C'est parfait. Donc c'est comme tu veux, si tu préfères que je commence ou que ce soit. 8)

(wesh toi. )

(Yo gamin )

Alors je te laisse l'insigne honneur de commencer mon biquet !

Une tête blonde morte.
Bon t'es pas très gentil, t'es une ombre, mais il n'empêche qu'il me faut des voisins dans les limbes. Ok, plus sérieusement, je viens les mains un peu vides mais je vais de ce pas faire un tour plus approfondi sur ta fiche.

Habituellement, je ne suis pas du genre à juger sur l'avatar mais.
BORDEL. T'ES BEAU.

...
Bon, plus sérieusement, un lien avec toi serait un plaisir ! Soyons donc voisins. Je lirai sans doute ta fiche demain, mais si tu veux me faire un topo rapide, je ne suis pas contre. (a)

HAHA. Je te renvoie le compliment, OH. MY. EVAN.
Aucun problème ! Pour faire simple, Alan est né hors-Canada, je t'avoue que de but en blanc, je me souviens plus de quel bled je l'ai fait débarquer... Cela étant dit, il a eu une enfance plutôt mitigée. Son père était un américain puriste comme on aime, qui avait la main un peu trop portée sur la bibine et qui en profitait pour en mettre plein la gueule à maman, qui était trop moderne à son goût. De son côté, Alan a eu la chance d'être proche de ses grands-parents et son grand-père lui a donné la frénésie du violon quand il était môme. Un jour le père est allé trop loin, maman en a décidé autrement, en lui collant un bon coup de poêle en pleine face - ou quelconque autre objet. Elle s'en est allée avec Alan au Canada, a refait sa vie, trouvé un nouvel homme et de cette union est née Hécate.   Alan quant à lui, passionné de musique et dévoré par celle-ci a continué à approfondir ses connaissance en la matière. Il est entré à l'Opéra Lyra dès son ouverture et est mort une année après, étouffé par un membre de l'équipe technique, qui durant peu de temps a été son amant - humiliation, passion louche, finalement les raisons peuvent être diverses et variées. Adieu la vie à 25 ans, actuellement il devrait en avoir 55 mais la faucheuse en a décidé autrement. Je crois que c'est à peu près tout, vraiment dans les grandes lignes - et encore j'en ai mangé beaucoup.

En fait ils ont un peu des points communs, la famille où le père frappe la mère, une vie sentimentale un peu compliquée mais mon Sloan est mieux , la passion pour la musique, tout ça. Et ils n'ont pas du tout accepté la mort de la même façon, c'est ça que je trouve fascinant. Du coup, on peut partir sur du positif ou du négatif, c'est comme tu préfères ?

Je suis totalement d'accord, ça pourrait faire un bon point d'accroche.
Surtout que en soi, si tu veux Alan depuis sa mort est complètement à côté de ses pompes, dans le sens où il est un peu entre deux réalités, à avoir accepté sa mort et d'une manière, pas tellement que ça. Pas haineux contre le type qui l'a assassiné pour autant, mais plus envers les circonstances et des faits invisibles. Du coup il fait vraiment à côté de ses pompes et découvre encore la modernité actuelle, on dirait qu'il se balade constamment entre passé et présent. Pardon, je facilite pas les choses, faut croire que j'aime ceux qui ont la tête dans la lune. DONC OUI, positif, négatif, j'en sais trop rien, moi j'imagine qu'un truc en demi-teinte pourrait être amusant surtout vu les atomes crochus et ce qui les sépare indéniablement ? Comme dit, je lirais plus en détails ta fiche dès demain hehe. On peut déjà voir ce qui aurait pu lancer la rencontre cela dit, mais je t'avoue que j'imagine assez un sorte de lien type némésis entre la genre de compassion/fascination et la haine à cause de ce rapport totalement différent au monde, de cette acceptation qu'ils ont abordé dans des voies différentes. Ce n'est qu'une base totalement modifiable, et si ça ne te plaît pas faut pas hésiter à me le dire.

Oh oui, quelque chose en demi-teinte, c'est ce qui me paraît le mieux. En tout cas, une base de compassion mutuelle me paraît assez logique : ils ont eu des expériences similaires, ils en parlent, ils se comprennent. Un départ plutôt encourageant, ils s'entendent bien, ils se soutiennent. Ils se disent peut-être que quitte à être morts, mieux vaut ne pas être seuls. Et puis ils abordent effectivement leurs différences de pdv : Owen, ombre qui désire se venger et cherche à l'en convaincre, Alan, banshee qui hésite et se perd. Et là, c'est la rupture.
Par la suite, ils oscillent entre ces deux attitudes. Ils pourraient essayer de ne pas aborder ce sujet, mais parfois, cela sort, et dès lors, ils se déchireraient. Peut-être violemment. Ou peut-être en se recroquevillant sur eux-mêmes. Ça dépend. Mais je vois totalement ce genre de dynamisme. 8)