Nom : McIntyre Prénom(s) : Sophie Pseudo : Al₽haZ0n_e Alignement : Neutral Good Âge : 40taine Âge d'apparence : 20taine Sous-espèce : Pixie Date de naissance : 22 janvier 1970 Nationalité : Canadienne Origine(s) : Écossaise Métier : Technicienne en Informatique pour le gouvernement Niveau social : Un peu en haut de la moyenne générale Statut marital : Célibataire Orientation sexuelle : Polysexuelle Avatar: Félicia Day Crédits: Mon ordi, Tumblr et les z'internet Personnage: Scénario | Inventé Petites curiosités Unitée parentale - Père Pixie, Mère Humaine – Divorcé. Mère humaine remarié, Père pixie vie de Bohème, rencontre avec unité paternelle concentrée vers l’adolescence de Sophie. Ce quelle sait de sa réelle condition, des enjeux et de ses capacités viens des bribes d’informations teintées d’alcool ou de drogue de son père. Rumeur d’une tante faë dans les parages mais n’a pas eu l’occasion d’investiguer ce lien familiale. Battle Royal - Unité paternelle était un vieux de la vieille et avait des sentiments toujours bien amer face au conflit. Bien que ça aurait été normal qu’elle prenne le plie, Sophie est plus posée et apte a relativiser que bien d’autre Faë. Enfant de son ère, elle ne considère pas les Stryges comme un ennemis automatique mais elle serait peu avisée de les trouver mimi s’ils voulaient la bouffer. Moldu Poilu- Remarquablement, Sophie baigne comme un poisson dans l’eau avec les humains. Elle a très bien appris à vivre avec eux et maintenant, ce sert de leur technologie pour apprécier encore plus les merveilles dont ils sont capable. Faë encore jeune, la fidélité envers son espèce n’est certainement pas une inquiétude pour le moment, bien qu’elle se sent toujours naturellement plus en confiance avec d’autre « comme elle ». Fan de jeu d’ordi et de console, les autres espèces n’est vraiment pas un problème et couronne seulement ce monde réel quand il chevauche le virtuel. Malus - Passant la plus part de son temps devant un écran ( d’ordinateur ou de télévision ) Sophie à développée des problèmes de vue handicapant. ( - 2pts DEX, -3pts FOR) Elle voit comme une carpe si elle ne porte pas ses lunettes ou des lentilles. Elle a aussi un peu tempérament extravagant et asociale qui n’aide absolument pas à des relations normales « dans le vrai monde » (-3pts de CHA). Il faut baigner soit dans l’univers des faë OU avoir un Tauren niveau 60 ( minimum) pour être apte communiquer efficacement avec Sophie. Ceux qui auront deviner que Jon Snow va marier Danerys dans les deux prochaines saisons de GoT, auront une chance de bien s’entendre avec elle. C’est nettement une de ses faiblesses qui n’aide pas son coté solitaire. Sophie n’est pas très grande ni très forte et son teint pâle prouve qu’elle restreint ses sorties extérieures au profit de la lueur des écrans.(-12pts de vie)

 


 qualités
 Déterminée
 Enjouée
 Intelligente
 Polyvalente
 Sensible
  défauts
 Accro
 Distraite
 Irréaliste
 Maladroite
 Râleuse
 

Sophie est sommes toute usuellement sympathique, sans malice, prête à aider son prochain, surtout si c’est pour aller tuer des orcs à WoW. Elle a un humour absurde et peu comprit ( elle finit souvent à rire seule de ses blagues ) et ses inquiétudes quotidiennes sont nettement loin de celle de l’humain standard. Sa Faë-condition et étant geek n’aide pas son tempérament casanier et solitaire dans le vrai monde. Elle a plusieurs amis virtuels mais les occasions sont rares de faire des GetTogether. Soph’ est gentille et pleine de tendre maladresse. Elle est parfois incohérente et peux carrément tuer avec son regard accusateur et exaspéré. Bien qu’elle soit d’une « classe à part » elle à cette fâcheuse tendance à croire que tout ceux qui n’arrive pas à la suivre ne sont pas digne d’intérêt… ou du moins, la plupart du temps.

Quatre heure du matin. Le ciel commence à se teindre légèrement d’un bleu moins foncé. Déjà le matin. Dans quatre heure, elle devra partir pour le taff. *soupir * Ce n’était pas comme si c’était la première fois qu’elle passait nuit presque blanche sur son ordi. Le recoin bordèlique de son loft, la lueur des écrans et un cliquetis de clavier rapide et entêtant.



Restant de pizza, une bouteille de vin vide, papier, paperasse, boites de jeu et de matériel informatique. Elle ne prenait même plus la peine de fermer le caisson de son PC, avec la quantité incroyable de fils qui en sortaient et entraient tout mélangés. PC qui ronronnait comme un chat. Puissante machine parfaitement protégé. C’était son bébé… du moins, l’un de ses bébés. Deux énormes écrans devant elle. Mille fenêtre de navigation et logiciel ouvert. Elle avait abandonné les casques d’écoute très cher pour un système audio top qualité et une totale immersion dans ses jeux et la musique.

De toute façon, elle vivait seule depuis que [Insérer ici nom de PJ]’ était partie avec son mignon.

Ce n’était pas mal pour autant. Elle n’avait pas changé ses habitudes avec ou sans collocation ; d’ailleurs, elle trainait toujours en petite culotte de Pikachu et un énorme t-shirt trop ample blanc écrit : «  There’s no place like 127.0.0. »  sur le devant. Des lunettes énormes sur le bout de son nez et ses cheveux roux attachés en chignon lousse et tombant sur le dessus de son crâne. Décidément, en la voyant ainsi, rageant seule, grognant dans la noirceur en doublant de vitesse de frappe à propos du dernier épisode de GoT, c’était difficile de croire qu’elle était un être supernaturelle.

Faë jusqu’à la moelle, elle avait même choisi ce grand loft en fonction de l’énorme cours arrière, pleine d’arbres, de plates-bandes fleuries et magnifiquement entretenue par la p’tite vieille du premier. Bien sûre, elles s’étaient entiché l’une de l’autre, la p’tite vieille lui cuisinant des biscuits et des plats chaud l’hiver, Sophie l’aidant à monter l’épicerie chez elle, bouger les poches de terre noire pour le jardin ou pelleter l’entrée. C’était la moindre des choses, surtout qu’elle entretenait avec soin l’espace vitale de la Pixie. Ses « confrère/sœur » avait probablement des espaces plus vaste et libre, Sophie s’était habituée à profiter des endroits restreint, mais intime et à porté de main. De plus, la p’tite vieille ne voyait que dalle et l’autre appartement du triplex était toujours vide. Bref, Sophie, quand le besoin se faisait sentir, avait ce qu’il lui fallait rapidement et sans chichi.


Ferme la fenêtre du ch@t avec un léger sourire sur les lèvres. Peu importe où elle était dans le monde, peu importe l’heure, Soph’ pouvait toujours conter sur sa guilde. Ils étaient ce qui avait de plus proche de ce que l’on pouvait appeler « amis ». Leur race, âge ou sexe n’était pas important dans ce monde virtuel et cela c’était grandiose.

Une dernière rasade bruyante dans le verre de plastique qui contenait jadis de la boisson gazeuse au raisin (Purement chimique et violet. Probablement même cancérigène) et d’un mouvement rapide, elle fait tourner sa chaise deux tour en baillant, la bouche grande ouverte. Elle ne ferme pas son ordinateur, jamais. Les écrans sont toujours criards et lumineux quand d’un pas mou, elle attrape son téléphone portable et inspecte les derniers messages qu’elle à reçu.

Rien de bien palpitant.

Enfin, qu’est-ce qu’une Faë pouvait trouver de palpitant ?

 

Tweets

Alpha_Z @Al₽haZ0n_e Un ingénieur chez Motorola utilise le premier cellulaire il y a de ça 43 ans. #NotSoLongAgo

ÇA c’était palpitant.

Le premier téléphone cellulaire utilisable avait le même âge qu’elle. Il était gros, massif, ultra lourd. Un gros bloc cellulaire. Voyez maintenant où ils en étaient rendu ! Les technologies humaines avançaient et se développaient si rapidement ! Pas question de manquer quoi que ce soit de ce spectacle !

Le ciel est de plus en plus clair quand Sophie atteint sont lit en trainant ses pieds. Un énorme matelas pour la jeune femme seule qu’elle était. Les couvertures toujours un peu n’importe comment, c’était la femme de ménage qui s’organisait avec cela. ( Oui, elle faisait assez de sous pour ce payer une bonne !) De toute facon, elle recevait rarement des gens chez elle. Pas en couple, ni en chasse pour l’être, elle profitait simplement de son bordel et de sa passion de l’informatique toutes les nuits, à moitiés nue à siroter de l’alcool et des boissons gazeuse inconsommable pour rester réveillée. Fut un temps, avant même de travailler pour le gouvernement du Canada, ou elle ne vivait que de nuit, à parfaire ses talents de codeuse et de hackeuse. Elle avait même atteint un niveau appréciable, voir dangereux et c’était retirée juste au bon moment. . .

Bien calée dans son lit la lumière de son cellulaire éclaire ses traits fatigués. Un rapide coup d’œil au facebook des autres enfants de sa génitrice. Deuxième coup d’œil sur la sphère du web, s’assurant que son paternel n’était pas mort dans un accident stupide. Dernier coup d’œil sur ses mails, rien à signaler. Un dernier message text :



D’un cliquetis électronique, la lumière s’éteint pendant que le soleil commençait à ce lever. Un profond soupir et elle pose son téléphone contre son cœur, comme si c’était la chose la plus précieuse au monde.

Doucement, Sophie s’endormira rapidement, pour se lever dans quatre heures, ouvrir ses écrans, prendre une douche, faire semblant de déjeuner correctement pour aller au boulot et revenir chez elle.

Une vie plutôt routinière, pour une Pixie, non ?