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People are Stange when You're a Stranger [Heathcliff & Sonja]

 :: Archives des rps

Heathcliff A. Lovecraft
I'm Not an Artist I'm a Fucking Work of Art
Heathcliff A. Lovecraft
I'm Not an Artist I'm a Fucking Work of Art

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Messages : 283 Je suis arrivé(e) le : 14/03/2016 Sous les traits de : Marilyn Manson Je me dédouble : Jahaal J. Sepehr & Aldous B. Koch & Archibald S. Rosier Pseudo : Yuki Shuhime Crédits : @SWAN Points : 3578 Couleurs RP : #660000 People are Stange when You're a Stranger [Heathcliff & Sonja] Tumblr_mxzcjiCoY31rk4sq3o1_250

J'ai : 44 ans Je travaille comme : Artiste peintre & Professeur aux Beaux Arts Actuellement, je suis : Follement amoureux d'une Ombre, mais c'est un secret Pouvoir : Manipulation du son Niveau social : D'anciennes richesses familiales
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People are Stange when You're a Stranger [Heathcliff & Sonja] EmptyVen 15 Avr - 21:46
People are Strange when You're a Stranger



12 Avril 2016 - Début de Soirée - Heathciff & Sonja


Une folie. Un déni. Seul alliage incertain d'oubli et de merci. Les gestes sont brusques, mais précis. Les mouvements rapides, plein d'une rage et d'un courage qui se mêlent aveuglement dans son âme meurtrie. Un million de bruissement silencieux dans la nuit, qu'il amplifie. Le passage furtif d'une fouine dans les hautes herbes du cimetière. Le souffle rauque du vent qui résonne dans la souche creuse d'un vieux tronc. L'air glacé qui s'insinue dans les interstices entre les lourdes pierres de la façade. Les ailes des myriades de papillons de nuit qui s'agglutinent autour du seul lampadaire qui tutoie la lune en croissant, gardienne de la capitale endormie. La moiteur de son front dilue davantage la peine et l'effort, ajoutant de sa propre substance vitale au personnage du tableau.

Une frénésie. Un désir inassouvi. Un besoin qui s'empare de lui et possède chacun de ses sens. Aliéné, ses mains blanches si bien préservées par leurs habituelles prisons de velours, plongent dans la matière hérétique et pourtant si noble. Les poudres, les pigments, se mêlent avec une huile translucide, fluide et légère. La pulpe de ses doigts perçoit chaque rugosité, chaque aspérité avant que le mélange ne soit parfaitement lisse, prenant la couleur que son esprit lui dicte. La peinture dissimule la chère, fait disparaître l'homme derrière l'artiste. Comme enivré d'une force insoupçonnable, pris d'un vice si agressif et jalousement rêveur. Il perd pied avec la réalité, oublie le visage véritable du monde qui l'entoure pour s'évanouir dans le fantasme surréaliste que son esprit a façonné. Et la matière suit sa pensée comme si ses nerfs commandaient directement aux couleurs de s'assembler sur la toile. Il fait corps avec son tableau, il n'est plus l'artiste, il devient l'oeuvre d'art.

Plus tenace que l'obsession la plus dure. Plus destructrice que la passion la plus intense. Plus belle que l'astre de la nuit dans toute sa paresseuse splendeur spectrale. Plus déroutante, dérangeante que la bouffée délirante d'un psychotique. Fruit d'un tourment que la raison a cherché à emprisonner, que la mesure a voulu adoucir et que le chagrin aurait pu noyer. Progéniture dantesque d'une âme mue d'un instinct mélancolique et douceâtre. Cette vague qui déferle en lui et dévaste tout dans son passage est ce qui le maintient en vie. Cette lave en fusion qui ravage autant qu'elle créé. L'inspiration est son poison. Un liquide amer sous couvert de sucre et de miel, un nectar puissant et vil derrière ses reflets chatoyants et sa robe savoureuse. Il s'y absout. Il s'y perd. Il s'y abandonne tout entier. Son front perle à nouveau et la goutte blanchie par la poudre qui recouvre ses joues, glisse sur la toile, traçant son sillon comme la larme salée qui ne refuse toujours de couler des pupilles asymétriques.

Du bruit retentit au dehors, les ombres de la nuit s'activent dans l'obscurité. Combat de lumière dans un écrin de satin happé par les ronces. Invulnérable, invincible. La peur le quitte peu à peu, alors que se construit le tableau. Il ne ressent plus que l'intensité fugace d'ordinaire si intangible, de la beauté absolue de l'angoisse la plus sourde. Dans ce spleen baudelairien d'inspiration victorienne, dans ce maelström de sentiments terrifiants et de pertes abyssales, dans ce gouffre sans fin aux lueurs du néant, dans ce paradis perdu au milieu d'un enfer déguisé, dans ce jardin où poussent les pissenlits parmi les roses. Il est sa propre victime. Esclave d'une puissance sans contrôle qui l'anime et le fait bouger comme un marionnettiste des ténèbres. Pantin d'une volonté tellement plus forte que lui, Heathcliff, le visage vide et froid, seulement animé de l'éclat flamboyant dans son regard fou, ivre d'une torpeur qui draine progressivement sa vie hors de son corps, sourd même à l'angoisse hurlante qui l'obnubile d'ordinaire, n'entend pas les pas légers qui foulent l'allée de graviers menant à la porte du manoir ...
 


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Simon A. Montgomery
Sidh - Ombre
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Messages : 375 Je suis arrivé(e) le : 29/03/2016 Sous les traits de : Iwan Rheon... Pseudo : KSS ©... Crédits : KSS ©... Points : 1832 Couleurs RP : #292518... J'ai : 544 ans... Age d'apparence : la vingtaine... Je travaille comme : serveur au Crazy Darwin... Actuellement, je suis : célibataire volatile... Niveau social : très aisé mais le cache bien... People are Stange when You're a Stranger [Heathcliff & Sonja] 396038Gifgif
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People are Stange when You're a Stranger [Heathcliff & Sonja] EmptyDim 1 Mai - 14:48
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♦  lovalbǫrg




Depuis mon arrivée à Ottawa, je dois bien l’admettre, la cour des Faës m’étouffe parfois. Je me surprends souvent à aller me balader en plein air, dans des espaces plus grands, plus verts, plus naturels. On y respire, on s’y sent mieux, plus libre. Lors de ma précédente vie, ce genre d’endroit ne me parlait pas plus que ça. Mais depuis ma mort, j’y suis d’avantage plus sensible et je n’ai guère d’explication rationnelle à ce phénomène. De toute façon, quelle rationalité il y a à être un spectre ?! Un être surnaturel qui chercher des faits logiques et scientifiques pour se rassurer… Se rassurer de quoi au juste ? La mort est quelque chose qui est encore difficile à accepter, à réaliser… Mais qu’à cela ne tienne… dans une petite dizaine d’année, je ne ressentirais plus rien. Je deviendrai une Sidh à part entière ! Je n’aurai plus à subir ces envies et ces besoins humains devenu superflus comme, manger ou dormir…

En attendant, ma sensibilité de Sidh, mon pouvoir d’empathie me permettait d’être d’une extra-lucidité exceptionnelle… En fait, je me sentais bien dans ces zones, et je commençais tout doucement à comprendre pourquoi… Il y avait un drôle de manoir, un peu retiré et noyé dans la flore, qui m’attirait vers lui. Digne d’une maison hantée d’un bon film d’horreur, elle m’intriguait. Il y avait comme une attraction qui émanait de cette bâtisse… De jour, comme de nuit !

En effet, aujourd’hui, je m’étais décidée à franchir le pas. Je n’avais pas ce sentiment de peur face à une telle scène… non… C’était plutôt, de la curiosité. De toute façon, cette attraction était bien trop forte que pour me laisser là, à contempler.
Vêtue de ma longue veste d’hiver, s’arrêtant à mi mollet, mes bottes se chargeaient de recouvrir le reste de mes jambes. J’avais heureusement, une écharpe en laine conséquente, pour parer à la fraicheur nocturne… Les mains gantés et entourant mes bras, j’avançai lentement vers la porte d’entrée du manoir. Je ne vis aucune lumière traverser les fenêtres. En réalité, même de jour, je n’y avais jamais constaté aucun mouvement … ! Je marchai lentement dans les graviers qui crissaient sous mes pas. J’étais persuadée d’alerter le propriétaire des lieux, si tout de fois, il y en avait un !

Arrivée devant la porte, je m’apprêtai à toquer quand je ressentis une vague au creux de mon ventre. J’arrêtai immédiatement mon geste et je décidai de me téléporter à l’intérieur… Je ne fis aucun bruit. Mon regard glissa sur les murs qui m’entouraient. Partout où il y avait quelque chose à voir, je le vis. Une drôle d’ambiance régnait ici. Néanmoins, aucun sentiment négatif, me revenait. L’endroit était riche, d’une histoire prometteuse, hors du commun. Une odeur étrange venait me chatouiller les narines. Encore une fois, je me fis la remarque d’être sensible à certaines choses auxquelles je n’aurais jamais songé avant d’être morte…

Les œuvres que je vis sur les murs m’évoquaient une passion, une histoire bien particulière… J’étais en train de revivre, littéralement ! Je ne pus reconnaître la patte de l’artiste, qui était inconnu à ma culture. Néanmoins, je pouvais… je pouvais les lire et les déchiffrer ! Je les comprenais hors que c’était des œuvres que je n’avais jamais étudié avant… ! C’était extraordinaire ! J’étais réellement hypnotisée par ce que je voyais, même dans cette obscurité mélancolique…



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People are Stange when You're a Stranger [Heathcliff & Sonja] EmptyMar 24 Mai - 11:41
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12 Avril 2016 - Début de Soirée - Heathciff & Sonja


C'était seulement une intuition. Un pressentiment insidieux qui ne le quittait pas depuis qu'il avait achever sa toile ... Un petit chiffon pour éponger la sueur de son front pâle, retirant la poudre blanche qui recouvrait son visage entier, un peu d'alcool pour faire disparaître de ses mains nus les traces d'huiles et de pigments. Et puis il remet ses gants de velours. Et puis il se redresse et déploie son dos voûté jusqu'alors. Volontairement, il ne regarde plus le tableau, stigmates de la terreur sourde qui guidait ses mouvements et de l'angoisse qui enveloppait chaque seconde de sa réalisation. C'était comme un exorcisme de l'âme, un moyen de se purifier de tout ce qui le hantait. Alors, dans l'immédiat, le soulagement le pousse à s'éloigner de la peinture et l'en tient éloigné. Pour un temps. Ou plus. Parfois il peut peindre cinq œuvres dans la nuit, et parfois il ne descend pas à son atelier pendant plusieurs semaines. Dos à son travail, il range méticuleusement les pots de poudres, les tubes de pigments et les flacons d'huiles. Il brosse  assidûment ses pinceaux et range le tout dans une boite en bois qu'il cadenasse avant de la glisser dans un coffre fort resté ouvert jusqu'alors. Un cliquètement familier retentit quand il repousse la porte et que le mécanisme s'active. Un soulagement s'épanouit dans ses entrailles alors que ses lourdes chaussures le porte hors de l'atelier. L'odeur de la peinture à l'huile qui sèche et des vapeurs d'alcool lui tourne un peu la tête et il se subitement épuisé et profondément las en montant lentement les marches qui remontent vers la surface.

Comme souvent, parfois, il lui semble que son esprit se dissocie doucement de son corps. Il n'habite plus son enveloppe charnelle qui arrive dans l'immense hall du manoir, au plafond démesurément haut. Il ère quelques parts dans les méandres de ses pensées et de ses souvenirs, à moitié anesthésié par la moiteur de l'air et les vapeurs de peinture qui ne le quittent jamais vraiment. Et pourtant son intuition l'empêche de divaguer complètement. Comme si quelqu'un l'épiait. Il sent un regard pesant, comme un grand œil qui voit tout et qui décrypte chacun de ses gestes pour mieux tenter de l'asservir à sa propre volonté. Il analyse le monde à travers le voile de cette peur grandissante, rejoignant bientôt son corps pour scruter chaque détails de sa maison qui lui semble à présent presque étrangère. Il est persuadé qu'il y a quelque chose qui ne devrait pas être là. Il le sent au fond de lui. Il ne sait ni l'expliquer ni l'argumenter mais ... Le pressentiment se meut en certitude qui filtre sa réalité. Ses doigts remuent pour amplifier chaque bruit mais il ne descelle rien d'anormal. Si une voix sombre dans sa tête lui murmure que la folie finira par avoir raison de lui, il préfère se vautrer dans sa paranoïa qu'il estime fondée.

Et cette impression qu'un intrus l'observe devient une obsession. Frénétique dans son esprit mais toujours aussi lent et mesuré dans ses mouvements, il arpente chaque pièce, chaque couloir pour trouver. Trouver quoi ? Il n'en a pas la moindre idée. Ses doigts s'agitent, seuls signes visibles de son trouble et de son anxiété naissante. Il ne craint ni le cambrioleur ni le vandale, il sait qu'avec sa stature et ses dons, il s'en débarrasserait sans mal, bien qu'il répugne à se montrer violent envers autrui. Non ce qu'il redoute est bien plus terrifiant que cela. Au détour d'un corridor, derrière un meuble sombre, dans l'ombre d'une porte entrouverte, c'est bien la Mort qu'il craint de rencontrer. L'allégorie morbide de la Grande Faucheuse qui l'attendrait dans les ténèbres pour le prendre et l'arracher au monde qu'il cherche temps à faire sien pour l'éternité. Ses plus obscures angoisses se matérialisent devant ses yeux asymétriques et plus aucune réflexion logique ne peut lui faire entendre raison. Pour lui, c'est inévitable, Elle l'a trouvé et Elle est venue le chercher. La panique ceint son regard fuyant aux pupilles complètement dilatés dans la nuit. Même si la Mort s'enveloppe de son manteau de ténèbres, il ne peut se résoudre à allumer les lumières. La clarté rendrait vie à tous les tableaux aux murs qui le fixeraient tous dans sa frénésie obsessionnelle à échapper à son destin. Il ne veut pas de témoin à sa déchéance, il veut partir dans le néant et le chaos, dans l'indifférence de ses propres démons nés de sa peinture.

Finalement, après plusieurs minutes d'investigation, il arrive à la galerie. Un couloir immense où ses plus sombres tableaux sont accrochés et où il prend un soin tout particulier à ne jamais se rendre. Si l'intrus avait gagné les étages, il aurait perçu le grincement des escaliers, il était donc persuadé qu'il était toujours en bas. Le son était tellement amplifié qu'Heathcliff percevait les bruissements d'ailes des papillons de nuit comme des violents coups de vent pendant une tempête. Son coeur battait la chamade car la certitude devenait presque palpable dans cet endroit. Dans l'obscurité à peine éclaircit d'un clair de lune qui pointait son nez entre les pans de lourdes tentures opaques qui bouchaient les fenêtres, il finit par distinguer une silhouette faisant face aux peintures. Son sang se glace dans ses veines, son souffle court s'arrête et son coeur semble figé avant d'exploser dans sa poitrine. La curiosité l'emporte sur la peur et il continue à s'approcher, cherchant à se convaincre, malgré l'absence manifeste de tout bruit provenant de la silhouette, que ce n'était pas la Mort qui l'attendait dans ce couloir de ténèbres. En quelques pas, il peut presque détailler ses traits. Point de capuchon ni d'uniforme noir, point non plus de faux ou de visage squelettique. Seulement une chevelure de feu et une émotion intense dans le regard. Même si au fond de lui, Heathcliff était persuadé qu'il s'agissait là d'une innocente demoiselle, pétrie de bonté et de gentillesse, la voix de la rancoeur et de la terreur chuchotait à son esprit qu'il pouvait aussi bien s'agir d'une ruse ... D'un ton grave, peu accueillant et long de la chaleur habituelle de sa voix rauque, Heathcliff attire violemment son attention en pointant un index accusateur dans sa direction.

"HEY, VOUS ! QUI ÊTES-VOUS ?? ET QUE FAITES VOUS CHEZ MOI ?"

Et malgré l'assurance de ses mots et l'autorité dans ses gestes, sa voix tremblait de l'angoisse insoutenable qui croissait en lui comme se répand le plus amer et dangereux des poisons ...


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Angel & Dante

Félicitation à nos deux couillons élus membres du mois de d'Août pour leur rafale de RP et leur bonne humeur ! <3