu fais de même. Le coeur battant tu vas te lier à ce garçon que tu connais depuis un an. Votre relation a été rapide, mais après tout les coups de foudres existent... Cette cérémonie fut merveilleuse, de cette union tu fus le plus heureux au monde. Si seulement tu savais...Si seulement tu savais que cette union n'était qu'illusion, cruauté, soumission. Six mois plus tard tu vas divorcer en apprenant que ton mari est en faite un alchimiste qui tente de te soumettre à lui. Pourtant, à cette époque tu n'en a pas la moindre idée, tu l'aime, c'est tout ce qui compte.

Chapitre III ; Réveil

Tu n'as plus jamais aimé comme tu l'aimais lui. Ce coeur, tu t'es juré de le forgé, de ne plus jamais le laisser battre pour qui que ce soit. Tu es devenu plus froid, plus méfiant, plus instable sentimentalement. Mais étrangement, ce fut à cette époque que toi et ton alter-égo prirent le temps de ne former plus qu'un. La fusion. Tu te souviens de ce bien être dans la peau de ton animal, de cette liberté sauvage, du vent sur ta peau, mais également de ce contrôle étonnant. La bête c'est soumise. Peut-être a-t-elle sentie que tu avais besoin d'elle, que vous ne deviez plus former deux être distincts mais bien une seule et même âme. Tu as enfin pu reprendre une vie normal, une existence plus contrôlée, plus stable. Des études de police dans lesquels tu fut vite vu comme premier de ta promotion. Tes instincts animale t'aidèrent beaucoup. Tu déposa tes valises à Ottawa  en compagnie de ta soeur jumelle, en recherche d'une vie meilleur, d'une vie plus facile, plus calme. Tu te penses divorcé, malheureusement, lui n'a jamais signé les papiers...Et si au final Ottawa était ce lieu où toutes tes pires frayeurs allaient se rassembler ? Et si Ottawa allait éveiller de douloureux souvenirs comme je viens de le faire ? Ciaràn, entends-tu cette sonnerie au loin ? Il est temps de te réveiller.

Je me nomme Ciaràn Jònsson, 25 ans, Berserkers, semble-t-il divorcé et sur le point de commencer une aventure bouleversante.  

Toi, j'ai vraiment hâte de faire débarquer ta sœur XD
Bravo pour cette fiche ! Je t'ajoute ta couleur !

Mais avant de te ruer comme un(e) malpropre dans le flood (ouais ouais on vous connait !) ou la CB, il te reste encore quelques petits devoirs à accomplir. Et pour te guider, parce qu'on est trop sympa (a), il n'y a qu'a suivre le guide ! Pour commencer, il ne faudra pas oublier de réserver ton avatar. Et oui, ça ne va pas se faire tout seul ! Autres réservations importantes, ton métier, et ton logement dont il faudra demander la création. Après... c'est la fête ! Tu pourras partir en quête de liens et de Rps après avoir créé tes propres topics. Jusque là, c'est déjà pas mal, non ? Le reste, ce sera de la tarte. Tu pourras t'en aller poster d'éventuels scénarii (deux maximums dont il te faudra attendre la validation), et aller faire le flan partout sur le forum !

Mais à noter que tu peux également créer le portable de ton personnage, ainsi que son twitter et facebook, mais c'est bien sûr facultatif et selon ton bon vouloir ! Il y a aussi la demande de rang personnalisé, si jamais tu te sens inspiré. Sans oublier les top-sites, car nous comptons sur tes votes pour faire connaitre ASN !

Et puisque tu es nouveau, voici l'un des sujets qui pourra t'être des plus utiles pour t’intégrer, les bonnes fées ! N'hésite surtout pas à t'y inscrire ! En attendant si tu as des questions les fondateurs sont évidemment à ton écoute.

Sur ce, nous te souhaitons un bon jeu parmi nous !