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Oh oui tripote moi à la bétadine (Magyar)

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Oh oui tripote moi à la bétadine (Magyar) EmptyJeu 28 Avr - 15:41




Infirmière à domicile


J'étais vraiment en mode pétage de plombs. Cette journée ne pouvait pas être pire. Le mariage, la dispute avec Maxence, la bagarre avec Magyar ET Maxence, les paroles blessantes ben...de Maxence encore. Cette histoire avait réellement mal tournée. J'avais décidé d'aider Magyar qui c'était retrouvé blessé durant l'affrontement avec le Leprechaun. Franchement, le pauvre, il c'était retrouvé en plein conflit de Faë et ne savait sûrement pas dans quoi il avait atterri...les deux pieds dans la merde vieux ! Une fois que j'avais vu que ça tournait en merde royale et qu'il était temps de filer, j'avais choppé le Pixie et je nous avais téléporté dans ma salle à mangé. Heureusement le ménage avait été fait par la femme de ménage, sinon, ça aurait été vachement gênant. J'avais oublié mes chaussures sur place. Tant pis, j'en avais toute une étagère pleine dans mon dressing et, au pire, j'en achèterais des nouvelles. Je lâche le Pixie alors que j'ai une haine étrange dans le corps. Mais il n'y avait pas que ça, non. La culpabilité, la peine, la détresse. Tellement d'émotions que je tentais de refouler, je ne voulais pas craquer, c'était hors de questions. Maxence avait toujours été le seul à mettre les pieds chez moi, généralement, j'évitais de ramener des personnes dans ma tanière. Mais Magyar était différent des autres, il était...lui.

« Va te mettre dans le canapé, je vais prendre la trousse de secoure. »

Parce que oui, le pauvre il en avait ramassé. Bon, il n'était pas à l'article de la mort mais je me devais de faire quelque chose. Je lui indique le salon du regard et me téléporte dans la salle de bain. Durant quelques instants je me regarde dans la glace, le cœur serré. Comment en étais-je arrivé à ce point ? Je sens les larmes monter mais je ravale celle-ci, essuyant rageusement mes yeux, attrapant la trousse de soins d'un geste tremblant. Prenant une grande inspiration, je reviens dans le salon où était installé Magyar. Je m'arrête durant quelques instants à l'entrée, l'observant d'un air désolé. Putain, c'était de ma faute ! Pourriture que je suis. Je m'avance en traînant les pieds et venant me placer à ses côtés. J'avais déchiré ma robe au passage, laissant une belle ouverture de ma cuisse jusqu'à ma taille. Elle était foutue.

« Je suis désolé Magyar...je ne sais pas trop ce qu'il lui a prit d'agir ainsi. »


Bien sur que si je le savais ! Il était jaloux, il l'a toujours été. Mais voilà, ses sous-entendus n'avaient pas été assez clairs pour moi, j'aurais aimé qu'il me le dise malgré le fait que je me renferme sur moi-même...J'aurais eu besoin de ça pour évoluer avec lui. Maintenant, il n'y avait plus d'espoir, j'en avais marre de vivre dans l'incertain. Je ne regarde pas le Pixie. Franchement, moi qui généralement est pleine d'assurance et bien ce n'est pas le cas actuellement. Passant une main dans mes cheveux, je finis par ouvrir la trousse de secoure sans croiser son regard.



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Oh oui tripote moi à la bétadine (Magyar) EmptyJeu 28 Avr - 22:23




mercurochrome le pansement des héros

mercurochrome le pansement des héros

mercurochrome le pansement des héros


La pure journée de merde ! Voilà comment Magyar voyait désormais le mariage auquel il s'était rendu aujourd'hui. Une galère... Mais alors une galère ! Et pourtant, le Pixie n'était pas du genre à voir le mauvais côté des choses. Pourtant, alors qu'il s'était rendu aux festivités avec le sourire, son frère et Adin, il semblait avoir perdu les trois. BOOM ! Strike ! Où son frère était dès lors, le plus jeune l'ignorait. Enfin, il se doutait que contrairement à lui, il devait passer un bon moment dans un coin... Lorcàn n'était pas vraiment une source d'inquiétude puisque lui, savait se débrouiller. Il n'avait besoin de personne. Contrairement à son jeune frère qui s'était foutu dans une situation franchement pas enviable. La première altercation avec Maxence ne l'avait pas empêché d'embarquer Athénaïs à l’abri des regards... Mais pas suffisamment à l’abri semblerait-il puisque le Lepre-chieur leur était méchamment tombé dessus. Plus que les coups qu'on avait porté à sa personne, plus que la manière dont on lui avait parlé, Magyar semblait surtout atteint par la façon dont Athénaïs avait été rabaissé... S'ajoutait à cela, les sentiments vifs et piquants que lui inspirait la jeune femme, mais aussi les doutes, qui naissaient peu à peu alors qu'il se repassait les paroles de Maxence. Il avait voulu être blessant, d'accord... Mais est-ce qu'il y avait un fond de vérité ? Il n'osait pas le croire... Mais Magyar se savait naïf. Peut-être qu'il l'avait été avec Athénaïs, comme avec toutes les autres.


« Va te mettre dans le canapé, je vais prendre la trousse de secoure. » Lui qui aurait été dans un état d'enthousiasme exacerbé d'ordinaire, surtout après l'expérience de la téléportation et la découverte du petit univers d’Athé, se contenta de trainer les pieds jusqu'au canapé. Il n'y installa en s'y laissant tomber, et attendit simplement que la Leprechaun revienne avec de quoi soigner ses bobo. Mais encore une fois, au lieu d'exprimer sa douleur, son effroi et son effarement, Magyar restait silencieux à fixer ses genoux. La tristesse qu'il éprouvait n'était pas feinte. Beaucoup d'émotions se mélangeaient sans pour autant parvenir à se fixer. Ce qui rendait ses réflexions tumultueuses... mais il était surtout heurté d'avoir été violenté, mais plus encore d'avoir répondu au geste de Maxence. Pourtant, avait il eut le choix ? Aurait-il supporté de laisser le Leprechaun parler et agir ainsi ? Probablement que non... Mais il s'en voulait quand même. « Je suis désolé Magyar...je ne sais pas trop ce qu'il lui a prit d'agir ainsi. » Elle fuyait son regard, alors que lui, le cherchait. Il avait besoin du réconfort d'Athénaïs, besoin de communiquer sur ce qui venait d'arriver. Et il avait besoin de s'assurer de ses sentiments aussi... d'éclaircir la situation.
Il haussa alors les épaules, la fixant d'un air de chien abandonné en bord de route tandis qu'elle ne le regardait toujours pas. Alors, d'un geste doux, il vint attraper le bout de son menton pour le redresser et capter un peu l'attention de la jeune femme. Un léger sourire illumina un peu les traits du Pixie qui pourtant, avait toujours l'air aussi malheureux.

« Ça va aller Athénaïs ? »

Elle n'avait pas à s'excuser... Il ne demandait rien de plus, que d'être assuré de son état à elle. Le sien le préoccupait bien peu à côté.


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Oh oui tripote moi à la bétadine (Magyar) EmptyJeu 28 Avr - 23:14




Infirmière à domicile


J'étais clairement bouffé par les remords...ça ne m'arrivais jamais, croyez-le. Généralement quand je faisais quelque chose j'en assumais pleinement la responsabilité. Bon, en cachette, certes, mais quand même je ne ressentais jamais ça. Hors, là, je me sentais foutrement mal. Aussi bien par rapport à Maxence qu'envers Magyar. Je l'avais impliqué dans une situation qui le dépassais, hors, je n'avais absolument pas envie de parler de ma relation avec le Leprechaun, pas pour l'instant en tout cas. Je reviens dans le salon et je vois bien que le pixie est vraiment mal, comme si il tentait de trouver du réconfort envers ses genoux. Mouai, il pouvait toujours chercher hein. Je n'ose pas le regarder de peur d'y lire un jugement quelconque, de la colère également. Je suis habitué à ça avec Maxence. Quand je fais un pas de travers il pète un plomb, il réagit à l'instinct, aux émotions les plus violentes. Nous étions pareils. La preuve avec le fait que mon poing avait atterri dans sa jolie gueule quand il ne m'avait pas lâché. Puis, j'avais peur que Magyar puisse penser que j'étais une sacrée salope, que je couchais avec tout le monde. Ce n'était pas le cas. Je n'avais couché qu'avec Cyrille et Maxence actuellement et ce en vingt-deux ans. J'ouvre doucement la trousse de secoure et je sens le regard du pixie chercher le mien. Je n'ose pas croiser ses yeux bleus avec les miens azures, je fuis la confrontation, j'ai trop peur d'y lire du dégoût. Je sens ses doigts venir attraper mon menton dans un geste doux. Directement je me crispe par réflexe, nullement habitué par ce genre de douceur. Il m'oblige à croiser son regard et là, surprise, je n'y lis rien de cruel...Il a l'air triste voir anxieux et soucieux de mon état. « Ça va aller Athénaïs ? » Je reste quelques secondes silencieuses, mon regard plongé dans le sien. Putain ce mec avait des yeux magnifiques.

« Tu sais Magyar, ce que je t'ai dis c'était vrai, je ne mentais pas. »

Je ressentais le besoin de m'expliquer, de me défendre face aux paroles détestables de Maxence. Il allait me le payer ça c'est sur ! J'allais prendre le temps de me calmer, mais d'ici quelques jours voir une bonne semaine, j'allais me faire un plaisir d'aller lui en coller une chez lui. Rien à foutre de sa mère. Je viens attraper ses doigts qui tenaient mon menton, prenant sa main dans la mienne. Je baisse de nouveau les yeux. Je me sens franchement fragile, faible, peux téméraire.

« Je veux juste que tu saches que je ne fais pas ça avec tout le monde...Ce cas dit Maxence ce n'était pas la vérité. Je n'ai pas envie de m'éterniser sur le sujet, mais tu dois juste savoir que quand je te disais que tu me plaisais vraiment, je disais la vérité. Je suis juste désolé que tu te sois retrouvé mêlé à cette histoire... »

Je viens me frotter les yeux durant un instant, passant ensuite ma main dans mes cheveux pour enfin le regarder. Je voyais bien qu'il avait besoin d'être rassuré sur ce qu'il c'était passé, néanmoins, je n'étais pas en état de lui parler de ma relation, enfin ancienne relation, avec Maxence. Pourtant, je ne voulais pas non plus qu'il doute, qu'il pense qu'il était moins important que le Leprechaun ou encore un pion entre lui et moi. Ce n'était pas le cas. Je ne pouvais pas expliquer ce qu'il se passait entre nous, mais en tout cas c'était bel et bien réel.

« Il faut que tu comprenne que je n'ai pas l'habitude de ce genres de relations, c'est...nouveau pour moi. Enfin, j'ai eu une relation de deux ans avec un Pixie il y a un an. J'ai tendance à faire beaucoup de conneries, de dire des choses parfois assez brutes et je ne suis absolument pas facile à vivre mais...une chose est sur, c'est que je n'ai pas envie de te voir partir... »



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Oh oui tripote moi à la bétadine (Magyar) EmptyVen 29 Avr - 11:28




mercurochrome le pansement des héros

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mercurochrome le pansement des héros


Il ne lui fallait pas grand-chose, à Magyar. Il n’était pas le genre d’homme à réclamer beaucoup, à en désirer tout autant. Là où d’autres restaient de parfait insatisfaits, lui était facilement comblé. Il suffisait juste de lui montrer le minimum. De le mettre en confiance et de le rassurer un peu. Surtout que son passé ne lui permettait plus désormais d’être serein dans ses potentiels relations amoureuses. Il n’avait jamais vraiment été à l’aise avec lui-même, avec la séduction… il n’avait aucunement confiance en lui et l’unique personne l’avoir sur voir à travers le Pixie et ce malgré sa maladresse, un homme bon et capable de partager une vie de couple, avait péri. Cette blessure-là, il la portait encore aujourd’hui, incapable de tirer un trait sur le passé. Roxanne avait essayé de l’aider, et surtout, elle l’avait désiré lui. Mais les sentiments n’avaient pas été partagés, aux grands regrets de Magyar qui répugnait à faire du mal à quelqu’un. Mais avec Athé’ les choses étaient différentes. Malgré ce qu’il venait de ce passer avec Maxence, l’aspect complexe de la relation qu’ils entretenaient et le caractère explosif de la jeune femme… oui malgré tout cela, le Pixie trouvait que les sentiments coulaient de source. Que c’était facile, paradoxalement. Il suffisait de se pencher, et de l’embrasser pour que son cœur oubli le précédent désastre ou l’adversité.

Pourtant il voulait simplement s’assurer qu’elle allait bien. Et si tel était le cas, alors il pourrait peut-être lancer la discussion sur ce qui le hantait et le faisait souffrir. Mais il n’eut le temps que de l’envisager car finalement c’est Athénaïs qui lança la conversation. « Tu sais Magyar, ce que je t'ai dit c'était vrai, je ne mentais pas. » Le Pixie resta muet et pourtant, son regard s’accrocha au sien comme à un radeau de fortune. Est-ce qu’elle disait cela pour le rassurer en dépit de la réalité ? Il n’y croyait pas… non, la jeune femme était forcément honnête. Il ne pouvait que la croire, il voulait y croire ! Oh oui… c’était actuellement son seul désir, qu’elle soit sincère avec lui et ne le rejette pas. Pas pour Maxence… « Je veux juste que tu saches que je ne fais pas ça avec tout le monde...Ce qu’a dit Maxence ce n'était pas la vérité. Je n'ai pas envie de m'éterniser sur le sujet, mais tu dois juste savoir que quand je te disais que tu me plaisais vraiment, je disais la vérité. Je suis juste désolé que tu te sois retrouvé mêlé à cette histoire... »

Il baissa la tête, alors que la main d’Athénaïs serrait la sienne. Il observa alors les deux mains liées, incapable de parler. Il était touché par ses mots, par le fait qu’elle s’explique un peu et démêle le sac de nœuds dans lequel il s’était retrouvé involontairement mêler. Qu’elle essaye même, sans y parvenir, c’était déjà beaucoup. Il y avait longtemps que l’on n’avait pas pris le temps de lui dire les choses, et cette intention d’Athénaïs envers lui le fit sourire doucement alors qu’elle enchainait. « Il faut que tu comprenne que je n'ai pas l'habitude de ce genres de relations, c'est...nouveau pour moi. Enfin, j'ai eu une relation de deux ans avec un Pixie il y a un an. J'ai tendance à faire beaucoup de conneries, de dire des choses parfois assez brutes et je ne suis absolument pas facile à vivre mais...une chose est sûr, c'est que je n'ai pas envie de te voir partir... » Cette fois son cœur fit littéralement un bon dans sa poitrine alors qu’il relevait les yeux. Des mots de la Leprechaun, il semblait n’en retenir que les plus importants : Je n’ai pas envie de te voir partir. C’était là l’essentiel en son sens, même si encore beaucoup de doutes altéraient son jugement qu’il voulait objectif et polluaient un peu ses émotions. Avoir été pris dans une bagarre, surtout pour le cœur d’une femme le bouleversait. Il avait l’impression d’être à l’origine de la dispute entre les deux Leprechauns, d’être le fauteur de trouble, le briseur de ménage… et cette idée lui était insupportable. Pourtant, ce que venait de dire Athénaïs le plaçait alors dans une position toute autre : il était désormais celui qu’elle avait choisi. Du moins, c’était ce qu’il se disait… A raison ou à tort, il s’en fichait, et comme toujours laissait parler son cœur. Timidement, il retira sa main de celle de la jeune femme pour la prendre doucement dans ses bras. Son contact, sa chaleur après tout ce remue-ménage l’apaisa instantanément. Pendant un long moment, il la garda contre lui, le visage noyé dans les cheveux bruns d’Athénaïs et les yeux fermés. Puis soudainement, mais sans lâcher sa prise, il demanda d’une façon un peu spontanée :

« Tu l’aimes ? »

Il la serra un peu plus fort alors qu’il posait cette question dont il redoutait la réponse. Mais sans attendre il se sépara un peu d’elle pour la regarder dans les yeux, et enchaina à son tour avec une sincérité désarmante :

« Et moi… est-ce que j’ai une chance avec toi ? C’est que je suis pas l’homme idéal. Je suis maladroit, pas très beau… Je sais que j’ai un look à chier et des habitudes de vieux hippies pas forcément très attirantes mais… Je suis nature, je ne mens pas, je sais pas faire… »

Se livrer, il y avait bien longtemps qu’il ne l’avait pas fait mais le moment lui semblait opportun. Aussi prit-il une grande inspiration pour ajouter, d’une voix un peu plus base, plus pudique en quelque sorte.

« Malgré ce qu’il s’est passé, tu es toujours à mes yeux la fille surprenante, magnifique… un peu chiante d’accord mais piquante aussi, qui m’a séduite en un regard. Tu as tes blessures, ton regard les trahit mais j’ai aussi les miennes. Athénaïs… je suis un solitaire de longue date. J’ai perdu une âme sœur il y’ a des années de cela et jusqu’à maintenant mon cœur ne s’était enflammée pour personne. Tu es la première… »

Il semblait maintenant difficile pour Magyar de garder une respiration stable alors que les larmes lui montaient aux yeux. Parler de Baïa était difficile, mais bien moins qu’il ne l’avait imaginé car c’était avec Athénaïs. Elle gardait ses secrets pour elle, mais s’il ne lui montrait pas sa confiance, alors la jeune femme n’aurait sans doute jamais l’occasion de le faire. Il refoula difficilement ses larmes, mais se reprit en souriant alors qu’il passait tendrement une main sur la joue la Lepy-jolie. Son pouce dessina le contour de sa pommette, tandis qu’il se noyait dans son regard azure.

« Tu es unique, et je tombe amoureux de toi. »


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Oh oui tripote moi à la bétadine (Magyar) EmptyVen 29 Avr - 12:13




Infirmière à domicile


J'étais complètement paumé dans ce que je ressentais. Magyar était un contraste étonnant avec ma propre personnalité, avec Maxence. Autant je ressemblais cruellement à l'un, autant j'étais différente de l'autre. Je n'avais jamais aimé me jouer des véritables sentiments des autres, je savais à quel point ça faisait mal. Je me souviens encore du regard de Cyril quand je lui ai dis qu'il n'était rien pour moi, que notre histoire avait été bien amusante mais que je m'étais lassé de lui. Faux. J'avais dis ça pour qu'il continue sa vie et surtout, pour qu'il ne me suive pas dans ma chute. Il avait eu le cœur brisé, moi aussi. J'avais pleuré durant de nombreuses nuits, puis, j'avais rencontré Maxence et ma peine c'était estompée. Pourtant, avec le leprechaun, je m'étais enfoncé dans une relation dramatique, destructrice. Nous n'arrivions pas à dire ce que nous ressentions à l'autre, comme renfermé comme deux petites huîtres. La poisse. Alors, inconsciemment, je m'étais mise à en souffrir, en espérant chaque jour d'avantage qu'il finisse par s'adoucir pour moi, me montrant plus d’intérêt cas une autre. Ce qu'il faisait au final, mais à ça manière. Et là, Magyar avait fait son irruption dans ma vie déjà bien dramatique. Chamboulant tous mes sentiments, mes idées, rendant cette relation bien plus complexe encore. J'ai l'impression que je suis faite pour faire souffrir les autres, d'une manière ou d'une autre, cette histoire se terminera mal. Il semblait déjà moins malheureux alors que doucement, il m'attira contre lui. Je me laisse faire, cette douceur est nouvelle pour moi, Magyar en dégage tellement que ça me foutais une trouille monstre. Je laisse mon visage se déposer contre lui, déposant une main sur son bras. Je profite durant quelques instants, essayant d'oublier mes craintes sans grandes victoires.

« Tu l’aimes ? » Je sens mon corps se crisper alors qu'il me serre d'avantage contre lui. Je sens une nouvelle fois ma gorge se serrer... Que répondre face à cette question. Je ne pouvais pas lui mentir. Oui, d'une certaine façon j'aimais Maxence, je ne pouvais pas le nier. Je l'aimais douloureusement, cruellement au point de me sentir chavirer à chaque fois qu'il posait son regard provocateur sur moi. Il était mon miroir, il me connaissait mieux que n'importe qui, lisant en moi comme dans un livre ouvert...et le pire c'est que c'était réciproque. J'avais pu ressentir sa douleur au mariage quand il nous avais surpris. Alors, je préfère garder le silence, baissant les yeux. Magyar se décolle de moi pour enchaîner, son regard plongé dans le mien. Je m'y perds, je m'y noie. « Et moi… est-ce que j’ai une chance avec toi ? C’est que je suis pas l’homme idéal. Je suis maladroit, pas très beau… Je sais que j’ai un look à chier et des habitudes de vieux hippies pas forcément très attirantes mais… Je suis nature, je ne mens pas, je sais pas faire… » Je souris doucement. Il se sous-estime tellement. Il est maladroit mais j'adore ça, il est très beau malgré sa façon de se voir. Ok, son look est à chier mais c'était une fois de plus un côté de sa personnalité qui me plaisait. Il était lui, simplement. Nous avions tous des défauts, j'en avais sûrement des plus mauvais que lui... « Malgré ce qu’il s’est passé, tu es toujours à mes yeux la fille surprenante, magnifique… un peu chiante d’accord mais piquante aussi, qui m’a séduite en un regard. Tu as tes blessures, ton regard les trahit mais j’ai aussi les miennes. Athénaïs… je suis un solitaire de longue date. J’ai perdu une âme sœur il y’ a des années de cela et jusqu’à maintenant mon cœur ne s’était enflammée pour personne. Tu es la première… »

Je sens mon cœur se serrer brutalement alors qu'il se confie à moi. Je peux sentir toutes ses émotions qui le submerge, alors que ses yeux, eux, souffres de ces souvenirs que je peux savoir cruels. Pourquoi avait-il fallu que ce soit sur moi que son regard se pose...Je n'en avais aucune idée. Le destin est une vraie chienne. Sa main vient de nouveau se poser sur ma joue et j'y love celle-ci, son pouce traçant les traits de cette pommette rosée que je possédais. « Tu es unique, et je tombe amoureux de toi. » Pardon ? Putain, là ce fut le coup de grâce. Je passais d'un extrême à un autre. Autant le Leprechaun n'avait jamais, au grand jamais réussis à dire ce genre de chose. Autant Magyar me le laissait en pleine figure. Je reste légèrement silence, le regard plongé dans le sien, cherchant les mots exactes qui pourraient décrire ce que je ressens.

« Mag'. Tu as toujours tendance à te sous-estimé, à valorisé les personnes qui ne devraient pas l'être. Si tu n'avais pas une chance avec moi tu ne serais pas ici, je ne me serais pas interposé entre toi et Maxence. Crois-moi, tu devrais avoir compris que ce n'est pas dans mon caractère...Je ne suis pas unique, je suis quelconque, une Leprechaun parmi tant d'autres. Je... »

Je soupire de nouveau alors que mes muscles sont tendus comme pas deux. J'ai du mal à m'exprimer, ce n'est absolument pas mon fort et j'ai plutôt tendance à me renfermer sur moi-même dans ses moments-là.

« Je vais pas te mentir, j'ai des sentiments pour toi qui me font vraiment peur...J'ai l'habitude de tout contrôler dans ma vie depuis...depuis que mes parents sont morts. De ne laisser personne toucher à mes sentiments, me forgeant une carapace malsaine. Je me mets en danger assez régulièrement, jouant avec ma vie comme avec un paquet de carte...mais avec toi c'est différent. »


J'aurais dû avoir cette conversation avec Maxence...il aurait dû se la jouer comme Magyar mais il ne l'avait pas fait. Étais-ce un signe pour me dire que le Lepry-chieur n'était pas prêt ? Que je devrais peut-être penser à tourner la page, aller de l'avant et arrêter de m'accrocher à un fantôme. J'étais perdue, totalement.

« J'ai juste envie d'être avec toi, mais si toi tu n'es pas un homme parfait alors...moi je suis l'enfer sur terre. »

Dis-je avec un petit sourire triste.



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Oh oui tripote moi à la bétadine (Magyar) EmptyDim 1 Mai - 20:49




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Amoureux d’elle. Magyar avait eu l’air de placer ce mot dans la conversation, comme s’il avait été le plus banal de tous. Mais ce n’était pas le cas. Le Pixie était un être sincère et malgré ce que l’on pouvait penser de lui, très réfléchit en matière de sentiment. Il n’avait pas entretenu beaucoup de relation, amoureuse ou non au cours de sa vie, et la plus importante avait été la dernière en date. Et c’était pour cette raison, que même si les mots avaient été naturels à prononcer, ils n’étaient pas non plus  jetés sans réflexion. Non, Magyar était sérieux… surtout après l’altercation vigoureuse entre Maxence et lui, surtout après avoir pris conscience qu’il n’était pas le seul dans la vie d’Athénaïs, qu’elle vivait quelque chose de complexe. Mais le Pixie ne pouvait pas aller à l’encontre de ses sentiments, qui s’avéraient être violents. Il s’était ouvert, confié aussi… dans l’espoir qu’elle fasse de même, pour la comprendre et la connaitre. Pour savoir s’il avait une chance avec elle… et Magyar n’avait pas eut peur de lui poser la question de manière frontale. A présent, il l’observait, avec un petit sourire aux lèvres mais une angoisse qui s’imposait de seconde en seconde jusqu’à nouer son estomac. Et si elle le repoussait ? Si finalement Maxence avait raison et qu’Athénaïs était en train de jouer ? C’était des pensées qui le polluaient… elles restaient là, omniprésentes dans son esprit… parce qu’après tout, il n’avait pas mentit à la Leprechaun : il n’avait rien d’exceptionnel, lui.

« Mag'. Tu as toujours tendance à te sous-estimé, à valoriser les personnes qui ne devraient pas l'être. Si tu n'avais pas une chance avec moi tu ne serais pas ici, je ne me serais pas interposé entre toi et Maxence. Crois-moi, tu devrais avoir compris que ce n'est pas dans mon caractère...Je ne suis pas unique, je suis quelconque, une Leprechaun parmi tant d'autres. Je... » Il releva le nez, sans l’interrompre. Mais non, à ses yeux Athénaïs n’était pas quelconque… loin de là ! Elle était incroyable, elle était celle qui était parvenu à raviver sa flamme, à le rendre à la vie. Sans le savoir, elle soufflait un peu sur les simples cendres qui restaient de lui, découvrant quelques braises qui crépitaient sous son souffle. Athé’ lui donnait envie de croire, de vibrer, et de ressentir à nouveau. C’était cela, qu’il voulait lui dire, mais il ne l’interrompit pas et attendit silencieusement qu’elle continue. « Je vais pas te mentir, j'ai des sentiments pour toi qui me font vraiment peur...J'ai l'habitude de tout contrôler dans ma vie depuis...depuis que mes parents sont morts. De ne laisser personne toucher à mes sentiments, me forgeant une carapace malsaine. Je me mets en danger assez régulièrement, jouant avec ma vie comme avec un paquet de carte...mais avec toi c'est différent. » S’il était toujours sans voix, il glissait doucement sa main dans les cheveux d’Athénaïs d’un geste doux et protecteur. C’était peut-être cela alors, qu’il avait vu dans ses yeux. Cette blessure qu’il avait entraperçue une fois, et qui l’avait frappé. La mort de ses parents… Mais la tristesse de cette révélation fut tout de même effacée par la joie qui venait de naître dans le cœur du Pixie. Certes, elle avait peur, et ce n’était pas entièrement positif. Mais Athénaïs lui laissait de l’espoir... Auquel il s’accrochait. « J'ai juste envie d'être avec toi, mais si toi tu n'es pas un homme parfait alors...moi je suis l'enfer sur terre. »

C’était bien la première fois que le Pixie désirait aussi ardemment gouter aux enfers. Il répondit doucement au sourire d’Athénaïs, le cœur plus léger. Il semblait littéralement transporté par ce qu’elle venait de lui dire et papillonna doucement du regard alors qu’il reprenait un peu conscience de leur proximité. Proximité d’ailleurs, qu’il s’évertua de réduire un peu plus en se décalant vers elle. Son sourire s’agrandit, bien qu’il baissait la tête un peu par timidité. La main qu’il passait dans ses cheveux glissa pourtant dans sa nuque, revient accrocher son regard et il ne quittait pas les yeux infiniment bleus de la jeune femme. Y avait-il une fin à ce regard-là ? Où aux surprises que pouvait lui réserver la Leprechaun ?

« Moi aussi j’ai envie d’être avec toi. … d’être le seul. »

Il parlait évidemment de Maxence. Ayant bien conscience de ce qui pouvait se tramer entre eux, du fait que sa belle soit peut être aussi éprise de cette créature trop violente. Et cela lui faisait peur… forcement. Parce qu’il ne se sentait pas de taille. Et puis, n’était-il pas insipide à côté d’une personnalité aussi forte que celle du Leprechaun qu’il avait rencontré aujourd’hui ? Le doute passa dans son regard, avant qu’il ne se reprenne en détaillant les traits d’Athénaïs, lui rendant le sourire

« Écoute…  Moi aussi, j’ai envie d’être avec toi. Et ce n’est pas une émotion feinte, c’est vrai. Il y a vraiment très… très longtemps que je n’ai pas eu envie de succomber à tout ce que tu m’inspires. Tu m’apporte déjà tellement sans le savoir… »

Son envie de la toucher devenait de plus en plus forte, et semblait surpasser ses craintes et le sentiment de colère ou d’humiliation qui lui restait encore après l’altercation. Le Pixie était à présent totalement tourné vers Athénaïs et n’avait d’yeux et de pensée que pour elle.

« On pourrait… juste être tous les deux. Sans avoir peur, sans réfléchir ou décortiquer nos faits et gestes. J’ai envie d’être avec toi simplement, et de laisser les choses se faire… De laisser parler nos émotions et nos désirs. Tu veux bien essayer ? De rester un peu dans une bulle avec moi pour voir ce que cela donne ? »

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Infirmière à domicile


J'avais du mal, vraiment. Déjà mentalement, j'avais du mal à réaliser que je venais de couper les ponts avec Maxence alors que, d'une façon incomprise, il était important à mes yeux. Je me souviens de cette envie de le tuer, réellement. J'en aurais été capable, je l'aurais fais. Par de simples paroles il m'avait blessé d'une façon qu'il ne pouvait imaginer, me brûlant les entrailles et ça, je ne comptais pas l'accepter. Non, je ne pouvais le concevoir, je ne pouvais pardonner. Je devais tourner la page, l'abandonner derrière moi quitte à en crever par la suite. Puis il y avait Magyar. Ces sentiments qu'il faisait naître en moi, se mélangeant à la peur, à la perte, à la blessure nouvelle qui c'était ouverte en moi. Il y avait tellement de choses que je n'arrivais pas à différencier le vrai du faux. C'était difficile. Puis, je n'ai jamais été une fille qui dévoilait facilement mes sentiments, mes émotions, la preuve en était maintenant. Mais j'essayais, vraiment. Je voulais faire des efforts, ne pas renouveler les même erreurs qu'avec le leprechaun. Alors je m'exprime sur ce que je ressens, sur ce que je crains. Enfin, pas totalement, mais encore une fois je fais de mon mieux pour lui expliquer ce qu'il se trame dans ma petite tête, allant jusqu'à parler de la mort de mes parents. Sa main glissa dans mes cheveux et un frisson s'empare de moi, réaction régulière quand il me touchait de la sorte. Tant de douceur pour une seule personne...C'était déstabilisant, vraiment. Je finis par lui dire que je ne voulais pas le voir partir, parce que oui, c'était la réalité des choses, aussi compliqué soit-elle. Mon regard se plonge de nouveau dans le sien, alors que sa main, elle, passa dans ma nuque m'arrachant un autre frisson sévère. « Moi aussi j’ai envie d’être avec toi. … d’être le seul. » Le seul...J'avais compris le sens caché de sa phrase et ça me tordit l'estomac. De toute façon, vu les choses actuelles, Maxence et moi n'allions plus jamais nous reparler.

La distance était de plus en plus réduite entre nous, comme si nos corps semblaient aimanté d'une façon étrange. « Écoute…  Moi aussi, j’ai envie d’être avec toi. Et ce n’est pas une émotion feinte, c’est vrai. Il y a vraiment très… très longtemps que je n’ai pas eu envie de succomber à tout ce que tu m’inspires. Tu m’apporte déjà tellement sans le savoir… » Ses paroles devraient me rassurer, certes, mais ça me foutais vachement la trouille. Il s'exprimait plus facilement que moi et je me trouvais conne de ne pas savoir lui répliquer des choses semblables. Il éveillait également beaucoup de choses en moi, mais ça ne voulait pas sortir de mes lèvres. Alors, je souris très légèrement, posant ma main sur l'avant bras de sa main posée sur ma nuque, exerçant une légère pression. « On pourrait… juste être tous les deux. Sans avoir peur, sans réfléchir ou décortiquer nos faits et gestes. J’ai envie d’être avec toi simplement, et de laisser les choses se faire… De laisser parler nos émotions et nos désirs. Tu veux bien essayer ? De rester un peu dans une bulle avec moi pour voir ce que cela donne ? » J'allais devoir prendre une décision et vite...Mon cerveau se met en fonction avec une rapidité étonnante, regroupant toutes les informations de ces dernières heures. Qu'avais-je à perdre ? Maxence n'était plus, notre dispute avait été trop virulente, trop violente. Magyar, lui, était là et me demandait juste du temps pour voir ce que ça pouvait donner entre nous... Je ne cesse de le regarder, mon regard bleu enfui dans le sien, comme si je m'accrochais à son bleu océan comme à une bouée de sauvetage. Je viens déposer ma main sur sa joue avec une délicatesse qui est assez rare chez moi et pour toutes réponses, j'approche mon visage du sien pour déposer un baiser sur ses lèvres. Un simple baiser, mais un baiser qui voulait en dire long.

« Enfermons-nous dans une bulle alors... »

Ouai, parce que au cas où il n'aurait pas comprit la signification de ce baiser...J'observe ses quelques blessures et je soupire, me disant qu'il serait quand même bien de le soigner l'air de rien. Bon, il n'avait rien de grave hein, mais quand même ça ne devait pas être très comique. Pourtant, mon visage était resté près du sien alors qu'une envie brutale de l'embrasser de nouveau se fit ressentir. Sans contrôler mes envies, je repose mes lèvres sur les siennes pour un baiser plus long, plus explicite. Ses lèvres allaient vite devenir une drogue, un médicament pour oublier mes blessures. Je fini par me reculer légèrement, essayant de me faire comment dire plus...raisonnable ?

« Et si on soignais tes blessures ? »






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mercurochrome le pansement des héros

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C'était tout ce qu'il voulait : une chance de la connaitre, d'approfondir leur lien. Du temps pour eux, pour qu'elle se calme et le découvre, pour qu'ils puissent mutuellement s'apprécier. Il y avait tellement de choses qu'il voulait partager avec elle... Magyar semblait déjà ivre de sa présence, envieux de l'entendre rire, et espérait lui plaire. La joie qu'il ressentit en la voyant s'accrocher à son regard, à sentir sa main s'égarer sur sa joue et ses lèvres se poser sur les siennes... le Pixie n'y voyait pas de fin. C'était une émotion pure et sans limite, qu'il communiquait à travers un sourire qui ne le quittait désormais plus. La tristesse s'était évaporée. Et malgré la douleur sourde qui s'imposait dans sa mâchoire ou dans son corps secoué, il continuait d'exprimer son bonheur devant l'acceptation d'Athénaïs. « Enfermons-nous dans une bulle alors... » La bulle était prête... Magyar était présent, devant elle. Il ne possédait ni armure ni artifice pour s'y dissimulé. Il était à nu devant le leprechaun, émotionnellement prêt à se lancer à corps perdu dans cette passion dévorante qui le consumait, qu'elle attisait chez lui. Plus rien n’existait autour, rien qu'Athénaïs, ses grands yeux, ses mains... ses lèvres. Qui d'ailleurs revinrent bientôt à la charge pour un baiser tout aussi doux mais bien plus long. Magyar raffermit d'instinct sa prise dans la nuque de la jeune femme, mêlant son souffle au sien lorsqu'elle s'éloigna à nouveau. « Et si on soignais tes blessures ? » Il émit un petit rire, alors que machinalement sa main libre venait effleurer l'hématome qui commençait à colorer sa mâchoire.

« Oh ça ? Mais c'est rien du tout ! Tu sais, je suis médecin, donc un peu de pommade et une aspirine feront l'affaire... »

Il l'observait alors d'un regard brûlant, alors que les lèvres de la jeune femme avaient éveillé des souvenirs bien plus agréables, effaçant un peu les stigmates de la bagarre qui avait eut lieu. Lentement, les yeux bleu du Pixie détaillèrent la courbe gracile du cou de la Leprechaun, et la main glissa de la nuque au buste d'Athénaïs, effleurant à peine la peau. Il se souvenait encore de sa douceur, de sa chaleur... de l'appel de son corps contre le sien durant ce bref tête à tête caché dans la verdure. Et son appétit d'elle estompa le reste, revenant au centre de ses préoccupations.

« Mais si je peux me permettre, il existe des remèdes plus efficace encore. »

Son sourire se fit plus grand, mais aussi plus taquin bien que quelque part, son regard restait fuyant. Ils y étaient à présents, dans leur bulle. Et Magyar ignorait tous les autres éléments extérieurs, essayant de balayer sa pudeur et son manque de confiance pour ne montrer que le meilleur. Il n'y avait plus que la jeune femme, dont il revint rapidement butiner les lèvres avec une gourmandise non dissimulé. Il y déposa une petite succession de baiser tendres et rapides, avant de céder à son désir pour l'embrasser à pleines lèvres. Mais après un instant, il s'écarta pour déclarer d'un air très sérieux :

« Attention, je dis cela en tant que médecin ! Pas du tout comme un gros profiteur, non non ! Juste un adepte des médecines douces... Très très douces. Genre homéopathie, mais en vachement mieux. »

Sans attendre, sa main droite se posa délicatement sur le genoux d'Athénaïs avant de glisser avec lenteur le long de sa cuisse pour s'aventurer dans la brèche de tissus déchiré. Il voulait lui faire comprendre son désir, sans le lui imposer. Si elle n'était pas prête, si elle n'avait pas envie, alors il arrêterait... et se laisserait soigner sagement. Une nouvelle expression, un nouveau sourire communicatif prit place sur son visage pour l'exprimer, et Magyar attendait simplement contre la Lepy-jolie, que celle-ci signifie ses propres désirs.


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