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(flashback) I reckon that I'm confessing her body is just a blessing. // ft. Zohra [Terminé]

 :: Archives des rps

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(flashback) I reckon that I'm confessing her body is just a blessing. // ft. Zohra [Terminé] EmptyDim 22 Nov - 16:15
Her body is a blessing...
And her smile is like a chemical extract of perfection. Δ Nujabes (ft. Cise Star)

« File-moi un vodka martini... au shaker, pas à la cuillère. »

Il avait pourtant pris le bon ton, fait un clin d’œil devant le gamin. Mais devant l'air bovin du jeune barman qui n'avait visiblement pas saisi la référence et qui n'avait sans doute jamais entendu parlé d'un tel cocktail, l'air exaspéré de Kassim n'en fût que plus appuyé.

« Laisse tomber... Un whiskey. »

Le Stryge soupira. Tandis que l'alcool coulait dans son verre, il jeta un regard circulaire à l'endroit où il se trouvait. Tamisé et ponctué de couleurs, le cabaret accueillait ce soir toute un tripotée de clients tous plus différents les uns que les autres. Mais surtout des gros pontes locaux, de vieux rats au cigare fumant, et à la verbe facile quand quelques bouteilles étaient soufflées. Rien de bien inconnu aux yeux de l'ange noir. A l'époque, lui et Darwin (puisque ce nom lui plaisait tant...) avaient en main bon nombres de maisons closes de ce genre, où les limites étaient poussées bien plus loin qu'un simple spectacle de jolies jeunes femmes à moitié nues. Tu te ramollis, avait-il pensé en poussant les portes des lieux pour la première fois. Trois jours désormais qu'il fréquentait ardemment le Crazy Darwin, ne serait-ce que pour appuyer son autorité en tant que fils du patron. Une notion que lui et le propriétaire des lieux étaient les seuls à comprendre... et qui les liaient davantage. Le père et le gosse. Avec le temps, cette différence s'était plus ou moins gommée, même si leur dépendance mutuelle restait évidente. Et qu'ils étaient tout deux arrivés à la conclusion que l'un sans l'autre, la vie était véritablement chiante à mourir.

Ainsi, depuis ces quelques semaines, c'était Jack Daniels en main qu'il arpentait les couloirs de l'immense cabaret. Tout chez Titus était démesure et grandiose, ce qui n'était pas pour déplaire au Stryge. Mais même s'il était très friand de numéros pailletés et autres danses exotiques, à force de les voir et revoir, celui-ci commençait à s'en lasser. Jusqu'à ce soir-là, du moins.

Il lui était parvenu à l'oreille qu'une jeune femme surprenante officiait ce soir sur les planches de la scène. Kassim en ignorait tout et c'était piqué d'une curiosité certaine qu'il était venu ce soir, alors que l'humeur en elle-même lui disait d'aller errer ailleurs à la recherche d'autres lieux de stupre.
Il s'assit plus confortablement sur le tabouret de bar quand les lumières baissèrent et que la musique retentit au sein de la salle. D'abord lente, imposante, puis éclatante. Un peu comme cette lumineuse créature qui fit son entrée en scène.
Ce qui frappa d'abord le Stryge fût son aisance. Sa manière de bouger. Quand elles n'étaient que belles et que la danse n'était pas forcément leur truc, le premier réflexe était de les mettre dans des numéros de groupes, afin qu'elles apprennent de leurs collègues plus expérimentées. Mais à la regarder, cette jeune femme captait l'attention d'ondulations si lascives, si précises, que l'érotisme naissant de chacun de ses gestes charmait même les projecteurs la baignant de lumières, tantôt franches, tantôt plus intimes. Elle avait du bagage en matière de séduction corporel...
Sirotant l'alcool offert, les yeux sombres de Kassim restaient fixés sur cette sirène inconnue au bataillon, belle de peau caramélisée, par les paillettes et les artifices. Mais elle était belle. Il devait bien l'avouer. Bien plus que ce qu'il s'était attendu à voir. Alors qu'à l'époque il choisissait tout deux les filles travaillant pour eux selon leurs goûts communs, il semblerait que le blond était à-même de faire ça seul... et rudement bien, qui plus est.

Bien qu'un détail le chiffonna, peu après que le numéro se termina et qu'il applaudit autant que les autres.

Elle n'était pas humaine, oh ça non...

Un coup d’œil, les instincts décuplés, fermer les yeux un instant... et deviner.

Faë.

Maintenant... Il ne restait plus qu'à découvrir laquelle. Et selon sa sous-espèce, elle viendrait apporter un peu de diversité à son tableau de chasse...

« Jolie prestation. », lui lança-t-il, le verre à moitié plein, tandis qu'elle venait elle-même commander quelque chose à l'inculte de barman qui officiait ce soir. « … Vous les avez tous envoûté. Et je dois bien dire... que je n'en mène pas large non plus. »

Son ton sirupeux se voulait tendre. Sa posture, confiante. Et son regard perçant, prédateur. Comme à chaque fois qu'il était enclin à attraper un joli spécimen entre ses griffes...

« Comment est-ce que Darwin vous a repéré ? Vous bossez pour lui depuis longtemps ? »

Et pour une fois, ce n'était pas paré d'une fausse sincérité qu'il disait ces mots.
© GASMASK


Dernière édition par Kassim Aydogan le Sam 6 Fév - 14:44, édité 1 fois
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(flashback) I reckon that I'm confessing her body is just a blessing. // ft. Zohra [Terminé] EmptyMar 24 Nov - 20:08
I reckon that I'm confessing her body is just a blessing. // Kassim & Zohra
Si j’avais parfois des doutes sur l’efficacité de mes numéros au Crazy Darwin, il n’y avait qu’à plonger mon regard dans la foule amassée à mes pieds pour voir à quel point « l’exotisme » de ma prestation pouvait satisfaire les clients du cabaret. C’était ce que le patron voulait. De la fraîcheur, du fruit et du lolo bien équilibré qu’il disait… étrange type que celui-ci, sans compter sa bonne femme. Mais après un an à le côtoyer je devais bien avouer qu’il n’était pas si mauvais que cela, juste un peu perturbé sans doute, comme la plupart des Occidentaux que je pouvais croiser en ce lieu de débauche calculé. Mais sur scène, j’exultais. Il n’y avait rien de mieux que de sentir le bois sous mes pieds nus après le long rituel que constituait chaque soir la préparation. Ajuster les tissus particuliers de mes vêtements, choisir les bijoux, en placer dans les cheveux. Profiter des parfums des tenues, des maquillages qui pullulaient sur la coiffeuse de ma loge, les rires et parfois les éclats moins joyeux des autres filles… c’était une ambiance particulière qui me convenait. Plus que cela même, puisque de cette manière, je retrouvais un peu les émotions de chez moi où la vie quotidienne se parait de célébrations diverses. Loin des autres établissements de ce type, ici j’avais au moins la chance de pouvoir choisir mes numéros, et d’y infuser un peu de cette culture qui faisait encore et toujours partie de ma vie malgré l’éloignement volontaire de ces deux dernières années. J’avais quitté mon pays natal, ma famille, pour une continent bien différent… mais je ne laissais pas ma culture derrière moi pour autant. Pas tout à fait. Restait-les bons côtés, ceux qui me manquaient et que je pouvais mettre en avant au Crazy Darwin. Même si c’était étrange de ce dire que les traditions qui m’avaient vu grandir devenaient maintenant une source de fantasmes exploitable. Grand nombre d’hommes laissaient les chimères exalter leurs sens, ils émanaient alors littéralement. Désir, frustration, sensualité parfois, excitation pure moins rarement… Autant d’émotions que je n’avais aucun mal à cueillir dans les airs pour nourrir mon appétit de Nuckelavee. Et ce soir, il y avait aussi de l’impatience dans cette assemblée. Car la plupart attendait la nouveauté que Darwin avait promise à tous.

Et il fut facile de charmer l’assemblée d’homme aux regards tous tournées vers moi à mesure que la musique battait son plein. Moderne, elle était parfaite pour la chorégraphie simple mais efficace que j’avais mise en place pour le public du Crazy Darwin. Et les consonances Indiennes, les tambours donnaient les impulsions nécessaires pour que mon corps suive un rythme fougueux et sensuel à la fois… l’équilibre des forces, le Seena kee santulan dans la danse, comme me l’avait toujours enseigné ma mère et mes tantes. Et au Canada, je n’avais eu aucune difficulté à le trouver, cet équilibre. Entre la tradition de mon peuple dont les danses pouvaient être aussi lascives qu’énergiques, et les mouvements modernes qui exaltaient les sens, l’impudeur de mon pays d’accueil. En réalité, l’imbécile qui m’avait surnommé Delhi Shakira n’avait pas vraiment tort, c’était la même foutue recette… sauf que je ne rugissais pas gravement d’une voix de mécano enroué. Après ma prestation, les lumières surchauffant la scène s’éteignirent et les ovations ne mirent que quelques secondes à s’élever. Les voix masculines faisant vibrer le cabaret, comme à chaque fois qu’un numéro s’achevait. La joie et l’exaltation… C’était ce que je préférais… sans attendre, j’étais alors descendus en laissant quelques types me porter jusqu’à terre et profiter de ces émotions si fortes que je dévorais sans même en avoir l’air. C’était l’heure du repas, et de la récolte… puisque passant entre ces hommes aux regards libidineux, la pluie de billets visant directement mon haut de danseuse indienne ou ma ceinture de tissus honorait déjà ma prestation. Visiblement ce soir, ils avaient tous appréciés le show, et pour mes finances, c’était vraiment une très bonne chose. Après un petit tour de piste visant à alléger leurs portes monnaies pour garnir le mien, je m’étirais langoureusement pour attirer le regard d’un des plus généreux donateurs du cabaret, avant de me diriger lentement vers le bar… là, s’y trouvait un certain nombre de personne dont un type qui rôdait depuis quelques temps au cabaret, et que les filles désignaient comme le fils du patron. Chose qui me semblait encore très étrange il y a quelques jours encore… avant que Willow ne me révèle l’identité de Kassim Aydogan, changé en Stryge par Darwin lui-même. La famille de dégénérée… « Jolie prestation… Vous les avez tous envoûté. Et je dois bien dire... que je n'en mène pas large non plus. »

Lui répondant avec une expression plus ou moins chaleureux, j’évitais son regard un instant le temps de commander à boire.

- Un Gin Tonic, Hendrick's si tu as, ou sinon un Bombay Sapphire. Concombre avec le Hendrick's et citron vert avec le Bombay… merci l’ami.

Lentement, je laissais un sourire lumineux apparaitre sur mon visage pour amadouer le barman qui n’était pas non plus la flèche du siècle et renâclait parfois à la tâche. Puis revenait avec un léger soupire vers l’étrange gamin de Darwin juste au moment où ce dernier s’adressait à nouveau à moi. « Comment est-ce que Darwin vous a repéré ? Vous bossez pour lui depuis longtemps ? » Laissant un léger silence marquer les quelques secondes qui suivirent, je l’observais avec grande attention. Il avait l’air très assuré… Typiquement le genre d’homme que l’on croisait ici chaque soir et malgré sa belle allure et son charme évident, quelque chose de plus étrange se dégageait de lui. Mes sens étaient toujours en éveille un moment après m’être nourrit, et ma sensibilité actuelle me laissait entrevoir chez lui une ombre… Une ombre qui contenait des sentiments en contradiction avec ce qu’il montrait de lui et attirait déjà ma curiosité. Puis l’impression s’estompa, je la laissais partir et je ne manquais pas de répondre avec panache :

- Cela fait déjà deux questions pour vous Monsieur Aydogan alors que, la bienséance voudrait sans doute que vous vous présentiez. Vous ne pensez pas ?


D’accord, cela pouvait passer pour de l’insolence, et sans doute en était-ce. Mais bon nombre d’hommes trouvaient cela attirant chez … ‘une fille comme moi’. En jouer ici était une habitude. Tournant sur le haut tabouret de bar, croisant mes jambes dénudées par ma tenue de scène, je lui faisais face non sans une attitude relativement mielleuse qui faisait en général la joie de Darwin et de sa clientèle.

- Et ce même si votre réputation vous précède. Le tombeur de Darwinette…

   
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(flashback) I reckon that I'm confessing her body is just a blessing. // ft. Zohra [Terminé] EmptyVen 11 Déc - 15:02
Her body is a blessing...
And her smile is like a chemical extract of perfection. Δ Nujabes (ft. Cise Star)

Avec le temps, le Stryge avait acquis la fâcheuse tendance de se croire bien trop sûr de lui concernant la gente féminine. Si les êtres avaient changé avec le temps, lui restait égal, fidèle à ses convictions de séducteur. Il agissait en prédateur suave, prêt à refermer les crocs sur la moindre faille que sa proie laissait à vue. Les années lui avaient gracieusement donné un certain bagage, renforçant la confiance qui naissait en lui lorsque l'appétit, si vorace, meurtrissait ses propres chairs, avide de goûter pleinement au plaisir sous toutes ses formes. Et ainsi, Kassim Aydogan se laissait aller au rôle de celui qui attire, celui qui est certain de ne rien lâcher, et dont les compétences parleraient d'elles-mêmes.
Aussi, il savait qu'il parviendrait à la convaincre de le rejoindre. Garder cette attitude basée sur des instincts à vif... et laisser le charme des lieux opérer. N'y avait-il pas plus intime que deux tabourets de bar accolés l'un à l'autre ?
Alors qu'elle évitait soigneusement son regard pour commander à boire, lui, gardait toute l'intensité du sien. L'avoir si proche ne faisait que décupler l'aura qui faisait vibrer son estomac, cette odeur particulière que seuls les petites créatures de la cour parvenaient à faire flotter dans l'atmosphère. Une ombre de sourire flottait sur son visage, et il faillit noter l'humour de la demoiselle de demander un Bombay Sapphire vu la teneur bollywoodienne de son numéro... et l'accent intéressant qui se dégageait de ses paroles.
Elle se tourna à nouveau vers lui. Pour superbement ignorer ses questions. Ce que cet aplomb dégagea chez lui ne fût qu'une curiosité encore plus viscérale, ancré au plus profond de ses envies. Quelle jolie créature...

Elle le fit presque éclater de rire devant ce surnom ridicule. Le tombeur de Darwinettes... Vraiment ? C'était ça, sa réputation ? Bah. Les gens pouvaient bien dire ce qu'ils voulaient, s'ils n'avaient que ça à faire, après tout, de s'occuper à baver sur de pauvres casanovas... qui assumaient pleinement leurs actes. Kassim n'avait plus peur de ses actions, ni de leurs conséquences. Le sage enfant reclus ne redoutait plus le fouet, mais l'attendait, avec provocation et décadence. C'était tout ce qu'il avait trouvé pour embrasser sa nouvelle existence à pleine dent, et il comptait bien faire hurler les autres au scandale. Pour exister. Et jouer jusqu'à en mourir.
Alors, il pouffa, haussa légèrement les épaules et planta son regard dans le sien, à défaut de laisser ses yeux crapahuter gaiement sur le corps de la danseuse. Pour l'instant.

« Il semblerait que les présentations soient inutiles, et que vous accordiez le moindre crédit à ce que l'on dit de moi. Je vous rassure : tout est vrai, mademoiselle. Et encore... vous ne savez pas tout. », déclara-t-il, alors qu'un trait d'alcool glissait à nouveau contre les parois de sa gorge. La bibine locale n'était vraiment pas d'une qualité exceptionnelle... Où était donc passé les millésimes d'antan, chargés de si beaux chants ? Le monde partait à vau-l'eau...

Le sourire de Kassim ne quittait pas sa bouche légèrement ivre. Ce n'était qu'un jeu de ping-pong anodin entre eux, alors que l'univers du cabaret battait son plein autour des deux créatures. Le palpitant du stryge sonnait durement, comme s'il était prêt à faire un immense carnage de ces âmes dansantes. Non. Pas ici. Il devait se contrôler, apprendre que sa raison devait demeurer plus forte. En sept-cent ans pourtant, pas une journée ne s'était écoulée sans qu'il se batte contre lui-même, et ses abus. Son point de rupture.
Ainsi il choisit cette danseuse comme repère pour ignorer le cohue entraînante. La fixant quelques secondes, il finit par détourner à son tour le regard, inconsistant dans ses désirs. Le Stryge fût cependant surpris de trouver son verre vide, seul sur le comptoir, et décida de tourmenter un peu le petiot.

« Eh, Paul-Kevin, file-moi la même chose que la demoiselle. Et applique-toi, t'es aussi mou que Jabba derrière ton bar... bon, celle-là, tu l'as saisi, ou faut vraiment que j'refasse toute ta culture cinématographique ? »

Le gamin tremblotait, et faisait n'importe quoi avec les dizaines de bouteilles composant l'arrière du bar. Franchement... il n'était pas fait pour ça. Kassim espérait qu'il pourrait se charger de son cas, et pensait d'hors et déjà demander la permission à Darwin pour punir ce petit loup. Mais ce serait pour plus tard. Les cocktails servis, il saisit le sien, le regarda sous quelques angles différents, avant de le délaisser. De nouveau enclin à en savoir plus, Kassim se rapprocha légèrement d'elle, soutenant ses yeux sombres des siens, tout aussi bruns.

« Je me présente donc, puisque votre bienséance ô combien sacrée l’exige. Kassim. Et il va sans dire que je ne sais rien de vous... alors à vous de jouer. Et n'omettez aucun détails... »


Il se recula subitement, croisant les bras sur son torse, comme particulièrement attentif au moindre mot que la jeune indienne lui sortirait, ce même sourire malin décorant ses traits.

Et pour une fois, ce n'était pas paré d'une fausse sincérité qu'il disait ces mots.
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(flashback) I reckon that I'm confessing her body is just a blessing. // ft. Zohra [Terminé] EmptyVen 18 Déc - 14:38
I reckon that I'm confessing her body is just a blessing. // Kassim & Zohra
« Il semblerait que les présentations soient inutiles, et que vous accordiez le moindre crédit à ce que l'on dit de moi. Je vous rassure : tout est vrai, mademoiselle. Et encore... vous ne savez pas tout. »

Je pouvais comprendre que son attitude plaisait à quelques-unes des danseuses, ou à n’importe quelle femme en réalité. Il respirait l’assurance, et se dégageait de lui un charme qui semblait parfaitement calculé. L’aspect qu’il avait, était celui de l’un de ces hommes possédant un trop plein de confiance, une sorte de maîtrise et de contrôle qu’il devait exercer avec fort peu de bienveillance d’ailleurs. Et quand on connaissait l’oiseau Darwin, il semblait évident que celui à qui il avait offert l’immortalité ne devait pas être un ange de vertu et de clémence. L’attention de Kassim pourtant, était agréable à capter. Parce que justement, il avait une audace qui flattait et une aura puissante. Et qu’il était plutôt bel homme… Mais son attitude restait en mon sens, légèrement trop… Juste ‘trop’ en fait. J’avais l’impression qu’il en faisait des tonnes, qu’il cherchait à épater la galerie l’air de rien, faisant passer ses actes pour totalement justifiés. J’avais eu l’occasion de l’observer ces derniers jours, mais surtout d’entendre parler de lui. Et malheureusement, le charme n’opérait pas ce soir, entre lui et moi. Il était bien trop arrogant pour que charisme et magnétisme suffisent à me donner envie d’en savoir plus. Surtout qu’il se tourna bien vite vers le serveur, et ce qu’il lui lança me fit définitivement perdre les quelques faveurs que je lui concédais encore, puisque l’idée de lui laisser une chance ne m’avais pas quitté jusque-là. « Eh, Paul-Kevin, file-moi la même chose que la demoiselle. Et applique-toi, t'es aussi mou que Jabba derrière ton bar... bon, celle-là, tu l'as saisi, ou faut vraiment que j'refasse toute ta culture cinématographique ? »

Loin de rire, je restais désormais droite et je le fixais sans réelle émotion. Juste avec une légère suffisance, ou juste une très faible expression semblable à de la déception. Les gens avaient souvent cet effet sur moi. Ils venaient, je leur accordais le bénéfice du doute, mais globalement ils ne méritaient pas une attention accrue. C’était surtout le cas au Cabaret, où tous venaient avec des intentions toutes semblables, attirés par la luxure, la débauche… ou abimés par l’argent, la solitude, la profusion des lieux où les sens se laissaient berner. Le cabaret en était un, c’était du spectacle, juste de l’illusion. Et pourtant cela suffisait à faire des hommes, les instruments des nombreux désirs sinistres. Ils se laissaient manipuler… Mais Kassim, je le sentais, n’était pas de ceux-là. Il n’était pas manipulé, il assumait juste pleinement sa nature. Ce qui le rendait inexcusable. Il s’approcha ensuite de moi, plongea son regard dans le mien alors que je le maintenais avec une certaine curiosité. Qu’allait-il faire après cette démonstration de stupidité ? Je lui souriais néanmoins, consciente qu’il allait sans doute entrer dans le vif du sujet. « Je me présente donc, puisque votre bienséance ô combien sacrée l’exige. Kassim. Et il va sans dire que je ne sais rien de vous... alors à vous de jouer. Et n'omettez aucun détails... » Gagné ! Sans attendre, je lâchais un soupire en m’approchant à mon tour de lui. Enfin, ce mouvement pouvait être considéré comme une approche, si l’on ne prenait pas en compte le fait que j’étais obligée de passer par celui-ci pour glisser du tabouret.

- Parfait, je ne vais pas omettre de partir, donc. Je n’aime pas perdre mon temps.

Lui adressant alors le plus beau de mes sourires, je le fixais presque avec ironie. Non, je n’avais pas la moindre envie de lui raconter quoi que ce soit, et encore moins de passer du temps avec un individu aussi exécrable. Même si dans le fond, j’étais quelque peu accrochée par son regard… il cachait quelque chose. J’en avais vu, des regards… et ici au cabaret, ils livraient souvent bien plus qu’ils ne le souhaitaient. Avec le temps, j’avais appris à les reconnaitre. Et le siens avait quelque chose qui m’indiquait qu’en grattant, j’aurais certainement moins de mal à le considérer comme écœurant. Mais quand bien même… le bénéfice du doute, je l’accordais à ceux qui ne dénigrait pas les autres pour se sentir puissant.

- Parce qu’en général, je préfère quand je retire du plaisir à quelque chose. Vous-voyez ? Comme cette conversation… ou n’importe quoi d’autre d’ailleurs.
Sur ce, je saisissais mon verre pour me tourner ensuite vers le jeune serveur en lui adressant un clin d’œil qui se voulait complice et un sourire rassurant. Le pauvre semblait totalement dans l’angoisse, c’était bien sa veine.

- T’inquiète pas mon lapin, tu ne pourras pas servir plus détestable que lui. Continue comme ça, tu t’en sors très bien.

Sans attendre, je m’imprégnais de la musique ambiante et du rythme qui faisait vibrer jusqu’au liquide bleu glacé dans mon verre. Je bougeais doucement, pour attirer les regards des clients et leur faire comprendre que j’étais disposée à passer du temps avec celui qui allongerait le plus. C’était le jeu de celui qui pissait le plus loin, ce que Darwin appréciait puisque souvent, ça lui rapportait gros. Je m’éloignais alors du bar, tournant le dos à Kassim pour porter mon regard sur un client régulier, puis un autre qui m’était inconnu, jetant une dernière fois avant de m’éloigner vers le deuxième :

- Mais il ne faut pas lui en vouloir, la timidité est certes le défaut des petits hommes et mais celui des riches, c’est plutôt de se croire fins avilisseurs.


 
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(flashback) I reckon that I'm confessing her body is just a blessing. // ft. Zohra [Terminé] EmptyMer 30 Déc - 18:29
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Voilà qu'elle jouait avec lui comme il s'amusait des autres. D'une bataille perdue, il en avait fait sa propre guerre, et lorsqu'il la vit quitter le comptoir du bar, son esprit n'était focaliser que sur une seule chose : conquérir.
Paul-Kevin – ou peu importe son véritable nom en réalité – tremblait toujours derrière le bar. La peur la fatigue parvenaient à agiter les instincts du Stryge et s'il n'avait pas été dans le cabaret de son père, ce gamin aurait terminé comme gueuleton d'un soir. Mais le petiot était chanceux. Kassim avait la tête à autre chose.
Une chose qui se laissait désormais désirer, sous les ondes entraînantes de la musique environnante. Elle usait de ses charmes particuliers, dont l'effet se fit rapidement voir sur le visage des vieux libidineux. De pauvres tas de chairs qui n'avaient rien d'autre pour rêver que les créatures comme elle. C'était presque triste, de voir cette lueur dans leurs yeux s'allumer dés qu'elle passait langoureusement devant eux. Son cocktail en main, Kassim observait ce nouveau spectacle, avant que, lassé, il ne délaisse sa boisson et quitte à son tour ce coin trop calme à son goût.

Lui aussi connaissait les règles de la maison. Cela fonctionnait à qui avait le plus gros porte-feuille, et qui avait assez d'appétit pour tenir toute une soirée en compagnie de telles beautés. Il se trouvait que Kassim se targuait d'en avoir assez pour combler tout ses propres désirs. L'argent était devenu, avec le temps, une denrée secondaire tant il était parvenu, aux côtés de Darwin, à en faire un allié de poids. Presque une ombre qui lui collait à la peau.
Alors ils pouvaient crâner, ces petits PDG véreux, mais ils clamseraient comme tout les autres. Tandis que son pactole à lui serrait éternel. Pas de bol, hein ?
Quelques pas, et il se trouva près de la jeune femme. Rapidement il repéra les deux hommes qui bavaient littéralement sur la faë. L'un d'eux lui souriait comme un vieil ami. C'était lui qu'il attaquerait en premier. Il glissa cependant au préalable un murmure suave dans l'oreille de la jeune indienne :

« Je dirais plutôt que le défaut des plus riches... c'est de n'avoir que ça comme pouvoir. »

Il tourna son regard vers le fameux « vieil ami », et dés que ses yeux croisèrent les siens, l'homme sembla prit d'une folle envie de ranger ses billets. Comme possédé, il se ravisa sur sa chaise et détourna le regard de la jeune femme, préférant fixer les bouteilles de champagnes alignées sur sa table. Pas peu fier, Kassim se tourna vers l'autre prétendant inconnu au bataillon et bien plus dégueulasse que l'autre, qui pouvait se vanter d'avoir au moins un bon lifting. Son hypnose agit à nouveau sur le pauvre quidam, qui laissa tomber son argent à son tour, et tourna toute son attention vers une bimbo blonde assise à une table non loin. Parfait.
Le Stryge finit par regarder l'indienne, et cessa toute hypnose cependant. Ce n'était pas drôle s'il gagnait ainsi, et de plus, ne sachant pas exactement de quel faë il s'agissait, il pouvait très bien tomber sur une sous-race insensible à son pouvoir. Il n'était pas particulièrement au courant de tout les mutants qui abritait cette Communauté... alors il restait sur ces gardes.

« Je crois qu'ils ont d'autres projets. C'est dommage. », lança-t-il, l'air des plus innocents, avant de sourire à la demoiselle. « Mais moi... j'ai tout mon temps pour vous. Et s'il n'y a que ça pour vous le faire comprendre... alors soit. »

Il glissa une somme conséquente en liquide dans la main libre de la danseuse. Sans doute plus que ce que ces deux minables mortels auraient pu lui apporter, même à deux. Et le même sourire léger continuer de flotter sur ses lèvres, tandis qu'il recula vers la piste.

« Rien qu'une danse, au moins ! Ecoutez-moi ça... ça ne vous donne pas envie de vous laisser aller à la musique ? »

Elle s'y connaissait, de surcroît. C'était un peu son métier de dompter son corps pour qu'il soit uni en cohésion avec le son. Son regard se fit légèrement plus insistant, et même s'il n'était pas sûr de gagner cette fois-ci... au moins, il aurait tenté de passer une agréable soirée en sa compagnie.

« Allez, ne vous faites pas prier... jolie petite fée. »
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(flashback) I reckon that I'm confessing her body is just a blessing. // ft. Zohra [Terminé] EmptyLun 4 Jan - 18:32
I reckon that I'm confessing her body is just a blessing. // Kassim & Zohra
« Il semblerait que les présentations soient inutiles, et que vous accordiez le moindre crédit à ce que l'on dit de moi. Je vous rassure : tout est vrai, mademoiselle. Et encore... vous ne savez pas tout. »

« Je dirais plutôt que le défaut des plus riches... c'est de n'avoir que ça comme pouvoir. »
J’aurais sans doute parié gros sur le fait qu’il reviendrait à la charge. Enfin … Peut être pas. Parce que j’avais en quelque sorte clos cette conversation rapide et légèrement tendue pour me tourner vers d’autres clients du Cabaret. Sans vouloir l’humilier, j’avais été honnête quand à mon impression sur lui et claire (du moins je le croyais) quand à mes intentions, mes envies quant à sa présence. Je n’avais pas envie de prolonger cette entrevue, je n’appréciais pas vraiment sa personnalité et sa manière d’agir envers les autres mais -parce qu’il y avait toujours un mais- quelque part, j’espérais un peu en découvrir plus et qu’il revienne donc vers moi. Les gens étaient rarement ce qu’ils montraient d’eux, et plus encore sans doute, lorsqu’il s’agissait d’un être immortel tel que lui. Son regard était expressif, il masquait beaucoup de chose. Mais je ne m’y étais pas attardée longtemps, et ne pouvait donc pas prétendre y avoir lu quoi que ce soit. Néanmoins, c’était intriguant. Il l’était du moins… avec son attitude qui me paraissait aussi naturel que factice. Alors, quand il était venu murmurer à mon oreille et malgré la suffisance de ses paroles, je ne parvins pas à réprimer un petit sourire exprimer ma satisfaction. Je ne savais pas vraiment si c’était lui qui avait mordu à l’hameçon, ou bien moi…

J’observais cependant son petit jeu de regard. Il évinçait petit à petit ses adversaires, et même s’il y avait de quoi être amusé, j’avais surtout l’impression d’être un simple morceau de viande que l’on se disputait. Ce qui n’était pas si rare que ça, surtout pas au Cabaret où justement il était d’usage de faire grimper les enchères mais… étrangement ce combat de coqs me déplaisait. C’était humiliant. Et la suite le fut encore d’avantage quand il reprit la parole. « Je crois qu'ils ont d'autres projets. C'est dommage. Mais moi... j'ai tout mon temps pour vous. Et s'il n'y a que ça pour vous le faire comprendre... alors soit. » Je ne bougeais pas alors qu’il glissait quelque chose dans ma main, mais dirigeais bientôt mon regard vers cette dernière pour constater que oui… il avait osé. De l’argent… évidemment. Et une somme coquette qui plus est ! Mais là encore, il avait tout faux, et n’arrivait qu’à me braquer d’avantage. « Rien qu'une danse, au moins ! Ecoutez-moi ça... ça ne vous donne pas envie de vous laisser aller à la musique ? Allez, ne vous faites pas prier... jolie petite fée. » Trop familier, trop narcissique… il avait tout pour me déplaire. Jusqu’à son expression qui respirait l’insolence la plus totale, chaque mot qu’il prononçait semblait être destiné à se montrer supérieur.

De dépit, je soupirais, et relevais le nez pour jeter l’argent en l’air avec un sourire faux. Sous une petite pluie de billets verts, je m’exécutais quelques secondes, sans détacher mon regard du sien. Quelques mouvements des hanches, des ondulations, des gestes lascifs et sensuelles… C’était scolaire (et oui (a)), juste une exécution calculée et sans le moindre intérêt puisque je n’y mettais pas mon cœur. Et cela faisait une différence importante. Après quelques instants, j’approchais à nouveau de lui, mais sans colère. Juste un peu de dépit alors que je l’observais avec une grande attention et un brin de compassion.

- Ecoutez, je ne suis pas une prostituée. J’ai au moins l’avantage de choisir à qui vont mes faveurs… Vous pouvez acheter beaucoup de choses avec votre argent mais si vous aviez été plus sincère, j’aurais été moins fade.

Sans vraiment m’en rendre compte, je lui adresserais une expression un peu légère, mais au fond un peu taquine également. Je ne savais pas si je me trompais sur son compte. Peut-être est-ce que je voulais voir chez certaines personnes, plus de qualités de cœur qu’elles n’en avaient…

- La prochaine fois peut être que vous trouverez le moyen de rendre les choses jolies ! Et là sans doute, j’éprouverais du plaisir à rendre le spectacle agréable et à charmer vos sens…



 
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(flashback) I reckon that I'm confessing her body is just a blessing. // ft. Zohra [Terminé] EmptySam 6 Fév - 14:44
Her body is a blessing...
And her smile is like a chemical extract of perfection. Δ Nujabes (ft. Cise Star)

Il avait demeuré impassible sous la pluie de billets verts, voletant autour d'eux comme tempête calmée. De part les lumières fusant dans l'obscurité, certains d'entre eux prenaient des teintes rougeâtres, orangées, parfois bleutées. Et parfois, ils retombaient au sol dans le noir le plus total, comme si tout ça n'avait que bien peu d'importance.
Alors que pour le Stryge, le geste de la faë en avait eu. Outre la provocation manifeste qui en découlait, c'était la force de caractère de la jeune femme qui l'avait touché. Malgré le fait que ses yeux sombres aient suivi chaque mouvement de la danse gracile qu'elle lui offrit en compensation pour l'argent jeté, il n'avait rien ressenti de particulier, si ce n'était une profonde envie de rire jaune. Elles étaient rares, ces femmes qui osaient le défier. D'une manière ou d'une autre pourtant, Kassim avait toujours trouvé un moyen d'obtenir ce qu'il désirait. Particulièrement depuis sa transformation, des siècles en arrière. Pour lui, les obstacles n'étaient que des mirages. Beaux, mais inutiles. A son sens... tout lui était dû.
Et ce que cette jeune femme venait de faire mettait à mal son ego surdimensionné, battit sur ce simple principe qu'il respectait à la lettre.
Sous les mouvements faussement lascifs, il n'avait fait qu'émettre un sourire en coin, cachant une certaine déception.

« J'étais peut-être sincère à ma manière. », déclara-t-il, croisant les bras sur son torse.

Sans doute l'avait-il été, oui. Sans doute avait-il été maladroit... sûrement, même. Mais Kassim ne connaissait aucune autre manière de procéder, ayant toujours fait passer les émotions au second plan lorsqu'il s'agissait de ses relations avec les autres. N'y échappait encore que Titus, cas spécial dans sa petite vie d'ange noir, qui avait droit à une palette bien plus vaste. Et qui avait bien plus de facilité à comprendre le cœur de son fils spirituel...

Haussant les épaules légèrement, il décroisa les bras et confronta les prunelles de la jeune indienne, aussi sombres que les siennes, bien qu'elles brillaient davantage d'une lueur qu'il ne connaissait plus. D'aussi loin qu'il puisse s'en souvenir, un tel éclat de vie ne l'avait jamais habité. Peut-être il y a longtemps, lors de son enfance, mais il avait mis au repos cette partie de sa mémoire. Ne laissant que les sensations douces, qui, parfois, le réconfortaient.

Il s'approcha d'elle, ne faisant rien d'autre que de l'observer. Elle lui parla de nouveau, et il ne pût s'empêcher de sourire, d'une manière bien moins moqueuse et hautaine que ce qu'il avait l'habitude d'afficher. C'était étrange, certes... mais il voulait la revoir.

« Vous pouvez dire ce que vous voulez mais… Le simple fait qu'il y est une « prochaine fois » me rassure, très chère. »

Il rit, et saisit sa main le plus doucement du monde, presque félin. Il n'y déposa qu'un petit baiser sur son dos, avant de la laisser tranquille. Ce contact, cependant, dura suffisamment de temps pour qu'il veuille l'imprimer dans la tête de la faë. Qu'elle ne l'oublie pas, du moins.

« En attendant, passez une bonne soirée. », déclara-t-il finalement, semblant devenu plus raisonnable. Non pas qu'il avait abandonné cette bataille, loin de là, il était plutôt résolu à planifier ses ressources pour la prochaine à venir. Pour, peut-être, gagner la guerre. Aussi, il s'éloigna d'elle et la salua d'un simple : « A bientôt... »

Et dire qu'il ne connaissait même pas son prénom.

Mais quelque chose lui disait qu'il n'allait pas tarder à en savoir plus d'elle...
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