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Parfait, me voilà rassurée. Pourrais-je utiliser ta salle de bain ? Je sais que mon appartement est voisin du tien, mais.. je n'ai aucune justification à cette question.

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Aucune idée ! Enfin, c'est tout de même ta salle de bain. Et puis, contrairement à d'autres, j'aime être polie. De temps en temps. Une fois, tous les dix ans. Voilà qui est fait ! Je t'emprunterai une serviette. Pas tes sous-vêtements. N'exagérons pas le partage de biens. Je préfère attendre que notre contrat de mariage soit validé. En attendant, j'irai chercher de quoi me changer avant d'arriver. Ou après ma douche. Après tout, nous n'avons pas de voisin. Personne ne me blâmera si je sors nue sur le palier.

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Merci de ta sympathie pour la Diablesse que je suis. J'apprécie lorsque tu m'autorises à être si vilaine. Et je me promènerais si cela me chante, ma nudité ne devrait pas poser de problème aux murs de notre couloir !
Souhaiterais-tu avant tout protéger ton image si l'on aperçoit ton attachée de presse sans vêtement aucun ? Ou est-ce seulement un moyen de me signifier que tu ne souhaites pas que l'on me voit tout court ?
Je plaisante. Tu es bien trop malhonnête pour répondre convenablement à cette question. Cachottière. Je te laisserai ma culotte.

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Si ma présence te dérange, n'hésites guère à me mettre à la porte, ingrate ! Quant à mes vêtements, ils ne servent qu'à marquer mon territoire. Ne sait-on jamais que tu ramènes Circé dans ton lit. Erreur fatale que de coucher avec sa couverture. N'oublions pas que, sait-on jamais qu'un fan entre, cela permettra aussi de faire lumière sur ta frigidité légendaire. Dire qu'ils trépignent de demander à Circé quelques renseignements. Tss, remercies-moi, je ne fais que te rendre service.

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Oh, mais.. Mais c'est qu'elle est trop mignoooooonne ! Pardon, je ne recommencerai pas.
Et tu peux t'offrir à qui tu le souhaites, trésor. C'est ton droit, tu es libre de faire ce que tu souhaites de ton corps. Et ton côté "femme difficile" m'a toujours donné des frissons. Quoi qu'il en soit, si mes vêtements t'indisposent, je les ôterai dès ce soir. Ainsi, tu auras bien plus de place, et je n'aurai plus aucune raison de venir frapper à ta porte à toute heure.

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Evidemment. Je te rappelle néanmoins que c'est bien moi qui emmène l'entièreté du linge sale au pressing.
Je n'ai que trop hâte de partager tes rêves, dans ce cas. Bien que, pour cela, il me faudrait dormir avec toi, chose que, bien entendu, tu hais au plus haut point.

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Je savais que ma chevelure te ferait un jour succomber.
Oh, cela me paraît bien sympathique ! Mais, tu sais que je ne suis pas très objective lorsqu'il s'agit de toi. Et je crains de m'échauffer bien trop. Souviens-toi.

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Qui sait, comme tu aimes tant le dire... La rue semble s'être dégagée. Je vais donc pouvoir venir te rejoindre et voir cela par moi-même.