Qui sème le vent, récolte la trempette. [SafAsh #1]

Je suis arrivé(e) le : 01/08/2016

Saf & Asher

C'est au pied du mur

Qu'on voit mieux le mur.

Saf avait été élevée dans une famille composée uniquement de berserker, elle avait été élevée pour savoir contrôler son totem et surtout pour le cacher aux yeux des humains. Étant donné que son caracal était très joueur et aimait lui faire des feintes elle était devenu maîtresse dans les tours de passe – passe et les mensonges pour dissimuler sa vraie nature. Plus d'une fois Asher aurait pu griller ce qu'elle était mais à chaque fois elle s'en était sortie par une pirouette, elle maîtrisait ces tours et ses excuses à la perfection. Elle savait que les humains en général n'étaient pas prêt à entendre parler du monde surnaturel alors sa mère et ses frères l'avaient toujours incité à ne jamais rien révéler à personne. Mais là Asher semblait comprendre ce qu'elle était, vu ce qu'il disait il n'y avait pas de doute possible, pourtant elle était persuadée que ce n'était qu'un simple humain ignorant le monde fantastique qui l'entourait.

Le sursaut d'Asher quand elle le toucha la fit presque rire, mais l'impact du contact de sa peau contre la sienne lui coupa un peu la chique. L'odeur métallique du sang emplit ses narines et ses papilles, elle se tenait près d'un tout nouveau stryge et elle n'avait pas peur alors qu'il se rapprochait franchement. Elle aurait surement du mais elle était fascinée par le fait que son – ami ? - que Asher en soit devenu un, elle était avide d'en savoir plus. Elle était comme une gamine, et cerise sur le pompon Asher semblait mal à l'aise de devoir en dire plus et ça c'était quand même sacrément drôle, elle aimait le taquiner. Il râlait, comme d'habitude, peut être que Saf aurait du se rétracter maintenant qu'il était clairement capable de la bouffer mais ça ne l'inquiétait pas, Saf avait toujours été trop insouciante, confiante vis à vis de la capacité des autres à se maîtriser. Ce qui l'avait souvent conduite à se mettre en danger. Mais Asher ne lui faisait pas peur, après tout même en stryge il restait Asher, le geek asocial qu'elle avait connu, non ? Elle englouti les informations qu'il lui donnait, les classant dans un coin de sa tête. Des ailes ?! Des poches de sang ? Bon déjà ça la rassurait qu'il ne boive pas à la source, sur des gens, elle trouvait ça plus correct et sinon elle aurait été obligée de lui botter le cul pour qu'il arrête.

« Je pourrais te fournir en poche de sang plus souvent si tu veux tu sais que j'ai accès à la banque du sang, t'a une préférence de groupe sanguins ? Enfin est ce que les groupes change le goût ? Genre le O à goût de poulet, le A c'est plus du bœuf ? Et je veux, non j'exige même de voir tes ailes ! »

Saf avait toujours tendance à s'emporter et à raconter beaucoup de conneries, c'est surtout qu'elle pensait à voix haute sans faire attention à ce qu'on puisse la prendre pour une grande dégénérée. Puis à vrai dire Asher n'avait pas intérêt à se moquer d'elle sinon elle laissait le caracal sortir et il se ferait un plaisir de lui mordre le bras. La berserker posa alors une question pas du tout adaptée qui fit criser Asher, il se retourna vers elle comme si elle avait blasphémer, quoi il y avait des sujets tabous chez les stryges ou quoi ? Il croisa les bras sur son torse et ses yeux dérivèrent sans vraiment qu'elle se maîtrise, c'est vrai que sa transformation avait commencer à modifier son corps, le rendant d'autant plus attrayant. La caracal frétilla et remua les oreilles. Elle aurait du prendre vraiment peur quand il lui avoua qu'il avait envie de la mordre mais pourtant elle resta sur place.

« Ah mais te gène pas finit ton repas, puis c'est bon je t'ai pas non plus insulter, je savais pas que c'était interdit de demander ça a un stryge j'y connais rien moi. »

Elle haussa les épaules, elle allait devoir apprendre à gérer avec mais c'était excitant ce genre de nouveauté. Soudain Asher disparut de son champ de vision, ses sens affûtés la prévinrent au dernier moment qu'il bougeait vers elle mais Saf ne vit rien arriver. Elle se retrouva plaquée au mur avec le corps d'Asher contre le sien, sa bouche dans son cou. Le souffle du stryge dans sa nuque lui arracha un gémissement - de plaisir pur – alors qu'elle se cambrait contre lui. La situation était terriblement dangereuse pour Saf et pourtant la seule chose à laquelle elle était capable de penser c'était la bouche d'Asher contre sa gorge, ses mains sur son corps et bien plus encore. Il parla dans sa nuque, lui arrachant un feulement typiquement félins. Elle ne réussit pas à répondre alors que tout son corps quémandait plus mais Asher s'éloigna bien vite et lui tourna carrément le dos.

Saf en resta comme deux ronds de flan, il était sérieux là ? Bien sur que si elle lui faisait confiance tout ça ce n'était qu'une question de contrôle, il n'avait qu'a apprendre à l'exercer. Et c'était pas une façon de se coller ainsi a une femme, de lui dire toute ces choses et de l'abandonner comme ça. Elle ne savait pas sur quel pied danser, elle voulait, vraiment beaucoup, Asher. Comme elle n'avait jamais voulu quelqu'un depuis la mort de ses frères, mais la peur bien ancrée dans son cœur la rivait au sol. Finalement ce fut son totem qui la fit bouger, elle feula méchamment et se rapprocha d'Asher. Elle lui attrapa l'épaule, le força à se retourner et lui mis une claque avec une force incroyable. C'est bon il allait s'en remettre c'était un stryge.

« C'est qu'une histoire de contrôle, si tu apprends à maîtriser ta soif tu ne sera un danger pour moi. Ne me refait plus jamais peur comme ça ou je t'assure que c'est moi qui t'arrachera la carotide à coup de dents et je laisserais mon totem se repaître de ta carcasse encore chaude. Et c'est pas des manières d'allumer une fille comme ça pour après lui tourner le dos, assume un peu merde ! »

Mais pourquoi elle laissait toujours le caracal agir à sa place ?

Je suis arrivé(e) le : 29/04/2016

Saf & Asher

C'est quand on est face contre terre

qu'on se dit que c'est vraiment dégueulasse la terre.

J'écarquillais mes yeux quand Saf me parla de me ramener des poches de sang pour me permettre de me nourrir de manière plus régulière. Je ne m'attendais pas vraiment à ce qu'elle réagisse de la sorte. Connaissant ça personnalité, il aurait été probablement qu'elle m'engueule, qu'elle m frappe. Mais je n'étais pas préparé à ce qu'elle me propose de m'alimenter de manière parfaitement illégale. Mes yeux étaient toujours aussi grands ouverts. He ben.... c'est surtout les races surnaturelles qui ont des gouts différents. Mais le sang n'a pas le goût de poulet ou du bœuf... Je pris quelques secondes comme pour réfléchir avant de rajouter de manière assez obvious. Ça a juste le goût de sang, rien de comparable. Oui clairement, je n'avais jamais été franchement viande rouge par le passé, ni truc saignant. Avant j'avais même plus eu un appétit assez faible. Je n'avais jamais été un gros mangeur. Et depuis mon changement d'espèce.... autant dire que la donne était totalement différente. Puis merde, le sang c'était bon, tellement. Le sang tiède qui s'écoulait de long de la gorge, avec son petit goût unique à chaque personne. Et merde, voilà que je me redonnait faim. Puis la berserker ne m'aidait pas avec ses questions à la con. J'avais envie de la mordre, dans tous les sens du terme. Aussi bien alimentairement que sexuellement. Je me voyais bien les lèvres dans sa nuque, planter mes canines dans sa carotide et doucement gouter la saveur de son carmin. Le simple fait d'imaginer la saveur qu'il avait était presque existant. C'était probablement pour ça que je pris une mine choquée. Pas que c'était un tabou stryge. C'était surtout que la question était tabou pour moi. Jeune stryge qui essayait de maitriser sa faim... mais qui se faisait plus dominer par elle qu'autre chose. C'est juste que je ne gère pas trop ça encore... pas encore habitué au fait de bouffer de l'humain, avais-je marmonné. C'était quand même dur à gérer comme idée. J'oubliais parfois que j'avais changé et ça me donnait un impression chelou de faire du cannibalisme.

Je serrai les dents. Saf avait un comportement vraiment trop dangereux. Elle ne se rendait vraiment pas compte des effets qu'elle avait sur moi. Je pouvais péter un câble, et la bouffer. Je restais plus fort qu'elle, plus rapide. Alors oui, je pouvais la vider de son sang avec une telle facilité. Alors pourquoi continuait-elle à se coller à moi de la sorte ? Je finis par inverser les rapports de force. J'avais retourné la situation rapidement et mon corps était maintenant tout contre celui de la rouquine, qui était lui-même accablé contre un mur. Mes lèvres étaient à quelques milliètres de la peau de son cou. Il me fallut un effort énorme pour lutter contre mon envie d'ouvrir plus plus lèvres pour que mes crocs frôlent sa chair tendre. C'était dangereux, très dangereux. Je flirtais avec mes propres limites et je devais cesser ça au plus vite. Pourtant, la demoiselle était bien loin de trouver la situation désagréable, je l'avais très bien entendu. Raison de plus pour m'éloigner. Je ne voulais pas la blesser. Je ne voulais pas la tuer. Je tenais à elle. Je ne voulais pas être un monstre devant elle, avec elle. Je m'éloignais de Saf, imposant une distance de sécurité entre elle et moi. Je la laissais salement en plan, pourtant j'étais largement open pour en demander plus, tellement plus. La réaction de la rouquine ne tarda pas à se faire. Elle arriva, me retourna en me choppant par mes épaules et me décocha une claque d'une force impressionnante. Un peu plus et elle me fracturait la mâchoire bordel. Je restais la bouche ouverte comme un con. Putain. Aie. Quelle force. Enfin j'avouais que je l'avais mérité. Vraiment. Je me passais une main sur la joue. Je sentais encore nettement la brulure du à l'impact de la paume sur ma joue. Enfin ça soignerait, après tout, j'étais résistant. En théorie, oui. Si j'apprends à me maitriser, je ne serai plus un danger pour toi.... mais en pratique... Je finis lâcher ma main pour la poser au sommet de la tête de la rouquine. ... c'est un peu plus compliqué. C'était surtout dur de garder le contrôle avec une belle gosse à coté. Elle commença alors à déblatérer. Ne pas lui faire peur... bla bla bla... carotide..... arracher à coups de dents.... je ne pus m'empêcher de grimacer. Puis cette phrase arriva. Assumer un peu. Je finis par poser mes mains sur les épaules de Saf. Je ris légèrement avant de dire tout bas. Désolé. Mais désolé pour quoi au juste ? Désolé de lui avoir fait peur ? Désolé pour ce qui se passerait. Puis merde, c'était elle qui m'avait demandé d'assumer pas moi. Je finis par me pencher, mais cette fois, me lèvres ne se dirigèrent pas dans le cou... ooooh non. Elles vinrent directement se poser sur celles de la rousse. Mes mains descendirent vers ses hanches pour attirer le corps de la berserker contre le mien. Après quelques secondes qui me semblèrent durer une éternité, j'éloignais mes lèvres des siennes, mais pas trop non plus. Envie de tourner le dos ou t'assume ? Je souris légèrement avant de rajouter. Et... désolé pour t'avoir dis que tu sentais l'animal... tu sens très bon. Trop bon justement.

Je suis arrivé(e) le : 01/08/2016

Saf & Asher

C'est au pied du mur

Qu'on voit mieux le mur.

Bon apparemment Saf avait encore posée des question inadaptées vu les grands yeux que Asher avait mais ce n'était pas sa faute. La jeune femme était toujours avide de nouvelles connaissances surtout sur les races surnaturelles et c'était la première fois qu'elle rencontrait un stryge à peu près enclin à lui répondre. Mais c'est vrai qu'elle aurait pu commencer par autre chose que le goût du sang. Elle haussa un sourcil quand il lui répondit bêtement que le sang avait juste bah .. goût de sang. N'empêche qu'il émettait la nuance que les races avaient différents gouts, une question totalement con lui vint en tête et comme elle avait très envie d'avoir la réponse elle ne se freina pas. Même si c'était clairement la question la moins adaptée du monde au vue de la situation.

« Et quel sang est le meilleur ? Je veux dire le sang de berserker est sympa ou plutôt dégueu ? »

Oui elle avait envie de savoir si son sang de berserker était un attrait pour les stryges ou si plutôt elle avait des chances de les dégoutter et de moins se faire attaquer qu'une autre race, c'était quand même bien de savoir si on était une poche ambulante de délicieux nectar ou non. Asher lui avoua qu'il n'était pas encore très à l'aise avec le fait de se nourrir d'être humain, c'est vrai que Saf avait du mal à s'imaginer à sa place. Elle percuta à peine qu'il n'était qu'un jeune stryge encore plein d'appétit, ça devait être difficile pour lui mais elle se répétait sans cesse qu'il devait pouvoir se contrôler. C'était comme la fin et être devant un bon poulet non ? On bave dessus mais c'est pas pour ça qu'on l'agresse et le dévore jusqu'à la carcasse, si ?

« Tu peux continuer de boire du sang devant moi tu sais, je te signale que je travaille au bloc opératoire quand je ne suis pas occupée à te botter le cul alors l'odeur ou la vision du sang ne me dérange pas du tout. »

C'est alors que la situation bascula sans vraiment que Saf s'en rende compte ou puisse même y faire quelque chose. Elle savait les stryges rapides mais pas à ce point, elle se retint de justesse avant de cogner son visage contre le mur alors qu'elle sentait le corps d'Asher presser contre le sien. Elle eut l'impression d'avoir chaud d'un seul coup et sa tête se mis à tourner alors que son souffle frôlait son cou. Elle ne se rendait même pas compte qu'elle était en danger, là tout ce qu'elle voulait, tout ce que son corps désirait c'était la bouche d'Asher partout sur elle.

Et en moins de temps qu'il en faut pour le dire il la laissa en plan, laissant une grande distance entre eux. Saf resta pantelante de désir, de furie aussi tant elle était choquée qu'il ose lui faire ça. Oh ça n'allait surement pas se passer comme ça, en tout cas elle n'allait pas le laisser s'en sortir comme ça, foi de caracal ! Elle ne resta pas longtemps sans rien faire et lui colla une gifle sévère, avec plus de force que nécessaire mais pour qu'un stryge comprenne il fallait bien y mettre de la force si elle voulais que ça rentre. Asher resta choqué et sa joue pris une jolie teinte rouge qui rendit Saf fière, et voilà fallait pas jouer au con ! Un coup pareil aurait surement démis la mâchoire de n'importe qui mais Asher pu quand même parler, il posa même sa main sur le haut de sa tête, comme on ferait à une gamine mécontente. Saf lâcha un grondement méchant, montrant ses canines effilées.

« Eh bien il faut pratiquer ton contrôle de toi, il n'y a rien de compliqué, c'est comme apprendre à maîtriser la colère ou tout autre sentiments. »

Dans sa tête c'était clair, c'est sur que dans celle d'Asher ça devait moins l'être mais Saf n'était pas encline à la compassion, surtout vu la façon dont il venait de la laisser en plan. Il rit en passant ses mains sur ses épaules, elle frissonna, partagée entre l'envie de fuir ce contact et celle de l'approfondir, elle était comme sur un fil à cet instant, cherchant à basculer d'un côté comme de l'autre. Il s'excusa bassement et elle haussa un sourcil.

« J'espère bien que t'es désolé, vu le coup que tu viens de me faire tu devrais même te mettre à genoux et me supplier à .. »

Mais elle ne termina pas sa phrase, elle vit Asher se pencher et ses lèvres se pressèrent contre les siennes. Saf resta sans réaction, choquée, perturbée et totalement enflammée d'un tel contact. Puis il la rapprocha de lui, ses mains sur ses hanches, chaque nerfs de son corps lui faisant ressentir le moindre contact, jusqu'à ce que leur corps soient collés l'un contre l'autre et elle répondit vivement à son baiser. Baiser qu'il cassa sans vraiment s'éloigner, elle se mordit la lèvre alors qu'il lui demandait à son tour d'assumer.

Saf ne savait même pas comment réagir, c'est elle qui l'avait poussé dans ses retranchements sans vraiment s'en rendre compte. Ses vieilles habitudes lui disaient de s'enfuir en courant, de ne pas laisser un homme même Asher l'approcher, mais elle avait envie d'avancer, elle avait horriblement envie de lui, de se lover pour longtemps dans ses bras. Toujours ce même fil sur lequel elle tanguait, il sourit et commenta son odeur, et elle sut de quel côté elle allait basculer. Ses mains se posèrent dans son cou et elle se haussa un peu sur la pointe des pieds.

« Tu t'excuse ? Mais c'est qu'il va neiger. C'est évident que je sent bon abruti. »

Et elle plaqua ses lèvres contre les siennes.

Je suis arrivé(e) le : 29/04/2016

Saf & Asher

C'est quand on est face contre terre

qu'on se dit que c'est vraiment dégueulasse la terre.

On dit que celui des faës est le meilleur. Mais je n'ai pas goutté autre chose que du sang humain. J'avais haussé les épaules en disant cela. C'était vrai que je n'avais pas vraiment goûté le sang des autres races. Il fallait dire qu'en poche ce n'était pas vraiment écrit quelle race on était en train de boire et du sang de faë, ça ne se trouvait pas en grande surface, étrangement ! Donc pour le coup elle posait une colle. Je n'étais pas vraiment au courant, j'avais besoin de me faire de l'expérience, encore une fois ma jeunesse me faisait défaut. Je supposais bien qu'Astrid était au courant de tout cela. Je me notais une recoin de ma tête de lui demander un de ces quatre. Juste par curiosité. Je secouai la tête quand Saf me dit que je pouvais boire devant elle. Bon certes, c'était vrai elle avait vécu et vu pire, ça je n'en doutais pas. Mais ça restait quand même gênant. Je ne m'étais jamais alimenté devant quelqu'un.... enfin si Astrid. Mais ça ne comptait pas vraiment c'était ma créatrice après tout. Certes j'aurais pu aller chercher ma tasse de café, la remplir avec ce qu'il me restait de sang dans la poche et faire comme si de rien n'était mais pourtant j'avais poussé Saf contre le mur. Je voulais lui donner cette... leçon ? Je ne savais pas trop comment je devais l'appeler. Elle était tellement inconsciente. J'étais dangereux. Si je ne me nourrissais que des sang en poche pour le moment, j'avais bien sur dérapé. J'avais gouté le sang à même la carotide. La sensation était inimitable. Il n'y avait pas de mot pour décrire la douceur du carmin tiède directement dans ma bouche. Pourtant, c'était quelque chose que je me refusais clairement. J'avais peur de tuer. De m'emporter de ne pas savoir m'arrêter. Ma faim était chaotique, ce n'était pas nouveau et malheureusement il n'y avait que le temps qui m'aiderait à me maitriser.

J'avais fini par m'éloigner de la rouquine. La laissant lâchement en plan. Bien sur, elle se charga de me coller un claque royale pour me punir de ma connerie. Et autant vous dire que je l'avais sentie sa claque. Un humain classique aurait probablement eu une fracture. Mais voilà, je n'étais plus un humaine normal. Je me contentais de passer ma main sur ma joue qui avait rougie sous l'effet du choc. Je posais ma main sous la tête de Saf. Elle était chou à me parler de contrôle. Dans sa bouche, ça avait l'air presque simple. Si seulement c'était aussi simple. Enfin dans le fond, elle avait raison je devais juste m'entrainer.... mais m'entrainer sur quoi des humains ? Je n'en savais trop rien en fait. Je me contentais de hocher la tête, dans le fond elle avait raison, mais je n'avais pas vraiment envie de lui dire à haute voix.

Je finis par dire que j'étais désolé, à voix basse. Saf commença à répondre et à déblatérer, mais je la coupais dans son élan en posant mes lèvres sur les siennes. Ça, c'était fait. Mes mains vinrent rapidement naviguer jusqu'à ses hanches pour les rapprocher des miennes. Le corps de la rouquin était alors tout lové contre le mien et c'était foutrement agréable comme sensation. Je la sentis répondre. Au moins, elle ne m'avait pas cogné c'était déjà ça hein. Je finis par cesser le contact, car si je n'avais pas besoin d'air, Saf elle était encore une créature vivante. Je finis par lui demander si à son tour elle était capable d'assumer ce qu'elle venait de provoquer. Après tout, c'était elle qui m'avait demandé d'assumer mes désirs, pas moi. Et j'avais tout bêtement obéi. Simplement. Je finis par rajouter une mention sur mon commentaire sur son odeur, juste histoire de me reprendre. Sa réponse m'arracha un sourire amusé. Ouais, je m'excusais ça m'arrivait... il fallait croire que Saf avait tendance à me faire fonctionner à l'envers. Je n'eus pas le temps de répliquer qu'à son tour elle posa ses lèvres contre les miennes. Il y avait un peu moins de gêne dans ce baiser-là, les premiers instants de surprises étaient passés. Je n'hésitais pas à répondre clairement à son attention, gardant mes mains les hanches de la rouquine pour la garder son contre moi. Dire que je voulais répondre à sa provocation, l'idée me passait clairement au dessus maintenant. Mais genre j'avais totalement oublier ce que je voulais dire en plus. Après quelques secondes je finis par m'éloigner à nouveau. Si tu continues, je risque de te croquer tu sais ? Mais je ne parle pas du plan alimentaire hein. Je la regardais sérieusement. C'téiat un peu crétin comme phrase et ça allait beaucoup trop vite. Mais le corps de la rouquine et ses provocations m'avaient mis le feu aux poudres. Et clairement depuis que j'avais changé de race, mes désirs charnels étaient clairement plus présents et intenses.... et j'en faisais la parfaite démonstration. Au moins je ne pensais plus du tout à m'alimenter et encore moins aux risques de m'en prendre mon ancienne infirmière. Je finis par soulever la demoiselle avec une aisance affolante, au moins on était à la même hauteur, merci la force strygienne. Elle m'avait enflammé et maintenant j'étais juste incapable de faire marche arrière. Je pouvais toujours fuir de chez moi, mais je n'en avais pas envie. Surtout pas maintenant, maintenant que Saf était là à m'embrasser, même dans mes fantasmes les plus dingues ça n'était pas arrivé, pour dire !

Je suis arrivé(e) le : 01/08/2016

Saf & Asher

C'est au pied du mur

Qu'on voit mieux le mur.

Saf n'aimait pas du tout être laissée pour compte et ainsi dominée par quelqu'un, Asher l'avait prise par surprise, la faisant monter en haut de la vague avant de la rejeter sur la plage avec une violence qu'il ne pouvait même pas imaginer. Depuis toujours elle n'avait jamais été encline au contact humain surtout avec les hommes, elle avait toujours eu du mal à donner sa confiance et depuis la mort de ses frères c'était pire, elle n'arrivait pas à se laisser approcher par quiconque. Mais avec Asher ça avait été différent, il n'avait jamais chercher à se rapprocher d'elle, il avait seulement été lui même et c'est Saf elle même qui avait chercher à en savoir plus et à être plus proche. Et voilà que là ils étaient chaudement proche une seconde puis dans la seconde suivante douloureusement loin. C'est pour ça en fait qu'elle avait réagit aussi durement en lui collant une claque monumentale, elle aurait bien aimé lui faire un peu plus mal et entendre craquer l'os sous sa main mais tant pis, il était un stryge maintenant et elle devais faire avec.

Elle en connaissait une sacrée ligne sur le contrôle de soi, sur le fait de garder une armure, de ne pas céder aux pulsions, quand on vit avec un totem comme un caracal fougueux en soi il vaux mieux avoir un contrôle du feu de dieu. Ça n'avait pas été sans mal, sans douleur et sans blessures. Mais si Asher avait besoin d'apprendre la maîtrise de soi Saf était prête à lui donner un coup de main mais pour ça il devait lui faire confiance et pas la traiter comme une gamine comme il le faisait actuellement en lui tenant le visage. Il était désolé, ah c'était pas trop tôt quand même ! Et il fallait marquer ce jour d'une pierre blanche c'était tellement rare qu'il s'excuse ! Mais à vrai dire pourquoi il était désolé? Parce que bon elle déblatérait mais elle ne savait pas le fond du .. Son cerveau se coupa instantanément quand il posa ses lèvres sur les siennes. Saf répondit à la pression de ses lèvres alors que leur corps se collaient comme s'ils étaient fait pour être l'un contre l'autre, mais peut être que c'était le feu dans son corps qui lui faisait penser ça.

Quand Asher se recula elle repris son souffle, ne s'étant pas rendu compte qu'elle avait retenu sa respiration tout le temps de leur baiser. Il lui demandait d'assumer à son tour et il s'excusa, encore une fois. C'était du grand n'importe quoi, il lui faisait faire n'importe quoi, il la faisait sortir de ses retranchements et de ses habitudes, elle qui c'était fixé certaines limites infranchissables voilà qu'il les explosait comme si elle n'était que du papier de riz. C'était frustrant de voir la facilité qu'il avait à la faire sortir de sa zone de confort autant que s'en était grisant. Cette fois ce fut elle qui l'embrassa, elle n'avait pas envie de trop réfléchir et de laisser ses peurs reprendre le dessus, cette fois elle voulais profiter de l'instant présent sans se laisser tirer vers le bas par ses anciennes fêlures. Elle alla chercher sa langue alors qu'il semblait la coller encore plus contre lui si c'était possible. Ça lui tournait la tête tellement c'était bon d'avoir un tel contact, surtout avec lui. Quand il s'éloigna Saf sentit qu'elle avait les joues rouges. Elle eut un coup dans le ventre alors qu'il lui avouait qu'il allait la dévorer, précisant bien que ce n'était en rien ses besoins de stryge qui jouaient là dedans.

« Et tu pense vraiment que j'ai peur de tes petites dents de morveux stryge ? J'ai des crocs depuis bien plus longtemps que toi c'est moi qui vais te croquer la première. »

Encore et toujours dans la provocation, c'était son seul moyen de communication, puis elle savait que Asher comprenait mieux que quiconque ce fonctionnement. Il la souleva comme si elle ne pesait rien et Saf enroula ses jambes autour des hanches du stryge, pur réflexe pour ne pas tomber. Elle laissa ses bras couler le long de ses épaules, ses mains se noyant dans ses cheveux, ils se fixaient. La situation et leur position actuelle ne portait plus du tout à confusion, maintenant il fallait décider s'ils en restaient là ou si ils devaient pousser le vice jusqu'à se gorger l'un de l'autre. Elle eut un rictus amusé alors qu'elle laissait couler un doigt sur la mâchoire d'Asher.

« C'est quand même un sacré fantasme que tu pourrais réaliser là, tu sais l'infirmière sexy, tout ça, tout ça ... »

Je suis arrivé(e) le : 29/04/2016

Saf & Asher

C'est quand on est face contre terre

qu'on se dit que c'est vraiment dégueulasse la terre.

Si je m'étais attendu à embrasser Saf ? Non pas du tout. Ce n'était pas vraiment le genre de chose prévues au programme d'avance hein. Déjà que le fait de revoir la jeune demoiselle était assez prodigieux en soi. Je m'étais juré de rompre le contact avec tous les personnes de mon entourage, jusqu'au jour ou j'arriverai à me maitriser. Mais pour le moment c'était bien loin d'être le cas autant le dire. Alors que Saf soit là, c'était du domaine du miracle.... ou alors de l'entêtement. Mais je penchais plus pour cette deuxième option, à dire vrai. Ça ressemblait plus à Saf que d'être assez têtue pour me retrouver. C'était même totalement dans son genre.

Je finis par reculer légèrement pour laisser de l'air à la berserker. Parce que si moi je n'avais plus besoin de respirer, elle s'était encore le cas. Ça aurait été con de faire mourir d'asphyxie Saf alors qu'elle venait à peine de répondre à mon baiser. Dans le genre VDM on ne faisait pas mieux. Je laissais cependant mon visage très proche du sien pour ne pas lui donner l'impression de fuir, toute façon je n'avais pas envie de m'éloigner. Je pouvais sentir nettement le souffle chaud de la demoiselle me balayer le visage. Et c'était sans compter sur son corps qui était tout contre le mien, autant dire qu'il y avait de quoi perdre l'esprit. Mais les choses ne semblèrent pas s'arranger quand juste après, ce fut elle vint chercher mes lèvres. Le baiser vira rapidement plus sérieux et dégoulinant de désirs surtout. Putain, elle venait vraiment de me mettre sa langue dans ma bouche là ? Sérieusement ? J'oscillais entre le wtf général et l'excitation la plus totale. Cette nana avait franchement un don pour me détraquer c'était assez impressionnant. Pourtant je n'eus pas d'hésitation pour répondre à la politesse que la rousse était en train de me faire. Je nous rapprochais encore plus même. J'avais envie d'elle clairement. Depuis que j'avais changé de race j'avais l'impression que mes désirs étaient exaltés. Et avec Saf c'était vraiment encore pire. Je ne cherchai pas à faire dans la dentelle. Je le confiais que si elle continuait sur cette voie, j'allais finir par la manger, mais que ça n'aurait rien à voir avec ma faim en elle-même. If you know what I mean maggle. Je fixais la berserker calmement quand elle m'annonça que mes dents de jeune stryge ne lui faisait pas peur. Ses crocs allaient me dévorer en premier. Je souris amusé, provocateur, petit con de base qui aimait faire chier son monde. Tu parles beaucoup, mais pour le moment, je n'ai rien senti. Je soulevais une sourcil. Je répondais au feu par le feu. C'était notre dynamique. Je n'avais jamais mâché mes mots avec Saf et elle ne l'avait jamais fait avec moi. Quand tous les autres faisaient le canard, elle, elle montrait les crocs, et c'était ce qui la rendait si unique à mes yeux. C'était pour ça que je l'avais toujours apprécié que le commun des mortels.

Je finis par soulever la berserker aisément. J'oubliais toujours que j'étais beaucoup plus fort que par le passé. Et forcément Saf était légère pour moi. Je sentis les jambes de la rousse enserrer ma taille. Mon sourire s'agrandit, carnassier, celui qui dévoilait mes superbes canines de prédateur surnaturel. Cette position était tellement explicite, c'était dur de ne pas laissé mon esprit divaguer. Rectification, mon esprit était déjà en train de divaguer. Un frisson m'échappa quand je sentis les doigts de la rousse courir le long de ma mâchoire. Un fantasme ? Cette idée ne fit qu'augmenter mon sourire lubrique. Coucher avec l'infirmière sexy ? Ouais c'était vrai que c'était le fantasme d'un paquet de mec, avec le plan à trois. Même si théoriquement, mon fantasme était de coucher avec une cosplayeuse... et plus que tout coucher avec mon infirmière. Pas une infirmière, mon infirmière. J'avoue que je caresse mon fantasme du bout des doigts, dis-je avec mes mains naviguaient sur la taille de mon ainée. Double-sens quand tu nous tenais hein. Je finis par rajouter avec un petit rire. Je pensais que c'était interdit les relations patients-soignants ? T'es pas en train de devenir une hors-la-loi pour mes yeux j'espère ? C'était stupide quand j'y pensais, elle n'était de s'occupait plus de moi depuis un petit moment, donc ça ne comptait pas. Je n'ai toujours pas vu tes crocs si menaçant Saf.

Je suis arrivé(e) le : 01/08/2016

Saf & Asher

C'est au pied du mur

Qu'on voit mieux le mur.

Vraiment elle ne c'était pas attendu à un tel retournement de situation. A la base elle venait pour lui pourrir la tronche parce qu'il avait disparut de la circulation et parce qu'elle avait la ferme intention de la traîner par la peau des fesses afin qu'il se soigne et qu'il teste ce nouvel essai miracle. Elle aurait été bien loin d'imaginer la situation dans laquelle ils se retrouvaient. Oh c'est sur qu'elle l'avait toujours trouver charmant physiquement, qu'il était quand même très agréable à regarder. Puis il avait rapidement compris comment elle fonctionnais, lui renvoyant la politesse a chaque fois qu'elle le secouait, il n'avait jamais chercher à être son ami et pourtant ils étaient devenus proche. Mais son éthique professionnelle lui avait toujours permis de garder une certaine distance, elle avait toujours su que son pronostic vital était mauvais à plus ou moins court terme ce qui lui avait permis de mettre en place certains barrières afin de ne pas être blessée le jour où viendrais le moment fatidique de lui dire au revoir. Et pourtant voilà qu'elle se retrouvais en face d'un Asher transformé en stryge, en pleine forme, à fourrer sa langue dans sa bouche.

QUOI ? Sérieusement elle était entrain de lui rouler une galoche du feu de dieu ? A Asher ? Asher genre son patient absolument insupportable et a qui elle adorait botter le derrière, c'était quand même du grand n'importe quoi. Et pourtant il n'hésita même pas à lui répondre et elle sentit qu'elle se liquéfiait de l'intérieur alors que leur corps se pressaient d'autant plus l'un contre l'autre. Est – ce qu'ils faisaient n'importe quoi ? Oh non, pour Saf tout lui semblait naturel, son corps réagissait sans fard, sans limites, alors qu'elle avait toujours eu des blocages. C'est pour ça qu'elle lui répondit sans problèmes dans la provocation, déjà parce que c'était son moyen de fonctionner, qu'elle répondait toujours ainsi avec lui, et aussi parce que c'était un jeu et qu'elle voulais voir jusqu'où elle pouvait pousser Asher. Il lui fit un sourire, ce sourire de connard de première qu'elle adorait, elle arborait le même très souvent. Et évidement il répliqua sans sourciller, allant encore plus dans la provocation de l'autre, elle sentit des étincelle s'allumer dans son ventre. Elle feula contre lui, un son doux comme un ronronnement et à la fois rauque comme un grognement, elle voulais lui montrer qu'elle n'avait en aucun cas peur de lui, ni de le chercher.

C'était agréable qu'il la soulève comme si elle ne pesait rien, d'approfondir le contact en enroulant ses cuisses sur sa taille. Puis elle avait envie de lui, elle avait envie de ce contact qu'elle c'était refusé tant d'année avec les autres, même si en cet instant le seul avec qui elle voulait rentrer en contact, longtemps, langoureusement, c'était Asher. Saf avait l'impression de se liberer d'un carcan qui l'étouffait depuis des années. Elle fixa son sourire, qui montrait clairement ses toutes nouvelles canines de stryges. Elle aurait du avoir peur et pourtant le seul frisson qu'elle ressentit le long de son dos c'est un frisson d'excitation. Elle vit sa peau se soulever quand elle toucha sa machoire, il n'était pas insensible à ses caresses et c'était flateur. La berserker se mordit la lèvre tout en continuant de le fixer alors qu'il pressait sa taille pour appuyer son double sens.

« Et pourquoi tu ne le saisirait pas clairement au lieu de simplement l'effleurer. »

Vraiment elle ne voyait pas pourquoi elle se priverait de le braver. Elle ne put s'empêcher d'exploser de rire alors qu'il insinuait qu'elle bravait la loi avec lui, c'est vrai qu'en y pensant bien ce n'était pas dans l'ethique soignant de fricoter ainsi avec un patient.

« Techniquement tu es mort, du coup tu n'es plus mon patient. Et je suis persuadée que le fait d'être hors la loi ne te dérange aucunement. »

Il l'attaque une nouvelle fois sur ses crocs, comme si il réclamait clairement qu'elle aille jusqu'à lui prouver qu'elle était en mesure de le surpasser. Saf eut un rictus amusé, elle se redressa un peu contre Asher, pressant sa poitrine contre son torse et son bassin contre le sien, leur nez se frôlèrent. Elle sentit que ses yeux viraient félins et devenaient jaune, ses canines lui firent un peu mal et son sourire s'étira, dévoilant sa rangée de crocs. Elle feula une nouvelle fois et se pencha vers son oreille, laissant ses dents pointues frôler le lobe mais ce fut sa langue qu'elle passa dans son cou.

« Ne me provoque pas où tu risque de ne pas t'en remettre. »

Je suis arrivé(e) le : 29/04/2016

Saf & Asher

C'est quand on est face contre terre

qu'on se dit que c'est vraiment dégueulasse la terre.

Mon cerveau avait définitivement cramé. Ce petit enfoiré c'était fait la malle et avait jeté les clés par dessus bord. C'était officiel. Les choses étaient allées beaucoup trop loin pour que je continue à penser de manière totalement logique. Je n'étais pas le pro de la drague et pourtant depuis que j'avais changé d'espèce, il était clair que mes désirs avaient littéralement changés. Il était clair que j'avais eu quelques aventures et j'avais eu particulièrement envie de les bouffer, mais vous aviez compris l'idée. J'étais loin de ne pas savoir comment m'y prendre, le soucis, c'était que c'était avec Saf. La femme sur laquelle je craquais depuis des années. Celle que je connaissais depuis si longtemps, celle qui m'avait soigné, celle qui m'avait semblé si inaccessible. Cette même personne avec que j'atais en train de jouer à la danse des langues à cet instant très précis. Alors ouais, c'était légèrement perturbant, TRES LEGEREMENT, if you know what I mean. Puis mince, les jambes enroulées autour de ma taille, c'était pas encore plus perturbant comme position. C'était la porte ouverte sur toutes les fenêtres quoi !

Quand ses doigts passèrent sur ma mâchoire, je ne pus m'empêcher de frissonner. Tout contact était devenu incroyablement intime. En temps normal, j'aurais sauté au plafond, mais là, les choses prenaient une autour tournure. Nous étions passé à un niveau beaucoup plus haut, beaucoup plus charnel. Je ne pus m'empêcher de laisser un gros sous-entendu, tellement énorme qu'il avait perdu ce statut de sous-entendu. Mais je devais avouer qu'à cet instant, je ne cherchais pas vraiment à être... fin. Mon cerveau avait fait ses valises et c'était barré à Tataouine les Bains, il kiffait sa vie. Moi il ne me restait plus que ces instincts primaires et bestiaux.

Je souris légèrement, ouais. Comme elle disait j'étais techniquement mort. J'étais même physiquement mort. La théorie voulait que le cœur des stryge ne pompait que très lentement le sang. Ce qui valait à très peu de battement à la minutes. Même si cet instant, étrangement mon sang avait tendance à biiiiien pulser. Je le sentais palpiter au niveau de mes tempes et … tu vois ce que je veux dire. Mon sourire s'agrandit quand je taquinais la demoiselle sur ses crocs. Parce qu'après tout, elle m'avait parlé de ces gros, mais elle ne m'en avait pas montrer les pointes. Des menaces en l'air. J'entrouvris la bouche que la berserker se redressant, faisant appuyer ses attributs féminins à des zones très stratégiques. J'avais finir doucement mais surement par perdre la raison. Ses yeux jaune brillants étaient particulièrement fascinant. Quand elle me dévoila son sourire pleines de dents pointu, je ressenti une pointe d'amusement. Il laissa la bête s'exprimer et s'approcha de mon oreille pour me laisser apprécier ses crocs sur mon lobe. Je frissonnais. Provoquer, c'est mon fond de commerce. Je souris alors que je me déplaçais dans mon appartement, soutenant la demoiselle par les fesses. Je finis par acculer la rouquine contre un mur avec un grand sourire. Je laissais mes mains naviguer sur les cuisses de Saf avec un sourire que je ne cherchais pas à dissimuler. Je finis par laisser trainer mes lèvres vers le cou de la demoiselle. Ou alors c'est toi qui ne va pas t'en remettre, j'entrouvris doucement la bouche pour mordiller la berserker, prenant garde à ne pas y aller trop fort pour ne pas percer sa peau avec mes canines de prédateur surnaturel. Mes doigts vinrent doucement remonter le long de ses cuisses, très très trèèèèèès doucement. Je voulais faire un peu durer le plaisir.