Nom : Colby Prénom(s) : Ashley Âge : 24 ans Âge d'apparence : 24 ans Sous-espèce : Phoenix Date de naissance : 16 juin 1992 Nationalité : Canadienne Origine(s) : Canadiennes et américaines Métier (études) : Finalise une maîtrise en littérature Niveau social : Moyen Statut marital : Célibataire Orientation sexuelle : Sexu-quoi ? (Inconnue. Bisexuelle, on présume.) Avatar: Karen Gillan Crédits: Swan, AKA Lala Rousseau. Personnage: Scénario | Inventé Petites curiosités Famille et proches - Un papa Phoenix, une maman Phoenix, une deuxième maman Alchimiste et un demi-papa Berserker. Ouais. Un couple Phoenix ne pouvant pas concevoir, les deux partis avaient convenu de se donner un an et demi pour aller fonder un début de famille. Les résultats ? Amber et Ashley, deux petites Phoenix adorables. Ou pas. L'entente au sein de la famille a toujours été au top. Chacun des membres était soudé aux autres, et ils purent même garder des liens assez joyeux avec les « porteurs ». Il n'y a, outre cela, que peu à dire, sinon qu'Ashley va souvent rendre visite à ses parents et sa mère biologique, qui lui font sans exception des discours sur ses... Habitudes. Position sur le conflit - Rien à péter. À vrai dire, Ashley a été élevée dans une atmosphère de crainte envers les Styrges. Si ça soeur fût affectée, ce ne fut guère son cas. La petite, bien qu'entretenant tout de même une légèrement méfiance envers ces anges noirs, ne se considère pas en conflit avec les gargouilles. Un de ses petits rêves secrets est même de faire une course avec l'un d'eux, mais chut. Ceci étant, la rouquine est d'un naturel curieux et risque plutôt à chercher un rapprochement. Au risque de se brûler les ailes. (T'as vu, j'ai fait un jeu de mots pourri. ) Attitude face aux humains - Encore une fois, Ashley n'est qu'une grosse boule de curiosité. Les humains la fascinent. Comment ont-ils su se développer dans un monde où ils sont si... fragiles ? Cela demeure un mystère, captivant de surcroît. Elle ne les perçoit pas comme une menace. Ça serait problématique, puisque la jeune femme évolue dans leur monde, fréquentant une université populeuse. Quant à la cours des Faës... Et bien. Elle les aime bien, mais la petite s'intéresse si peu à la vie politique de son peuple qu'elle ne fréquente que peu la cours. Pour ce qui est des autres races... Je ne le répéterai qu'une dernière fois. Curiosité. Points faibles - L'eau, bien évidement, lui fait horreur. Mais ça ne compte pas vraiment. La curiosité d'Ashley est forcément un point faible, qui l'attire dans toutes sortes de situations impossibles. Sinon... Sa naïveté. Le premier réflexe de la plupart des êtres humains, c'est de douter de l'autre. C'est visiblement un instinct qui échappa au Phoenix. Si vous avez un beau sourire, elle vous croira sur parole. Si vous êtes furieux, elle sera convaincue de pouvoir vous calmer. Et si vous lui dites que vous lui donnerez des bonbons si elle monte dans votre camionnette, elle montera dans votre camionnette. Outre cela, la petite n'a jamais vraiment développer ses aptitudes de combat. Ashley ne maîtrise donc que peu ses flammes et doit par conséquent se fier à sa vitesse et son agilité pour fuir les situations délicates lorsque celles-ci se présentent. Oh. Au fait. Juste un détail. Ne la mettez pas face à un chat. C'est tout.

qualités
Ouverte d'esprit
Studieuse
Généreuse
Patiente
Curieuse
défauts
....Curieuse.
Entêtée
Respect +/-
Bruyante
Bien trop naïve


Ashley est... Particulière. La meilleure façon de se la figurer serait de prendre un enfant, et de l'emprisonner dans un corps adulte. Vraiment. Un enfant. Le plus con possible, d'ailleurs. Ses parents ont même crû à un défaut de naissance, mais tous les tests humains sont négatifs. En théorie, la rouquine est parfaitement saine d'esprit. En théorie.

En pratique, on se retrouve face à une boule d'énergie difficile à gérer. Le plus souvent, la petite - 1m60, sujet tabou - est à l'extérieur, visiblement à flairer la moindre occasion de s'attirer des ennuis pas possibles. Et pourtant, elle fait de son mieux. Tout ce qu'elle veut, c'est aider. Elle est simplement incapable de juger les gens, que ce soit pour définir leur niveau de Je-Vais-Te-Massacrer-M'approche-Pas-Poufiasse ou simplement de faire preuve de préjugés raciaux. Certains trouvent cela adorable. Ses parents trouvent ça dangereux -avec raison- et sont désemparés devant cette puce qui ne cadre absolument pas avec le reste des membres de cette joyeuse lignée.

Et puis, comme pour nous surprendre, elle se retrouve enfermée dans sa chambre, à se bouffer de la littérature classique et moins classique pendant des heures, sans bouger d'un poil. En pleine maîtrise littéraire, la demoiselle n'a jamais remis un travail en retard, et a toujours terminé tous ses bouquins à temps. Un exploit, il faut bien le dire. Les livres ont néanmoins cet intérêt d'expliquer au travers des intrigues et des personnages des concepts, des sentiments et des situations difficiles à expliquer en quelques mots. Passionnants.

Ashley souffre d'un combo terrible. Naïveté maladive et curiosité obsessionnelle. Vous avez là un cocktail explosif, et ses parents ne sont pas au courant de la moitié des saloperies que la gamine a subi à cause de ses propres conneries. Heureusement, autrement la pauvre serait transformée en canari dans une belle cage dorée. Ce n'est pas un sort particulièrement enviable.

Oh, détail potentiellement intéressant et comique : la petite n'a jamais rien expérimenté à la sexualité, sinon quand il en était fait mention dans les livres. Elle connait, bien sûr, dans un monde comme le nôtre il est difficile de faire autrement. Disons que, pour le moment, elle se considère asexuelle. Aucune réelle pulsion. Son esprit est bien trop occupé par d'autres questions de la plus haute importance, comme apprendre si un Berserker chien pisse en levant la jambe, et trouver une façon polie de poser la question.

La rousse n'a rien de complexe, vraiment. Aucun trait caché qui pourrait surprendre. En règle générale, la première solution, la moins violente, est la meilleure. D'ailleurs, elle ne combat jamais : elle fuit, simplement. Elle soigne les gens quand elle le peut, et a d'ailleurs déjà frôlé la mort en tentant d'aller trop loin. Une empotée sans grand sens commun, en fait. Et entêtée en plus, comme si ça ne suffisait pas. Déterminée à rendre le monde plus beau, une personne à la fois. Quitte à se frotter à des psychopathes en étant convaincues de pouvoir les rendre humains.

Oui oui. Tout ça va bien finir. 250 ans d'espérance de vie, toussa toussa.

Quelques (beaucoup de, mais sa mère risque de lire) péripéties par-ci, par-là, mais une vie en général plutôt calme, jusqu'à présent. Pas de quoi s'inquiéter. Du tout. Vous pouvez partir, maintenant. J'insiste.

Elle est partie ?

Bon.

Qu'on se le dise. La vie d'Ashley a bel et bien été relativement calme et peu remplie. Il s'agit presque de celle d'un être humain lambda, si on exclut les nombreuses excursions en altitude dans les orages. Des petits détails dans le genre. Mais autrement... Elle a étudié, comme tout le monde, et son corps commence à peine à se stabiliser pour les années à venir, ce qui exigera un peu plus de subtilité de sa part. Il y a néanmoins quelques anecdotes marquantes qui valent la peine d'être racontées.

Des anecdotes chanceuses. Vers ses quinze ans, par exemple, lorsque la petite commença à s'intéresser de façon aussi maladive à son entourage, elle a comprit à ses dépends que, bah, à sortir la nuit pour observer les ratons-laveurs dans les poubelles de ruelles, on ne tombe pas que sur des ratons-laveurs. En l'occurrence, les hommes avaient cru qu'elle était une sorte de cliente, et lui ont demandé ce qu'elle voulait. Poudre ? Beuh ? Pilules, peut-être ? Devant son air ébahi, ils ont conclu qu'elle était complètement demeurée et l'ont gentiment raccompagnée chez elle.

Des anecdotes un peu moins comiques, aussi, comme toutes ces fois où elle s'est fait arnaquée, à l'école. Ouais, j'ai besoin de ton repas, j'ai oublié le miens. Mais pas de problème, Philipe ! Ouais. Elle retournait chez elle plus souvent qu'autrement pour manger, et toutes les punitions du monde par ses parents n'y changeaient rien. Il avait faim, elle avait de la nourriture, équation simple et efficace. Et ça ne s'arrêtait pas à la nourriture. Copie de ses devoirs, crayons, bouquins, et même, une fois, ses chaussures, tout pouvait y passer. C'était presque affligeant. Les enseignants avaient fini par intervenir, pour défendre un peu ce petit oiseau. Pas de quoi se faire beaucoup d'amis, ce qu'elle ne comprenait que moyennement. Être gentil, ça fonctionnait, dans ses livres, pourtant.

Et puis, il y avait eu des moments tout simplement dangereux, où elle avait laissé quelques plumes. Outre les courses poursuites, quand elle mettait son nez dans de sales endroits, le moment le plus dangereux venait en fait de sa simple bonne conscience. Une Pixie. Blessée. Assez gravement, de surcroit. Alors elle a fait ce qui lui semblait le plus logique. Elle a frotté ses mains ensemble, les a posées sur la blessure... Et en rouvrant les yeux, elle était sur un lit d'hôpital. Ashley avait été inconsciente pendant près de trois jours. Ses parents étaient morts d'inquiétude, et leur silence avait été la pire des punitions. Supporter tous les tests médicaux pour trouver la cause de cette situation avait été assez éprouvant, aussi. Mais la Pixie allait bien. La rouquine ne l'avait pas réparée entièrement, bien sûr, et l'inconnue avait ainsi dû passé quelques jours à l'hôpital, mais c'était probablement l'intervention de la rouquine qui lui avait permis de rester en vie. Et, accessoirement, d'appeler les secours. Tout est bien qui fini bien, en somme. Devinez quel côté de l'histoire Ashley a décidé de garder comme leçon.

Gagné.