Il m`a conduit, mené dans les ténèbres, Et non dans la lumière.
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Messages : 67 Je suis arrivé(e) le : 03/01/2016 Sous les traits de : Travis HOT Fimmel Je me dédouble : En Une handicapée des sentiments, Lilwenn Millward Pseudo : SUNRISE Crédits : ETERNAL LOVE Points : 989
J'ai : 34 ans, qui me paraissent une éternité Je travaille comme : Membre de la garde rapprochée de la reine Actuellement, je suis : Veuf Niveau social : Bien plus qu'aisé, bosser pour la reine, ça paie !
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Ven 25 Mar - 20:04
I can't ignore you anymore. Je ne saurais dire pourquoi, mais mes nuits étaient clairement plus mouvementées que mes journées, alors qu'en temps normal vous serez d'accord avec moi pour dire qu'en tant qu'être vivant, la plupart des événements devaient m'arriver la journée. Bien sûr, je faisais quand même certaines choses la journée, comme me promener, visiter un peu la ville et ... Rien d'autre. Je ne m'étais pas encore penché sur le problème de mon frère, encore moins sur la recherche d'un boulot et je dormais dans un hôtel, et il allait rapidement falloir que cela cesse parce que toutes mes économies étaient en train de partir en fumée. Cette nuit là, je venais de me faire percuter par une moto, oui oui, avec la chance que j'avais, le bolide n'avait pas pu m'éviter. Par chance j'étais une berserker et j'avais pu éviter au pire. Résultat des courses, étant donné que j'étais sous ma forme animale lors de l'accident et que j'avais perdue connaissance, je m'étais réveillée toute nue face à un inconnu terrorisé. SUPER SOIREE ! J'avais pu trouver des vêtements que j'avais caché dans les bois et j'étais revenue en ville en bien meilleur état qu'en partant. Seulement on pouvait encore voir les traces de l'accident survenue quelques heures plus tôt.
J'avance dans les rues, les bras croisés, sans réellement savoir où j'allais. Je n'avais certainement pas envie de revenir dans ma chambre d’hôtel, non pas après un début de soirée aussi chaotique. Il fallait que j'arrange la donne, il le fallait pour ma conscience. Mes pensées bifurquèrent vers Aétios alors que je me rappelé comment je l'avais planté dans les bois après notre dernière rencontre. Allez savoir pourquoi, nous nous trouvions tous les deux aux moments où l'on s'y attendait le moins. Il ne manquait plus qu'il apparaisse là devant moi et je tendrai à croire que le destin me joue des tours. Je poussais un petit soupire et m'arrêtais face à un vendeur de hot dog. Je restais quelques secondes, indécise. Je crevais de faim. Lentement, je m'approchais du camion et commandais un hot dog à la moutarde, mon ventre en gargouillais déjà d'impatience. En attendant, je m'assis sur le banc d'en face et observais les personnes se promenant dans les rues par une heure aussi tardive. Ce qui était bien dans les grandes villes, c'était qu'on pouvait commander de la nourriture à n'importe qu'elle heure du jour ou de la nuit et dans mon cas présent, j'en avais réellement besoin.
“C’est quoi la passion ? C’est une attirance irrésistible. Comme celle d’une aiguille magnétique qui a trouvé son pôle. ”
J'étais complètement, littéralement paumé. J'avais retrouvé Hildred. Notre première rencontre c'était mal passée, néanmoins, la seconde fut certes plus douloureuse pour moi, mais plus enrichissante également. Après m'être fait attaqué par un stryge envoyé par Angélique, j'avais plus ou moins réussit à faire entendre raison à la jeune louve en lui annonçant que j'étais là et bien là. Mais voilà, avec les filles c'est toujours compliquée, encore plus quand il s'agit de ma belle blonde. En gros, je devais lui prouver que j'étais sérieux, que je ne lui mentais pas et que je n'allais pas partir du jour au lendemain. Donc, je devais absolument faire mes preuves. Enfin, comment devais-je m'y prendre. Voilà la question... Elle m'avait plantée là en pleine forêt. D'ailleurs, elle avait fait ça avec sa classe naturelle en commençant à se dé-zapper devant moi avant de s'arrêter en disant que nous n'étions pas assez intimes. J'étais carrément resté sur ma faim ! Ouai, je suis un homme et qui sait qui plus est se qui se cache sous ses vêtements, du coup, je ne pouvais que pester intérieurement quand elle avait filée dans la forêt sous sa forme de louve. La sadique... Depuis, j'avais eu quelques petites choses à faire niveau boulot. Me plongeant dans quelques recherches et évitant de me faire remarquer. Ben ouai, les stryges avaient fait un coup d'éclats en s'exposant aux humains, bouffant tout ce qui passait. Je n'avais pas été de ceux-là, loin de m'amuser face aux peurs des autres, je ne suis pas un sadique dans l'âme et j'ai assez d'expérience pour savoir qu'ils mettaient la tête de tous les stryges sur un piquet! Bande de crétins finis !
Soit, ce qui est fait est fait, je n'avais pas participé à ce massacre mais ça quand les Faës voudront répliquer ils n'en auront absolument rien à foutre. Marchant dans les rues, mains dans les poches, je rentrais chez moi après avoir passé ma journée le nez dans quelques bouquins, étant sorti début de soirée pour me nourrir, revenant ainsi d'une chasse ou pour une fois personne n'était mort. J'avais réussis à me contrôler, ce qui était devenu rare ses derniers temps. La chose qui m'avait fait tenir ? Disons qu'au dernier moment j'avais pensé à Hildred et que j'avais réussis à écarter mes crocs de la gorge du pauvre humain sur le point de mourir. Elle avait toujours été ma bouée de sauvetage, celle qui avait été une ancre pour moi, me faisant ainsi résister toutes les épreuves qui se dressaient devant moi. Je soupire tout en évitant un homme qui semblait pressé de rentrer. Sûrement devait-il retrouver sa famille, sa femme, ses enfants. Oui, peut-être qu'il avait un chien aussi ou un chat...une belle maison, un jardin. Une vie tellement banale que j'enviais réellement. J'aurais échangé mon existence avec la sienne sans remords, sans opposer une quelconque résistance. Je continue donc mon chemin et tourne dans une rue plus calme. J'entends alors un bruit de collision et un « sproutch » significatif d'un aliment qui tombe sur le sol, puis, y'avait l'odeur aussi, un Hot-Dog si je ne me trompais pas. Levant les yeux vers la pauvre fille qui observait son sandwiche avec désespoir, je m'arrête brusquement. Hildred. Sérieux ? Le destin semblait se jouer de moi, à force, j'allais croire que j'étais destiné à la croiser encore et encore.
Son visage caché entre ses mains, je vais vers elle calmement, gardant mes mains dans mes poches. En approchant je peux entendre son ventre faire un drôle de bruit. Ouai, décidément elle devait vraiment avoir la dalle. « Je prépare un enterrement pour ton sandwiche si tu veux... » Un léger sourire s'afficha sur mon visage...celui-ci disparu néanmoins très vite quand je découvris le sien. Mon dieu, mais que c'était-il passé. Mon regard se durcit violemment. Qui avait osé faire ça ! Qui avait osé lui infliger des bleus sur le visage. Si il y avait bien une chose que je n'acceptais pas et n'accepterais jamais, c'était bien qu'on fasse du mal à la jeune femme. « Hild...Non de dieu que c'est il passé ! Qui...c'est quoi son nom ! Je vais lui arracher la tête ! » Oui, pour moi, dans l'immédiat, c'était un acte de violence et non pas un simple accident. Je sentais la rage monter en moi avec une force étonnante. Mes mains étaient sorties de mes poches et mes poings étaient serrés, alors que mon regard, lui, avait légèrement changé d'aspect. Je n'avais pas besoin de dire que j'étais en colère, cela se voyait, se ressentait. Bordel, je n'aurais jamais du la laisser seule dans la forêt, j'aurais au moins du la raccompagner chez elle ou que sais-je encore... « Non, je ne vais pas lui arracher la tête...je vais le découper en petit morceau petit à petit ! » Ok, je partais dans un tripe sadique mais j'en étais bien capable.
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Aodhan Caldwell
Il m`a conduit, mené dans les ténèbres, Et non dans la lumière.
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Messages : 67 Je suis arrivé(e) le : 03/01/2016 Sous les traits de : Travis HOT Fimmel Je me dédouble : En Une handicapée des sentiments, Lilwenn Millward Pseudo : SUNRISE Crédits : ETERNAL LOVE Points : 989
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Ven 25 Mar - 23:07
I can't ignore you anymore. Je devais probablement avoir l'air misérable ainsi debout dans cette rue, seule face au cadavre de mon Hot dog, mais je n'en avais strictement rien à faire de l'apparence que je pouvais donner de l'extérieur. En réalité, j'étais juste épuisée. Épuisée de cette ville, fatiguée de ma vie, lassée de cette journée. On dit qu'un malheur en attire souvent un autre, et bien dans mon cas, c'était une avalanche de désastres qui me tombaient dessus. Oui, perdre mon sandwich fut un désastre. Lorsqu'une voix que je ne connaissais que trop bien pour l'avoir longtemps entendue s'éleva en face de moi, je fus convaincue que ma soirée n'aurait pas pu tomber dans un pareil désastre. « Je prépare un enterrement pour ton sandwiche si tu veux ...» Après un long soupire, je relève la tête pour découvrir Aétios, debout face à moi, en train de se rire de mon drame. Et bah, qu'elle preuve de romantisme ! En même temps, ça avait toujours été comme ça entre nous, des chamailleries constantes qui faisaient souvent rire l'autre. Je secouais la tête, dépitée de tomber sur lui dans un moment pareil, affublée comme j'étais. « Je préfère l'incinérer, au moins il se fera pas bouffer par les asticots ... » J'affichai un petit sourire en coin face à nos bêtises. Seulement, ma mimique s'effaça rapidement lorsqu'il se redit compte de l'état de mon visage, OUPS.
En un quart de seconde, son expression passa d'un petit sourire coquin à une incroyable rage qu'il avait beaucoup de mal à contenir. Je savais qu'il réagissait toujours excessivement me concernant mais je n'osais même pas penser à ce qu'il pouvait s'imaginer en me voyant ainsi, couverte d'hématomes. Je me recroquevillais sur moi même lorsqu'il s'adressa d'une voix forte à moi. « Hild...Non de dieu que c'est il passé ! Qui...c'est quoi son nom ! Je vais lui arracher la tête ! » Les poings serrés, les muscles bandés, la poitrine e soulevant à un rythme effréné suite à sa respiration brutale, il était bien énervé. Il s'imaginait que quelqu'un m'avait frappé ? Intentionnellement ? Mon dieu non ... Heureusement pour moi d'ailleurs. Soudain, mes pensées furent happées par un souvenir, lui bien trop vif. La pièce est sombre, il fait froid et l'air est humide. Je sens de nombreuses odeurs mais je ne saurais dire où je suis. J'ai peur, je suis retenue seule dans le noir, contre mon gré. Je n'ai aucune idée des raisons qui m'ont conduites ici mais je n'ai qu'une envie, partir. Parfois j'entend des cris, mais la plupart du temps je me retrouve seule avec le son de ma respiration saccadée comme seule compagnie. Quelqu'un ouvre la porte et je fus dans un premier temps aveuglée par une lumière dirigée dans ma direction. "Ou est-il ?" Mais qui ? Je répond que je n'ai aucune idée de qui il parle et je me prend un grand coup dans la mâchoire. « Non, je ne vais pas lui arracher la tête...je vais le découper en petit morceau petit à petit ! » La voix d'Aétios me ramena à l'instant présent et je mis quelques secondes avant de bien pouvoir faire le point, soudain tétanisée par l'effroi. Je secouai rapidement la tête tout en levant les mains pour tenter de l'apaiser du mieux que je pouvais. « Non non, ce n'est pas du tout ce que tu crois ! »
“C’est quoi la passion ? C’est une attirance irrésistible. Comme celle d’une aiguille magnétique qui a trouvé son pôle. ”
« Je préfère l'incinérer, au moins il se fera pas bouffer par les asticots ... » Des asticots. C'était bien l'une des créature qui me donnait envie de gerber directement. Ouai, un grand gaillard comme moi fuis littéralement devant ses bestioles rampantes. Dès que mon regard se posait sur ses petites bestioles, je détournais les yeux surchauffé par des hauts le cœur et sautillais comme une gonzesse...En même temps, vous avez vu ses trucs. Ça bouffe n'importe quoi, sa rampe, c'est laid et sa sort du cul des mouches ou autres insectes que je ne préfère pas imaginer. Je n'appréciais pas non plus les araignées. Oui, je suis bien archéologue et alors... Bon, une petite ne me fait pas hurler, mais j'en avais déjà vu des belles durant ma longue période de vie. Une fois, un monstre m'était tombé sur la tête lors d'une fouille. J'avais hurlé à la mort et pris mon envole sous les rires hystérique de Alek, le seul stryge que j'avais engendré. Bon, il c'était bien foutu de ma gueule et il avait eu raison, sur le coup, je m'étais carrément senti con... Je frissonne donc quand elle parle des asticots, faisant une large grimace qui voulait absolument tout dire. « Pitié, me parles pas de ses bestioles. ». Elle avait affiché un petit sourire en coin, qui pourtant, disparu rapidement quand elle remarqua ma colère. Elle était dans un état...lamentable, oui, littéralement. Je pouvais à présent sentir le sang sécher sur elle, odeur assez amère qui couvrait son parfum naturel de Berserkers. Puis, elle n'était pas très propre également. Je n'en avais que faire de son physique pour l'instant, non, moi ce qui m'inquiétais c'est ses hématomes et surtout de savoir qui avait osé la toucher. J'avais toujours été très impulsif avec elle, elle avait déjà été témoin de plusieurs scènes. Quand nous étions ensemble je m'emportais vite quand un homme tentait de l'approcher de trop près. Tant qu'il se contentait de la regarder cela ne me dérangeais pas plus que ça, mais une fois qu'il osait rappliquer... là, je devenais plutôt méchant.
« Non non, ce n'est pas du tout ce que tu crois ! » Elle avait levé les mains en essayant de m'apaiser d'un geste. Hors, cela ne fit que me faire froncer les sourcils. C'était quoi alors ? Qu'elle ne vienne pas me dire qu'elle était tombée dans les escaliers, sincèrement, je le prendrais mal qu'elle tente de me prendre pour un con. « En fait je me suis fait percuter il y a quelques heures par une moto alors que j'étais sous ma forme animale. Bien évidemment, j'ai perdue connaissance et lorsque je me suis réveillée, j'étais totalement nue en plein milieu de la nuit et recouverte de sang. Heureusement pour moi, c'était une faë ... » Je passe une main sur mon visage. Ce que je venais de retenir c'était la partie ; j'étais totalement nue. Pardon ? Nue...NUE ! Je grogne légèrement de mécontentement. Déjà qu'elle se fait percuter par une moto, elle se retrouve nue et pleine de sang et devant une Faë. Charmant. C'était loin de me plaisir cette idée. « Et voilà que je fais tomber mon hot dog alors que la guerrison m'a totalement épuisée. Je suis au fond du gouffre. Vas y, achève moi si tu veux, je sais que je ne paie pas de mine dans cet état. » Je tourne mon regard vers elle alors qu'elle essaie d'arranger ses cheveux comme elle le peut, pouffant doucement un regard gêné sur le visage. Je soupire et passe une main dans mes cheveux pour me calmer. L'idée qu'une personne puisse l'avoir vue nue me dérangeais littéralement, enfin, je ne savais même pas si il s'agissait d'une fille ou d'un mec...Valait mieux pas que je pose la question. Je fais un pas en avant et lève la main vers sa joue, frôlant celle-ci de mes doigts avant de remettre une mèche de ses cheveux en place. Heureusement qu'elle était une Berserkers et qu'elle guérissait assez rapidement. « Moi je te trouve toujours aussi jolie, bon, ton odeur laisse à désirer mais je fais avec. » Dis-je un petit sourire moqueur sur le visage. Je laisse retomber ma main le long de mon cœur, alors que mon regard se pose sur le pauvre Hot-Dog écrasé sur le sol. Reposes en paix mon pote, ta vie fut courte et peut glorieuse.
J’enfonce de nouveau mes mains dans mes poches, reposant mon regard sur la jeune femme. « Bon...que dis-tu si je te propose un bon repas chaud, une bonne douche et des vêtements propres ? J'ai de quoi faire à manger chez moi, il me reste des vêtements à toi logiquement...quelque part entre mes chemises et mes chaussettes... et tu as bien besoin d'une douche sans vouloir te vexer. » Je souris en coin et je lui offre un petit clin d'oeil. Je ne disais pas ça méchamment, loin de là, mais j'y mettais tout les arguments nécessaires pour qu'elle accepte. Je vois une femme nous dépasser et poser les yeux sur Hildred puis sur moi, m'observant d'un air foutrement féroce. « Honteux ! » Quoi ? Elle pensait vraiment que j'avais...Bon, ça pouvait donner cette image du mec chelou qui a frappé sa copine et qui, par la suite, tentait de lui demander pardon. J'ouvre légèrement la bouche choqué alors que la femme en question partait non sans m'offrir un nouveau regard noir. J'étais choqué. Je regarde Hildred puis pointe du doigt la femme. « Sérieux...oh seigneur il me faut un verre de vin. » Je viens me pincer le haut du nez. C'est désespérant, dès qu'une nana voit un mec un peut costaux avec une fille qui paye pas de mine, directement elle en vient à la conclusion que celle-ci a été battue. Je repose mon regard sur la jeune louve et ajoute un petit sourire en coin. « J'ai du pop-corn chez moi..le caramélisé, celui que je devais cacher en haut des étagères pour pas que tu le mange avant que je ne revienne du travaille... » Qui ne tente rien n'a rien.
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Messages : 67 Je suis arrivé(e) le : 03/01/2016 Sous les traits de : Travis HOT Fimmel Je me dédouble : En Une handicapée des sentiments, Lilwenn Millward Pseudo : SUNRISE Crédits : ETERNAL LOVE Points : 989
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Dim 3 Avr - 20:21
I can't ignore you anymore. Nous avons tous des phobies, enfouies au plus profond de nous et que nous essayons de dissimuler aux yeux de tous. Me concernant, j'avais une peur incontrôlée des clowns et ne me demandez pas la raison de cette phobie parce que je ne m'en souvenais pas. probablement une séquelle d'un anniversaire raté, allez savoir. Et pour Aétios, c'était les insectes mais plus particulièrement les asticots, il avait en horreur ces bestioles là et rien que le fait d'en parler lui soulevait le cœur. Sa tête à l'évocation du possible destin de mon sandwich me fit pouffer, il était sur le point de vomir, je le sentais. Alors lorsqu'il s'adressa à moi d'un ton suppliant approchant presque du désespoir, je ne pus me retenir de sourire. « Pitié, me parles pas de ses bestioles. » Je le fixai tout en secouant la tête, heureusement que tout le monde n'était pas affolé à chaque fois qu'il voyait un vers sinon le taux de suicide ferait péter le compteur.
Lorsque je levai les mains pour m'expliquer sa première réaction fut de froncer les sourcils et d'écouter ce que j'avais à dire. Et je devais avouer que mon récit avait de quoi faire rire, non mais sérieux, qui se faisait percuter par un motard de nos jour ? En pleine forêt qui plus est ... Il se passe alors la main sur le visage en grognant, oups il n'était pas très enthousiaste face à cet accident, et je redoutais ses plus profondes pensées ... En voulait-il au conducteur ? Le pire c'était que tout était de ma faute, si j'avais fait plus attention ça ne serait pas arrivé. Je le fixe une fois que j'ai terminée, stressée par sa possible réaction. Finalement, il se contenta de me toucher la joue de ses doigts fins et de me souffler. « Moi je te trouve toujours aussi jolie, bon, ton odeur laisse à désirer mais je fais avec. » Le début de sa phrase me fit sourire tendrement mais je déchantais rapidement. Bon dieu, il ne pouvait pas juste être romantique ? Il fallait toujours qu'il place une remarque sarcastique dans ses répliques. Je poussais un soupire tout en affichant un regard blasé qu'il comprendrait parfaitement, je n'avais pas envie de rire de ça, surtout que je devais réellement avoir une odeur horrible, surtout pour lui qui avait l'odorat sur-développé. Olala la honte ! Il enfonça ses mains dans ses poches et me lança un regard rempli de tendresse et d'amusement. « Bon...que dis-tu si je te propose un bon repas chaud, une bonne douche et des vêtements propres ? J'ai de quoi faire à manger chez moi, il me reste des vêtements à toi logiquement...quelque part entre mes chemises et mes chaussettes... et tu as bien besoin d'une douche sans vouloir te vexer. » Et alors que je m'enfonçais dans ma propre honte, que je me voyais déjà rentrer à pied jusqu'à ma chambre d’hôtel (Si je parvenais à ne pas me faire arrêter par les flics avant) Aétios me fit la plus belle proposition au monde. Ces paroles résonnèrent comme les paroles de dieu dans le cerveau d'un fervent croyant. Il était mon salut. Je le regardais alors avec des yeux de merlan fris, en ouvrant la bouche. Il ne pouvait pas me faire de plus belle proposition, et alors que j'aurai du tiquer sur la fin de sa phrase, je restais là, à le regarder comme une dinde. « OH TU FERAIS CA ? Tu me sauves la vie. » J'aurai pu me mettre à genoux devant lui et lui baiser les pieds mais non, je n'étais pas non pus à ce point désespérée ... Bon en fait si mais j'avais une fierté.
Hild'▲ AétiosC'est déjà une preuve d'attachement que de pouvoir se supporter. « OH TU FERAIS CA ? Tu me sauves la vie. » Elle me regarde avec des yeux de poussin comme si je venais de lui offrir le monde. Je ne peux m'empêcher de sourire face à cette image. Même aussi crade je la trouvais vraiment belle, bon, l'odeur laissait vraiment à désirer, mais je faisais avec, je n'avais pas spécialement le choix. Puis, c'était une occasion pour l'emmener chez moi. Non, non, je n'ai pas d'idées derrière la tête... quoi que, m'en voulez pas, je suis un mec. Je suis peut-être mort, certes, mais je reste un mec avec des envies, des pulsions, des fantasmes et tout ce qui va avec. Puis, avouons-le, ma vie sexuelle ses derniers temps se résume à un néant total. Pas que ça me dérange, non, j'avais déjà tenu des centaines d'années sans rien faire, mais quand j'avais Hildred devant les yeux c'était une toute autre chose. Une femme passe devant nous et je vois la louve se retenir de rire face à ses insinuations. Non mais, faut pas abuser, j'avais quand même pas la gueule du mec sadique qui bat sa copine. Si ? Ben apparemment oui. J'avais effectivement besoin d'un verre, non, j'avais carrément besoin de la bouteille et de sa petite sœur et de sa cousine ! Bref, de toute la petite famille. Je sens les bras de la jeune blonde agripper le mien avec détermination. Oula, elle était vraiment en manque d'eau chaude, de nourriture et de vêtements propre pour m’agripper ainsi. « Oui vite ! Comme ça tu n'oublieras pas de m'emmener avec toi ou tu changeras pas d'avis ! » Je ne peux m'empêcher de rire légèrement face à son air innocent et son sourire. Comme si j'allais changer d'avis, franchement, ce n'était même pas envisageable ! D'ailleurs, je m'étais attendu à un refus de sa part, j'étais surpris qu'elle accepte si rapidement.
« Bah, t'oublier c'est carrément impossible pour moi. » J'avais dis ça avec un air totalement banale, pourtant, c'était foutrement vrai. Oublier Hildred serait comme oublier une partie de ma vie, la plus belle partie d'une foutue existence pénible. Je tente donc de lui faire du chantage avec le pop-corn, parce que ouai, j'avais que ça en tête pour tenter de la faire réellement venir chez moi. C'était naze, c'était petit, mais au moins j'avais le mérite d'essayer quelque chose. « Tu sais, tu n'as pas besoin de te triturer les méninges pour que je vienne, comme tu l'as dis, j'ai réellement besoin d'une douche. Bon aller, tu viens ? Ça commence à sérieusement me gratter tout ce sang et cette terre séchés ... » Et avant même que j'aille le temps d'ouvrir la bouche, je me sens tirer en avant. Je ne peux m'empêcher de rire face à ses actes, franchement, je ne comprendrais jamais les femmes... Surtout elle. Elle passait du blanc au noir en trois secondes. La dernière fois elle était sur le point de me mordre, me laissant dans ma solitude en pleine forêt. Et maintenant, elle me tirait en avant pour venir chez moi. Dommage que ça soit pas pour mes beaux yeux ! Nous arrivons rapidement dans ma voiture. Je me mets au volant et j'échange quelques paroles avec elle, ici et là, évitant soigneusement le sujet de son apparence, plaisantant surtout sur le comportement de la femme qui avait croisé notre route dans la rue. Après une bonne demi-heure nous arrivons enfin chez moi. Rentrant dans l'allée qui menait à mon chalet, j'arrête la voiture et je me dirige directement vers la porte d'entrée. A l'intérieur il fait chaud, j'avais fais en sorte que le chauffage reste allumé mais pas excessivement non plus.
« Viens, je vais te montrer la salle de bain. » Oui, j'étais sur qu'elle n'attendait que ça, pouvoir se doucher. Je me dirige donc vers la pièce en question et je sors un drap propre et tout le nécessaire dont elle aurait besoin. Je lui fais signe d'attendre deux secondes et en une micro de seconde je suis dans ma chambre, fouillant après des vêtements propres. Aaaaah, voilà ce que je cherchais. Je sors un ancien jeans à la jeune femme, ainsi qu'un top et, vous n'allez jamais le croire, des sous-vêtements ! Quand j'étais partis, dans ma précipitation, j'avais choppé des vêtements à elle, les confondants avec les miens ! Je vous jure, c'était pas fait exprès... Bref, je reviens près d'elle et dépose les vêtements sur le coin de l'évier. « Voilà, normalement tout est là. Prends ton temps, je vais voir ce que je peux faire à manger. » Je souris légèrement et, après quelques secondes, je sors de la pièce. J'avais eu la brillante idée de faire des courses, pas pour moi, non, mais Hope avait prit l'habitude de squoiter mon frigo. Elle pensait que je ne le savais pas, mais bon, ce n'était qu'une gamine du coup je la laissais faire... J'ouvre mon frigo et remarque une brique de lait ouverte, du fromage entamé et un saucisson sans son emballage. « Hope...remballe la nourriture au moins ! » J'avais grogné ses paroles. Les gosses. Soit. Je sors deux morceaux de viandes, de la salade et des frites. Rien de bien difficile à faire, mais je me voyais mal faire un repas qui dure des heures en préparations... je craignais qu'elle ne bouffe la viande crue !
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Mer 13 Avr - 23:07
I can't ignore you anymore. « Bah, t'oublier c'est carrément impossible pour moi. » Je le regardais dans les yeux, sans trop savoir comment réagir. Se rendait-il compte de l'importance de ses paroles ou justement utilisait-il sciemment ceux-ci pour m'attendrir ? Ces douces paroles lui venaient-elles naturellement ou se forçait-il à se montrer attentionné envers moi afin que je le pardonne plus rapidement ? J'arrêtais de réfléchir sur ce sujet lorsque nous arrivâmes dans sa voiture, bah dites donc, il ne se faisait pas chier ... J'esquissais un petit sourire tout en montant à bord. Sur la route, alors que j'aurai pu croire que l'ambiance serait étrange, nous entamâmes une conversation des plus banales et c'était très déroutant. Il y a seulement quelques jours j'ignorais totalement qu'Aétios se trouvait en ville, je lui avais hurlé dessus, criant à qui voulait l'entendre que je lui en voulais plus que tout au monde, que j'étais passé à autre chose et quelques jours seulement après je me retrouvais là, assise dans sa voiture en direction de sa maison. J'étais totalement perdue. D'un côté j'étais soulagée de pouvoir reparler à Aétios, de ne pas avoir à me forcer pour être naturelle avec lui, mais d'un autre je ressentais des choses que je pensais enfouies au plus profond de mon être. Je savais très bien ce que signifiait ces accélérations de battements de cœur lorsqu'il me regardait, je savais très bien pourquoi des frissons parcouraient mon échine lorsqu'il me frôlait. Je le désirai, de tout mon être, de toute mon âme. Mais je ne pouvais pas me laisser aller à mes pulsions, ça serait trop facile.
Après ce qui me semble durer une bonne demi-heure Aétios s'engagea dans un petit chemin qui ne payait pas de mine mais qui devait sûrement mener à une magnifique maison. Qu'elle ne fut pas ma surprise lorsque j'aperçus les traits d'un magnifique chalet en bois. Arrivée devant la porte d'entrée, je ressentis soudain une immense gêne, mon dieu mais qu'est ce que je faisais ? Sans m'en rendre compte je m'étais retrouvée chez lui. Chez lui. Le rouge me monta au joues et j'eus juste le temps de me ressaisir avant qu'il ne me fasse entrer, bon dieu, il fallait que je reste absolument maîtresse de mes émotions, quelle qu'elles soient.« Viens, je vais te montrer la salle de bain. » Je le suivis sans un mot, soudainement bien moins sûre de moi, je n'avais pas non plus l'air d'une vierge effarouchée mais je peux vous dire que je n'en menais pas large. Heureusement que je connaissais Aétios, il ne lui viendrait jamais à l'idée de faire quelque chose d'irresponsable. Quoi que ... Je commençais à paniquer à cette idée lorsqu'il me surprit en me faisant signe d'attendre. Il revint avec un petit tas de vêtements qui m'appartenaient autrefois. Mais ... Il avait gardé ça ? Je l'observe sans bouger, trop mal à l'aise pour faire le moindre mouvement. . « Voilà, normalement tout est là. Prends ton temps, je vais voir ce que je peux faire à manger. » Je hoche la tête tout en fixant la pile de vêtement. Mais merde on croirait une lycéenne. J'affichai alors un petit sourire de façade et lui lançais d'une voix mal assurée. « Merci beaucoup ... Pour tout. » Je le regarde timidement tandis qu'il quitte la salle de bain en refermant la porte derrière lui. J'attendis quelques secondes avant d'enlever mes vêtements que je jetais dans un coin de la salle de bain, prévoyant de les jeter par la suite. Vue l'état où ils se trouvaient, ils étaient irrécupérables. J'entrais rapidement dans la cabine et allumais le jet d'eau chaud à fond. La sensation de chaleur sur ma peau détendit mes muscles et me fit un bien fou tandis que je m'extasiais sur l'odeur du gel douche, heureuse de pouvoir enfin être propre. Je sortis de la douche après un bon quart d'heure de nettoyage et m'enfonçais dans une serviette moelleuse. J’enfilais rapidement mes vêtements, remarquant par la même occasion que je rentrais encore parfaitement dedans après une année.
Hild'▲ AétiosC'est déjà une preuve d'attachement que de pouvoir se supporter. « Merci beaucoup ... Pour tout. » Je croise son regard timide, alors qu'elle semble vraiment mal assurée. Ça ne lui ressemblait pas, j'avais souvent fréquenté Hildred, assez pour reconnaître ses mimiques et lire sur son visage comme elle lisait en moi. Cette Berserkers avait toujours eu le don pour me cerner, comprendre mon humeur en un seul regard, au simple fait de croiser mes yeux et de ressentir la tension en moi comme si elle était évidente. Je souris légèrement et je sors de la pièce, fermant la porte derrière moi. C'est étrange comme situation, pourtant, elle me semblait tellement familière. Je vais donc m'activer dans la cuisine, sortant assez de nourriture pour, ben, une berserkers quoi. Oui, cette espèce à un foutu appétit un peux comme les stryge, sauf que nous, nous buvions plus de sang que nous ne mangions de nourriture humaine. Je me souviens cas l'époque, je me forçais régulièrement à manger avec elle pour paraître mon différent...malgré tout, la bouffe n'avait généralement aucun goût dans ma bouche, me laissant une sensation étrange et assez désagréable. Puis, quand on ouvrait le frigo, dans le fond, il y avait des poches de sang. Oui, nous formions un couple assez organisé et étrange. Elle m'acceptait comme j'étais et vice versa, nous étions différents, mais nous nous aimions et c'était ça le principale. L'odeur de la viande en train de cuire ne me fit pas grand chose, je m'étais nourri un peux avant dans la journée, du coup, je n'étais absolument pas affamé. Puis, je m'étais nourri directement à la source, ce qui était franchement plus nourrissant. J'entends l'eau de la douche arrêter de couler et je devine que la jeune femme a terminée de se laver. D'ailleurs, quelques minutes plus tard, la porte s'ouvre et des bruits de pas résonnent dans le couloir.
« J'AI TROP FAIIIIIM ! » Je ris légèrement alors que je l'avais entendue arriver. Décidément, à ce niveau-là elle n'avait pas changée. Quand son ventre crie famine, elle ne peut s'empêcher d'être impatiente. Je tourne légèrement les yeux, un sourire sur le visage. « Navré mademoiselle, je ne peux pas cuire plus vite, c'est ça où tu mange cru.. » Je la sens venir au dessus de mon épaule et je lève les yeux au ciel avec un amusement certain. Une vraie enfant quand elle s'y mettait, mais c'était ce qui m'avait manqué le plus chez elle. Ça et son corps bien sur, mais je n'allais pas non plus avouer cette dernière chose, ça aurait été vachement déplacé. « Oh mon dieu, tout ça pour moi, je vais exploser si je mange tout ça ! » Je l'entends sautiller sur place et je ricane, tournant mon regard une nouvelle fois vers elle. Bon, j'avais peut-être abusé sur la quantité, surtout que je n'allais pas manger avec elle. Mais, disons que je préférais faire trop que pas assez, après, elle allait râler parce qu'elle avait encore faim et je me serais retapé la cuisine une seconde fois. Pas que je n'aime pas cuisiner, mais je n'en avais pas spécialement l'habitude. En général, j'achetais des plats préparés pour la gamine, histoire qu'elle bouffe autre chose que du saucisson et du fromage... pas de sucreries ici, fallait pas trop en demander non plus ! « Tu mangeras ce que tu sais manger, le reste ira dans le frigo où à la poubelle. Puis, vu le bruit que fait ton ventre, je ne doute pas de la quantité de nourriture que tu vas ingérer. » Elle pouffe légèrement et s'éloigne dans le salon, alors que je continuais à cuisiner, passant d'un plat à un autre, finissant la salade et la cuisson.
« C'EST PAS ENCORE PRÊT ?? » Au moment même où elle hurlait cette phrase, je finissais de dresser son assiette et je levais de nouveau les yeux au ciel. Impatiente petite chose ! En une fraction de seconde je me tenais derrière elle, très proche. Une main passant au dessus de son épaule, tenant son assiette devant son nez, alors que son odeur venait me frapper de plein fouet. Oh mon dieu, j'avais oublié qu'elle sentait aussi bon. Enfin, encore plus quand il n'y a pas la puanteur du sang séché, de la boue et de la crasse. « Mademoiselle est servie. » Dis-je assez proche de son oreille, alors que mon propre estomac se tordit devant cette foutue proximité. Bordel, elle avait le don pour éveiller en moi des instincts primaires dont je me serais bien passé là de suite. Ça serait pas l'affaire que je lui saute dessus. Non, non, non, contrôle total, retiens toi, respire, pense à autre chose... Plus facile à dire cas faire. J'attends qu'elle prenne son assiette et je la contourne, m'éloignant légèrement de cette silhouette qui me faisait perdre tout mes moyens. Je passe une main dans mes cheveux, retournant dans la cuisine pour prendre une bouteille de vin. Ouf, Hope n'y avait pas touchée, heureusement, sinon j'allais la massacrer ! A son âge on picole pas ! Peut-être qu'elle aurait prit ça pour du jus de raisin...Non, quand même pas, elle n'était pas stupide cette gosse. Je prend deux verres identiques et reviens dans le salon, déposant un de ceux-ci devant-elle. « Non, avant que tu ne me fasse la réflexion, je n'essaye pas de te soûler. » Je souris de nouveau et rempli nos verres. « Si tu permet, je vais me changer. »