❖ Ce qui ne te tue pas te rends plus fort ( Grosse Foutrerie)

Je suis arrivé(e) le : 03/01/2016

Berserker

Aodhan Caldwell

De la lumière naissent les ténèbres.

Nom : Caldwell, nom transmis dans sa famille depuis plusieurs générations de Berserkers, et aussi accessoirement, le nom d'une ville du Texas, d'un catalogue astronomique ou d'un célèbre peintre et illustrateur d'heroic fantasy américain.
Prénom(s) : Aodhan, prénom synonyme de délicatesse, sensibilité et d'émotivité. En théorie, parce qu'en ce qui le concerne, je ne choisirai pas ces adjectifs pour le décrire.
Âge : 34 ans, physiquement possédant une âme qui a vue tant d'horreur qu'elle pourrait en avoir le double.
Date de naissance : C'est vraiment utile ça ? Même ses anciens amis ne la connaissent pas ... Aller, le 16 septembre 1983.
Nationalité : Il est né aux Etat-Unis, de parents Canadiens et est donc Canado-Américain.
Origine(s) : Tous ses ancêtres étaient des Canadiens pur souche.
Alter-Ego : Grizzly, quoi ça ne correspond pas trop à son physique ?

Métier (études) : Depuis ce terrible drâme qui a changé à jamais l'homme qu'il était, il est membre de la garde royale.
Niveau social : Très aisé, il va s'en dire que la reine n'est pas ingrate.
Statut marital : Veuf.
Orientation sexuelle : Si cette perspective de sa personnalité l'importait encore, il se pourrait qu'il soit hétéro.

Avatar: TRAVIS SEXY FIMMEL
Crédits: Azrael
Personnage: ~~Scénario~~ | Inventé

Petites curiosités

Famille et proches - La famille d'Aodhan se résume à présent par son demi-frère, qui le déteste au plus profond de son être, son esprit perverti par une Stryge morte à ce jour et aussi à sa demie-soeur, Déborah qu'il tente d'éviter parce q'elle est capable de comprendre le mal qui le hante qu'il essai de cacher à tout prix. Avant, il pouvait dire qu'il avait fondé sa propre petite famille, seulement maintenant il se retrouve seul. Il possède bien sûr des cousins, oncles, et tout autre famille éloignée et dont il a coupé tout contact.

Maîtrise du totem - A ses débuts, l'animal totem d'Aodhan se faisait discret, simple présence dans son esprit, évitant de prendre part aux conflits intérieur du jeune homme. Le Berserker ne passa alors pas dans des états de pertes de contrôles comme pouvaient le faire la plupart de ses camarades, il ne devait pas partager son esprit avec cette bête qui se trouvait être juste une présence fantomatique dans son esprit. Jusqu'au jour où tout dérapa. Sa captivité forcée réveilla cette bête qui sommeillait en lui & dans les moments où il se trouvait être le plus faible, elle prenait pleine possession de son corps, créature emplie de haine et de rage, guidée par l'envie de faire couler le sang. Il découvrit alors cet animal qui habitait à présent totalement son esprit, indomptable, incontrôlable.

Sensibilité - Alors que son alter égo c'était terré dans ses premières années au fin fonds de son esprit, il prend à présent un malin plaisir à intervenir à n'importe quel moment, monopolisant l'esprit d'Aodhan. A la moindre contrariété, montée de colère, la bête fait aussitôt surface et l'homme doit faire tout son possible afin de le garder enfoui en lui, chose qu'il arrive à faire la plupart du temps, sans quoi il ne pourrait pas faire partie de la garde de la reine. Bien évidemment, Aodhan a déjà connu l'état de furie et n'ose se remémorer son aspect, mi-homme/mi-ours tellement elle fut effrayante. Lorsqu'il est sous sa forme de Fusion, l'esprit de l'homme s'endort et laisse toute la place à l'âme de la bête enragée qui prend alors le contrôle de tout son corps. Lorsqu'il reprend forme humaine, il prend couvent le temps de se remémorer chaque chose qu'il a fait sous sa forme animale et s'inflige mentalement d’éprouver des remords lorsqu'il est allé trop loin.

Points faibles - Probablement sa sensibilité face à son alter égo, au moindre changement d'humeur, il est capable de vriller complètement et de perdre le contrôle sur sa partie animale. Son demi-frère et sa demie-soeur, la seule véritable famille qu'il lui reste, sont aussi une faiblesse même s'il n'ose se l'avouer.

Caractère

Ceux qui ont connus Aodhan il y a plusieurs années auraient dit de lui qu'il faisait parti de ces hommes qui sont guidés par la joie de vivre, toujours animé d'une pure gentillesse et affichant un sourire à toute épreuve. Un père de famille remarquable, qui se distinguait par sa tendresse alors qu'il avait un physique de bûcheron, le cœur tendre il pouvait leur offrir monts et merveilles. Il se démenait pour leur donner l'enfance qu'il n'a jamais pu avoir. Et avec sa femme, aaaaah, il avait tout du prince parfait, le romantique dans l'âme, apportant un bouquet de fleur chaque jour, la plaçant sur un piédestal comme toute les femmes désiraient l'être. Personne n'aurait pu aimer Elena comme il l'aimait et elle le savait. Il avait tout pour être heureux et faisait le bien autours de lui. Il était l'une de ces rares personnes à posséder un cœur pu et bienveillant. Il partait du principe que nos actions définissaient qui nous étions, et que plus nous faisions le bien atours de nous, plus la vie nous récompensait. Et c'était vrai le concernant, il avait une petite vie tranquille, un métier stable, une femme magnifique et aimante, et deux enfants merveilleux, que demander de plus ? Voulant à tout prix être un exemple pour ses bambins, il leur inculqua ses valeurs de vies et passait tout son temps libre avec eux, chérissant chaque instants que la vie lui offrait.

Jusqu'au jour où toute sa vie bascula, où il passa du conte de fée à la violente réalité. Et il comprit alors que le monde était impitoyable, si sombre et si destructeur que même la plus forte des volonté ne pouvait rien faire contre la fatalité de la vie. Il comprit alors que l'on soit bon ou mauvais, on se fait toujours avoir. Alors à quoi bon faire des efforts pour être une personne bien si en retour la seule chose que l'on récolte est le malheur et la souffrance ?

Les épreuves de la vie changèrent totalement Aodhan, aussi bien au niveau de son caractère que sur son Alter égo. Alors qu'il était la bonté incarnée, il se retrouve maintenant à être l'un des gardes les plus impitoyable de la reine. Habité par la haine et la rage il n'éprouve aucune pitié ni aucune compassion envers les plus faibles. C'est la loi de la survie qui régie son esprit et seule sa loyauté envers la reine et envers sa faible famille restante qui le maintiennent en vie. La joie de vivre qui l'incarnait à laissé place à un vide total, un sombre néant au fond de son être qui fut combler par la présence oppressante de son animal totem, ses envies de vengeance et de sang devenue un doux refrain dans son esprit, lui évitant de repenser à cette dramatique période qui changea sa vie à jamais. Le tact est un mot inconnu à son vocabulaire, si bien que la plupart du temps ses paroles s'avèrent blessantes mais ont au moins le mérite d'êtres franches. La vie a fait de lui l'exact opposé de ce qu'il aspirait à devenir, et la fatalité dans ton ça, c'est qu'il n'en a plus rien à foutre.

Je suis arrivé(e) le : 03/01/2016

Histoire

Citation

Assit sur un fauteuil plutôt confortable, le genre de fauteuil que l'on retrouve chez tous les psychologue, d'une couleur qui en principe est fait pour vous influer de la confiance, placé face à un mur où sont étalés divers tableaux apaisants, Aodhan écoutait sans mot dire les questions que le Psychologue lui posait comme chaque mois. "Êtes-vous prêt à me dire quelque chose aujourd'hui ? Voulez-vous me parler de votre enfance ?" Fidèle à lui même, le Berserker garda le silence, envahi par des souvenirs qu'il aurait voulu gardé enfoui en lui.

" Aodhan, mais qu'est ce que tu es en train de fabriquer encore ?" Petit garçon, il était du genre folichon et ne pouvait tenir en place. Debout contre le mur de leur maison, il se cachait de ses parents, les mains sur les lèvres pour ne pas émettre le moindre bruit. Il savait qu'il avait fait une bêtise, mais vous savez, quand on est petit on est souvent guidé par des pulsions sorties de nulle part. Et là, il avait vraiment fait fort. Sa mère arriva dans son champs de vision et il se figea alors contre le crépis qui lui éraflait le dos. " Mais regarde moi dans quel état tu t'es mis ! C'est pas possible, j'en peux plus de toi !" La culpabilité s'empara alors du petit garçon qui baissa ses bras et vint se triturer les doigts. Il aurait voulu s'excuser d'avoir encore fait des bêtises, mais en même temps il s'ennuyait tout seul et il lui tardait que son petit frère arrive pour qu'il puisse jouer avec lui. Conscient que son visage devait être barbouillé du feutre indélébile noir qu'il avait trouvé sur la commode du salon, il ne pouvait nier l'évidence et échapper à la sanction qui allait s'ensuivre. Sa mère lui attrapa le bras avec une fermeté qui lui arracha une grimace de douleur et l'attira vers la maison, il essaya de s'échapper à sa prise, lui cria qu'elle lui faisait mal mais elle n'en avait que faire, fatiguée de ses bêtises à répétition. Elle l'emmena dans cette familière pièce sombre et humide où elle l'enfermait souvent pendant des heures, cette pièce où l'hiver il faisait extrêmement froid et où l'été il suffoquait tant la chaleur était oppressante. Il s'assit donc là, dans un coin de la pièce, et se recroquevilla sur lui-même, pleurant toutes les larmes de son corps face à l'incompréhension des réactions de sa mère.

Les souvenirs affluaient toujours avec violence, si bien que le Berserker devait faire preuve d'une grande maîtrise afin de ne rien laisser paraître. Il avait pour réputation de ne plus rien ressentir et il comptait bien faire en sorte que le psychologue conclu la même chose, bien qu'il pouvait se montrer fort persévérant après tout ces mois passés à lui poser les mêmes questions. Un regard sur son dossier qu'il devait sûrement connaître par cœur, il s'adressa de nouveau à lui. "Parlez moi d'Elena."

" Elena, veux tu faire de moi l'homme le plus heureux et accepter de m'épouser ?"Son regard planté dans celui de la femme qui partageait sa vie depuis seulement quelques mois, Aodhan était bercé d'un espoir sans pareil. Il en avait la certitude, cette Berserker qui avait croisé sa route dans une situation des plus originales était la femme de sa vie. Tout en lui soufflait cette affirmation comme étant la seule vérité possible. Elle était parfaite, dotées de chevux aussi blancs que la plus pure des neiges, d'un corps digne d'attirer tous les regards et d'une bonté sans pareille. Elle était celle qui faisait ressortir l'homme bon qui était en lui et pour rien au monde il ne laurait laissé s'échapée. Il voulait qu'elle soit totalement sienne et plus que tout, il voulait la revendiquer au monde entier, crier à qui bon voulait l'entendre que cette magnifique femme avait accepté de l'épouser et de faire par la même occasion de lui un homme accompli. Elle planta son regard rempli de larmes dans le sien et lui répondit d'une voix rendue rauque par l'émotion." Oh mon dieu Aodhan, oui, oui bien évidemment !"

Katia alias sunrise

BOUYACHAKA ! Et oui c'est encore moi, encore une fois en train de faire un personnage torturé, qu'elle sadique je suis ! Pour ceux qui ne me connaissent pas, j'habite dans le sud-ouest de la France, vient de fêter mes 22 ans et une RPGiste depuis facilement 10 ans (Oui oui j'ai commencé petiote <img src=

" longdesc="40">). Depuis, je me suis mis au graphisme et au codage et j'avoue avec honte que je passe souvent plus de temps à faire ça qu'à RP (PAS TAPER) Pour le reste, c'est réservé aux intimes (a).

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